Spoiler:
Extrait d'un cahier d’étudiant sombre sur les bonnes manières de son peuple
Le concept de hiérarchie
1. Notions de base et de politesse
Le respect de la hiérarchie est une notion très importante dans la société sombre.
Si la majorité sont intéressés par le pouvoir que peut offrir chaque poste, il va aussi de pair avec une reconnaissance publique qui, si elle est omise, pourra être prise comme une offense.
Aussi est il plus que souhaitable de se plier aux coutumes qui marquent l'existence de la structure de notre société.
Le vouvoiement est toujours de mise envers un supérieur ou égal, alors que le tutoiement est usité pour les inférieurs hiérarchiques.
Un sombre éduqué selon les valeurs de la race et soucieux de son intégration sociale saluera donc la personne la plus importante en premier et les autres ensuite suivant la décroissance de leur statut social.
Nota :
En présence des mêmes personnes, l'ordre est propice à variations !
2. La variabilité hiérarchique
Le pouvoir et l'influence qu'une personne peut avoir est une chose qui se nourrit de sources très variées. Sa fonction, les us et coutumes du lieu de son exercice, sa famille, son domaine de prédilection ou d'excellence; tous en sont facteurs. Et chacun peut prendre conscience de l'opportunité d'offrir du pouvoir à une cuisinière sur un champ de bataille , mais qu'il est loin d'en être de même dans une cuisine.
La hiérarchie sombre s'adapte donc au mieux aux circonstances et aux contextes de situation.
Exemple :
Chez l'armurier lors d'une commande , il est de mise de le vouvoyer par son excellence dans ce domaine. Mais s'il s'agit pour un membre du temple de lui porter la parole de Mère, le tutoiement sera utilisé , l'ordre hiérarchique s'inversant selon le sujet abordé.
Remarque :
Hors des terres sombres, du fait de la variabilité hiérarchique, il est logique de prendre en compte la hiérarchie autochtone.
3. De l'emploi du terme Malla
"Malla" (honoré-e) est un terme de politesse qui se doit d'être employé a bon escient.
Accolé au nom d'une famille, il en désigne le chef. Pour tout autre, il ne devra être fait omission du prénom et se veut une marque de respect.
Dans le cas de l'usage du terme seul, sans apposition, cela s'effectue pour un supérieur hiérarchique le plus souvent direct.
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Pour ceux ayant des connaissances dans les usages japonais, on peut rapprocher cela du "Sama" nippon.
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Pour ceux ayant des connaissances dans les usages japonais, on peut rapprocher cela du "Sama" nippon.
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4. La hiérarchie des Quellars (familles)
Notre société, outre son armée et ses clergés, est structurée par les Maisons. Désignées par le nom de leur famille fondatrice, elles peuvent rassembler de nombreuses sous-branches, voire adopter d'autres familles leur ayant prêté allégeance, ce que pratiquent régulièrement les Quellar les plus influentes.
Il existe bien sûr une hiérarchie des Maisons, ainsi que celle de ses membres, facilement variable dans le temps et en fonction du contexte.
Travailler pour une Quellar est un engagement sociétal important : c'est appartenir à cette maison.
Chaque famille assoit son pouvoir en fonction des capacités et influences de chacun de ses membres.
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Le titre Malla Nom_de_la maison, si il peut être envisagé comme noble, n'a pas vraiment d'équivalence dans le système humain référentiel : en fonction du moment, des actions de chaque membre, du sujet abordé, du lieu & etc de la famille, il peut autant être l'équivalent d'un propriétaire terrien que d'un Comte.
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Le titre Malla Nom_de_la maison, si il peut être envisagé comme noble, n'a pas vraiment d'équivalence dans le système humain référentiel : en fonction du moment, des actions de chaque membre, du sujet abordé, du lieu & etc de la famille, il peut autant être l'équivalent d'un propriétaire terrien que d'un Comte.
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