Prénom : Sheïa
Age : 140 ans
Sexe : Feminin
Race : Sombre
Alignement : Neutre /Chaotique Mauvais suivant qui a le controle
Langues parlées :Sombre / Commun
Description physique : Yeux violets, cheveux noirs avec des mèches blanches, elle a un croissant de lune noir tatoué sur la pommette gauche
Caractère : Douce / Hautaine, Dominatrice suivant qui a le controle
Autres : Elle porte un collier d’or d’une largeur de 5 cm autour du cou, la matière semble onduler, aucune attache visible, elle porte un brassard du même type sur chaque bras juste sous les épaules
Situation financière : Moyenne
Comportement social : Vagabond
Compétences: Magie : Maitrise la magie enseignée au sein de sa race, magie offensive des ténèbres et du vent
Croyances : ( avis sur les Dieux )
- Einhasad :
Gran Kain :
Eva :
Shilen :Croyante non pratiquante
Sahya :
Pa’agrio :
Maphr :
- Elfes : Amicale
Humains : Amicale
Kamaels : Amicale
Nains : Amicale
Orcs : Amicale
Sombres : Amicale
Sheïa
Chapitre 1 : Le début d’une nouvelle vie
Il était une fois… Non… seules les belles histoires commencent ainsi…
Jour 1 :
Les cheveux plaqués sur le visage par la transpiration, Sheïa avait le visage crispé par la douleur, dans l’attente du prochain coup.
Elle se trouvait dans une salle obscure sans aucune ouverture vers l’extérieur la seule lumière était celle projetée par les 4 torches disposées aux quatre coins de la pièce.
Au centre de celle-ci, un pentagramme était tracé avec du sang.
Sheïa était suspendue au centre de la salle, par les poignets, de manière à ce que seuls le bout de ses doigts de pieds touchent le sol, totalement nue.
En face d’elle se tenait un homme en robe noire, le crâne rasé, des glyphe tracées sur la peau de celui-ci et son visage, un fouet à la main.
Proche de la porte d’entrée, se tenait un homme en haillons la tête courbée vers le sol, les mains le long du corps, complètement prostré et tremblant.
Mage noir – Cesse de me résister ! Tôt ou tard je te briserai ! Et à ce moment-là, ton corps sera mien ! Tout en marchant autour de Sheïa, l’homme lui assénait des coups de fouets à différents endroits du corps, sa peau se déchirant à chaque fois, faisant jaillir des hurlements de douleurs de sa gorge.
Sheïa des larmes coulant de ses yeux, se mêlant à la sueur qui ruisselait sur celui-ci l’implora :
Sheïa – Mais pourquoi… pourquoi me faites-vous cela ?
Mage noir – Pourquoi ? Parce que mon misérable corps d’humain est mourant, il se meure de seconde en seconde ! Alors que le tiens vivra un millénaire !
Sheïa – Mais que… qu’attendez-vous de moi… ?
Mage noir – J’attends que tu cesses de résister et que ton esprit soit brisé ! Ainsi je pourrais m’insinuer dans ta tête, me débarrasser de mon propre corps et prendre contre du tien !
Un nouveau coup de fouet vint déchirer la peau du dos de la Sombre, une mare de sang se formant sous ses pieds.
Sheïa – Vous… vous être complètement fou, c’est… impossible… Laissez moi partir…
Mage noir – Te laisser partir ? Et pourquoi faire ? Qu’as-tu accompli dans ta vie ? Tu as la possibilité de vivre des centaines et des centaines d’années, et qu’en faites-vous ? Rien, encore si vous aviez la grandeur de vos ancêtres, forts et majestueux, mais non, vous êtes devenus faible, si faible depuis que vous vous êtes acoquinés avec toutes ces races méprisables, alors que vous leur étiez en tous points supérieurs !
Alors que moi, moi avec tout ce temps… crois moi, je vais faire de grandes choses !
Sheïa – Mais…
Mage noir – Ferme la ! Chienne ! il ponctua ses mots d’un violent coup dans la mâchoire de Sheïa.
La tête de la Sombre, s’affaissa, au bord de la conscience.
Mage noir – Hum… j’y suis peut-être allé un peu fort… il vint se placer devant Sheïa et pris ses seins dans ses mains, sentant l’excitation monter en lui.
Pas encore, pas encore…Bientôt !
Esclave ! Soigne-la !
L’homme prostré à l’entrée de la pièce se déplaça sans un bruit, sans relever la tête.
Il vint poser une main sur l’une des épaules de Sheïa, un léger halo lumineux les enveloppa et progressivement, toutes les plaies de la Sombre se refermèrent ne laissant aucune trace sur son corps.
Pour finir la lumière s’immisça entre ses lèvres entre ouvertes et ses poumons se remplirent d’air, sa tête se redressant.
Sheïa regarda autour d’elle comme si elle sortait d’un sommeil profond, réalisant ou elle était, des larmes se mirent à couler à nouveau sur ses joues.
Mage noir – A ta place esclave. Il fouetta l’homme à plusieurs reprises pendant qu’il s’exécutait.
Puis se retournant vers Sheïa.
Bon retour parmi nous. Lui lança-t’il avec un sourire lubrique.
Il la contourna passant dans son dos, Sheïa entendit un bruit de tissus qui glisse sur le sol, soudain le fouet passa autour de sa gorge, et l’homme passa sa main sur la peau de son dos, lui griffant à sang de ses longs ongles.
Le viol commença.
Le second jour fut identique.
Jour 3
Sheïa fut réveillée par une douleur fulgurante au niveau de la nuque, son estomac se retourna et elle eut juste le temps de s’incliner sur le côté de la paillasse qui lui servait de lit avant de vomir.
Le mage noir se tenait debout à côté d’elle, il tenait à la main une sorte de matraque d’une cinquantaine de centimètres, tout en cuir rigide, qu’il lui posa sous le menton, de manière à lui faire relever la tête, aussitôt la douleur qui l’avait réveillée repris au niveau du menton où était posée sur sa peau l’étrange objet.
Mage noir – Debout !
La douleur était telle que Sheïa s’exécuta sans attendre, et l’objet quitta le contact de sa peau.
Mage noir – Bien… comme tu résistes, j’ai décidé de passer à la vitesse supérieure… Tu viens de faire la connaissance d’un objet magnifique, cela s’appelle un Agiel.
On pourrait croire à une simple matraque, sauf qu’il n’en est rien, cet objet se sert de la magie de sa victime pour la retourner contre elle-même.
Sheïa – La magie… Comme si l’homme avait lu dans ses pensées, alors qu’elle avait à peine commencer à ouvrir la bouche pour commencer une incantation, il lui plaqua l’Agiel sur l’épaule et elle s’écroula au sol.
Mage noir – Ne t’en fais pas, bientôt tu n’auras plus la volonté de résister et toutes ces douleurs s’arrêteront, mais… tu n’existeras plus. Il se mit à rire
Debout maintenant ! Il fit mine d’approcher l’Agiel de la Sombre qui se recroquevilla sur elle-même.
Au bout de quelques secondes, elle sorti la tête d’entre ses bras, le tortionnaire n’était plus là, l’esclave lui était la et se pencha sur elle pour la relever.
Il saisit la chaine qui était reliée à un collier de fer autour du cou de Sheïa, puis commença à marcher doucement, la Sombre le suivit.
L’esclave la ramena dans la pièce de torture, instinctivement, elle marqua une pause à l’entrée, ne voulant pas aller plus loin.
Aussitôt elle sentit l’Agiel rentrer en contact avec sa peau, entre ses omoplates, au moment où elle allait s’écrouler, l’objet quitta sa peau.
Mage noir – Avance ! Une longue, mais plaisante journée nous attend ! A la fin de celle-ci tu ne devrais plus résister, et demain soir, ton corps sera à moi.
Il la suspendit par les bras, et commença à la torturer avec son Agiel, finissant par la violer à nouveau.
Jour 4 :
Sheïa ouvrit les yeux au moment où le soleil se leva elle s’assit machinalement sur sa paillasse.
La porte de sa cellule était ouverte, elle sentait sont esprit brumeux, vide.
Sans qu’elle ne s’en rende compte, ses jambes la menaient vers la salle au pentagramme.
Le mage noir était dans la salle et lui fit signe de prendre place, elle se plaça machinalement au centre du symbole, droite comme un « i ».
Le tortionnaire ne prit pas la peine de l’attacher, dans la main le fouet avait remplacé l’Agiel.
Il leva son bras, et le fouet siffla dans l’air, la peau de la Sombre se déchira à chaque coup, l’homme faisait le tour de Sheïa, portant coups sur coups, mais la Sombre n’esquissa pas un mouvement, son regard vide posé sur la porte de sortie, ouverte.
L’homme passa sa journée à la fouetter, la faisant soigner par son esclave à plusieurs reprises.
Mage noir – Bon… Je crois que nous y sommes ! L’heure est venue !
Il saisi une sorte de collier d’une largeur de cinq centimètres, en or, la matière semblait vivante, ondoyant sous les reflets des torches illuminant la pièce.
Il s’approcha de Sheïa et lui mit au cou, refermant l’attache, le collier sembla onduler et celle-ci disparut totalement, si bien que le collier n’était plus qu’un bandeau d’or épousant parfaitement la forme du cou de Sheïa ; puis en posa deux autres identiques, sur ses bras, juste en dessous des épaules.
Le mage noir se positionna en face de Sheïa, ferma les yeux et commença une incantation dans une langue étrange.
Une lueur bleu clair s’échappa du corps du magicien, se divisa en trois et se dirigea vers les bandeaux dorés.
Ceux-ci ondoyèrent comme la surface d’un lac qui aurait été troublée par un mouvement au moment où la lueur y pénétra.
Sheïa cligna des yeux, et un sourire étrange se dessina sur ses lèvres, elle leva ses mains devant ses yeux et bougea les doigts.
Le corps du mage gisait au sol, sans vie.
Sheïa ramassa le fouet et l’Agiel sur le corps inanimé, puis se dirigea vers la sortie s’arrêtant devant l’esclave.
Sheïa – Je vais partir, si je ne fais rien tu vas mourir de faim, alors autant m’amuser avec toi une dernière fois et t’éviter cette longue mort.
Elle se saisi du fouet et leva le bras, puis l’abattit violemment en direction de l’esclave.
Mais son bras se stoppa net à mi-chemin, et son corps tituba un instant, la Sombre avait repris le contrôle de son corps.
Sheïa – Fuis !
L’esclave n’esquissa pas un mouvement, restant le regard fixé sur le sol.
L’esprit de Sheïa commençait à redevenir brumeux et la voix du mage résonnait dans sa tête.
- Comment fais-tu cela ?! Tu ne devrais plus exister ! J’ai travaillé dur, ce corps est a moi !
Sheïa ferma les yeux, mâchoires serrées, une lutte intérieure se lisant sur son visage.
Ses yeux finirent par s’ouvrir à nouveau, elle rattacha le fouet à sa ceinture et pris l’esclave par la main, se dirigeant vers la sortie, mais celui-ci ne bougea pas.
A contre cœur, la Sombre lâcha la main de l’homme prostré et se dirigea vers la sortie.
Et traversa les couloirs du cachot au pas de course, trouva un petit escalier donnant sur une trappe, elle la poussa et fut éblouie par la lumière du soleil.
Sheïa gravit les dernières marches, et se retrouva dans une prairie verdoyante, sentant l’herbe grasse sous ses pieds, et les rayons du soleil sur sa peau nue, au loin, elle voyait les murs de Dion.
Sheïa était à nouveau libre… Mais quelque part au fond de sa tête, grondait la voix du mage noir, il attendait la moindre baisse d’attention pour reprendre le dessus…