Dion, le Grenier de l'Ouest.
Malgré un passé chargé et chaotique, la renaissance de Dion fut la plus attendue après la catastrophe. Issue de la tradition humaine, comparable par l'architecture de ses bâtisses à Gludio ou Floran, Dion se démarquait de ces deux cités par sa taille intermédiaire et sa situation favorable au développement agricole. Si son atmosphère pittoresque a longtemps attiré calme et prospérité ; sa proximité et son affiliation au Grenier d'Aden en ont fait une place convoitée de tout temps.
Dès le premier siècle, les Astériens s'employèrent à faire rejaillir ses cultures, dotant la ville du matériel nécessaire pour recouvrer son statut. Suite au rituel de purification qui engloba l'ensemble du territoire dionnais, il ne fallut pas attendre bien longtemps pour que plusieurs dizaines de familles arrivent avec armes et bagages afin de tout reconstruire. Mais loin de ne s'installer qu'à Dion, ils prirent également la direction de Floran, au cœur même des terres agricoles locales.
À l'origine population d’émigrés, ceux-ci se sont attachés aux terres qui leurs furent offertes. Suivant cette migration, non sans intérêt, quelques marchands se greffèrent à leur périple, ouvrant un comptoir à Floran, et un autre à Dion. La ville exportait en masse ses productions locales : céréales, maraichage, élevage, poissons d'eau douce, vin, lait, miel.
Encore une fois prospère, Dion focalisa l'attention des différentes puissances héritières d'Astéria. Au IIIe siècle, au cours des conflits entre l'empire de l'Ouest, la République de Rune et la Tyrannie adrielle, Dion changea plusieurs fois de main.
Une fois l'Ouest conquis par Aden, au Ve siècle, le nouvel empire lui offrit un second souffle. À Floran, Dion, Gludin, Gludio et sur tous les territoires prospères récupérés lors de la conquête, de gigantesques exploitations étaient administrés par des agents impériaux. Jusqu'à leur prise par les Mahums en 950, elles sécurisaient le marché des blés et des céréales, garantissaient un approvisionnement peu cher, chassant des grandes cités la perspective de la famine.
Floran appartient au territoire indivisible de Dion tant les deux villes sont liées de par leur Histoire et leur savoir-faire. À Floran les cultures, à Dion leur transformation et leur commerce. L'une ne peut s'envisager sans l'autre.
Gouvernement.
Province impériale de l'Ouest avec à sa tête le gouverneur Élion et son représentant local, le préfet de Dion.
Précédemment occupé par l'Ire Bestiale entre 953 et 957.
Précédemment occupé par l'Ire Bestiale entre 953 et 957.
Population.
Les habitants de la ville et du territoire sont les Dionnais & Dionnaises.
— 85 % 
— 1 %
— 6 % 
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Sur un total d'environ
120 000 dont 30 000 intra-muros.
[+ 5000 réfugiés]
Climat.— 85 % — 1 %— 6 % — 5 %— 2 % — 1 % Sur un total d'environ
120 000 dont 30 000 intra-muros.
[+ 5000 réfugiés]
Tempéré. — se caractérise par des précipitations bien réparties tout au long de l'année et par quatre saisons distinctes, la végétation se présente sous des forêts d'arbres à feuillage caduc.
Culte.
La religion d'empire étant Einhasad, seul son culte est célébré. Tous les autres cultes se pratiquent à l'intérieur du foyer. Les adeptes de Grand Kain, sont évidemment pourchassés par l'Église et les autorités impériales.
Pratiques alternatives minoritaires. — Mère-Nature [++] et les Astres [+]↑.
Carte.
Texte, mise en page : Valens
Mise en page inspirée de Lili
Mise en page inspirée de Lili