Vae Soli • Lineage II

Le 1 d'Astrée de l'an 960

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Le sombre aurait été vu arpentant la ville de Giran la nuit, arborant le collier fournit par Enguéran.

Le 11 d'Astrée de l'an 960

Les dernières rumeurs à Giran font état d'une nouvelle alerte aux démons, vite retombée et classée sans suite.

Le commandant Enguéran aurait été aperçu en compagnie d'Hortense pendant un moment aux abords de l'infirmerie. Un chariot aurait emmené un patient incapable de marcher vers le nord de la ville, pour faire cesser l'hécatombe des innocents tués chaque jour.

La famille du dénommé Manil Verdamt aurait été évacuée dans le même temps vers une destination inconnue, emportant avec eux tous les biens amassés par le damné.

Le 12 d'Astrée de l'an 960

Le salon de thé sous bonne garde a été à nouveau visité par Enguéran et Hortense. Après un moment passé à l'intérieur ils en sont ressorti avec un sac, l'air moins inquiets qu'à leur entrée.

La garde autour reste aux aguets.

Quatre têtes ont descendu le fleuve, une dernière fois, toujours avec une date inscrite sur le front. La plus récente indique le 11 Astrée 960.

Le 7 Vertefeuille de l'an 960

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le 14 Vertefeuille de l'an 960

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21 groupes de 20 individus chacun se seraient réunis longuement à la caserne de la Compagnie du Phénix Ardent. A leur tête, le Capitaine Hortense, accompagné d'un sombre portant un masque et faisant partie lui aussi de la Compagnie, aurait emporté avec elle des armes faites dans un métal différent de celui que l'on voit d'habitude.
Une fois à la sortie de Giran, les groupes se seraient dispersés rapidement sur tout le territoire girannais.

Certains habitants, chasseurs, affirment que ce déploiement ressemble à une battue... Tous les groupes possède un individu à leur tête équipé de paire de lunette.

Portée : Giran et son territoire ancestral.

le 17 Vertefeuille de l'an 960

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Un convoi de 10 dragons marcheurs accompagné d'un nain ont été vus dans Giran. Ce dernier, après avoir rencontré le Capitaine et être allé faire un tour à la Banque, aurait conduis ces bonnes bêtes comme il dit, vers le château de Giran.

Un Sombre aurait été vu faire divers achats notamment auprès de la prêtresse de l'aube. Il aurait aussi posé des questions quant à l'endroit où il pourrait trouver un forgeron discret.
Il aurait été ensuite aperçu dans l'enceinte de Légion.

Le 18 Vertefeuille de l'an 960

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Les travaux de restauration de la cathédrale de Giran sont sur le point de commencer. Les derniers gravats sont déblayés, plusieurs matériaux sont déjà sur place en quantité conséquente.

Une inspection aura lieu de manière assez discrète avec les fameuses lunettes, mêlée à un état des lieux avant début de chantier. Cette dernière sera effectuée par le préfet en personne.

Le convoi de Vernalis est parti depuis plusieurs jours vers le nord, direction le front d'Oren. Pour l'occasion, les gros bras habituels de la guilde marchande ont été invité à accompagner la caravane pour dissuader de quelconques intervenants mal intentionnés.

10 Brilleblé de l'an 960

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Une centaine de tonneaux sont acheminés sous bonne garde jusque à la passeuse de Giran. Un à un les tonneaux sont transféré en direction d'Oren par des gros bras. Les tonneaux sont manipulé avec beaucoup de précaution et une certaine crainte.

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Voilà quelques semaines qu'on parle d'individus chanceux disparus, ça et là sur le territoire. Des épisodes espacés dans le temps et l'espace, mais récurrents. Couplés à la fin de l'hiver qui a vu plus d'une vingtaine de têtes coupées arriver à Giran par la rivière, puis récemment un kamaël déchiqueté, il n''est pas rare de voir quelques familles tout plaquer pour aller planter des tombans ailleurs.

Le 20 Brilleblé de l'an 960

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Suite aux derniers évènements survenus à Giran, le préfet en personne ainsi qu'Hortense Larchet et quelques gardes mèneraient une enquête auprès de la population. Ils chercheraient à connaître le nombre de ceux qui seraient devenus chanceux récemment suite à une conversation anodine avec un inconnu.

Parallèlement à cette enquête ils tenteraient d'apaiser les inquiétudes, affirmant qu'Einhasad veillerait d'ici peu à nouveau sur la cité, la reconstruction de la cathédrale à son honneur étant en cours.

le 23 Brilleblé de l'an 960

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Hortense et Enguéran, accompagnés d'une équipe médicale de 6 individus et de matériels, seraient partis précipitamment de Giran.
Le mot "Oren" aurait été dit à la passeuse.

Le Sombre aurait été vu se traînant dans les quartiers des Innomés, couvert de sang, de poussière et de boue. Il aurait fait appelé le Commandant et la Capitaine avant de s'écrouler.

Le sombre aura été emmené très rapidement à l'infirmerie girannaise, accompagné du Commandant et de son second. Des soins lui auraient été prodigués et les visites le concernant sont interdites.

Marka, le 20 Brûleblé de l'an 960

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Hortense, accompagnée d'une femme d'un certain âge, aurait été aperçue depuis une semaine en compagnie des religieux de la ville. Des chants liturgiques se feraient entendre un peu partout à des heures régulières.

Beaucoup d'ouvriers viennent d'arriver à Giran et se sont mis sur la chantier de la cathédrale sous la supervision de la guilde Vernalis.

Le 28 Brûleblé de l'an 960

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Une cérémonie improvisée aurait été organisé par le préfet sur le parvis de la cathédrale encore en travaux. La population y aurait trouvé un groupe de prêtresses et prêtres d'Einhasad chantant les louanges des derniers défunts de Giran. Hortense Larchet et sa mère aurait participé aux chants funestes.
Le bruit court que le cérémonial symbolise le retour officiel du culte dans la cité, et qu'Einhasad regarde à nouveau vers Giran. Croyance à part, cet évènement pourrait marquer le début d'une ère plus éclairée pour la cité.

Le 5 Astredoux de l'an 960

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Des campements auraient été mis en place à côté du château, secteur sud. Plusieurs rumeurs circulent, dont celle d'une arrivée imminente d'alliés Mahums.

le 10 Astredoux de l'an 960

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Un contingent de 10 hommes de la Compagnie part chaque jour et cela pendant 10 jours. Seul la passeuse connait la destination.

Le 10 Astredoux de l'an 960

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Une naine de Vernalis serait arrivée en courant, rouge pivoine, devant la bâtisse d'Hortense et Enguéran.
Elle aurait évoqué un motif très grave et les gardes l'auraient aussitôt laissé cogner à la porte. Hortense lui aurait ouvert et la naine se serait engouffrée chez eux, un papier à la main.

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Suite à cette rencontre, deux gardes auraient été mis en faction devant l’entrepôt et le comptoir Vernalis. Les deux autres gardes, présents devant le domicile du Préfet ne sont donc plus les seuls en faction dans la rue de l'infirmerie.

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Le secret aura bien duré, mais la rumeur à présent se répand : à l'ouest du territoire, là où les troupes du Phénix, des Lions et les mahums de Cefedellen sont postés, la forteresse serait tombée aux mains du monstre responsable de la nuit de Brûleplume. L'on dit que les escarmouches s'enchaînent presque tous les jours.

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Le siège de la forteresse de l'Est continue de faire rage, mobilisant un bon millier de soldats dans la coalition armée. En ce jour, une bataille plus violente s'est produite, couronnée par une victoire - des favoris de la ville, bien sûr.

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Les commerçants du Sud sont aux abois, les nouvelles circulant plus vite que les marchandises. Le port de Giran serait bloqué, et les ouvriers syndiqués refuseraient de reprendre le travail, évoquant leur conditions de sécurité. La direction du port et les autorités auraient commencé à négocier, mais Murdoc, meneur bien connu de la confédération, soutient ses camarades et exige qu'une commission d'enquête indépendante soit créée pour régler le souci.

La direction du port a lancé un appel à candidature, soumis à validation de Murdoc, au nom de la Confédération. Rendez-vous a été donné le 8 Tombeglace sur la place de Giran

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Les ouvriers ont repris le travail au port de Giran, même si un conflit social larvé persiste, concernant le paiement des jours non travaillés. Murdoc soutient à qui veut l'entendre que la direction du port l'a promis à la commission d'enquête indépendante. Tandis que la direction assure que la situation était parfaitement sous contrôle depuis le début, et qu'il n'est pas question de payer ces jours-là, d'autant que la situation financière du port est déjà mise à mal par les disparitions inquiétantes, et le manque de marins prêts à continuer l'activité...

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Les horreurs qui défendent le fort de l'Est semblent être moins coriaces selon les dires des soldats en de passage en ville. Une bonne nouvelle malgré un siège qui s'éternise.

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Voilà bientot une semaine que des marins et des charpentiers s'affaire autour de deux navires , l'un porte un étendard Giranais , l'autre un étendard d'Innadril .

Un nain avec un kilt bariolé et un caractère de cochon surveille les manœuvres et aide autant que faire se peut.

Une rénovation complète de la coque a été réalisée sur les deux navires, les deux ont eut droit à des renforts de proue pour permettre des éperonnages .
De nombreux canons ont était charger a leur bord faisant d'eux de vrai navire de guerre.

Le long de la coque des sabords on était placé sur deux étages à la distance minimum entre eux. une fois leur mantelets fermé rien ne laisse paraître faisant vraiment croire que les deux rafiot sont des navires marchands.

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Le second des Innomés est repassé voir les gardes affectés en ville, suite aux rumeurs. Une fois reparti, la garde aura tendance à être assez brute dans sa gestion des problèmes, en se rappelant au mieux "qu'on est pas des bâtards".

Le 2 Fondgivre de l'an 961

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Une petite tribu de près de 70 Mahums commencerait son avancée rythmée dans le Goulet du Trépas, ou Passe de la Mort selon les régions, en direction du Sud.