recueil poésie et réflexion

Retrouvez ici les écrits n'ayant aucun rapport avec Lineage 2 et le RP IG [Pas de flood][HRP]

Modérateurs : Conseillères, Admins et GMs

Avatar de l’utilisateur
Jelayde
Barion
Messages : 88
Inscription : mar. 13 novembre 2007 à 00h37
Personnages : Eintaris

recueil poésie et réflexion

Message par Jelayde » jeu. 30 septembre 2010 à 18h05

Prologue

Comment écrire l'amour. Chaque amour est unique, décrire le sien est souvent tragique.
L'amour est la poésie des sens. Passionné ils sont tous mis en action, la moindre émotion poussé a l'extrême emporte dans les tourbillons incontrôlable de notre coeur, plus puissant que la raison, les rêves préservant sa commémoration. Souvenirs, constance mémorative de sensations perdu a jamais. Chants de questions exhaustives et tumultueuse de souffrance continu. Poison et sérum à la fois. L'amour ne se vit qu'a deux ou il devient fastidieux. Loin de toi nous demeurons, loin de nous tu demeures, tu nous appelles à la force, invoquant tes promesses et nos faiblesses, tu nous obliges au combat sans détour, aux cicatrices immortelle. Et nous nous te disons merci et croyons en toi comme l'on croit au soleil qui brille. Tu peux nous conduire dans la tombe qui sera notre salut que nous te sourirons par un dernier baiser d'adieu. Fous de ruine qui auront joué leurs vies sur coup de dés fraternel au destin. Les mains accroché à une corde effiloché qui nous suspend au vide, sans font et sans retour. Cette corde fragile seule chose qui accroche et retient ce corps suspendu aux tréfonds des abysses de la tristesse, on la tient de toute ses forces, car il n'y a plus qu'elle. Nombre de fois elle a craqué et pourtant on l'a raccordé encore et toujours, lui accordant nouvelle confiance encore et toujours. C'est là le véritable. L'amour ce n'est pas être aveugle, c'est savoir fermé les yeux lorsqu'il le faut. L'amour c'est une croyance infinie, immortelle, que le temps ne puisse ébranler. On ne meurt pas de l'amour, on meurt des sentiments que procure de l'amour. Perdition malsaine, oublie de soi dans les tourments et méandre de l'incompréhension de l'autre par soi. C'est ainsi qu'on aime. Sourd, aveugle par notre volonté à ses erreurs et aux nôtres. Le secret d'un amour de durée c'est de vouloir a tout prix et même au delà du prix de sa vie le faire perdurer. Même si pour cela de tous l'on doit être oublié, même de ces choses aimé. C'est ainsi qu'on j'aime, que qu'on l'aimait et qu'on l'aimera. L'amour est ainsi.



I

Ô fruit défendu de mes songes
Abreuve moi de ton amour que j'implore sans mensonges
Nourrit moi de l'interdit
De cette vibration évinçant l'ennui
Pour de nouveau, les joie d'une vie de bonheur
A l'heure ou j'eus enfin vaincu, les temps de malheurs.

Ô poète et chanteur de passion
Qu'as-tu à m'offrir en échange de cette réclamation
Ne soit pas si impudent de ton arrogance
A invoquer une telle appartenance.

Ma déesse, mon enchanteresse.
Rien que tu ne possède déjà avec allégresse
Tout ce qui est de vie ou de moi
En toi et par ma volonté tu le possède déjà.

Alors agenouille toi, devant moi et ici
Fait de tout ton être ma propre partie
Montre toi digne du noble cadeau
Et je te promet une vie sans maux.

 mon aimé si chèrement désiré
J'arpente les courbes de la vie avec dureté
Devint un homme de coeur et de force
Pour raffermir cette puissante écorce
Que puisse me conduire aux champs de beauté
Celle de la toute grande pureté
La vôtre, vous, vôtre âme que j'appelle moitié.

Soit d'action et de représentation
Soit de fer mou, protecteur comme mon bastion
Soit de joie expansive, sans implorer toujours le pardon
Soit de fierté et chante là comme le carillon
Soit de sûreté, que moi je sache sans crainte que nous avancerons.

Sorcière voluptueuse que vous êtes
Dans votre coeur vous le savez depuis toujours de tout vôtre être
A tout ce qui est commandé j'offre bien plus que le paraître
Les talents qui furent mon moyen de séduction
Mélangé à vos espérances à l'unisson



II

Votre voix pénètre en moi sans frontière
Je sens, je pressens plus que la simple misère
Mon coeur vous pénètre sans résistance
Je pressens ce qui a une importance
Votre âme sans faute je la connais
A tort, au passé je l'ignorais.

Mon prince mon coeur
Vous parlez sans onces de bonheur
La peur n'est pas une arme
Ne l'usez pas pour chérir mon âme
Je veux un homme pas un drame.

Ma douce mon être mon amour
Par delà la voix de chaque jours
Mon but est dans votre félicité
Non dans ma crainte d'être abandonné
J'eus de ma connaissance
Au moment de grande importance
Pour vous conduire au sésame de la vie
Dans la seule espérance de notre partie

Ha et bien vilain malin
Et si à moi me semblait plus opportun
De n'écouter que le font de mon esprit
Que je juge vif et averti

Votre font votre crédulité est intense
Vous êtes parfois plus qu'en transe
Oubliant trop de pensées
Ce qui compte pour nous peut en être oublié
Mon coeur est noble et vous est loyal
Je vous traite et considère comme royal
En moi vous avez lancé votre confiance
Je ne pourrais la trahir sous peine d'abondance
D'une tristesse sans fin me conduisant au trou immense

Alors peut-être j'écouterais vos conseils
J'espère les voir être bien plus que du miel
Si je donne une chance dans l'instant
Ne faillit pas et cela dés maintenant

Alors me voici, je vous embrasse en entrant.


III

Mon prince mon malin
Qu'avez vous à cet air chagrin ?
Ne suis pas passionné ?
Ne suis-je plus votre aimé ?
Dite ce que sont vos tristesses
Et j'en ferais de joliesse.

Ce n'est que votre passion me vol
Mais ses démonstration qui s'envole
A peine deviens-je poète
Que vous ignorez tout ce que peut être
Je me vois dans l'oubli
Alors je vous montre mes interdits
En fait je vous donne ce qui vous attire
Faisant de moi le plus noble des martyrs
Le plus coupable de mes crimes
De me mentir d'être caché de victime
Connaissance de vos espérances
Cela remémore votre appartenance
Me voir comme non acquis
Vous oblige à redevenir mon appuis.

Ô et bien voilà ce mirage
Mensonge de peur et battisse de barrage
Vous vous jouez de mon inconscient
Voilà que je vous trouve peu pertinent
Si peu que vous êtes naturel
Vous me dites pourtant la plus belle
Alors se montrer si froid
Dans le but de mon désarroi
Indigne de vos saintes promesses
Vous vois-je au zénith de la bassesse.

Méprise que jugez à mon égard
Alors que vous ne comprenez pas le quart
Je m'amuse de cette grande bataille
Bien loin de la fragilité d'une paille
Éternelle séduction et combat de raison
C'est pour préserver nos plus noble attentions
Redevenir et ravir et redécouvrir
Éloignant le risque de vous voir partir
Cela nous fait un
Renaissance immortelle de chaque matin
Et cela même pour les lendemains.

Mon Dieu mon âme
Tout ce qu'avais-je espéré
Mon secret mon désirs caché
De l'immortelle joie, notre sésame
Jamais plus l'ennui
Jamais plus le néant
Jamais plus de trahis
Jamais plus de repartant
C'est le commencement des temps demandé
Tout ce triomphe d'épreuve que nous vaincu
C'est la raison de ce que nous avons combattu
L'espoir vivant de l'amour aimé.

IV

Dans la plus transcendante des sérénités
Dans le plus transcendant des apaisements
Je trouve le sommet de la spiritualité
La vision de mes choix de maintenant.

A l'heure ou le sombre n'est que moins qu'ombre
J'avance de joie, de sourire et d'entrain
Cette automatique évincement de pénombre
Me fait sage aux odeurs de jasmin.

Voir magnificence dans le laid
Comme étape de patience avant la plénitude
Ne pas croire que nous nageons dans le marais
Dessinant l'être dans l'habitude.

Brasier majestueux de lumière
Radieux sur les glas de son ombrage
Dans les plus intenses chant de prières
Pour grandeur c'est à lui même qu'il fait carnage.

Difficultés de tristes illusions
Que terrasser par la voix de son spectre
Ça ne devient qu'attentions
Découvrir les forces de son être.

Vouloir essence du devenir
Volonté moteur de destiné
Néant n'atteint pas ne peux sentir
Le grand déploiement de la sensualité.

V

Aux dépends de la colère
Stupeur sans voix de carrière

Aux dépends du malheur
Bercer du flot de mon coeur

Aux dépends du doute
Symphonie puritaine parmi toute

Aux dépends de conseils
Décodant de raison ma merveille

Aux dépends de l'effroi
Je l'ai décidé c'est mon droit

Aux dépends de l'ignorance
C'est la base réelle de la sainte connaissance

Aux dépends de l'illusion
Construction de matière ma maison

Aux dépends de l'enfer
Violence pur et éblouissement de lumière

Aux dépends de l'ombrage
Se fit mon lit de nuage

Aux dépends du félon
Inutile dans l'existante de mon bastion

Aux dépends de la difficulté
Prière de supplice tout enjoué

Aux dépends du cor de l'espoir perdu
Évincement sage des malentendus

Aux dépends du souvenir
Aussi bon à vivre que funeste à périr
Aux dépends de l'envie
Extrapolation diabolique de l'interdit

Aux dépends du temps
Ennemi de l'amour et allié du pensant

Aux dépends du cloître
Clapier à entraver la marâtre

Aux dépends de l'indifférence
Feinte abondante de croyance

Aux dépends de l'ancienne douleur
Accomplissement sincère du bonheur

Aux dépends de la bataille
J'ai battis notre muraille

Ce sera ce jour-ci
Le jour de notre vie.

VI

Aux couleurs de ma lucarne
s'efface le néant de la trame
D'une destruction massive par mes armes.

Le chemin du destin fait son office
Par les chants de mon esprit et de mon âme protectrice
Dans le partage sans frein de l'avarice.

Le profile de la destinée s'est dessiné
Enfin je me retrouve bientôt dans les bras de mon aimé
Une vengeance sur cette vie, le début de la félicité.

C'est la voix du tendre
C'est la voix du juste.
Je le laisse entendre
Cette fin de l'injuste.

VII

Je l'ai cru
J'ai attendu
En vérité le destin m'a vaincu.

Je l'ai dit
Toujours à l'infini
Mais son écoute est partis.

Erreur de ma confiance
C'est l'illusion dans la transe
Cette fois je fais pénitence.

Elle ne le sait pas
Mon choix est fait devant ses pas
Cette relation semble voué au trépas.

Maintenant le temps de l'oublie
Derrière soit le souvenir qui jaillit
Molle et lâche et égoïste c'est finit.

VIII

Aux jours grisés précédant les temps écarlate
La fin du trouble évincement par la hâte.
L'appelle du soleil prend place aux abords de la nuit
Le goût du miel se font au goût de la vie.

L'enchevêtrement de la motivation naissante
Aplanît difficultés d'épreuves passante.
Vision de nacre et odeur de jasmin
Font de mon être bien plus que pantin.

Radieux de la réussite au symbole de l'ombre
Dans ma marche héroïque j'efface pénombre.
Étincelle fumante dans l'éternité passé
Meurt et renaît en basage des secondes nuancés.

La joie et le but se fait malin désiré
Fureur et peur au passage de conviction d'éternité.
Esquisse souriante supplante au triste visage
Passer par l'ordre en amont de mon âge.

Ô voile de jardin, au symptôme du matin
Cette routine délectable du lendemain.
Victoire promise au saint de notre crépuscule
Étouffement de battement sanglant du ventricule.

Obtention de l'espoir vivant de clameur
Sentier écharpé dans les glas du bonheur.
Voit ma misère suffoquer de mon âme
Voit ma colère s'éteindre de quoi te blâme.

Dans mes yeux se libèrent tes secrets de désirs
 tes envies qui ne cesse de se mentir.
Le corps de l'homme et de femme ne ment jamais
Des vibrations de ton coeur tu ne peux jouer de tes traits.

Alors annonce le retour et poursuit le parcours
Chante ton amour qu'il monte haut comme les tours
De cette atrocité que tu appelles patience
Dans mon font rime avec indolence.

Trop tôt vaut mieux que trop tard
Un jour vaut mieux que jamais c'est la part.
L'issu est pourtant comme le temps limpide
Et vous voilà fuyant votre voie splendide.

Ô eusse-je de mon apparence de bellâtre
Ignorant la véracité de la blanche pureté solide comme le plâtre.
Fausse insensible qu'est votre dont de jeune fille
Notre coeur est scellé depuis jours tous entre mille.

De ma vue naîtra votre intense foudre
De ma peau tombera les éclats de poudre.
Illustrant l'explosion des amants de passé
Se retrouvant dans la vie au delà destiné.
Viendra le second premier baiser
Viendra la seconde fusion enlacé
dans cette conclusion de promesses espérées.

IX


Au matin levé moral baissé
Au soleil Zénith moral élevé

Au soir tombant moral exaltant
Au clair de lune moral balbutiant

Douceur enclavé dans la roche de ma conscience
Rappel de mon autorité aux vacillements de mon élégance
Jours de balance ou jouet de mes sensations
Contenance paradé de mes grandes passions
Épuisement de tous mes odieux sens
Au cris de joie, de peine et de patience
L'exaltation des envies qui s'éveillent dans l'imaginaire
Et le retour maussade de mes pieds sur la terre.

Au matin levé moral baissé
Au soleil zénith moral élevé

Au soir tombant moral exaltant
Au clair de lune moral balbutiant

Arrive à moi la réponse de l'attente voulu
Prise d'inconscience, angoisse et panique perdu
Corps fin comme l'allumette et esprit gras comme le porc
Ce sera le débarquement de l'issu aux cotes incertaine de mon port
Émerveille de mes yeux devant vision du droit
Conquit le réel des espoirs du désarroi.
Te voilà donc, muse de mes songes
Toi qui de mon inspiration fait éponge.

Au matin levé moral baissé
Au soleil zénith moral élevé

Au soir tombant moral exaltant
Au clair de lune moral balbutiant


Réflexion

Le bonheur est de voir la joie quelque soit le déroulement de sa vie. Chose preuve de la force humaine et de la sagesse. L'illusion n'est que le rêve que l'on désire, pourtant, l'atteindre est possible et en faire une réalité palpable n'est pas une raison si extraordinaire. Mais obtenir ce que l'on rêve n'est pas une chose facile, le sacrifice, la patience et la témérité sont les qualités indispensable à cet accomplissement. Le pouvoir de l'inconscient y prend tout son sens, la volonté propre en est le moteur. L'erreur est cependant commune. Où se trouve t-elle ? Je l'ignore pour moi même et malgré tout je suis capable de la déceler sur les actions de ceux qui m'entourent dans la limite de mon affection. Le paradoxe que tous les êtres pensant doivent connaître.
L'injustice n'a pas de raison dans l'oeil des cartésiens, pour les religieux elle est lié à Dieu et pour les philosophes à la providence. La vérité qui puisse ne souffrir d'aucun doutes, c'est qu'elle existe seulement. Cette injustice que nous combattons, que beaucoup et moi même appelons destin. Elle est la raison de la misère, de la peine et du balancement entre chaque sentiments existant en notre âme. Quelque fois nous nous voyons fort comme les héros et modèles que nous prônons et d'autres fois sombrons devant une difficulté non prévu ou paraissant insurmontable. Certainement que le but convoité ne s'obtient que dans une volonté sans faille, sans faiblesses. Les émotions sont une faiblesse pourtant et nous guide dans notre conduite dans le même temps. Question d'équilibre recherché par les sages, chaque minutes est perdu et se doit donc d'être mûrement réfléchis, chaque action peut modifier le parcours que nous empruntons sans même nous en rendre compte. Qu'on ne s'y trompe pas, je parle bien de l'amour. L'amour d'une femme, de la gloire, de la richesse, du chaos ou que sais-je. L'amour est ce que nous connaissons le mieux et ce que nous comprenons le moins. La science s'évertue à lui donner une raison logique alors qu'en elle il n'y est rien qui puisse l'être, la vie elle même ne l'est pas. La motivation se puise dans ce sentiment, elle est la base de notre âme car d'elle naît tous les autres. Comme les larmes sont le trop plein de douleur de notre coeur que nous évacuons, l'amour est le trop plein d'espoirs et d'envies aux quelles nous aspirons. L'amour nourrit toutes nos pensées et lorsque le sentiment d'échec s'annonce sans crier gare nous plongeons dans une solitude provoqué de notre conscience.
L'échec, la peur de l'homme, ce qui le conduit le plus souvent à l'abandon voyant dans l'échec d'une étape de son but celui de ce même but. L'erreur première est dans cette croyance éronnée de l'homme.
On ne peut pas croire qu'il n' y est quelque chose de mystique dans la vie, car si ce n'était le cas nous aurions le total contrôle de celle-ci, ce que personne n'oserait affirmer. Le combat pour le but perdure toujours malgré tout. Il est sempiternel pour l'homme.
Doit-on continuer quoi qu'il en coûte comme le font beaucoup ou laisser derrière soit le rêve comme le font d'autres. Interrogation subsidiaire voir même inutile. Si l'amour est la base de tout alors mieux vaut lui obéir sans les contractions dû à la raison. Après tout l'inspiration et la passion ont été les voies des plus grandes réussite et des plus grands chef-d'oeuvres. Alors laissons aller notre être comme il l'entend, c'est possible, il faut seulement débrancher les barrières psychique que nous nous mettons.

X

Inspiration éteinte de la cage de l'esprit
Démantelé et endormi dans la simplicité de la vie
Elle s'éveille parfois dans l'instant d'un ennui
Puis repars lors d'une réflexion dans l'oubli.

Une nouvelle patience s'ancre dans l'étape
De mon indifférence je me fis grand Satrape
Frappant simplement les barrières à coup de tapes
Protection fine et douce, c'est de soie ma nappe.

La contemplation de l'attente demeure
Elle étouffe l'espoir de sa senteur.
Mais aux heures ou raison caché derrière le coeur
Profile et s'idolâtre la possibilité du bonheur.

Vision nocturne de la pitoyable témérité
Aussi grande que l'épuisement de patience demandé.
 qu'il est bon de savoir se contrôler
C'est la puissante maîtrise de sa vie de damné.

Me voilà donc défendant le rien.
Dominance futile mais laborieuse de ma main.
Pour l'étoile qui brille même aux lueurs du matin
Et le cheminement sombre, invisible à mon pauvre esprit malin.

J'en appelle à mes forces
Car c'est pire que c'est atroce
Craquement de ce qui fait mon écorce
Figure passive de mon visage de brosse.

XI

Le pas lent écaille les marches à mes pieds nu
Ils visionnent où se poser et si direction dépourvu.
Les sentiers ébréché de l'ignorance frissonne
Et dans ma sainte inquisition voilà je pardonne.

Elle est là
Si prêt de moi
Si loin à la fois
Sourde à ma voix
Recule à mes pas
Cumule du combat
Cherchant amour au creux de mes bras.

Détours d'une vie à sa passion somnolante.
Insulte de ma pensée faut-il qu'elle me mente.
Cru des charnière soutien de l'émeraude
J'orne son ombre comme l'amant qui rode.

Non pas finit
Non pas partis
Non pas gentil
Sois-je plus qu'un simple cris
Sois-je plus que son simple ami
D'elle mon coeur est serti
D'elle mon coeur se fortifie

Maintenant calfeutré loin de l'ignominie
Expression simple des envies saine de l'esprit
Le déroulement d'une destiné harmonieuse
Vie d'amour ou jours la faisant heureuse.

A moi maintenant
A moi l'accomplissement des projets de mon temps.


XII

La vertu s'engage dans l'impassible
Loin de ces desseins si peut crédible.
La devanture de l'émoi cintrer
S'élargit au sens propre et enfermé.

Le toucher néant accuse le temps
Il dévêtit de force les plus motivant.
J'ordonne alors les réponses voulu
Mais le vide en réponse tenu.

La rose sentirait rose même si elle ne s'appelait rose
Pourtant l'amour devient parfois passion morose.
J'arrive au chemin qui passe d'elle même
Résonance en mon être d'y croire qu'elle m'aime.

Le chaos est ma drogue
Le rêve est mon ivresse
Instable comme sur le torrent, la pirogue
Châtiment juste récompense de la paraisse.

Ma peau soupire du manque tactile
Mes yeux ne mentent du manque fébrile.
Que je vende tout ce que je possède
Si je savais au moins ou me mène tout ce que je cède.

Une musique mais sans style
Rythme d'une vie aux profonds subtile.
Y vois-je le carnage ou l'abandon
C'est la réponse que j'attends à cette question.

XIII

Elle enchante mes heures de solitude
Sans nul besoin d'un regard.
Souvenir d'elle, vit plénitude
Sous les espoirs qui s' égarent.

L'oublie de l'ôte est dans ce désir
Elle se voit comme une bête
Me repousse par l'impossible.
Sa voix alors laisse paraître
Au demeurant de l'impassible.

Souvenir d'un sourire d'une tendresse
Aux temps de larmes et de tristesses.
Réclamation de mon souffle sans cesse
Avec corps et esprit vaincrons la paresse.

Obtenir ce que l'on sait sauveur.
Mais devoirs encore combattre le vide.
D'aujourd'hui je n'agirais pas stupide.
Et par la patience obtiendrait son coeur.

Comment savoir si c'est tendresse ou amour.
Inspiration de mes écrits.
Nul chasseur de proie comme le vautour.
Une certitude dans un doute finit.




XIV
Noyé au supplice téméraire
Combat pour amour formé au combat de misère
Il s'extirpe en amas de folie déchirante
Souffle d'une passion fuyante

Se désarme la douceur de l'espoir
Se réveil la noirceur de son âme
Poussière d'or assombris à l'avancée du temps
Elle recouvre les cicatrices éternelle d'avant.

Pire ennemie de l'esprit
Celle de soi et de l'envie
Comme un cris sourd aux aguets
Le doute de soi se trouve laid.

Ou est l'erreur ?
Qui est cette peur ?
Suis-je fou ou menteur ?
Ai-je mérité ce malheurs ?

En dois-je renaître ou périr ?
En dois-je pitié ou guérir ?
Sûreté nul de l'avenir
Il suffit de mal à mon coeur pour le repentir.

Inspiration née de la douleur
La honte de la dépression à l'heure
Façade battit de faut
L' hyper-sensibilité est une faux
Et la base de la merveille.

Bonne et néfaste merveille comme elle
A la fois laide et belle
Aimante et haineuse
Grandeur et pitié
Suivre les ondes de sa personnalité
Apporte folie incontrôlé

L'usure ressentis même dans l'os
Et les nerfs, dents montré comme le molosse
Vaincre ses espoirs sans la conviction
C'est faire violence à soi même
C'est fondre ce qu'on aime.

L'abandon du coeur au détriment de la raison
L'ambassade de la dureté au détriment de la passion
D'un bout à l'autre
De la balance de ces notions
Sommeil l'aliénation.

XV

Hier je suppliais mes mères
De mes espoirs elles se moquèrent
Une croisade de la pensée
Un duel de cris avérés
J'oublie le fondement de la bataille
Cachant vérité au sein de mes entrailles.

Pourquoi se dérobe ce que nous convoitons
Pour réapparaître au jour de l'abandon
Est ce pur coïncidence que ce jeu
Que la providence utile depuis nos ailleux
Le secret pour nous guérir
Serait-il de nous obliger à éconduire.

L'amour serait vivant mais sourd
Vie de la passion de toujours
Un bonheur incomplet
Une demi joie comme bol vide
Voilà ce que je trouve laid
Une vide de couple trop placide.

Faut-il donc accepter cela
Se contenter des miettes jeté d'en bas
Hurlement d'une béatitude éphémère
En s'efforçant sans cesse de la parfaire.

C'est donc un nouvel antagonisme
Celui entre nous et l'absentéisme
Une inimitié ravageante
Je nous vois déjà démolir ce qu'elle arpente
En combattant du feu par le feu ses manoeuvre latente.



Réflexion

Ce qui est si déstabilisant c'est de pouvoir croire en l'abstrait sachant pertinemment que cette croyance peut rester éternellement dans l'irréel. Est- ce un besoin humain que de croire en des choses supérieur ? L'espoir ne serait-elle pas la seule notion qui nous différencierais, nous, humain de l'animal ?
Scientifiquement parlant et prenant au pied de la lettre les connaissances chimique attribuer au phénomène qu'est l'amour, il suffirait de bourrer le monde d 'ecstasy pour connaître une paix réelle mais illusoire. Idée utopique et viscéralement immature mais c'est hélas le genre de choses aux quelles la science peut mener à penser. La facilité par l'avancée technologique et scientifique de l'humanité, alors que nous le savons bien aujourd'hui, cela joue tout autant contre nous que pour nous...
Qu'est ce que cela devant la force et l'émotivité humaine ? N'est ce pas rédhibitoire de limité l'homme à un mécanisme biologique avec autant de certitude ? L'amour aura conduit des hommes et des femmes bien plus loin et plus haut que n'importe quelles découvertes scientifique. Ajoutons à cela que cet amour motiva et poussa vers ces même découverte scientifique de nombreuse fois. Cet amour que les gens recherche ou fuis, cet amour qui se dérobe quand on le caresse du doigt. Il mène à des sphères que nous n'oserions imaginer sans le trouver lui même. La quête du bonheur est propre à tout homme et passe par cette investigation intime des désirs les plus secret. Les grands de ce monde, ceux dont nous rappelons le nom, ont toujours été et seront toujours les plus passionnés de leurs temps. Sans cesse en quête de ce qu'il chérissaient le plus. Gloire, sagesse, pouvoir, fortune, liberté ou simplement et plus communément une femme ou un homme. Les exemples de ces personnes sont inutile à citer car ils sont dans tous les esprits. Ils servent de modèles aux générations qui les précèdent et ils ont tous un autre point commun. Ils sont tous accomplis de grande choses, bonne ou mauvaise mais sans jamais atteindre ce qu'ils convoitaient le plus. « Pour nous punir les dieux nous offre ce qu'on désirs » a dit un sage. On tant à croire en observant le cours de l'histoire de l'humanité que c'est bien vrai.
Alors que faire pour réussir ? Viser plus haut ? Une réponse que l'on obtiendra sûrement jamais. Néanmoins cela conduit à avoir une ambition démesuré et surtout à apprécier chaque moment de sa vie avec détachement. La joie n'est pas de vivre dans le bonheur mais plutôt dans l'absence de malheurs. Un simple état d'esprit en somme.


XVI

Une demi victoire à la lueur de l'espoir
Une demi vie au demeurant de la motivation jaillit

Une demi joie à l'avancement de leurs pas
Une demi mesure à l'inspiration de mes pensées pure
Un demi roi que je me vis dans ses bras
Un demi plaisir en entendant de sa bouche me guérir

L'incomplet est une sagesse
Perfection caché sous l'illusion
Trop vouloir n'est que rudesse
Accepter mauvaise vu par adhésion

Gravit la montagne pécheresse
Ou soulève la de ta foi
Muer sous la force de la défenderesse
Ce qui compte n'est plus ce que tu crois

Chasse ta morosité empoisonnante
Chasse ta paresse accusant
Pour embrasser le destin que tu entends
Pour caresser le chemin que tu attends

Une demi barrière dissimulant ce qu'elle altère
Un demi sourire capable de faire navire

Un demi plan celui qui m'est adjacent
Un demi cercle servant à mon coeur pour y sarcler

Une demi phrase représente d'emphase
Car le silence suffit à mon adhérence
[ image externe ]

-un regard peut vous parler bien plus que des mots-

Répondre

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 1 invité