[BGnain]Grumpf l'érudit

Ici se trouvent les BGs des héros décédés, paix à leurs âmes.

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Grumpf
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[BGnain]Grumpf l'érudit

Message par Grumpf » sam. 27 juillet 2013 à 20h20

Prénom/Nom de code :Grumpf
Surnom :Grumpf l'Erudit
Titre : Fils de Grumpf
Age : 200 ans
Sexe : Masculin
Race : Nain

Métier : Forgeron
Compétences : Artisan
  • Combat : Lancier
    Magie :
Runique
Métamorphoses : Quoi métamorphose?

Alignement : Neutre
Allégeance au Dragon : Quoi le Dragon? Pas encore découvert cette partie du monde
Langues parlées : Nain, Commun

Description physique : Grumpf est gros, petit, carré. C'est un nain, quoi. On remarque cependant un monocle qui traîne le long de son armure, et une hygiène peut-être un peu plus attrayante que celles qu'ont l'habitude d'arborer les nains.
Caractère : Gentil avec tout le monde, il ne sera dur qu'en affaires, mais n'hésite pas à ouvrir sa bourse pour la picole et les festins.
Autres : Lecteur assidu

Situation financière : riche
Comportement social : Gentil
Type d’éducation reçue : Bonne
Popularité et/ou influence : aucune
Pensée politique : aucune

Croyances :
  • Einhasad : moyen
    Gran Kain : un peu
    Eva : un peu
    Shilen : un peu
    Sahya : un peu
    Pa’agrio : un peu
    Maphr :
Beaucoup
Relations extérieures :
  • Elfes : aucune
    Humains : aucune
    Kamaels : aucune
    Nains : aucune
    Orques : aucune
    Sombres :
aucune
Dernière modification par Grumpf le sam. 27 juillet 2013 à 20h27, modifié 1 fois.

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Re: [BGnain]Grumpf l'érudit

Message par Grumpf » dim. 28 juillet 2013 à 10h38

- La nuit était noire, et le blizzard soufflait dur à l'extérieur. À la lueur d'un feu, sur lequel miroitait un sanglier, la naine expirait par saccade. C'est dans le cri le plus intense que cette terre ait connu qu'elle arriva enfin au résultat de son dur labeur. Seulement... Avec fracas, la porte de la modeste auberge vola en éclats, et un loup garou, énorme, ruisselant de neige, de bave et sang pénétra l'embrasure, appâté par la chair fraîche. Grumpf le Téméraire saisit sa hache d'une main sure et puissante. S'il y en a qui se poseraient des questions, pas lui. Dans un bond digne d'un véritable franc coureur, il asséna le premier coup, avant de se prendre dans son écu le retour de la bête, ce qui l'envoya bouler de l'autre côté de la pièce. La répugnante créature n'avait qu'une chose en tête, elle voulait le petit! Quand la mère le comprit, elle saisit la première chose qui lui venait sous la main : une lance. Malheureusement, les douleurs et la fatigue de l'enfantement ne purent pas lui faire faire grand chose d'autres que de mettre l'arme dans les mains du nouveau né. Le bébé la pris, et bondit décocher son premier coup à la bête. L'élasticité du cordon ombilical le ramena de suite à son point de départ. Le premier coup coupa un bras du lycan, le deuxième l'ouvrit de haut en bas, et c'est finalement Grumpf le Téméraire qui l'acheva. Et c'est ainsi, que moi, Grumpf l'Erudit, je naquis!
Le nain, un pied sur une table, releva le buste fièrement devant l'assemblé des fils de Maphr qui se tenaient à faire ripaille dans l'auberge.
- Dis voir, tu aurais pas un peu de sang Sombre toi?
- Tavernier!! Une bièèèèère!
- C'est n'importe quoi
- Moi je trouve ça dégueulasse.
- Nan mais qu'est-ce qu'il faut pas entendre.
Grumpf s'indigna. Personne ne croyait à son histoire.
- Comment ça c'est n'importe quoi?
- Franchement? Un bébé avec un - PONK!
Le nain s'était prit une chope, qui avait rebondit, non sans un résonnement des plus musical, sur son casque. Le deuxième projectile, composé du corps massif de Grumpf, fut beaucoup moins agréable à digérer. D'un coup, les nains firent frapper leurs chopes en rythme sur la table de bois.
- BAGARRE! BAGARRE§
Un musicien sortit une cithare, et c'est sur un son entraînant que la joyeuse compagnie se mit à se mettre joyeusement sur la gueule. Les assiettes et les couverts volaient, chaque protagoniste tapait qui il pouvait, sans jamais garder rancune. Ce n'est que quand la patronne arriva pour remettre un nouveau sanglier sur la broche que ce monde se calma pour s'installer manger. Les derniers récalcitrants arrivèrent quand un énième tonneau de bière fut ouvert. Grumpf était assis au milieu de la tablée. Même si ses histoire s'avéraient farfelues, son entourage ne les aimait pas moins.
- Raconte nous encore pourquoi tu nous quitte, Grumpf!
- OK! Il vida sa chope d'une traite, et s'essuya la bouche d'un revers de manche. Alors, je vous ai déjà parlé de mon Père, Grumpf le Téméraire?
- Oui!! *en coeur*
- Et celle de ma soeur?
- T'as une soeur?
- Ouais. Elle s'appelle Titania.
L'assemblée se regarda, interloquée et choquée.
- Elle s'appelle pas Grumpf?
- Ah Ah Ah!! Naaaaaaan. Tiens, ressers moi un coup steuplé. Ce nom n'est réservé qu'aux Nains. Alors, Titania, elle aime la mine, car quand elle est naît, mon grand père, Grumpf le grand, lui a mis une pioche dans la main. Petite et fragile, elle a laissé tombé la pioche. Quand le métal de l'outil est rentré en contact avec la pierre du sol, les Grumpf ont découvert un gisement de diamant. Bref, du coup, Titania, elle aime la mine, et elle aime miner. Sauf qu'une fois qu'elle est allée se balader dans les anciennes mines de charbon, ben elle est pas revenue. Du coup, Grumpf le Téméraire est parti la chercher. C'était il y environ un an, et de là plus de nouvelles. La semaine dernière, quelle ne fut pas ma surprise, quand j'ai croisé Titania, qui sortait de la maison. Je lui demande qu'est-ce qu'elle peut b'en faire là, elle m'y répond qu'elle va à la mine. "Mais tu t'rends pas compte du mourrond qu'on s'fait?", elle me dit "Quel mourrond? C'fait quatre mois que je suis rentrée". Du coup, j'ai pris mes clics et mes clacs, et je l'ai accompagné, pour lui dire que Grumpf le Téméraire, ben il était surement encore en train de la chercher. "J'sais bien", qu'elle me dit, "Mais y m'a pas trouvé". "Comment ça, y t'a pas trouvé?". Là, elle me guide vers une galerie, à peine plus grand qu'un Nain. "L'est passé par là" qu'elle me raconte, "Et moi, je suis pas par là.
Tous les Nains de l'assemblée se regardaient d'un air grave. Cette affaire n'était pas des moins risquée.
- Et alors?
- Et alors? Ben je me suis souvenu de c'qu'a dit le Padré avant de pertir : "si j'y vaias tout droit, où qu'elle soit, je la trouverai." Et en effet... Tenez vous bien : la galerie qu'il a creusé, ben elle est toute droite, pas un virage, pas une oscillation - D'ailleurs le Padré, l'a trouvé un filet d'argent qu'y s'en est même pas aperçu. Et la galerie, elle s'ouvre hors de la montagne. Et là, je m'dis "Mon Grumpf, ton Grumpf de père, il va pas s'arrêter de si tôt, alors mieux vaut que je le trouve pour lui dire que Titania elle est rentrée".
Un silence accueillit ses paroles. L'affaire était grave, car par ici, c'était pas très bien vu de quitter la montagne. Sauf que là, on pouvait peut-être lui accorder gain de cause à Grumpf. C'était pas un Nain très méchant, le Grumpf, de tout ça, Nain de la Montagne ou Nain de la Plaine, il s'en foutait un peu. Nan, lui, maintenant, c'était retrouvé Le Téméraire qu'il voulait.
- Ben on espère que tu nous reviendras vite!!
Trente trois chopes pleines se levèrent en même temps dans un "OOOUUUAAAAIIIIS!!!", et la fête reprit son train, non sans quelques histoires de Grumpf l'Erudit.

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Re: [BGnain]Grumpf l'érudit

Message par Grumpf » sam. 24 août 2013 à 20h32

Edit BG - MAJ clantage Sethyll'Olath + alignement neutre mauvais


Le bruit du métal qu'on frappe contre le métal raisonnait dans l'enceinte de la ville fortifié d'Oren. Depuis peu, les forges ne connaissaient quasiment pas de repos, et Grumpf s'affairait à refaire, encore et encore, des capsules pour le régent. Un nain arriva en passant par la porte. Il se renseigna sur le forgeron, et l'endroit où il pouvait le trouver. Quand il passa la porte, les quelques nains sous les ordres de Grumpf continuèrent leur travail, mais le chef des opérations s'arrêta pour allait porter l'accolade à son cousin.
- Hector! Quel plaisir de te revoir.
- Salut Grumpf.
- Tu nous arrives d'où comme ça?
- De Fort Kazag'Hal.
- Ah. Comment va ton père?
- Il se porte de bien.
Hector regardait autour de lui, suspicieux. Il n'était visiblement pas très à l'aise dans cette cité dirigée par les Sombres, et il n'allait pas se gêner pour exprimer son point de vue.
- Alors c'est ici que tu te terres?
- Ouais. C'est sympas...
- Tu bosses pour un Sombre? La fierté, elle est toujours là?
- Tiens tes paroles, Hector. Tanist est précieux, et respectable.
- Comment ça précieux?
- Comment se porte le peuple Nain?
- Qu'est-ce que ça veut dire... C'est ridicule...
- COMMENT SE PORTE LE PEUPLE NAIN?!
La voix grave et sombre de Grumpf raisonna dans toute la forge. Pendant un moment, les mouvements s'arrêtèrent, et on n'entendit plus que le feu crépiter dans les âtres. Puis les autres nains se remirent au travail. C'est Grumpf qui reprit.
- Il se porte mal. Chaque jour, il perd du terrain, et se fait déloger de ses galeries, des ses villes, de ses foyers. Et vous, que faîtes vous?
- Tu parles de nos pères...
- NOS PERES?! Ha, ça! Ils en ont de la fierté! Et ils l'emporteront dans la tombe, Hector, c'est moi qui te le dit.
Il essuya un regard noir.
- Tu prétends servir Maphr?
- Oui. Tanist, les Sombres, mes "relations". Le jour où le peuple Nain décidera de mener un offensive... Je veux parler d'une vraie offensive, pas de ces escarmouches ridicules menées par un clan quelconque pour s'illustrer. Et bien ces relations là, elles viendront. Et elles viendront grâce à qui? Et le premier qui m'oppose la fierté du peuple Nain, je lui passe dessus.
- Comme à cet humain, devant la forge?
Grumpf haussa un sourcil. Et pencha la tête pour voir l'homme accroché sur la roue, devant sa forge.
- Lui?
- Oui lui. C'est ton oeuvre?
- Oui... il prétendait avoir des informations sur un potentiel assassin de Messire Tanist... Il s'est avéré que non.
- Tu l'as torturé?!
- Bien sur. Comment voulais-tu que j'en démêle le vrai du faux.
- La torture... les rares clans qui la pratiquaient, on ne les voit plus.
- Certes, certes.
Grumpf l'Erudit balaya la conversation d'un geste de main.
- Que me vaut l'honneur de ta visite, Hector.
- On a retrouvé ton père, il semblerait.
Grumpf se gratta la barbe, pensif. Sa quête était donc finie. Il pouvait rentrer... mais d'un autre côté, il avait des engagements auprès du seigneur des lieux.
- Bien... Très bien. Je vais te faire préparer une chambre, et nous dînerons à l'auberge. Demain à l'aube, nous partirons. Tu as une monture?
- Non.
-Il y a des Fenrir de disponibles, peut-être des dragons. Je vais également nous en faire faire préparer.
Pendant un instant, Hector jaugea son cousin. Certes, il y avait la torture, et ce point de vue extravagant sur l'avènement de Maphr, mais d'un autre côté, ici, Grumpf l'Erudit donnait des ordre, faisait préparer des choses. Il était important, ou il le jouait à merveille.
- Comment avez-vous retrouvé mon père?
- Il a chargé un de nos régiment de mineurs?
Grumpf rit.
- Alors il n'est jamais sorti des montagnes.
- Il semblerait que non.

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Re: [BGnain]Grumpf l'érudit

Message par Grumpf » lun. 9 septembre 2013 à 20h48

On tambourinait fort à la porte. Quand Tenessi ouvrit, elle vit son frère Grumpf (l'Erudit, pas le Téméraire) et Hector s'engouffrer dans la maison, traînant un humain derrière eux. Ce dernier était dans un sale état. Il saignait beaucoup, inconscient, il avait un bras sur les épaules de chacun des nains.
- Refermez, refermez!
Ils s'empressèrent de s'exécuter, refermant la porte, et rabaissant une lourde barre en métal. Un second bruit se fit entendre. Et on continua longtemps à essayer d'enfoncer la porte, mais cela faisait déjà des centaines de générations que les Grumpf forgeaient, et la porte résista. Grumpf l'Erudit balaya le dessus d'une table d'un bras, et ils allongèrent l'humain dessus. Le sang s'écoulait d'une balafre dans la cuisse sans discontinuité, et Grumpf l'Erudit avait du essayer de faire un garrot, au vue de tout le sang qu'il avait pris sur ses mains gantées. C'est Tenessi qui prit la parole.
- Qu'est-ce qu'il se passe?
- On te raconte après.
- Où sont mes armes?!
On équipa Grumpf le téméraire. Les nains présents ne tardèrent pas non plus à se ré-équiper, prêt au combat. Dehors, on entendait les choses bouger. Tenessi regarda l'Homme.
- La jambe est salement amochée. Infectée, aussi. Y a-t-il un soigneur dans la sale?
Personne. Ils se regardèrent.
- Il faut couper?
- Oui, sinon il va perdre plus qu'une simple jambe.
- On ne peut pas couper sans son accord.
- Et? Sinon vous l'auriez ramener ici pour...
TCHACK!
C'était la hache de Grumpf (l'Erudit) qui venait de s'abattre. Un coup, et la jambe n'était plus au malheureux. Il regarda sa soeur d'un regard noir. Comme ça, sans réfléchir, sans état d'âmes ou aucune sorte de délibération auxquelles il n'avait pas pris part.
- Soigne le. Puis, vers son père. La porte de derrière est praticable?
- Oui.
- À tous ceux qui veulent venger la perte de Hindemith! Le sang, par la sang!!
Il leva sa hache, aussitôt imité par d'autres, et l'escadron formé sortit de la salle. Pendant quelques seconde, on entendit, sans rien voir, le silence au dehors. Les monstres devaient comprendre qu'il se passait quelque chose. Puis c'est la voix des Grumpf qui sonnèrent la charge, et les habituels bruits de métal contre le métal, d'os qui se brisent ou de chair broyée retentirent, une demi heure durant. Finalement, trois coups toquèrent à la porte. On ouvrit, Grumpf était là.
- Aucune perte pour nous.
Il se déganta.
- Tenessi, comment va l'Homme?
- Il va s'en sortir. Cul de jatte.
- Père, le grenier?
- Assez pour deux mois.
Grumpf s'assis à la table où on soignait l'homme, et but dans un verre de bière qui lui avait échappé quand il avait tout envoyé valdinguer.
- Il va falloir partir.
Tous les nains prirent une mine renfrognée.
- Les galeries?
- Toujours accessibles.
Le père et le fils se regardèrent. La conjoncture actuelle venait de leur voler leurs retrouvailles.
- On barricade la porte, ainsi que l'issue de secours, on attend quelques jours, que l'Homme puisse voyager et nous partons.
***
Les cloches de Giran sonnèrent. Dans l'auberge, l'Homme, qui se nommait Kodar, était assis, la cuisse-moignon dans les bandages. Grumpf l'Erudit rentra dans la pièce. Les deux hommes se regardèrent. Kodar avait été longtemps inconscient, puis, dès qu'il avait pu commencer à manger, ils étaient partis, et avaient atteints la route pour rejoindre Giran par la première gardienne des portes en vie qu'ils trouvèrent. Grumpf s'assit et se déganta. Ils avaient pris un hôtel avec une large salle. La Compagnie occupait tout l'établissement, mais pour le moment ne restait que Kodar et Grumpf, dont les gants étaient encore écaillés du sang de l'homme.
- Il est l'heure de payer ta dette, Homme.
- Comment puis-je m'acquitter? Vous... Vous m'avez sauvez la vie.
- Oui, deux fois.
Il y eut un silence. Une fois, Kodar s'était lamenté sur sa jambe. Grumpf s'était fâché, argumentant qu'il était encore en vue, et en pleine possession de toutes ses facultés. L'argumentation avait tourné court lorsque le Nain avait proposé de lui couper l'autre jambe.
- Ta lance.
- Vous la voulez?
- Non. Quand on t'a sauvé, Hector et moi, tu la maniais bien.
- Oui, mon père m'a appris.
- Apprends moi.
- Pardon?
- Apprend moi ça, le "maniement" de la lance. J'en ai besoin... C'est un savoir rare, et il serait dommage qu'il se perde.
L'homme réfléchit à la proposition du nain.
- Il est vrai que ça ne me servira plus.
- En échange, je t'apprendrais à lire, qui plus est.
- Pourquoi?
- Tu n'est plus apte à combattre sur le terrain. Rend toi utile dans l'ombre, mais pour ça, il te faut un cerveau entraîné. Et un cerveau entraîné passe par la lecture.
- Vous feriez... ça?
- Oui. Nous avons besoin de monde qui sache lire. Et moi, d'une personne de confiance. En échange, travailles pour moi.
- Marché conclu, Messire.
Oui. Maintenant, Grumpf l'Erudit était le messire de quelqu'un.
Spoiler:
MAJ : subclass warlord

Quinze années se sont écoulées depuis la victoire sur Krakatur. Mais le peuple sombre nous a une nouvelle fois réservé une surprise à la hauteur de leur folie. Un grand sacrifice a eu lieu et le monde a changé. Que pouvons-nous véritablement faire à présent ? Seulement survivre, rassemblés sur l'Île des Murmures avec les ruines d'un autre monde comme voisines. Après un autre cataclysme, la vie reprend petit à petit et notre nouvelle ville est devenu un endroit sûr, stable, et hétéroclite, mais le seul désormais vivable.
Notre seul foyer, à tous.

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