[BG] [Mort RP]Habasi / Haby

[Habasi]

Habasi est née d’une famille respectable. Son père est un petit conte de campagne, petit car il n’a qu’un bout de territoire et quelques fermes. Comme toute fille de bonne famille, Habasi du apprendre les bonnes manières et les beaux langages des cours, ce qui je dois l’admettre l’ennuies éperdument. De temps à autres son père l’emmenait à la chasse contre l’avis de sa mère, ils partaient à deux dans ces petites aventures qui plaisaient tellement à Habasi. Un jour, durant l’un de leur court voyage, ou ils se sont arrêtés à une petite auberge, ils rencontrèrent un groupe de personnes très différentes et c’est la qu’elle découvrit en dehors des livres les autres races qui parlaient d’un personnage qu’ils avaient rencontré. Mon père curieux par nature leur demanda s’il voulait bien nous conter cette aventure. C’est ainsi que nous nous retrouvions à la table d’une Elfe, d’un Orque, de deux Humains, d’un Elf noir, et d’un Nain (posé sur son casque pour être au niveau de la table). L’Elfe nous raconta l’étrange rencontre qu’il avait fait, elle nous racontait qu’ils avaient rencontré un géant qui leur avait raconté la vrai histoire de notre monde. Elle nous la conta à son tour. Son père et elle étaient très étonnés de cette version de leur histoire, mais ils avaient envie d’y croire. Une fois rentré dans leur demeure, son père lui dit de ne pas raconter à sa mère cette histoire (car sa mère ne supportait pas ces escapades dans ces forêts ou autres).

Son père était très apprécié de tous ces fermiers, car il s’occupait vraiment d’eux et leur rendait régulièrement visite. Sa mère, elle préférait tous ces bals et repas ennuyeux aux quels elle lui forçait à participer pour faire bonne impression. Deux ans avant ma majorité, Habasi surpris une conversation entre son père et sa mère. Elle n’y croyait pas, sa propre mère voulait organiser un mariage arranger avec un aristocrate. Mais par chance son père refusa de la marier avec un inconnu juste pour agrandir son territoire. Un an environ après cette discussion, un enfant paniqué frappa à leur demeure, Habasi n’eu que le temps de voir son père partir avec son épée et de lui dire de s’occuper de ce jeune garçon. Une fois calmé, l’enfant lui raconta enfin se qui fit partir son père, un troupeau d’orque sauvage avait attaqué leur ferme. Habasi voulu aller aider son père mais à peine la porte fermée elle aperçue un homme épuisé et mutilé. Courant à sa rencontre, l’homme lui bafouilla que son père les avait sauvé mais qu’il était mort en repoussant ces orques sauvages et qu’il me ferait tout pour elle (pour essayer de compenser la mort de son père). Elle ne pu le croire mais pourtant deux heures plus tard, les fermiers lui apportaient à elle et sa mère, sa dépouille mutilée et ensanglanté. Ma mère restait froide devant ce corps. Et fit enfermé Habasi dans sa chambre pour « l’a calmé ».

Notre jeune humaine resta enfermer dans cette pièce deux mois, jusqu’au jour ou sa mère lui annonça qu’elle serait marié dans un mois. Habasi ne croyais pas ces mots. Et pourtant une naine couturière connu dans tout le pays, venue le lendemain pour prendre des mesures pour sa futur robe de mariage. Cette fille ne connaissait même pas son futur marié. Sa gouvernante lui appris qu’il avait 40 ans et qu’il avait un grand territoire et que sa mère toucherait beaucoup d’or à donner sa fille en mariage. Haby (comme l’appelait son père) décida de faire semblant d’accepter cette arrangement pour pouvoir préparer son départ dans le plus grand secret. Trouvant comme prétexte de vouloir annoncer son mariage à leurs paysans, elle partit voir ce fermier que son père avait sauver, pour lui demander de lui préparé pour le jour du mariage une épée, une armure et quelques vivres. Il accepta immédiatement et lui promit que tout serait près pour sa venue.

Le jour du mariage, Habasi en robe de mariée, que lui ferma sa mère, quitta sa demeure par la fenêtre (elle avait prévu une corde pour descendre de cette fenêtre). Elle rejoint alors le fermier qui avait tout préparer comme promis et il s’excusa de ne pas pouvoir lui donner plus et surtout mieux. Elle enfila son armure usé et pris son épée rouiller, elle remercia le fermier et lui demanda un dernier service celui de ne jamais révéler sa venue.

Ainsi notre jeune fille partit à l’aventure et décida de partir vivre ou il lui sera possible pour elle d’échapper à sa mère. Elle partit donc à jamais de chez elle en espérant que les dieux la protègent des mauvaises rencontres et que son père respecte où qu’il soit, son choix. Maintenant Habasi rêve juste d’aventure et de rencontre comme dans les escapades qu’elle faisait avec son père.


Alignement : neutre / bon
Préjugé envers les autres races.

Elle n'a aucun préjugé envers les autres races (elfe, nain, humain, et Dark elf) mais ce méfie des orcs et surtout les "non civilés" comme ceux qui ont tués son père.
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Première Chronique : (l'entrée dans son clan)

Arrivez sur les terres d'Aden et d'Elmore, Habasi ne savait guère ou aller, et décida alors de parcourir ces terres. Ces premières rencontres furent des humains sur des terres d'exécution. Comme à son habitude elle ne se méfiait guère des étrangers et elle eut raison cette fois si.

Elle décida donc d'avancer vers les villes ou elle rencontra différentes races et surtout différent but. Un jour elle rencontra un homme du nom de Djin qui lui raconta son but et celui des siens, n'aimant guère se battre avec les siens ou même ceux qui ne l'était pas, elle hésita longuement avant de vouloir s'engager dans un quelconque clan.

Mais Djin la convainquit du bien fonde de ça cause et elle rencontra donc tous les membres de ce clan appeler L'ordre d'Ivahlys. Leur but était de faire régner l'ordre par tous les moyens (se qui je dois l'admettre l'effrayait, elle qui nu j'aimais tuer que des bêtes sauvages) Mais l'ordre et la justice on toujours été ces maîtres mots. Son père lui avait toujours appris à être juste et à ne combattre que pour la vie.

Elle décida donc de rentrer dans ce clan, à la seule condition d'essayer de parlement avant de se battre. Même si cela devait lui coûter la vie.

Maintenant ces armes mais surtout sont pouvoir de parole sont aux services de sa cause. Mais elle n'est guère pressé de devoir infliger la mort a quelqu'un et n'espère ne jamais à avoir le faire...



Seconde Chronique : le départ de chez les Ivhalys

Depuis un moment Habasi devenait de plus en plus forte et commençait également à connaitre de plus en plus de monde. Un jour elle rencontra un humain et si attacha au fur et a mesure de leur rencontre. Plus tard elle apprit que cet homme était l'un des plus grands ennemis de son ordre mais il était déjà trop tard pour qu'elle décide de s'en détacher. Malgré les remarques de Saga (bras droit des Ivhalys) comme quoi elle devait faire attention à cet homme, elle s'y attacha et peut importe ce qui arrivera. Enfin c'est ce qu'elle cru, un jour durant une altercation entre Chawat, Saga et les Arteias, cet homme qu'elle aimait rejeta les siens (les drows des arteias) et se rangea auprès de ces ennemies pour éviter qu'elle ne se retrouve dans quelques ennuis. Mais cela elle ne l'appris que par cet homme, Saga ayant préféré lui dire que celui-ci s'était mis contre eux. Mais toutes les vérités éclatent un jour et Habasi fut vite mise au courant. Elle n'apprécia guère la trahison de Saga et attendait de régler ses comptes. Mais les dernières recrues de son ordre poussa Habasi à quitter son ordre pour cause de mésentente dirons nous.

Elle ne regrette guère cette décision car l'homme (qui est maintenant son fiancé) n'aura plus à trahir les siens pour qu'elle reste en vie.

Maintenant, malgré les diverses propositions qu'on a pu lui faire elle préfère attendre et voir la tournure des évènements avant de s'engager dans un autre clan.

Pour ce qui est de la rencontre avec son fiancé ceci est une autre histoire que vous apprendrez bientôt...



Troisième Chronique : L'entrée chez les templiers


Habasi prit enfin une décision et elle choisit tout naturellement de suivre son coeur. Elle rejoint donc les rangs de son bien aimé. Et en accepta les règles c'est à dire la haine des orcs, ce qui pour elle ne fût pas bien dur vu ce qui est arrivé à son père. Mais avant d'y rentrer elle demanda qu'une seule faveur a son chef celle de laisser en vie quoi qu'il en coûte son seul ami orc et le seul qui mérite d'être protéger (enfin elle avoua aussi que cet orc la protégeait plus qu'autre chose) Shadow Song et il accepta il lui avoua aussi qu'il respectai un orc un très grand combattant dont la réputation n'est plus à faire.

Elle entra chez les Templiers Noirs en tant que Seigneur Noir (chef de la première ligne d'attaque c'est à dire les porteurs de bouclier) vu sa résistance physique et son maniement du bouclier. Maintenant le clan progresse petit à petit et pour elle ce clan est tout comme sa famille et elle en protégera tous ses membres même contre sa propre vie.


Quatrième Chronicle : Un mariage annoncé

Habasi a rencontré cet homme un jour à Giran. Quelques politesses et elle se retrouva vite a calmé l'homme et un orc pour éviter quelconques débordements. Mais elle n'en tenu pas rigueur à l'homme vu sa gentillesse. L'homme avait demandé à un de ses subordonnées de lui échange son armure contre une légèrement mieux et elle lui en était reconnaissante. Un bon bout de temps après pendant qu'elle s'entraînait tant bien que mal aux sources chaudes, elle vit le même homme qui s'entraînait également. Quand il l'a vu qu'elle se battait tant bien que mal il lui a directement proposé son aide, ce qu'elle ne refusa pas. Après de longue heure d'entraînement il lui proposant avec une grande générosité de lui prêter une très belle armure et un magnifique arme (qu'elle possède toujours). Après cela à chaque fois qu'ils se rencontraient, ils discutaient beaucoup et elle s'attacha de plus en plus a lui. Les balades et les nombreux entraînements et leurs conversations de plus en plus nombreuses, n'ont fait que de les rapprocher. Un jour où il l'embrassa (enfin selon elle) Elle savait qu'elle était tombée amoureuse mais elle restait tout de même sur ces gardes. Elle lui fît totalement confiance le jour ou il a trahi les siens pour lui éviter de graves ennuis. Et peu après la demande en mariage arriva qu'elle ne refusa absolument pas. Maintenant ils travaillent ensemble pour la montée de leur clan et le mariage approche.


Cinquième chronicle : quand le passé revient....

Habasi entendit parler des gardes qui étaient à ça recherche, elle comprit vite que se furent les gardes de sa mère. Elle se cacha un moment en essayant de passer inaperçu. Mais un jour, alors qu’elle voulait sortir un peu de la ville, elle vit des hommes encapuchonnés, des capes noires.... Elle ne percevait pas s’ils étaient là pour elle. Son destin était parvenue jusqu’à elle, c’était le moment de montrer sa force. Elle sorti l’épée de son fourreau et retira le bouclier de son dos.

-Demoiselle Habasi rentrez avec nous, votre mère nous en a donner l’ordre, ne nous obligez pas à utiliser la manière forte * lui dit un garde d’un air sévère*.

- Je ne rentrerais pas ! Ma vie est ici et si tel est le seul choix qu’il me reste j’utiliserais ma force jusqu’au bout *serre son poing sur sa lame et prépare sa garde*. Pardonnez moi messieurs pour ce que je vais faire, je n’aime guère cette méthode mais si vous avez une famille je vous conseille de partir sur le champ ! * Habasi courut dans la direction des gardes avec la ferme attention de les attaquer*

Les cinq gardes ne se firent pas attendre pour se protéger. Habasi mis sont premier coup d’épée dans le bouclier de celui qui avait pris la parole. Il fît un pas en arrière mais les autres avaient déjà entouré la pauvre Habasi. Elle savait qu’elle risquait la vie mais la mort valait mieux que ce retour. Elle passa donc son bouclier pour se protéger des éventuels coups qui ne se firent pas attendre non plus. Elle désarma un premier garde d’un coup que lui avait appris son père. Mais elle perdit à son tour son bouclier sous un autre coup. Les gardes se regardaient amuser de voir la fille du conte se battre tel un homme. Elle retenait un coup avec son bras mais fut déstabilisé et tomba à terre. Les gardes fourbent, avaient reçu l’ordre de me ramener quelque soit l’état dans lequel elle pourrait se trouver. Et donc cela ne les gênaient absolument pas de frapper a coup de pieds une femme à terre. Habasi dans un dernier effort attrapa son épée et en donna un coup fatal à deux des soldats dans les côtes en se relevant. Ne tenant à peine debout Habasi attrapa son arme à deux mains. Il ne restait plus que deux gardes, le troisième essayant de garder ces frères d’arme en vie. Les deux gardes l’entouraient et s’avancèrent en même temps sur Habasi leurs épées en avant. Elle pût contrer le premier qui se trouvait devant elle mais pas le second qui se trouvait à l’arrière. Elle tomba instantanément au sol, ce dernier coup lui fut fatal. Toutes ces forces l’abandonnèrent, elle lâcha son épée et ferma les yeux, un sourire pouvait se lire sur son visage –au moins ils n’auront pas été blessés--.

Les gardes ont laissé le corps d’Habasi à quelque pas du lieu de sa mort, ils ne lui reprirent juste le mouchoir que son père lui avait offert et qu’elle n’avait jamais quitté en guise de preuve.





Habasi avait laissé une lettre sur son lit au château en pensant que Barra passerait par si elle avait une absence trop prolongé. La lettre est la suivante :

Ma Chère Barra si tu as cette lettre c’est que mon destin est arrivé plus rapidement que je l’avais prévu... Pardonne moi je ne pense pas que nous nous reverrons un jour mais je te confie le château et le clan. Je te confie mes amis aussi vu qu’ils sont également les miens si on te demande ou je suis dis leur que je suis reparti chez les miens pour reprendre les terres de mon Père, après tout vaut mieux qu’il sache que cela.

Pour finir je te remercie ma Chère Barra d’avoir été à mes côtés et pardonne moi d’avoir voulu régler cela toute seule.

Habasi.



Sixième chronicle : Une seconde chance

Habasi se réveilla pleine de douleur, elle était sur un lit apparemment très vieux et sûrement fait de paille. En ouvrant les yeux elle vit un enfant, qu’elle prit pour un ange, qui cria :

- Papa, papa, elle est réveillée, viens vite!

L'homme s'approcha de moi, il me regarda et me dit :

- Madame, je suis heureux que vous soyez enfin réveiller, vous avez frôlé la mort de justesse si on ne avez pas trouvé vous auriez sûrement été dévoré par les bêtes sauvages, vu votre état. Nous nous sommes permis enfin ma femme, vous a retiré votre armure et vous a prêté des vêtements. Je suis navrée de vous annoncer cela comme ça mais vu que les Amtaks ont pris Giran je vous demanderais de partir vite. Nous ne voulons pas d’ennuis. Pardonnez nous.


Sous ces mots Habasi eu peur pour ses amis et se leva de son lit avec beaucoup de difficulté. Mais elle devait partir et savoir si ces amis étaient encore en vie. Ces multiples blessures la faisaient horriblement souffrir mais elle se leva. Elle avait une grande blessure dans le dos, du au coup d’épée qu’elle avait reçu mais aussi des multiples contusions du aux nombreux coups qu’elles avaient reçu quand elle tomba au sol la première fois. Rassemblant ces forces elle regarda l’homme et lui dis :

- Monsieur *d’une voix douloureuse et tremblante sous la douleur*, je vous remercie vous m’avez sauvé la vie, je vous en suis redevable a vie, je vais partir sur le chand. Je vous donne une grande partie de mon or et en échange des vêtements de votre femme je vous laisse mon équipement, il sera bien trop lourd pour moi, d’ici que je rentre à Gludio *leur fait un sourire forcé*.


Dans sa tête tout tournait et si ces amis avaient été tuer sous les haches orcs, la douleur n’arrangeait rien elle ne savait pas si elle allait arriver jusque Gludio mais elle devait partir maintenant, il fallait qu’elle sache.


Elle s’approcha de la porte doucement ne pouvant marcher bien vite vu la douleur, sans rien dire et sortit. Elle décida de marcher jusque Gludio pour avoir des nouvelles de ces amis, en espérant qu’ils sont encore en vie et qu’elle pourra arriver jusque là...

[Habasi]

Habasi était en train de penser a sa vengeance, les siens avaient rendu les armes et les Ivhalys étaient pour la plus part mort. Elle devait se venger a tout prix quand une naine apparue devant elle. Une certaine Maline, elle se présenta comme l’armurier de Maltaaroth, elle venait apporter un message de la part de l’orc :

- Le commandor Amtaks, Maltaaroth, veut un combat loyal entre lui et vous et vous attends à Giran.

La naine partit rapidement une fois le message donné.

Pour Habasi, c’était leur de la vengeance, il serait le premier a payer, le prix du sang, elle enfila son armure rougeâtre et sortit ça plus grosse arme et partit directement a Giran.

Une fois arrivée dans la ville l’orc était présent :

- Tu as donc répondu à mon message...

Une ancienne Templière regardait Habasi et lâcha un léger soupire, elle savait sûrement ce que l’humaine allait faire.

Maltaaroth se tenait droit fier de ce qu’il était et il dit décider :

- Il est temps d’en finir avec les vrais Templiers...
- Tout a fait, je te rejoints à l’arène de ta ville sale chien de fosse, lui répondit la femme sur le même ton.
- Depuis le jour ou ma soeur m’est revenu mourante j’ai attendu ce combat.

Il était vrai qu’Habasi quelques mois avant avait venger une des siennes au combattant une jeune orc et en ne lui laissant aucune chance de gagner.

Habasi restait droite son regard était vide, elle n’avait plus rien a perdre mais sa voix était franche et décidée.

- Viens seul, si tu veux ma tête avec honneur ! Tu à enfin devant toi le combat que tu attendais.
- Laisse moi donner des directives aux gardes...
- Bien je passe devant.

Avant de partir Maltaaroth croisa l’ancienne Templière et lui dis, sur un ton altier :

- Noie toi dans ta lâcheté sale chienne!

Pour il partit pour son combat a l’arène.

Les deux êtres savaient que cela serait un combat à mort, mais il était près a combattre jusqu’au bout pour la vengeance et l’honneur.

Une fois arrivé l’arène, la voix de l’orc était forte son arme prête :

- Approche toi donc, l’orc retira le pendentif qu’il avait piquer a l’humaine lors d’un précèdent combat, ceci est à toi, reprend le, en le lui tendant dans sa main.
- Es tu enfin prêt en en découdre, ni sa voix ni son regard changeait.
- Je le recouperais par mes propres moyens ! Et je commencerais ma vengeance, tu es la premier, sois en heureux.
- Le dernier Templier...le seul et unique !
- Templiers jusqu’à la mort ! dit elle convaincu par ces paroles. Pris Paggrio qu’il te donne grâce !
- Paggrio ? Cela fait des années qu’il m’a abandonné.
- Je le comprends. J’aurais fait de même, en lâchant un léger rire.

L’orc cracha par terre et regarda l’humaine avec des yeux envieux d’un combat qu’il attendait tant.

- Qu’attends tu donc...Tu veux tuer un orc oui ou non ?!
- Volontiers, mais j’admire ton courage, en sortant la croix des Templiers qui était autours de son cou, et à ces mots elle se prépara au combat.

L’orc pensait à sa soeur, ce combat était pour elle et pour sa vengeance, il ne pouvait perdre.

Habasi en tourner d’une aura noire invoqua :

- Mikoto ! Sors des enfers !

Le regard de Maltaaroth était plus noir que jamais :

- Il est l’heure !

Celui d’Habasi n’était plus vide mais assombrit par la vengeance et la peine, elle resserra l’étreinte sur son arme et attaque.

- Mikoto en avant !

L’épée a deux mains de l’orc et le marteau de l’humaine s’entrechoquèrent encore et encore. Aucun d’eux ne montraient ses faiblesses. On pouvait juste voir la force qu’ils m’étaient dans chaque coup, et la volonté de gagner qu’ils avaient.

L’humaine commençait à faiblir, et sa panthère était déjà renvoyée au enfer, sous un dernier coup plus fort et plus ample que les autres, l’orc abattu l’humaine, qui s’écroula au sol.

Maltaaroth fatigué par le combat mais fier, regarda Habasi au sol :

- Voila tout est fini..., il ramasse le pendentif et le jeta sur l’humaine, tiens c’est à toi...

Habasi dans un dernier soupire :

- Pardonne moi mon amour j’ai perdu, sa voix se faisait de plus en plus faible, elle sentait ces forces la quittées peu à peu.
- Je n’ai plus d’ennemie, une larme coulait du visage de l’orc.

La Dame noire déchue tendit la main devant elle dans un dernier effort comme pour attraper quelque chose, ces yeux se fermèrent et sa main retomba lourdement sur le sol, ces forces l’avaient quitté. Le commandor Amtaks prit l’arme du perdant en trophée.

- Tu mérites de vraies funérailles Habasi.

Il l’a pris sur son dos et l’emmenait à l’église de Giran, il l’a déposa sur le sol devant le prêtre.

- Maximilian tu sais quoi faire, son ton était triste, il ne me reste plus qu’à mourir de vieillesse... adieu.

L’orc partit triste de ne plus avoir de but dans sa vie, mais il avait vengé sa soeur et la fierté de sa famille en ressortit que plus grande.

Le prêtre fit transporte, le corps de la défunt a Gludio ou elle fut enterre sous un arbre non loin du château, sur sa tombe une croix et dessus l’insigne des Templiers. Et sous les ordres de Maltaaroth il y fut écrit :

Habasi Razgriz, morte au combat, que la paix soit sur la dernière des vrais Templiers.

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