Le Cirque

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Ezeckiel
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Le Cirque

Message par Ezeckiel » jeu. 6 août 2009 à 09h14

- Nom du Clan
Le Cirque

- Chef de Clan (plus gameplay que RP bien qu'on puisse le voir comme un "maître de jeu")
L’Arlequin, Mathias

- Alignement du Clan
Chaotique mauvais

- Hiérarchie du Clan
Aucune. Chaque criminel a sa propre hiérarchie avec ses hommes.

- Règles du Clan
règles RP :
-Chaque membre est responsable de ses hommes de mains.
-Chaque membre crée ses propres règles pour ses hommes. Leur code de conduite. Celles-ci seront annexés à ce BG pour les membres de chaque organisation criminelle.

Règles HRP :
-Pas de confusion d’informations RP/HRP entre les rerolls.
-Respect des règles du serveur.
-Avoir un minimum de présence.
-Participer à l’ambiance du clan et du serveur.


- Races acceptées
Toutes.

- Nombre de Membres potentiels à ce jour

-Frayja en tant que sbire de l'Arlequin.
-Naba. Associée de l'Arlequin. Baronne de la drogue sous sa protection.
-Lin. Assassine indépendante.(clantée seulement de facon RP)
-Torgak. Criminel indépendant.
- Drahocène. Informatrice indépendante. (clantée seulement de facon RP)
- Seleth. Leader des Haborym.

- Méthodes de recrutement
Test de l’Arlequin. Bien souvent il s’agit de tuer une cible pour prouver sa valeur.

-Blason
Les membres du Cirque ne portent pas de blason ou de signes distinctifs. C'est à chaque chef de division de créer le sien si nécessaire.


- Histoire

D'aussi loin que remontaient ses souvenirs, Mathias s'était toujours baladé dans les quartiers sombres des villes. Là où les malfrats font leurs lois. C'était la belle vie. Bien qu'il soit difficile d'être criminel de nos jours. L'alliance de tous ces mouvements visait à éradiquer le mal. L'équilibre des forces penchait. Agir était primordial et ce rapidement. Toutes ces ombres qui restent dans les coulisses ne suffiront pas. Il fallait lancer un message. Un grand « boum » pour montrer que nous ne sommes pas morts. S'allier pour survivre. Le jeu était déjà commencé. L'Arlequin testait les esprits malins qui rôdaient sur ces terres. Peu d'entre eux étaient satisfaisants. Et mal s'entourer c'est courir à sa perte, il le savait trop bien.

Le but n’était pas de prendre le contrôle. C’était de voir grandiose! De faire des blagues de plus en plus hilarantes. Le cirque. Il arrivait en ville. Comptant déjà son clown, l’Arlequin. Il était à la recherche des barons du crime, des têtes fortes pour les ramener vers lui. Réunir les plus grands pour former une ligue qui pourrait tenir tête à tous ces clans qui commençaient à s’allier peu à peu. Pour effectuer des projets d’envergure. Montrer que le monde ne tourne pas rond et que seul le chaos mérite d’exister.

L’ordre que ces clans veulent instaurer n’a rien de juste. Ils sélectionnent ce qui peut et ne peut pas exister. C’est au hasard de décider de cela.

Mathias avait déjà plusieurs brutes épaisses prêtes à le suivre. De plus, plusieurs personnes aux talents assez spéciaux avaient rejoint ses idéaux. Que ce soit pour l'or, le pouvoir, la vengeance ou tout simplement pour voir ce monde brûler à en être réduit en cendre. Ils étaient prêts à participer aux blagues du clown pour laisser le chaos s'échapper de la prison dans laquelle les autres communautés tentaient de l'enfermer.

Ni foi, ni morale et ni lois. C'est ainsi que fonctionnait l'Arlequin, en cherchant ses alliés. Leur laissant les mains libres sur leurs hommes et sur leurs activités. Les intérêts et les buts de chacun ne s'en trouveraient pas changés. Le cirque a pour but d'unir ces génies du crime pour des projets d'envergure. Leur ennemi, le monde tel qu'il est. Ce monde n'est pas pour nous. Esprits du chaos. Êtres composé de haine et de soif de sang. Il fallait se lever et frapper dans une grande explosion.

C’est pourquoi l’Arlequin s’est mis en marche. S’affichant au visage de tous. Comme le clown du mal. La nouvelle terreur des cités. Par sa folie, il avait réussi à convaincre certains de l’aider. Ceux-ci feront peut-être partie du cirque s’ils réussissent à impressionner le clown en montrant leur valeur.

Ce qui comptait c’était l’union. Seuls ils se feraient tous capturer. Comme des minables. Ensemble, ils auraient une chance de se défendre et de voir les choses de façon plus amusante. L’Arlequin préparait déjà plusieurs blagues en attendant ses compagnons de jeu. La première était en cours d’exécution. Il avait rassemblé une dizaine de potentiels artistes du mal, membres de la troupe du cirque. Le test consistait à éveiller un démon. Déjà après quelques jours, plusieurs avaient échoué à gagner leur place. L’Arlequin les observait. Maintenant qu’il connaissait leur visage. Déception parfois, amusement d’autres fois. Il y en avait pour tous les goûts, mais son rictus était toujours au rendez-vous. Attendant de tomber sur les perles rares qui consisteraient son entourage. Ceux qui tireraient les bénéfices de ses blagues.

La libération du démon est proche, la chasse à l'homme est débutée et rien ne pourra l'arrêter. Voyons voir ce que ce démon fera une fois ses pouvoirs revenus. L'Arlequin en rigolait déjà.

Bientôt son message s'afficherait... Le cirque arrive en ville... Et ce sera à en mourir de rire.

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Morathi
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Re: Le Cirque

Message par Morathi » ven. 16 octobre 2009 à 00h19

C’était une nuit sombre, les étoiles étaient voilées par des fins bancs de brume nocturne. Giran était calme, même les marchands étaient allés se coucher.

Les gardes bavardaient aux coins de gros brasero pour se réchauffer sous leurs armures de plaques froides et peu apte à cette fraiche nuit d’automne. Une légère brise faisait balancer les branchages des arbres, puis tout à coup, doucement, une musique, lente, des cordes, des caisses et des cuivres. Puis le volume augmentait ainsi que le rythme, sur un thème festif.

Puis il eut comme un grand embrasement dans les quartiers de la ville basse. Comme si un grand incendie c’était déclaré. Mais pas un cri, pas un cri de frayeur, mais des rires, des hululements. Bien que ce quartier fût étroitement surveillé, les gardes curieux, eux aussi, ne purent empêcher leur curiosité et celle des badauds d’aller voir ce qu’il s’y passait.

[ image externe ]

La plus grande place du quartier s’érigeait une toile de tente bicolore illuminée de toute part. Une rumeur circula rapidement et on disait qu’un cirque s’était arrêté en ville. Malgré cette musique joyeuse et ces rires, personne n’osait s’en approcher. De la lumière sortait par l’entrée principal mais ne permettant pas de scruter l’intérieur.

Un lieutenant fini par prendre trois gardes avec lui pour aller finalement voir qu’est-ce qu’il se passait là-bas dessous. De leurs hallebardes ils soulevèrent doucement les battants en tissus qui faisaient office de portes.

Un monde de lumière inonda la place, l’intérieur de la tente brillait de centaine de bougies à la place des spectateurs et au centre de la piste s’élevait un gigantesque bucher ou était attaché un patin de paille qui ne brûlait pas encore, sur son visage une immense sourire démoniaque était peint de rouge.

Devant l’entrée des artistes était assis des patins automate qui battaient du tambour, et jouaient des cordes et soufflaient, d’on ne sait par quelle magie, dans des instruments. Seuls leurs visages étaient peints sur comme des masques de carnaval, grimaçant ou riant.

Mais les rires avaient cessés dès lors de l’entrée des gardes.

La musique se calma et une lente symphonie se mit en route, les automates jouaient une marche funéraire.

C’est à ce moment là qu’un craquement se fit entendre, le bucher s’effondra, les gardes n’eurent pas le temps de reculer que les flammes les happèrent. Affolée le badauds reculèrent horrifiés. La toile prit entièrement feu. Un bruit sec se fit entendre. Quelque chose monta dans le ciel nocturne bien plus haut que les flammes, puis détona dans une gerbe de lumière. Des sifflements suivirent, traçant des lignes blanches dans la nuit pour exploser de milles couleurs au dessus de la ville. Un feu d'artifice.

Dans le final, une détonation plus grande que les autres on pouvait y deviner un petit visage hilare. Ce ne fut qu’au petit matin pluvieux lorsque le feu fut maitrisé ayant ravagé la place que les gardes retrouvèrent une petite pancarte avec écrit dessus : Bhou ! Le cirque tire sa révérence.

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