Nom : Amnell
Prénom : Siaan
Age : 120 ans
Sexe : Féminin
Race : Sombre
Classe : Invocatrice d'Âmes
Croyances : Wicca
Langues parlées : Sombre et commun
Descriptions (physique/morale) : Siaan est d'une beauté simple et à la fois captivante, comme si tout son être était bercé par un havre de douceur. Ses cheveux sont d'une couleur très sombre, proche du noir intense, contrastant parfaitement avec sa peau ébène semblant aussi douce que la soie. Les iris qui trônent en ses yeux légèrement en amande sont d'un gris bleuté, dominés par de grands cils joliment courbés.
Sa taille est parfaitement proportionnée et possède des formes dignes de sa race et de l'époque ; plutôt bien en chair, offrant un corps assez svelte et une poitrine charnue. Ses formes sont d'ailleurs souvent mises en évidence par une longue robe blanche immaculée qui s'ouvre en un décolleté assez prononcé mais non aguicheur qui tient par une petite cordelette entrelacée. Le tissus qui semble de haute qualité serre sa taille pour retomber le long de ses jambes et traîner légèrement au sol. Ses manches sont elles aussi larges et fendues, tombant d'une dizaine de centimètres derrière son avant bras pour ne laisser apparaître que ses mains. Une capuche ample est rattachée à la tenue.
Elle possède toujours dans son dos un bâton ancestral qui se donne de fille en fille depuis des générations. Deux courtes épées se trouvent aussi cachées au niveau de chaque cuisse, tenues par ses portes-jarretelles. Un collier représentant le sceau des Passeuses tombe dans le creux de ses seins.
Siaan est d'une morale de fer, où trônent des valeurs pures tels le courage, l'honneur et la justice. Au premier regard, elle semble être une femme forte, douce, voire apaisante ; mais elle n'en est pas moins qu'une bonne combattante qui n'hésitera point à se battre seule contre tous pour défendre la veuve, l'orphelin et le démuni.
Autres : Siaan possède des "dons de téléportation" suite à l'enseignement de Passeuse qu'elle a eut ; pouvoir offert de fille en fille depuis des générations dans sa famille. N'ayant désirée suivre cette voie, elle s'est enfuit en utilisant ce pouvoir pour l'Ordre qui l'a recueilli, les Inquisitrices, et ainsi servir une cause bonne et juste. Ainsi, elle peut faire disparaître des petits objets ou même une personne vers un autre endroit, mais ce pouvoir reste très limité en vue de son éducation en la matière qui ne fut mener à terme, l'obligeant même à utiliser de toute son énergie vitale pour en user. Les Inquisitrices furent intéressées par ce don dans le seul but de mener les Âmes des défunts dans l'Au-Delà et éviter les tourments et autres terribles sortilèges pour trouver la paix éternelle. Siaan est donc une "Passeuse d'Âmes", vagabondant de villes en villes pour offrir ce pouvoir à des familles en deuil, ou pour régler des litiges plus ou moins importants. Elle use aussi de ce pouvoir pour inverser l'ordre de passage, à savoir mener des Âmes dans le monde réel, pour ainsi se battre à l'aide de fantômes (Phantom Summoner).
[ image externe ]
Représentation d'époque d'une Inquisitrice par un peintre itinérant
(image de ab-imo-pectore)
Représentation d'époque d'une Inquisitrice par un peintre itinérant
(image de ab-imo-pectore)
Quelque part dans la forêt d'Elumbra, le 3 Tombefeuille de l'an 44.
« - Arrêtez l'Inquisitrice ! »
La cavalerie de chevaux à la robe ténébreuses pourfendaient la forêt à une vitesse folle, dévorant de leurs sabots endiablés le tapis de feuilles mortes où s'échappait une fine fumée sous la caresse de l'aurore. Les soldats, tous lourdement protégés par des armures de maille où trônaient l'emblème de la Contrée d'Evalha frappaient de leurs bottes d'acier les flancs de leurs montures avec frénésie, pourchassant leur cible avec une rage incommensurable.
« - La voilà ! »
Tous les regards se portèrent sur le chemin en dessous d'eux, séparés par une petite pente où la végétation était dense. Leur proie fonçait à vive allure sur son équidé blanc comme la neige, tête baissée. Sa longue robe blanche flottait dans les airs derrière elle lui donnant l'apparence d'un ange, alors que son visage demeurait caché par une large capuche.
Très vite, la cavalerie firent entreprendre à leurs chevaux de changer de chemin, passant entre les arbres avec une extrême agilité pour le rejoindre en un saut. Munis de leurs arcs, ils ne tardèrent point à encocher leurs flèches malgré les brusque-sauts de leurs montures.
Attirée par le bruit, la jeune femme poursuive regarda par dessus son épaule, ayant pour effet immédiat de faire voler sa capuche, libérant un flot de cheveux sombres qui virevoltèrent autour de son visage à la peau ébène. Ses yeux bleus-gris évaluèrent le nombre de poursuivants en quelques secondes, avant de refaire face au chemin de la forêt et de donner un coup de bride à son cheval.
Les flèches ne tardèrent point à voler de toute part, sifflant autour de l'Inquisitrice comme un appel à la mort. Cela ne l'empêcha point de continuer son avancer folle entre les immenses arbres d'Elumbra, faisant parfois des brusques changements de directions pour éviter de devenir une proie trop facile. La course folle entre la jeune femme et les poursuivants continuèrent encore ainsi une longue minute, avant de changer de direction en arrivant dans une large pleine où la lumière du soleil les aveugla quelques courts instants. L'étendue verdâtre semblait s'étendre à l'infini, descendant toujours continuellement comme un flanc de montagne.
L'Inquisitrice s'entreprit à faire sauter sa monture au-dessus d'un ruisseau traversant la plaine, mais malheureusement, dans son mouvement, une flèche l'atteignit en pleine épaule et la projeta hors de sa monture dans un cri de douleur. Elle roula quelques centimètres au sol dans sa robe immaculée de lumière, avant de s'arrêter face à terre. Ses yeux se portèrent alors devant elle où elle vit de son regard flouté par la douleur le ruisseau s'écoulant devant elle, puis de nombreux sabots. Prenant son courage à deux mains, elle se releva avec une douleur épouvantable à l'épaule, la flèche encore profondément plantée, souillant sa robe blanche de sang.
« - Cessez de fuir, Inquisitrice. Tout est fini. »
La jeune femme se dressa enfin au centre de tous les chevaliers, ses longs cheveux bruns bouclés tombant sur ses épaules. En ses yeux se lisaient la douleur et la rage, mais surtout le courage et l'honneur. Rapidement, elle dégaina de ses porte-jarretelles deux épées courtes et jaugea du regard ses six adversaires, tentant de trouver un moyen ou un autre d'échapper à cette mort certaine.
« - Il fallait réfléchir à deux fois avant de tuer le Haut Bailli d'Evalha. » cracha l'homme qui était vraisemblablement le capitaine de cette cavalerie.
« - Cette mort était amplement méritée. Asservir son peuple pour des jouissances personnelles ne sont que révélations de la pourriture qu'était son âme. » répondit l'Inquisitrice, les dents serrées par la douleur.
Le capitaine la toisa du regard avant de retirer son heaume et d'avancer d'un pas de plus, tout en restant silencieux.
« - Je me demande bien quel formidable pouvoir vous avez pour être des Inquisitrices... Mais celui-ci ne doit point être bien grand pour se faire attraper si aisément. »
« - Nous n'avons donc la même notion d'aisance. Six chevaliers surentraînés pour attraper une femme au bout de plusieurs jours d'escapade, j'appelle cela de l'incompétence. » dit-elle de sa voix douce, sans une once de provocation.
Les autres chevaliers bandèrent immédiatement leurs arcs vers la jeune femme, mais furent très vite calmés en leur ardeur par le capitaine d'un mouvement de main, visiblement amusé par tant d'affronts.
« - Cessez donc de vouloir nous rendre la tâche plus difficile. Vous voyez bel et bien que vous n'avez aucune chance. Rendez-vous, et peut-être ferais-je l'honneur de vous dé-fleurer. Une telle beauté gâchée pour des convictions si... futiles. »
« - Je préfère mourir des flèches de vos soldats que d'être à peine effleurée par un homme comme vous. » cracha d'elle, fusillant de son joli regard l'homme qui se tenait devant elle.
Après un court instant à la regarder avec un sourire en coin, il finit par se retourner en disant de sa voix grave :
« - Bien, comme vous le voulez. Soldats, tuez-la. »
L'Inquisitrice posa alors son regard sur les archers qui bandèrent à nouveau leurs arcs avant de dégainer leurs flèches, les faisant voler à toute vitesse en sa direction. Brutalement, la jeune femme fit un mouvement avec ses mains en psalmodiant, faisant disparaître les projectiles de devant elle. Tous les archers restèrent incrédules devant une telle magie, regardant leur proie avec des yeux apeurés. A peine eut-il le temps de commencer à encocher de nouvelles flèches que leurs précédentes apparurent devant l'Inquisitrice et foncèrent sur eux, en abattant trois qui s'écroulèrent au sol dans un jet de sang. La jeune femme sembla alors s'évanouir, tombant à genou au sol comme accablée de fatigue.
« - Attention ! Elle possède des pouvoirs de téléportation ! » hurla le capitaine en dégainant sa propre lame, décidé à profiter de la faiblesse visible de la magicienne pour l'achever.
Il n'eut le temps de faire quelques pas que soudainement, son épée fut arrachée de ses mains pour léviter devant lui et se retourner brusquement dans sa direction, plaçant la lame sous son coup.
« - Je vous conseille de la laisser partir, ou je vous achève sur le champ. »
Les deux chevaliers restants et le capitaine posèrent leurs regards sur la voix provenant de derrière eux, faisant face à deux jeunes femmes possédant elles-aussi des robes blanches d'Inquisitrices. Une d'elle avait sa main tendue vers le chef de la cavalerie réduite, paume ouverte, semblant être le fruit d'un tel pouvoir de lévitation.
Celui-ci marqua un court silence, déglutissant, baissant les yeux sur sa propre lame s'enfonçant légèrement dans le creux de sa gorge.
« - Chevaliers, baissez vos armes. Nous partons. » finit-il par lâcher, les dents serrées.
Ses hommes s'exécutèrent en baissant leurs arcs, alors que l'épée en lévitation recula de quelques centimètres de l'homme. Celui-ci jeta un regard à l'Inquisitrice blessée au sol devant lui, puis à ses consœurs, avant de se détourner en lâchant un juron pour remonter sur sa monture. Les deux autres Chevaliers en firent de même, laissant leurs trois autres compagnons souiller de leur sang l'herbe verte.
« - Nous nous retrouverons, Inquisitrices. » cracha le capitaine, tirant sur les rennes de son cheval.
« - Comptez là dessus, Sir. Tant que des hommes comme vous continueront de respirer cet air pur, nous demeurerons là à les faire tressaillir. »
Il leur accorda un dernier regard, avant de faire claquer ses bottes sur le flan de sa monture, et partir en direction de la forêt. Les deux Inquistrices s'approchèrent alors hâtivement de leur consœur blessée, se baissant à son niveau.
« - Est-ce que vous allez bien, dame Siaan ? »
La cavalerie de chevaux à la robe ténébreuses pourfendaient la forêt à une vitesse folle, dévorant de leurs sabots endiablés le tapis de feuilles mortes où s'échappait une fine fumée sous la caresse de l'aurore. Les soldats, tous lourdement protégés par des armures de maille où trônaient l'emblème de la Contrée d'Evalha frappaient de leurs bottes d'acier les flancs de leurs montures avec frénésie, pourchassant leur cible avec une rage incommensurable.
« - La voilà ! »
Tous les regards se portèrent sur le chemin en dessous d'eux, séparés par une petite pente où la végétation était dense. Leur proie fonçait à vive allure sur son équidé blanc comme la neige, tête baissée. Sa longue robe blanche flottait dans les airs derrière elle lui donnant l'apparence d'un ange, alors que son visage demeurait caché par une large capuche.
Très vite, la cavalerie firent entreprendre à leurs chevaux de changer de chemin, passant entre les arbres avec une extrême agilité pour le rejoindre en un saut. Munis de leurs arcs, ils ne tardèrent point à encocher leurs flèches malgré les brusque-sauts de leurs montures.
Attirée par le bruit, la jeune femme poursuive regarda par dessus son épaule, ayant pour effet immédiat de faire voler sa capuche, libérant un flot de cheveux sombres qui virevoltèrent autour de son visage à la peau ébène. Ses yeux bleus-gris évaluèrent le nombre de poursuivants en quelques secondes, avant de refaire face au chemin de la forêt et de donner un coup de bride à son cheval.
Les flèches ne tardèrent point à voler de toute part, sifflant autour de l'Inquisitrice comme un appel à la mort. Cela ne l'empêcha point de continuer son avancer folle entre les immenses arbres d'Elumbra, faisant parfois des brusques changements de directions pour éviter de devenir une proie trop facile. La course folle entre la jeune femme et les poursuivants continuèrent encore ainsi une longue minute, avant de changer de direction en arrivant dans une large pleine où la lumière du soleil les aveugla quelques courts instants. L'étendue verdâtre semblait s'étendre à l'infini, descendant toujours continuellement comme un flanc de montagne.
L'Inquisitrice s'entreprit à faire sauter sa monture au-dessus d'un ruisseau traversant la plaine, mais malheureusement, dans son mouvement, une flèche l'atteignit en pleine épaule et la projeta hors de sa monture dans un cri de douleur. Elle roula quelques centimètres au sol dans sa robe immaculée de lumière, avant de s'arrêter face à terre. Ses yeux se portèrent alors devant elle où elle vit de son regard flouté par la douleur le ruisseau s'écoulant devant elle, puis de nombreux sabots. Prenant son courage à deux mains, elle se releva avec une douleur épouvantable à l'épaule, la flèche encore profondément plantée, souillant sa robe blanche de sang.
« - Cessez de fuir, Inquisitrice. Tout est fini. »
La jeune femme se dressa enfin au centre de tous les chevaliers, ses longs cheveux bruns bouclés tombant sur ses épaules. En ses yeux se lisaient la douleur et la rage, mais surtout le courage et l'honneur. Rapidement, elle dégaina de ses porte-jarretelles deux épées courtes et jaugea du regard ses six adversaires, tentant de trouver un moyen ou un autre d'échapper à cette mort certaine.
« - Il fallait réfléchir à deux fois avant de tuer le Haut Bailli d'Evalha. » cracha l'homme qui était vraisemblablement le capitaine de cette cavalerie.
« - Cette mort était amplement méritée. Asservir son peuple pour des jouissances personnelles ne sont que révélations de la pourriture qu'était son âme. » répondit l'Inquisitrice, les dents serrées par la douleur.
Le capitaine la toisa du regard avant de retirer son heaume et d'avancer d'un pas de plus, tout en restant silencieux.
« - Je me demande bien quel formidable pouvoir vous avez pour être des Inquisitrices... Mais celui-ci ne doit point être bien grand pour se faire attraper si aisément. »
« - Nous n'avons donc la même notion d'aisance. Six chevaliers surentraînés pour attraper une femme au bout de plusieurs jours d'escapade, j'appelle cela de l'incompétence. » dit-elle de sa voix douce, sans une once de provocation.
Les autres chevaliers bandèrent immédiatement leurs arcs vers la jeune femme, mais furent très vite calmés en leur ardeur par le capitaine d'un mouvement de main, visiblement amusé par tant d'affronts.
« - Cessez donc de vouloir nous rendre la tâche plus difficile. Vous voyez bel et bien que vous n'avez aucune chance. Rendez-vous, et peut-être ferais-je l'honneur de vous dé-fleurer. Une telle beauté gâchée pour des convictions si... futiles. »
« - Je préfère mourir des flèches de vos soldats que d'être à peine effleurée par un homme comme vous. » cracha d'elle, fusillant de son joli regard l'homme qui se tenait devant elle.
Après un court instant à la regarder avec un sourire en coin, il finit par se retourner en disant de sa voix grave :
« - Bien, comme vous le voulez. Soldats, tuez-la. »
L'Inquisitrice posa alors son regard sur les archers qui bandèrent à nouveau leurs arcs avant de dégainer leurs flèches, les faisant voler à toute vitesse en sa direction. Brutalement, la jeune femme fit un mouvement avec ses mains en psalmodiant, faisant disparaître les projectiles de devant elle. Tous les archers restèrent incrédules devant une telle magie, regardant leur proie avec des yeux apeurés. A peine eut-il le temps de commencer à encocher de nouvelles flèches que leurs précédentes apparurent devant l'Inquisitrice et foncèrent sur eux, en abattant trois qui s'écroulèrent au sol dans un jet de sang. La jeune femme sembla alors s'évanouir, tombant à genou au sol comme accablée de fatigue.
« - Attention ! Elle possède des pouvoirs de téléportation ! » hurla le capitaine en dégainant sa propre lame, décidé à profiter de la faiblesse visible de la magicienne pour l'achever.
Il n'eut le temps de faire quelques pas que soudainement, son épée fut arrachée de ses mains pour léviter devant lui et se retourner brusquement dans sa direction, plaçant la lame sous son coup.
« - Je vous conseille de la laisser partir, ou je vous achève sur le champ. »
Les deux chevaliers restants et le capitaine posèrent leurs regards sur la voix provenant de derrière eux, faisant face à deux jeunes femmes possédant elles-aussi des robes blanches d'Inquisitrices. Une d'elle avait sa main tendue vers le chef de la cavalerie réduite, paume ouverte, semblant être le fruit d'un tel pouvoir de lévitation.
Celui-ci marqua un court silence, déglutissant, baissant les yeux sur sa propre lame s'enfonçant légèrement dans le creux de sa gorge.
« - Chevaliers, baissez vos armes. Nous partons. » finit-il par lâcher, les dents serrées.
Ses hommes s'exécutèrent en baissant leurs arcs, alors que l'épée en lévitation recula de quelques centimètres de l'homme. Celui-ci jeta un regard à l'Inquisitrice blessée au sol devant lui, puis à ses consœurs, avant de se détourner en lâchant un juron pour remonter sur sa monture. Les deux autres Chevaliers en firent de même, laissant leurs trois autres compagnons souiller de leur sang l'herbe verte.
« - Nous nous retrouverons, Inquisitrices. » cracha le capitaine, tirant sur les rennes de son cheval.
« - Comptez là dessus, Sir. Tant que des hommes comme vous continueront de respirer cet air pur, nous demeurerons là à les faire tressaillir. »
Il leur accorda un dernier regard, avant de faire claquer ses bottes sur le flan de sa monture, et partir en direction de la forêt. Les deux Inquistrices s'approchèrent alors hâtivement de leur consœur blessée, se baissant à son niveau.
« - Est-ce que vous allez bien, dame Siaan ? »
(Merci à Jo', Ian et Vrurk pour leur aide !)