Spoiler:
Prélude à l’histoire.
Ce court passage de connaissance qui ne sera jamais mise à l’écrit, est l’histoire d’un homme différent. Cette différence tiens dans sa vie toute entière, ses croyances, son enfance, sa jeunesse, son passé, son présent, son futur. Aucun aspect de cet homme n’entre dans les normes qui forment les gens telles d’invisibles barrières encrées dans la tête de chacun d’entre nous.
Et pourtant, cet homme, au premier abord, semble des plus ordinaire. Bien sur son origine mi-sombre mi-humaine lui donne un profil étrange, une peau plus gris pâle que blanc, des oreilles légèrement déformées et un visage plus long, mais c’est un aspect qui ne choque pas, et reste en général caché sous la longue barbe qu’il se plait à garder et entretenir tel un vieux nain. Ses yeux sont d’un noir profond et insondable, mais peu de gens s’en rendent compte tellement cette couleur colle au reste du personnage. De plus, rare sont ceux qu’il regardera dans les yeux.
Sa mère n’a jamais eu de nom, et l’histoire à effacé le numéro qu’on lui à attribué. Il ne l’a jamais vraiment connu, et elle est morte suite aux expériences de son maitre et amant sur son corps. Il semblerait qu’elle soit toujours là quelque part dans le laboratoire, sous forme de zombie ou de squelette, mais jamais il n’a prit la peine de vérifier.
Son père est un nécromancien accomplis. Humain vénérant Kain, détestant à peu près tout le reste. Il se complaisait dans la collection d’esclaves de toutes origines pour pratiquer sur eux des expériences généralement immonde. Jamais il n’apprécia ou aima son fils, jamais il ne lui fit le moindre compliment, le moindre éloge. Il se contenta de lui apprendre ce qu’il savait, ses techniques, ses expériences, ses sortilèges, ses malédictions. Il lui apprit tout, pourquoi ? C’est une bonne question. C’était probablement par jeu, une occupation, ou bien le désir de voire perdurer son pouvoir. Peut être voulait il simplement rendre son fils puissant pour une nouvelle expérience ou pour se mettre lui-même à l’épreuve. Au final, il n’aura rien éprouvé d’autre que de l’indifférence envers son père. Il lui avait trop offert pour qu’il le déteste, mais pas les bonnes choses pour qu’il l’aime.
Le récit qui va suivre vous parlera du monde dans lequel Zaìm évolue, selon son point de vue. Car son point de vue, comme le reste, est anormal. Il est braqué vers le ciel. La seule chose qu’il a aimée, respectée, prit plaisir à étudier, ce sont les choses les plus inaccessibles qui existent, les étoiles.
Et si un jour vous demandez aux étoiles, qui est vraiment cet homme si anormal, voici donc ce qu’elles vous répondront.
Et pourtant, cet homme, au premier abord, semble des plus ordinaire. Bien sur son origine mi-sombre mi-humaine lui donne un profil étrange, une peau plus gris pâle que blanc, des oreilles légèrement déformées et un visage plus long, mais c’est un aspect qui ne choque pas, et reste en général caché sous la longue barbe qu’il se plait à garder et entretenir tel un vieux nain. Ses yeux sont d’un noir profond et insondable, mais peu de gens s’en rendent compte tellement cette couleur colle au reste du personnage. De plus, rare sont ceux qu’il regardera dans les yeux.
Sa mère n’a jamais eu de nom, et l’histoire à effacé le numéro qu’on lui à attribué. Il ne l’a jamais vraiment connu, et elle est morte suite aux expériences de son maitre et amant sur son corps. Il semblerait qu’elle soit toujours là quelque part dans le laboratoire, sous forme de zombie ou de squelette, mais jamais il n’a prit la peine de vérifier.
Son père est un nécromancien accomplis. Humain vénérant Kain, détestant à peu près tout le reste. Il se complaisait dans la collection d’esclaves de toutes origines pour pratiquer sur eux des expériences généralement immonde. Jamais il n’apprécia ou aima son fils, jamais il ne lui fit le moindre compliment, le moindre éloge. Il se contenta de lui apprendre ce qu’il savait, ses techniques, ses expériences, ses sortilèges, ses malédictions. Il lui apprit tout, pourquoi ? C’est une bonne question. C’était probablement par jeu, une occupation, ou bien le désir de voire perdurer son pouvoir. Peut être voulait il simplement rendre son fils puissant pour une nouvelle expérience ou pour se mettre lui-même à l’épreuve. Au final, il n’aura rien éprouvé d’autre que de l’indifférence envers son père. Il lui avait trop offert pour qu’il le déteste, mais pas les bonnes choses pour qu’il l’aime.
Le récit qui va suivre vous parlera du monde dans lequel Zaìm évolue, selon son point de vue. Car son point de vue, comme le reste, est anormal. Il est braqué vers le ciel. La seule chose qu’il a aimée, respectée, prit plaisir à étudier, ce sont les choses les plus inaccessibles qui existent, les étoiles.
Et si un jour vous demandez aux étoiles, qui est vraiment cet homme si anormal, voici donc ce qu’elles vous répondront.
Aldébaran, ou le printemps d’une vie.
Au cœur de la constellation du taureau, bercé par les pléiades, Aldébaran la magnifique a vu naitre un enfant de plus en cette nuit sans Lune. Baigné de la douce lueur de l’astre millénaire, un enfant fut consacré aux étoiles dès son premier souffle. Son nom est Zaìm.
Sa mère, sombre comme le ciel du crépuscule, était la simple esclave d’un mage humain, et cet enfant naquit des abus de celui-ci sur la jeune femme. Ressemblant physiquement à son père, celui-ci, contre toute attente, accueillit le nouveau né comme son héritier.
Noire était sa vie, et noire était la magie qu’on lui enseignait. La lumière lui était interdite, et c’est dans l’antre de son mage de père qu’il vécu ses jeunes années. Il ne pouvait sortir le jour, et jamais il ne vi le soleil durant cette période de sa vie. Ainsi, c’est aux étoiles et à la Lune, qu’il réserva son admiration.
Ainsi, la nuit devint sa passion, et il ne subissait plus le jour que pour ce simple moment de bonheur ou il pouvait sortir et admirer les astres. Il les sentait à la fois si proche et si lointains, si chaleureux et pourtant si froids. Chaque nuit lui apportait l’humilité de celui qui compare son existence à l’immensité des cieux.
Toute sa jeunesse fut placée sous le signe des ténèbres, et les seules lumières qui éclaircirent cette vie fut celle des étoiles.
Sa mère, sombre comme le ciel du crépuscule, était la simple esclave d’un mage humain, et cet enfant naquit des abus de celui-ci sur la jeune femme. Ressemblant physiquement à son père, celui-ci, contre toute attente, accueillit le nouveau né comme son héritier.
Noire était sa vie, et noire était la magie qu’on lui enseignait. La lumière lui était interdite, et c’est dans l’antre de son mage de père qu’il vécu ses jeunes années. Il ne pouvait sortir le jour, et jamais il ne vi le soleil durant cette période de sa vie. Ainsi, c’est aux étoiles et à la Lune, qu’il réserva son admiration.
Ainsi, la nuit devint sa passion, et il ne subissait plus le jour que pour ce simple moment de bonheur ou il pouvait sortir et admirer les astres. Il les sentait à la fois si proche et si lointains, si chaleureux et pourtant si froids. Chaque nuit lui apportait l’humilité de celui qui compare son existence à l’immensité des cieux.
Toute sa jeunesse fut placée sous le signe des ténèbres, et les seules lumières qui éclaircirent cette vie fut celle des étoiles.
Régulus, ou l’été de l’existence.
A la base de la patte de la constellation du Lion, Régulus la majestueuse guide les aventuriers vers l’espoir d’une vie meilleur. Ainsi il s’échappa. Suivant le roi des cieux lors d’une énième nuit d’observation, il perdit par hasard la trace de sa demeure.
Jamais plus il ne vit ou n’entendit parler de son père ou de ces lieux. Il suivit la voix des cieux vers un horizon inconnu. Toute la nuit durant, il marcha vers l’étoile, jusqu'à ce qu’il le rencontre pour la première fois.
Le soleil dans toute sa splendeur se leva à l’est, sortant des terres lointaines pour s’élever vers le zénith et ainsi effacer du ciel toutes traces des étoiles si belles et si douces que Zaìm ne pouvait cesser d’aimer. Il détesta l’astre du jour pour ça, et c’est la seule étoile qui n’est touchée par ses prières.
Dessinant les constellations, il réalisa son panthéon, chaque astre étant pour lui bien plus divin que tout autre dieu terrestre. Ses cartes du ciel décelaient le mouvement de chaque petite étoile et l’interprétait comme un signe. Ainsi, dès le coucher du soleil, il lit les astres. Il les entend murmurer au plus profond de son cœur. Il leur pose ses plus intimes questions, et parfois, parfois seulement, elles lui répondent.
Jamais plus il ne vit ou n’entendit parler de son père ou de ces lieux. Il suivit la voix des cieux vers un horizon inconnu. Toute la nuit durant, il marcha vers l’étoile, jusqu'à ce qu’il le rencontre pour la première fois.
Le soleil dans toute sa splendeur se leva à l’est, sortant des terres lointaines pour s’élever vers le zénith et ainsi effacer du ciel toutes traces des étoiles si belles et si douces que Zaìm ne pouvait cesser d’aimer. Il détesta l’astre du jour pour ça, et c’est la seule étoile qui n’est touchée par ses prières.
Dessinant les constellations, il réalisa son panthéon, chaque astre étant pour lui bien plus divin que tout autre dieu terrestre. Ses cartes du ciel décelaient le mouvement de chaque petite étoile et l’interprétait comme un signe. Ainsi, dès le coucher du soleil, il lit les astres. Il les entend murmurer au plus profond de son cœur. Il leur pose ses plus intimes questions, et parfois, parfois seulement, elles lui répondent.
Antarès, ou l’automne d’un être.
La tête de la constellation du scorpion est marquée d’un rubis étincelant qu’on nomme Antarès. Le poison du scorpion distillé par cette étoile marque la fin d’un âge et la soudaine décrépitude d’un être, d’une âme, d’une nation ou d’un monde.
Et c’est son monde qui s’est écroulé.
Il vivait en ermite, les sommets des montagnes étaient les meilleurs observatoires, loin au dessus des nuages et des lumières des villes. Dans les sommets il avait construit son télescope, une machine grandiose qu’il ne cessait d’améliorer avec le temps.
Étoffant ses cartes, étoffant sa connaissance du ciel, nuit après nuit, il observait chaque astre, tour à tour. Il fit cela toutes les nuits durant des années, jusqu’à une certaine nuit. Cette nuit là il observait Antarès. En cette période de l’année, le scorpion se levait haut dans le ciel du sud, et, en réglant l’appareil sur la dite étoile, il vit l’enfer.
La géante rouge, magnifiques vestiges d’une étoile jadis brulante. Un astre à l’agonie.
La douleur de la vie de l’étoile lui transperça le cœur, et au petit matin, c’est le visage plein de larmes qu’il observa avec compassion cette lointaine boule de feu céleste se coucher à l’horizon.
La futilité de son existence le frappa de plein fouet. Il aimait cette étoile, et se retrouvait condamné à la regarder mourir, incapable de quoi que ce soit, incapable même de survivre assez longtemps pour rester à son chevet.
Il plia son télescope, plia soigneusement ses cartes, et partit en voyage. Il savait qu’il ne pourrait rien faire, mais il ne pouvait juste pas rester inactif. Il fallait qu’il tente quelque chose, il fallait qu’il dédie sa misérable existence à la sauvegarde de cette étoile.
Et c’est son monde qui s’est écroulé.
Il vivait en ermite, les sommets des montagnes étaient les meilleurs observatoires, loin au dessus des nuages et des lumières des villes. Dans les sommets il avait construit son télescope, une machine grandiose qu’il ne cessait d’améliorer avec le temps.
Étoffant ses cartes, étoffant sa connaissance du ciel, nuit après nuit, il observait chaque astre, tour à tour. Il fit cela toutes les nuits durant des années, jusqu’à une certaine nuit. Cette nuit là il observait Antarès. En cette période de l’année, le scorpion se levait haut dans le ciel du sud, et, en réglant l’appareil sur la dite étoile, il vit l’enfer.
La géante rouge, magnifiques vestiges d’une étoile jadis brulante. Un astre à l’agonie.
La douleur de la vie de l’étoile lui transperça le cœur, et au petit matin, c’est le visage plein de larmes qu’il observa avec compassion cette lointaine boule de feu céleste se coucher à l’horizon.
La futilité de son existence le frappa de plein fouet. Il aimait cette étoile, et se retrouvait condamné à la regarder mourir, incapable de quoi que ce soit, incapable même de survivre assez longtemps pour rester à son chevet.
Il plia son télescope, plia soigneusement ses cartes, et partit en voyage. Il savait qu’il ne pourrait rien faire, mais il ne pouvait juste pas rester inactif. Il fallait qu’il tente quelque chose, il fallait qu’il dédie sa misérable existence à la sauvegarde de cette étoile.
Fomalhaut, ou l’hiver d’une histoire.
Le poisson austral est une constellation bien singulière. Discrète dans le ciel, elle se démarque néanmoins par surnaturelle lueur de l’étoile qui forme sa tête, Fomalhaut. Cette froide étoile fut son guide et sa muse pour son voyage.
Jeune étoile pleine de promesse, parente d’une planète juste née, elle lui apporte paix et conseils quant aux choix qu’il a à faire. La mort programmée d’Antarès peut survenir n’importe quand, et rien que la lumière provenant de l’explosion mettrait plusieurs siècles à le parvenir. Hanté par les visions de cette catastrophe, et par la peur qu’elle se soit déjà produite, il va par monts et par vaux, arpentant les plaines, les vallées, les sommets, les mers et les villes.
Il vit de la noire magie qu’il maitrise héréditairement, il survit en combattant tel que les étoiles lui ont appris. Il subsiste et voyage, cherchant les connaissances célestes les plus poussées.
Que ce soit dans les bibliothèques ou sommet d’un arbre, que ce soit sur une carte ou directement dans le ciel, bien rare sont les moments ou ses yeux lâchent la voute céleste pour s’attarder sur les futilités mortelles de ce monde.
Par Aldébaran, Régulus, Antarès et Fomalhaut, son but est maintenant bien fixé.
C’est une étoile, qu’il doit soigner.
Jeune étoile pleine de promesse, parente d’une planète juste née, elle lui apporte paix et conseils quant aux choix qu’il a à faire. La mort programmée d’Antarès peut survenir n’importe quand, et rien que la lumière provenant de l’explosion mettrait plusieurs siècles à le parvenir. Hanté par les visions de cette catastrophe, et par la peur qu’elle se soit déjà produite, il va par monts et par vaux, arpentant les plaines, les vallées, les sommets, les mers et les villes.
Il vit de la noire magie qu’il maitrise héréditairement, il survit en combattant tel que les étoiles lui ont appris. Il subsiste et voyage, cherchant les connaissances célestes les plus poussées.
Que ce soit dans les bibliothèques ou sommet d’un arbre, que ce soit sur une carte ou directement dans le ciel, bien rare sont les moments ou ses yeux lâchent la voute céleste pour s’attarder sur les futilités mortelles de ce monde.
Par Aldébaran, Régulus, Antarès et Fomalhaut, son but est maintenant bien fixé.
C’est une étoile, qu’il doit soigner.
Epilogue à l’histoire.
Qui donc peut bien croire qu’un simple petit point dans le ciel peut parler ? Absurde, n’est-ce pas ? Alors dites-moi, qu’est-il arrivé à cet homme après cela ? à-t-il réussi à soigner son étoile ?
Ces questions sont pertinentes, mais n’ont malheureusement pas encore de réponse. Car après ces quatre saisons de sa vie, une nouvelle année commence pour Zaìm.
Maintenant se joue pour lui un nouveau printemps, un nouveau futur qu’il devra écrire. Ses buts sont enfin fixés, les étoiles enfin, lui ont indiqué le chemin à suivre. Mais elles seules savent ce qu’il y trouvera …
L'histoire continue.
Ces questions sont pertinentes, mais n’ont malheureusement pas encore de réponse. Car après ces quatre saisons de sa vie, une nouvelle année commence pour Zaìm.
Maintenant se joue pour lui un nouveau printemps, un nouveau futur qu’il devra écrire. Ses buts sont enfin fixés, les étoiles enfin, lui ont indiqué le chemin à suivre. Mais elles seules savent ce qu’il y trouvera …
L'histoire continue.
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Ophiuchus, le nécromancien.
Même si son père fut son principal enseignant dans la discipline magique de la mort, c’est grâce au ciel qu’il apprit ses plus beaux tours. Ophiuchus, la grande constellation du serpent, celle qui fut exclue des 12 du zodiaque comme la nécromancie fut exclue des écoles de magies réglementaires, observait ses progrès jours après jours.
Guidé par ces étoiles, Zaìm apprit bien plus que les simples tours de magie de son père. Gran Kain n’était pas une solution envisageable pour lui. Quelle idée de puiser les ténèbres dans un dieu ingrat, alors qu’ils sont chaque nuit présent entre chaque étoile.
Par cet enseignement, il apprit à changer sa forme. Il pouvait depuis longtemps appeler des morts à son service. Mais à présent, il pouvait renoncer un instant à sa vie, la confier aux étoiles, et devenir un mort vivant lui aussi.
Guidé par ces étoiles, Zaìm apprit bien plus que les simples tours de magie de son père. Gran Kain n’était pas une solution envisageable pour lui. Quelle idée de puiser les ténèbres dans un dieu ingrat, alors qu’ils sont chaque nuit présent entre chaque étoile.
Par cet enseignement, il apprit à changer sa forme. Il pouvait depuis longtemps appeler des morts à son service. Mais à présent, il pouvait renoncer un instant à sa vie, la confier aux étoiles, et devenir un mort vivant lui aussi.
Spoiler:
Raoul, l’homme fort.
La résistance physique, la force du corps, l’endurance. C’est ce que représente à ses yeux le grand dessin céleste représentant Raoul. Il suivit cet exemple, et entraina son corps à résister aux assauts les plus violents. Armé d’une épée, d’un bouclier, et de ses connaissances en magie noire, il fait mine d’un petit chevalier dans une armure trop grande.
Mais cet entrainement ne fut pas en vain, et grâce à lui, il sut dépasser l’apparente fragilité de son corps, pour en faire un mur au service des étoiles, au service de Raoul.
Mais cet entrainement ne fut pas en vain, et grâce à lui, il sut dépasser l’apparente fragilité de son corps, pour en faire un mur au service des étoiles, au service de Raoul.
Spoiler:
Paris, le héros.
Raoul était sa défense, mais c’est Paris qui lui apprit l’attaque. Suivant les formes de la constellation héroïque, il s’arma de deux bouts de bois, et s’entraina chaque nuit à l’imiter.
Au fil du temps, il sut comment faire couler la puissance des étoiles en ces armes, et l’abattre sur ses ennemis. A la manière d’un gladiateur, il finit par manier des lames doubles.
Quand la magie ne suffit plus, il dégaine ces armes, et déchaine sur son ennemi la colère de celui qui déifie les astres.
Au fil du temps, il sut comment faire couler la puissance des étoiles en ces armes, et l’abattre sur ses ennemis. A la manière d’un gladiateur, il finit par manier des lames doubles.
Quand la magie ne suffit plus, il dégaine ces armes, et déchaine sur son ennemi la colère de celui qui déifie les astres.
Spoiler:
Verseau, le prêtre.
La grande constellation du Verseau lui apprit la compassion, le bonheur de pouvoir aider les autres, et la mission de prêcher la parole du ciel sur terre.
Pour cela il développa d’étranges pouvoirs, des pouvoirs curatifs, des bénédictions improbables. Dénaturant sa fonction de nécromancien, il réalisa des sorts étrange, capable malgré leur nature de renforcer ou guérir.
Suivant l’Eridan qui s’écoule du pot du Verseau, il pense pouvoir dépasser ce que son père à fait de lui, et ainsi se découvrir de nouveaux pouvoirs, qui peut être, pourront l’aider pour sauver Antarès.
Pour cela il développa d’étranges pouvoirs, des pouvoirs curatifs, des bénédictions improbables. Dénaturant sa fonction de nécromancien, il réalisa des sorts étrange, capable malgré leur nature de renforcer ou guérir.
Suivant l’Eridan qui s’écoule du pot du Verseau, il pense pouvoir dépasser ce que son père à fait de lui, et ainsi se découvrir de nouveaux pouvoirs, qui peut être, pourront l’aider pour sauver Antarès.
Spoiler:
Le Chat, le changement.
Une ancienne petite constellation oubliée rappela sa présence à Zaìm un soir. La constellation du chat, écrasée par l’Hydre, sa voisine, elle offrit sans réserve ses maigres pouvoirs au seul mortel qui prenait le temps de l’observer.
Il fut autorisé à abandonner un instant sa condition d’humain, remettant son corps au ciel, il peut maintenant emprunter celui du chat céleste, et en prendre la forme sur la terre.
Ainsi il obtient la rapidité et l’agilité du félin tant que cette forme dure, en contrepartie, son pouvoir magique rejoint son corps au sein des astres, et est ainsi inutilisable le temps de la transformation.
Il fut autorisé à abandonner un instant sa condition d’humain, remettant son corps au ciel, il peut maintenant emprunter celui du chat céleste, et en prendre la forme sur la terre.
Ainsi il obtient la rapidité et l’agilité du félin tant que cette forme dure, en contrepartie, son pouvoir magique rejoint son corps au sein des astres, et est ainsi inutilisable le temps de la transformation.
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