Qui s'y frotte...

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Balou
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Qui s'y frotte...

Message par Balou » mar. 9 octobre 2007 à 10h30

La lueur est maussade comme l'humeur du mage.

Il avait pressenti que quelque chose arrivait en se rendant au village des chasseurs pour réceptionner le colis précieux qu'il attendait. Ce qu'il avait trouvé à son arrivée était un bain de sang. Un carnage. La tête du chef de milice avait été séparée de son corps lui même fendu de part en part.

Les rescapés parlaient de deux orcs sauvages aux yeux injectés de sang. Ils avaient fondus sur le village comme un dragon sur un orc de Kétra.

Comment allait il expliquer à l'ordre des mages d'Aden que la Pierre n'était pas en sa possession ? Il avait donné sa parole. Pris de rage il donna un coup de pied dans ce qui semblait être une rate, ou un foie puis il appela sa chaise à porteur. Il fendit la foule des villageois hagards et reprit la route.

A son arrivée à Aden, le conseil le fit appeler.

Et bien Eryin, ta parole semble aussi légère que le vent.

Il resta silencieux. Que pouvait il dire ?

Sais tu qu'ils ont eu le toupet de nous faire parvenir un message ?

Silence.
Répondant au signe de tête du hiérarque, le héraut s'avança et lu la missive rédigée par les orcs.

Messieurs des églises, messieurs des fioles expérimentales,

Veuillez agréer nos sauvages salutations. Nous, c'est à dire lui et moi ou moi et lui si vous préférez, avons en commun acord avec nous même décidé de vous faire du tort. Par pur plaisir et dans une perspective d'enrichissement personnel. Vous conviendrez qu'il s'agit là de motivations manquant terriblement de profondeur. Nous en convenons aussi. Nous ne sommes que le fruit d'une époque bien médiocre et nous entendons bien tirer notre épingle du jeu. Vous vous enrichissez suffisamment pour que nous puissions ramasser quelques miettes. Ce que nous vous prions d'agréer derechef.

Par conséquent, puisque nous sommes en possession d'un élément participant de votre enrichissement, nous requérons de vos hautes bienveillances les éléments suivants :

2 dragons coureurs
la somme de 500 000 000 d'adenas en liquidité sonnantes et trébuchantes

C'est peu. Cela nous suffit pourtant. Vous ferez déposer cette compensation raisonnable à nos efforts au pied de la falaise du Passage Interdit.

Par avance, veuillez accepter nos remerciements les plus chaleureux.

Lui et moi.


Silence encore.
Eryin baisse la tête. Que peut il faire ?

Katash
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Message par Katash » mar. 9 octobre 2007 à 12h12

Deux jours plus tard, aux confins d'une des forêts qui borde le passage Interdit; sombre, vide en apparence, le seul son qui se faisait entendre était celui du claquement de dents d'Eryin, envoyé par le Conseiller d'Aden pour porter une missive en réponse à celle de "lui et l'autre".

D'un pas plus qu'hésitant, il avançait en espérant ne pas les trouver, qui sait, peut être le Conseiller lui accordera le bénéfice du doute, et enverra quelqu'un d'autre porter cette missive qui, s'il en croit le peu qu'il a pu en lire, ne laissera sans doute pas de marbre les personnes concernées...

Frissonnant, le regard balayant sans cesse chaque détours, chaque arbre, de peur d'en voir surgir un "je ne sais quoi" pouvant lui nuire, il avalait avec grand mal sa salive.

Avec un raclement de gorge sèche plus bruyant qu'un ivrogne qui laisserait entendre sa satisfaction orale après trois litres de bières, il s'osa à un appel à voix basse qu'il espérait sans réponse :


- hmmm...S'il vo...s'il vous plait ?!

Ses maxillaires battaient la chamade sur un rythme incessant, cherchant du regard un signe, un mouvement, une présence....Rien...
Il réitéra en se disant qu'après il filerait et invoquerait la malchance de n'avoir trouvé personne.


- Mes...Messires, s'il vous plait, j'ai...j'ai une missive de la plus haute importance pour vous ! *Donnant plus de ton à sa voix* Une Missive du Conseilelr d'Aden lui même qui vous honneur de sa plume !


*Silence*

Un léger sourire hésitant se dessina sur les lèvres d'Eryin, heureux de ne trouver aucune réponse ; retrouvant un peu de vigueur dans ses mollets tétanisés, il fit demi tour d'un pas vif et *POUNK*

Une vive douleur prit Eryin qui venait de s'aplatir le nez, la douleur était telle que les larmes lui montèrent aussi tôt, lui brouillant la vue; qu'est-ce ? Un arbre ? Un Mur ? Un Dragon ? Il n'osait essuyer ses larmes par peur de la vérité...


-Aie..Fichtre mais que...

Reculant à tâtons pour s'écarter de "la chose" sur laquelle il avait cogné, Eryin fut reprit de frissonnement, de claquement de dents et de nausées inopinés.
Sa retraite fut quelque peu endiguées par un *Schponk* plus faiblard, pas douloureux, pas encore du moins pensa t il.

Un sursaut lui fit faire demi-tour, il n'osait toujours pas s'essuyer les yeux il se contentait de balbutier :


- Je...je suis envoyé par le Conseiller d'Aden, je suis là en paix ! *Ayant compris que nul arbres ne se trouvaient devant et derrière lui, et que de ce fait, il ne pouvait s'agir que de...

Une main large comme un dessous de plat empoigna Eryin par le col le ramenant vers un torse aussi large qu'un buffle, puis une tête aux traits épais et peu accueillante...

- Ca ressemble pas à un livreur de Dragon ça! Dit une voix derrière Eryin qui se tortillait sur la pointe des pieds pour se dégager de son étreinte.

- Ca ressemble plus à une offense, ils n'ont pas l'air d'avoir pris au sérieux nos doléances, dommage pour eux. Rétorqua l'autre

Eryin toujours frétillant tel un lombric accroché à un hameçon tenta une riposte verbale.

- Mes..messires je vous en conjure, ma hiérarchie m'envoie pour tenter le dialogue avec vous, non pas pour vous défier, soyez raisonnable.

La sueur perlait sur le front du pauvre damne qui commençait à ne plus avoir aucun contrôle sur son sphincter.

- Dialoguer ? Hmmm..On n'a pas demandé de dialogue, juste des actions, je crois que l'on va devoir ré insister sur ce point.

- J'ai horreur de me répéter, on va le leur faire savoir.


Ce dernier attrapa Eryin par la touffe capillaire, le libérant de l'étreinte du second, et commença à le trainer dans les fourrés pour...

- Mais..Mais attendeeeez je..je suis venu en paix !!!! Hurlait le pauvre Eryin

- Et tu vas nous la foutre la paix !

Se furent les dernières paroles tangibles qui se firent entendre avant un cris de terreur qui ne dura qu'un temps...

[...]

Quelques jours plus tard, l'un des gardes de l'entrée Nord d'Aden accouru au près du Conseiller lui apportant un paquet, visqueux, nauséabond.

- Messire, nous avons trouvé ceci devant l'entrée de la ville !

Le Conseiller observait le paquet, sa répugnance fut immédiate, il n'osa pas l'ouvrir lui-même et ordonna au garde de le faire pour lui.

Dedans...Une tête, celle d'Eryin, décapité, son visage arborait encore les traits de terreur figés postmortem.

Sur l'emballage, écrit en lettres de sang, un court message :


"Laissez, on va venir se servir nous même."

Balou
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Message par Balou » mer. 10 octobre 2007 à 08h23

Bar de Giran.

Effluves éthylliques prononcées. En clair : ça pue la vinasse et la bière éventrée. Les sourires sont édentés et les rires gras.
La porte s'ouvre violemment.

Klouan se tait et fait signe de la main à son compagnon. Peloera, elf blanc laisse tomber sa chope. Au bar, les ivrognes tombent en arrière et se cognent la tête au sol.

Le chambranle de la porte s'écroule en laissant passer ce qui semble être une montagne.

Je le connais ! s'exclame machin, l'ivrogne au coin du bar.

Moi aussi rétorque bidule, l'autre ivrogne au coin du coin du bar.

A vrai dire, tout le monde semble connaitre cet orc qui vient d'entrer en laissant un trou béant en guise d'ouverture.

M'sieurs dames salut celui ci avec un rictus sarcastique.

Les gueuses se cachent derrière le comptoir et les clients commencent à sortir. L'orc s'atable, hèle une serveuse et commande un verre de lait de sepulcher. Les regards se détournent et le lieu se vide.

Au fond de la taverne, un autre orc observe la scéne, se lève et se dirige vers le nouvel arrivant.

Il se nomme Krum.

Et bien Balou ! Tu fais encore sensation je vois ! Voila si longtemps que l'on ne t'a pas vu. Que deviens tu frère ?

Balou lève la tête vers cette vieille connaissance. Il le regarde d'un air bravache.

Krum. Tient donc. Encore avec ta bande de lourdauds et tes rêves d'hégémonie ?

Surpris, Krum observe Balou puis répond :

Et bien l'ami te voila devenu fort peu respectueux. Je t'ai connu dans de meilleurs dispositions ! Que t'arrive t'il ?

Ecoute, je n'ai aucune envie de te parler. Tu n'as pas à me poser de question et si mon pied est encore au sol il ne tient qu'à toi qu'il aille botter ton derrière.


Décontenancé par la réaction de ce vieil ami, Krum commence à s'énerver.

Alors ça ! Vieux crouton ! Te voila revenu d'on ne sait où et plus malpoli qu'un troupeau d'elpy en période de rut ! Les temps ont changé Balou. Ta carrière est du passée et tu n'impressionnes plus que les enfants effrayés par les comtes de grand mères.

Dégage lance laconiquement Balou.

Fou de colère, Krum attrape Balou par l'encolure de sa cuirasse et tente de le trainer à l'extérieur de l'auberge. Balou se lève alors et sort de son dos une épée démesurée.

Tu m'a touché ! Tu as osé me toucher ?

Et je vais faire bien plus
répond Krum qui assène à l'orc un coup à tuer net un dragon.

S'engage alors un combat entre les deux orcs. Les coups sont d'une violence inouie. Les armures sont mises à rude épreuve et le sang commence à couler.

Alors que Balou tente de fendre son ancien ami de part en part, celui ci utilise l'énergie sacrée. Et laisse l'orc au sol.

Krum lui jette un regard désapointé, range ses poings d'acier et retourne attristé vers la taverne tandis que la foule des curieux se presse autour du corps de Balou. Il gît là, en sang, inconscient.

Mais tandis que Krum range ses affaires et s'appréte à porter la nouvelle à son clan s'élève un grognement bestial derrière lui. A quatre pattes, Balou se traine vers lui.

Revient donc ! rugit il.

Mais enfin Balou, je ne vais pas te tuer tout de même ! Que tu sois devenu fou c'est une chose. Mais réagit ! Nous nous connaissons depuis si longtemps.

Sourd aux conseils de son ancien ami, Balou s'appuie sur sson épée pour se relever, penche la tête vers le sol en fermant les yeux, puis se redresse complétement. Ses yeux sont injectés de sang et son visage déformé par la haine.

On se connait ?! Hurle t'il en bavant.
Que connais tu de moi mmmhhhh ? Tu ne sais rien ! Tu n'es qu'un ignare pataud et vantard.Tes orcs te montent à la tête et je vais détacher celle ci de ton corps.

Puis l'orc s'élance alors vers Krum et le combat reprend. Plus féroce encore, plus violent. Et cette fois Krum mord la poussière. Observant le corps allongé, Balou crache à terre, fait mine de se retourner puis décoche un coup de pied sauvage au visage de Krum. Seul un gémissement sort de ses lèvres.

Tenant à peine sur ses jambes, Balou regarde les citadins autour de lui puis leur montre ses dents dans un grognement.

Quelqu'un d'autre veut des calins !?

Sitôt dit, sitôt la cour de l'auberge se vide. Balou éclate alors de rire, se dirige vers le grill de la taverne et prend les brochettes qui y cuisent puis les emporte avec lui hors de la ville.[/u][/i]

Krum
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Message par Krum » mer. 10 octobre 2007 à 13h15

Krum etait là, face au sol, inerte.

Il repensait au combat qui venait tout juste de se derouler...
Il essayait de se rapeller ce qu'il a vu avant de s'ecraser comme un vuglaire chiffon au sol.
Balou se relevant a l'aide de son epee... puis un cri... et la... il ne sait plus
C'etait bien trop rapide, comme un eclaire, il ne se souvien que d'une seule chose: la douleur.

Il la ressent encore, elle est demesure. Krum semblait pleurer... la douleur etait surment intenable, ce n'etait pas un coup parmis tant d'autre qu'il eu a encaisser dans sa vie de guerrier, c'etait l'entaille d'un ami qui semblait changer ....

L'orc tenta de rassembler toute ses forces pour se relever, il commenca a s'elever puis retomba comme une enclume se montrant pitoyable au regard des passants.
Refusant tout aide il resta la pendant toute une lune, au soleil levant la blessure etait encore bien la mais il avait recupere assez de force pour se redresser et il alla s'isoler quelque temps....

C'est selement apres quelque heure qu'on le revit dans les rues, il cherchait Balou sans aucun doute... pour se vanger ? non surment pas, mais pour avoir des reponses ...
Il decida donc de ce rendre partout l'ou pourrait parler de son ami lunatique.
[ image externe ]
"Un mago est aussi simple a monter qu'a démonter" Un orc bien penseur.
La prophétie de l'aveugle : "Je te poutrerai"

Balou
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Message par Balou » mer. 24 octobre 2007 à 07h20

Goddard.

L'après midi est bien entamée. Balou vient prendre quelques denrées. Les paysans alentours utilisent comme aliment pour leur bétail de la fiente de Stakato. Cela donne un goût étrange et artificiel à la viande et Balou veut donc du riz.

Il connait parfaitement les régles établies par les Amtaks mais s'en moque : il ne quittera ni son armure ni son arme.

Sur le parvis de l'église, un orc l'interpelle :

"Hey toi ! Ne connais tu donc pas les lois ?"

Balou ne répond pas.

"Hey je te parle guerrier. L'on me nomme Taranis l'aveugle. Quitte cette armure que je sens sur toi."

Amusé, Balou continu son chemin, entre dans une épicerie tenue par des nains, prend les sacs de nourriture dont il a besoin, bouscule le tenancier de la boutique lorsqu'il demande un paiement, puis retourne sur la place de la ville.

L'aveugle s'y trouve encore. Il est en compagnie d'un autre orc. Balou le connait : il s'agit de Thorolf. Les deux orcs parlent à voix basse et le dévisagent. L'aveugle semble le voir malgré son infirmité.

"Guerrier : tu braves sciemment les lois en vigueur. Tu devras donc payer le prix."

Faisant signe à l'aveugle, Thorolf parle à la magicienne du temple. En l'espace d'une seconde, les trois orcs sont transportés dans un lieu clos. Taranis sort alors une arme et semble observer dans la direction de Balou.

"Bon l'infirme, tes simagrées commencent à me courrir. Ceci, c'est une épée. Elle est grosse. Très grosse. Tu ne la vois pas mais tu vas bientôt la sentir."


Avec un sourire amusé Balou fond sur l'aveugle. Le combat s'engage puis Taranis tombe au sol, inconscient. Thorolf dégaine alors son arme. Puis mord lui aussi la poussière.

Balou ramasse alors ses sacs de riz, ses bouteilles d'eau de la forge des dieux et s'en va rejoindre son campement où l'attend son acolyte. La soirée sera agrémentée de franches rigolades car Balou a d'amusantes histoires à comter à son compagnon.

Katash
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Message par Katash » mar. 30 octobre 2007 à 08h57

La forêt s'animait de sons rauques, de rires gras, de hurlrments divers. Une agitation peu commune dans ce lieu isolé, ou seul les chênes multicentenaires avaient leur place.

Pourtant posé là, au milieu d'eux, se quiressemblait à un camp de fortune, barrique de bière en quantité, meubles d'appoint divers, fauteuil contrastant avec le lieu, coffres renferment moultes trésors, caisses de nourriture...Et au milieu de tout ça, deuc Orcs.

L'un était étendu sur le côté, une chope de bière énorme qu'il portait avec entrain à ses lèvres, près du feu qui illuminait leur place de fortune; il riait, il riait de bon coeur et sans se cacher.

Se qui faisait rire le premier, était le second qui, de l'autre côté du feu, s'extenuait à mimer ses dernières joutes glorieuses, rixes inhopinées avec certains habitants de ces terres, des verrues selon lui, il mimait avec quelle facilité il mit ses ennemis aussi bas qu'un animal.

Il était difficile de voir le danger émanant de cet endroit, à entendre tant de guetté dans les rires....

[...]

La carcasse sans chair du koukaboora roti gisait encore un peu fumante, l'heure était pour l'un à la digestion, pour l'autre à l'entretien de ses biens.

- Cela fait maintenant plusieurs Lunes que tu m'as récupérés, baignant dans mon propre sang d'après tes dires; j'ai enfin retrouvé mes capacités physiques, jevais pouvoirs t'accompagner un peu plus désormais. J'en ai assez de ne faire que de petits coups sans dangers, piller de simples villages de bois ne m exite pas plus que de dérober sa bourse à un badaud...

L'autre astiquait sans mots son arrmure rouge et noir, il écoutait, opinait de la tête de temps à autres.

- Dès demain, nous pourrons allez ensemble chercher nos dus dans les grandes villes !

Son acolyte acquiessa de la tête sans mots, signifiant qu'i lattendait ça aussi.

- Hmmm..Une question uand même, pourquoi m'appeler Gorghor Bey ?

L'autre Orc le regarda et eclata de rire, mais il ne donna pas de réponse, peut être lui en donnera t il une plus tard, qui sait.

Balou
Zombie Lord Farakelsus
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Message par Balou » mar. 30 octobre 2007 à 12h39

ha ha ha ha ha
Ne vous y trompez pas. Il s'agit d'un rire intérieur. Balou regarde avec amusement son accolyte.

Tu le sauras bien assez tôt Gorghor. Tu le sauras.

Après quelques secondes de silence qu'ils passèrent à se sonder l'un l'autre les deux orcs se remirent à boire et parler.

Vois tu cher ami, il en va ainsi de ce monde. Kierkegaard lui même s'en est étonné. Cet humain avait une pensée féconde sais tu ?

Certes certes. Mais cette théorie de la métempsychose m'a toujours paru fumeuse. Il s'agit pour moi de comte de bonne femme élevé au rang de la pensée philosophique.

Il est vrai aquiesca Balou en se levant et en prenant son épée. Son comparse l'observa se diriger à pas mesurés vers un buisson éloigné, abattre son arme avec une violence prodigieuse puis sortir du fouret deux malandrins désormais étêtés en continuant à deviser comme si de rin n'était.

Mais trêve de bavardages Gorghor. J'ai eu quelques mots avec un seigneur de Goddard. Le gueux voulait m'imposer ses lois dans les terres chaudes bordant la forge des dieux. Ce pleutre s'est enfuit alors que je réglais son compte à un de ses compagnons : un elf sombre aussi épais qu'une racine. Ce seigneur qui se nommait Narayan était accompagné d'une fort belle femelle. Tu voulais une ville ? Amusons nous donc à Goddard qu'en penses tu ?

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Taranis
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Message par Taranis » mar. 30 octobre 2007 à 18h56

[Edit de Dog HRP]Il n'a jamais été interdit de broder les histoires se déroulant IG en les transposant sur le forum par écrit, nous le faisons tous, cela reste un jeu ou tout est imagné.

Dog[HRP]


Tara: J'en ai déja parler avec Balou. Merci.
Je te demande donc, Balou de faire ce sur quoi nous étions d'accord.

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