La mort construit tout autant qu'elle détruit. La vie en fait de même. Et c'est une folie pure -n'est-ce pas ?- que de construire une œuvre tout au long de sa vie, pour peut-être, la voir détruite par la mort. Qu'il en faut peu pour nous perdre ou nous sauver.. !
Pourtant...
L'Alliance de ces êtres, réunis par le destin ou par la volonté immuable de perdurer, restait encore et toujours debout, dans la tourmente. Un voile de ténèbres s'était levé sur Ether, mais leur Lumière persistait. Oiseau ondoyant, aux reflets ambrés, le Phénix se mouvait, rayonnait, patientait.
Ils n'étaient sûrs que d'une chose : les dés étaient jetés. Le Nord se nourrissait de la corruption des êtres, pour engendrer davantage de souffrance. Il guidait à lui les tueurs enivrés de meurtres et de sang, les aspirants à dominer, tous ces êtres réunis par l'odeur de la mort et du sang. Les récents mouvements des armées Goddaroises leur avaient indiqué tout ce qu'ils avaient besoin de savoir : la dame de Pierre se réveillait, et la soif de combat des Sombres se portait sur le Sud, en même temps qu'ils se joignaient aux armées de Schuttgart.
L'opposition entre le Nord et le Sud était devenue monnaie courante, une vérité générale. Et au loin, ils voyaient ces troupes se former, prêtes à déferler sur eux aux côtés du dragon des cauchemars. Les inconscients... L'échec, ils l'avaient connu, par la suite, lorsque sournoisement les forces du Nord entrèrent aux côtés du Sud dans le monde des cauchemars... manquant de tous les tuer dans ce monde voilé par la débauche. Mais à trop jouer avec le feu, le Nord se perdrait.
Leur serment, avec le temps, restait le même. Ils ne se laisseraient jamais engloutir. Et cette interdépendance était le ciment d'une alliance. La Vindicte et la Mingol Throng Azul unirent leurs forces, formant d'un seul bloc le Phénix, face à l'Eclipse.
A jamais. A jamais ils seraient immortels. Préservés de l'oubli, puisque partie intégrante de l'histoire. Une récompense à leur souffrance, à leurs sacrifices, à leurs peines.
Et le sang jaillirait de nouveau, pour le bien de l'Aube.
Pourtant...
L'Alliance de ces êtres, réunis par le destin ou par la volonté immuable de perdurer, restait encore et toujours debout, dans la tourmente. Un voile de ténèbres s'était levé sur Ether, mais leur Lumière persistait. Oiseau ondoyant, aux reflets ambrés, le Phénix se mouvait, rayonnait, patientait.
Ils n'étaient sûrs que d'une chose : les dés étaient jetés. Le Nord se nourrissait de la corruption des êtres, pour engendrer davantage de souffrance. Il guidait à lui les tueurs enivrés de meurtres et de sang, les aspirants à dominer, tous ces êtres réunis par l'odeur de la mort et du sang. Les récents mouvements des armées Goddaroises leur avaient indiqué tout ce qu'ils avaient besoin de savoir : la dame de Pierre se réveillait, et la soif de combat des Sombres se portait sur le Sud, en même temps qu'ils se joignaient aux armées de Schuttgart.
L'opposition entre le Nord et le Sud était devenue monnaie courante, une vérité générale. Et au loin, ils voyaient ces troupes se former, prêtes à déferler sur eux aux côtés du dragon des cauchemars. Les inconscients... L'échec, ils l'avaient connu, par la suite, lorsque sournoisement les forces du Nord entrèrent aux côtés du Sud dans le monde des cauchemars... manquant de tous les tuer dans ce monde voilé par la débauche. Mais à trop jouer avec le feu, le Nord se perdrait.
Leur serment, avec le temps, restait le même. Ils ne se laisseraient jamais engloutir. Et cette interdépendance était le ciment d'une alliance. La Vindicte et la Mingol Throng Azul unirent leurs forces, formant d'un seul bloc le Phénix, face à l'Eclipse.
A jamais. A jamais ils seraient immortels. Préservés de l'oubli, puisque partie intégrante de l'histoire. Une récompense à leur souffrance, à leurs sacrifices, à leurs peines.
Et le sang jaillirait de nouveau, pour le bien de l'Aube.
(Alliance de la Vindicte et de la Mingol, pour le Sud - côté Vindicte)