[bgHumain] Altésia de Montoisy

[Adrastea]

Nom: de Montoisy
Prénom: Altésia
Age: 19 ans
Sexe: féminin
Origine: Althena
Croyance: Culte d'Einhasad
Profession: Invocatrice
Statut: Dame de Montoisy, orpheline, propriétaire des terrains de Montoisy, ancienne vassale du Comte Jolan d'Althéna, récemment acceptée comme vassale du prince Léo de Goddard. Recherchée depuis peu par la garde de Goddard.
Langue(s) parlée(s): Commun

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Ancienne description:

Spoiler:

Apparence physique: Des cheveux mi-longs roux flamboyant et des yeux bruns. Elle possède un nez retroussé et des hautes pommettes. Elle est souvent vêtue de tuniques de soie frappées aux armoiries de la famille de Montoisy, Altesia porte souvent quelques bracelets en or à son poignet droit et une bague à sa main gauche. La bague est en argent frappée d'un « M ».

Caractère: De nature plutôt souriante, Altésia est toujours prête à rendre service. Elle parle de sa famille avec grande fierté mais également avec beaucoup de tristesse. Elle essaye toujours de rester positive et pleine de vie et ce nonobstant son enfance difficile. Courageuse et téméraire, sa gentillesse peut parfois la faire passer pour une folle. Son sourire est éclatant de jeunesse et son rire frais et agréable.
Altésia peut cependant être aperçue le regard vide et mélancolique, sans doute plongé dans un douloureux souvenir, toujours le même.

Nouvelle description :

Spoiler:

Son apparence tant physique que vestimentaire... :

Jolie jeune femme de taille moyenne et de corpulence mince.

Son visage est rehaussé par des hautes pommettes, de forme ovale, agréable à regarder. Ses lèvres sont colorées d'un rouge vif

Ses cheveux sont roux foncés, mi-longs (ils s'arrêtent à hauteur de ses épaules) et tout le temps bien coiffés.

Ses yeux sont bruns, en "amande" et munis de longs cils. Ses sourcils sont fins et de la même couleur que ses cheveux.


Ses habits sont toujours très beaux, riches et parsemés de dorures et de détails qui attirent l'œil (chaines en or, broderies en or, tissus de haute qualité, etc.)


Son caractère...:

Son visage est inexpressif, sauf ses yeux sont encore réactifs et témoins d'une grande tristesse d'âme.
Elle qui était autrefois rieuse et amicale est maintenant complètement vide de sentiments.

Les récits qui vont suivre font partie d'un journal intime que vous avez trouvé en fouillant dans une riche demeure. Le journal, en cuir, était disposé délicatement sur une table vernie à coté de sept bracelets en or, d'une bague et d'une couronne en argent.

Rhum et sang

Le bruit du fer était insupportable. J'étais tapie sous l'armoire à glace, tout juste assez haute pour laisser passer mon corps d'enfant. J'entendais parfois le fracas de la porcelaine sur le plancher, suivi d'un cri, d'un juron, d'un corps qui tombait, dans un bruit sourd.
Quelqu'un entra dans ma chambre. Bottes hautes et brunes, lacets mal faits. Pirate. Je ne bougeais plus, je ne respirais plus, je n'étais plus là. Je vis de la dentelle tomber sur le sol, pureté au milieu de ce chaos. Que pouvait on chercher dans mes vêtements qui soient de l'intérêt d'un bandit?

J'étais effrayée et inquiète pour mes parents.

Une voix...

-Ce n'est pas ici.

Une seconde voix...plus grave et menaçante

-Tant pis, alors partons, ramassons les bijoux et autres richesses et fichons le camp avant que la garde rapplique.

Un rire atroce, la première voix, des mots, des horribles mots, des mots redoutés par n'importe quel enfant...

-Les parents sont morts. Les domestiques aussi. Aucune trace de la gamine, sans doute elle aura pris peur et se sera enfuie vers Althéna.

Les larmes, un torrent de larmes coulait sur mes mains qui empêchaient ma bouche de hurler. Les soubresauts faisaient cogner ma tête contre le fond de l'armoire dans un petit bruit. La maison était vide de ses pilleurs, vide de vie, car j'avais cessé de vivre à cet instant. J'avais sept ans , et déjà je mourais.


...Le silence...
Je sortais de ma cachette pour découvrir l'image tant redoutée de mes parents gisant dans une mare de sang, l'air serein. Ma mère regardant le visage de mon père, mon père lui rendant son regard. Deux trous profonds sur leurs flancs droits continuant de déverser par moment le liquide rouge.
Enfin je hurlais, comme hurle un nouveau né lorsqu'il reçoit sa première bouffée d'air, et à ma manière je renaissais moi aussi et cet hurlement fut le départ de ma nouvelle existence. Une existence rongée de vengeance.

Le temps qui passe

Le temps qui passe et ma haine qui grandit.

J'avais appris que les flottes de Zaken avaient fait, cette nuit là, plusieurs meurtres, pillages et viols.
J'avais quitté la demeure des Montoisy après l'assassinat de mes parents et m'étais dirigée vers le comté d'Althena, vêtue d'une pelisse en fourrure de keltir et d'une simple tunique.
Certains me regardèrent avec des yeux ahuris tandis que je marchais dans mes souliers usés et mes vêtements fripés, telle une moins que rien.
Il y avait une nuit sans lune, ou j'errais dans les rues d'Althéna, sans but, le regard vide. Les maisons étaient plongées dans l'obscurité totale. Il n'y avait pas une lueur dans la ville pour réchauffer mon cœur... Si. Il y avait le Temple de la Déesse et mes pieds m'avaient conduit devant.
Je rentrais dedans et m'écroulais sur le sol. Les yeux remplis de larmes et la bouche tremblante de douleur.

Alors je vis la chose la plus curieuse de mon existence, et elle m'eut détournée de ma peine. Un félin venait d'émerger dans le temple. Il était vêtu de riches habits violets et me regardais avec compassion. Comme il s'approchait je tentais de me relever mais trop tard. Le félin était sur moi déposa un anneau argenté au sol. L'alliance de ma mère. Pendant que je restais perturbée par cette découverte, mon merveilleux bienfaiteur s'était évaporé. Je ramassais l'anneau et le mit à la chaine autour de mon cou.
Je levais les yeux vers la Déesse.

-Merci...

[Adrastea]

"Qui soustrait la réalité aux yeux de l'Homme, possède le contrôle sur Son avenir."

Poète anonyme, -66.

Le plaisir

Je connais un nouveau sens dans ma vie. Un sens qui n'est pas négatif, non. C'est un sentiment en fait, quelque chose qui était enfoui au plus profond de mon être et dont le nom m'échappe encore.
Parfois, il suffit d'un rien pour retrouver le goût à la vie. je pensais que celà ne m'arriverait jamais. J'avais tort.
La meilleure chose qui me soit arrivée en fait, fut de quitter l'Ile Parlante, et de laisser derrière tous les souvenirs qu'elle possèdait sur moi. Mon indépendance était acquise et j'en jouissais tous les jours.
Arrivée à Gludio, j'ai directement entrepris mon apprentissage. Je suis passée par les endroits les plus sinitres comme les plus enchanteurs, et j'y suis arrivée, enfin...
Invocatrice, ce pourquoi j'étais faite. Je l'ai su depuis ce jour, dans le Temple. L'entrainement serait long et difficile, mais je peux compter sur les gens merveilleux que j'ai rencontré...
Si il faut que mon bonheur soit complet, il me faut encore une chose, mon chez-moi. Après réflexion, je pense que Goddard correspondra le mieux à mes attentes,je commence à connaitre la ville et j'apprécie beaucoup.
Il ne faut cependant pas que j'oublie mon objectif premier, me venger. Ce n'est pas un sentiment digne d'une jeune fille de ma condition, mais m'a t-on laissé le choix?
Rentrer maintenant. Car mes yeux se ferment pendant que j'écris ces lignes, et que l'auberge est loin. Il faut que je marche . La place est tranquille. Je regarde le hall marchand de Goddard. Oui, il faut rentrer maintenant avant que la ville se lève.

[Adrastea]

La rencontre

Il y avait cette elfe que j'avais rencontré, Adrastea Nen'Lauré, qui m'avait parlé de ses talents.
Elle avait réussi à force d'entrainement à canaliser l'eau qui est présente partout autour de nous, c'était très impressionant de voir les colonnes aquatiques se former devant ses yeux. Un vrai spectacle.

Je mourrais d'envie de pouvoir faire de telles choses de mes mains. Adrastea m'expliqua qu'il était permis à certains mages d'expliquer leur magie aux humains, tout en me mettant en garde que peu d'entre nous en sont finalement capables. Ma motivation était cependant très grande et je fus une élève attentive.


Les jours passèrent, puis les semaines, et enfin je parvins à créer mes propres colonnes d'eau. J'étais très émue.

Je sentais pour la première fois la magie couler dans mes veines, la magie offensive je veux dire. Et par Einhasad, que c'est agréable.

Spoiler:

Sub: Spellsinger

[Adrastea]

L'offre d'un Roi
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Et si j'avais tort depuis le début ? Si Aden était fait pour moi, et non Goddard?
L'histoire est banale, celle d'une personne qui cherche sa voie, tiraillée entre la Raison et la Passion, ces deux choses distinctes dans deux villes distinctes.

M'établir à Aden serait mieux vu à divers points de vue ; religieux, politique, ... tandis qu'à Goddard, je suis entourée de marchands, de dirigeants distants, mais j'y ai rencontré mes premiers amis en dehors d'Althéna..

J'ai parlé au Roi- un homme chalereux, plein de vie. Il m'a proposé de m'installer à Aden. Je ne sais pas ce que je peux faire... La guerre va bientôt faire rage et si je n'ai pas de décision d'ici là je me retrouverai démunie.

Le temps me dira que choisir.. le temps, où autre chose ..

[Adrastea]

Vous apercevez non loin du journal un parchemin chiffoné, et puis un peu plus loin un second parchemin bien plus long. Vous décidez de le lire d'autant plus que l'écriture vous semble lisible.

Montoisy, le 10 rougefeuille de l'an 48

Ma dame,


Je ne vous écrirais pas cette lettre si je ne jugeais pas la situation préoccupante.
Le fait est que depuis quelques jours, les gardes ont retrouvés deux femmes assassinées ainsi que du bétail égorgé. La thèse d'une créature a assez rapidement été écartée, nous portons plutôt nos soupçons sur une bande de malfrats qui aurait déjà sévi sur les terres voisines.

Nous avons pris compte du fait que vous êtes désormais établie dans la ville de Goddard, c'est d'ailleurs grâce à ça que nous avons pu vous envoyer cette lettre. Je vous demande ma dame de bien vouloir revenir sur vos terres afin d'assurer la protection de vos gens.

Je vous prie de croire en l'expression de mes sentiments les plus fidèles,
Votre Gouverneur , Edol de Selys.

Plus loin vous apercevez une feuille en boule, elle a quelques ratures- un brouillon visiblement - mais l'écriture y est plus fémine, sans doute appartient-elle à la femme dont vous vous trouvez dans la chambre.


Goddard, le 13 rougefeuille de l'an 48
Très cher Edol,


C'est avec une immense tristesse que j'ai parcouru votre rapport. Laissez moi le temps de réunir mes bagages et de prendre le bateau. Je devrais arriver en principe un jour après que cette lettre vous parvienne.

Avec mes salutations,

Altésia de Montoisy.

[Adrastea]

Changement
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J'ai fini par peser le pour et le contre et j'ai choisi. Aujourd'hui je deviens de manière officielle vassale de la ville de Goddard, me détachant ainsi d'Althéna.
Il est temps de prendre de l'avant et de ne plus me plonger dans le passé. Je serai éternellement reconnaissante au comté pour ce qu'il a fait dans la lutte contre Zaken, mais il est des choix dans la vie qui dépasse notre raison.

Par cette décision je marque donc ma loyauté à la principauté de Goddard, mon soutien tant financier que militaire aux idées du prince Léo.

Il faut maintenant que je rédige une lettre pour mon gouverneur, afin qu'il l'affiche à Althéna.

[Adrastea]

Ce qui est sacré
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Maintenant que je suis citoyenne de Goddard, il a fallu me trouver un emploi, ainsi est faite la loi dans la "Dame de Pierre".
J'ai eu la chance de rencontrer sur mon chemin la directrice de l'hopital de Goddard, Drathir. Une soigneuse dont la réputation n'est plus à faire. J'étais pleine d'admiration pour cet art si noble- celui de la guérison, des soins.
Drathir m'a proposé un poste comme assistante à l'hopital, c'était une véritable aubaine pour moi, d'autant plus que ça me donnait l'occasion de m'intéresser de plus près à ce que je désirais pour l'heure: ce pouvoir merveilleux qui éclairait la pièce d'un aura doré et envoutant.

Spoiler:

Sub : Shillen Elder

[Adrastea]

Spoiler:

Pour l'ambiance:

http://www.rainymood.com/
http://www.youtube.com/watch?v=9qvglWAHDak

Dans la chambre d'Altésia, on peut trouver son journal ouvert à cette page, la plume toujours posée dessus.
Que sais-je de la vie, alors que je n'ai pas vingt ans? Je sais qu'elle est cruelle et sans merci envers les plus faibles. Qu'ai-je fait aux dieux pour mériter un destin aussi tragique. Ma vie n'est faite que de déception. Pourquoi Déesse ? Non ne répond pas. Je viens chez toi, j'habite à deux pas.

Explique moi, explique toi. Je bois à ta santé, dans la folie de mon être qui me ronge depuis que j'ai connu le plus beau sentiment du monde.
Que la lame soit douce quand elle délivrera mon âme de ce corps détesté. Père, mère, accueillez moi.
C'est vrai ce qu'on raconte...

On meurt d'aimer.

[Adrastea]

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Rêve

La ville est en feu. Tout est feu, l'hôpital, la caserne, le château. Tout.

Je regarde les gens courir pour sauver leur misérable vie des flammes, mais elles sont bien trop rapides et finissent par les dévorer. Les idiots.
Moi elles ne me dévorent pas car je suis protégée de leurs caresses. Je suis dans une bulle, une bulle imperméable. Les flammes lèchent la paroi qui m'entoure sans réussir à la briser. J'avance et les corps brûlés tombent à mes pieds. Je n'y prête pas attention. Je me dirige vers la grande place, l'odeur y est pestilentielle. La chair carbonisée. Je vois des cadavres de toute forme, de tout âge, de toute race. Certains ne présentent étonnamment pas de traces du feu mais des taches noires aux bras, dans le dos.
Des rongeurs passent en groupe devant moi... Il doit bien y en avoir des milliers mais je n'ai pas peur. Je n'aurai plus jamais peur.


Je lève les yeux et je vois les arbres de la grande place se consumer, la fumée qui s'en dégage ne réussit pas à masquer le soleil au loin qui se lève.
Il se lève dans un immense rayonnement orangé... Ses rayons m'illuminent, me transpercent.


La vie revient en moi.

[Adrastea]

Cet ardent désir.
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Je venais de me réveiller à l'hôpital de Goddard. C'était très étrange comme sensation, comme si je renaissais à nouveau. Je suis sortie de mon lit, me suis vêtue et ai ouvert la porte. Comme je le pressentais, Zilvaere et des gardes étaient postés devant la porte. A contre-cœur, je les endormis et quitta l'hôpital pour me diriger vers ma maison.

Curieusement, la ville était peu peuplée ce matin là. Je ne vis ni le prince, ni Drathir, ni le général Dryan. Alors pour la première fois que je me suis demandée combien de temps j'avais passé inconsciente.

Alors que je me dirigeai vers ma maison, j'entendis des pas feutrés courir vers moi. C'était une de mes invocations. Fait étrange, je ne me rappelais pas en avoir demander une auprès de moi. Je la laissa néanmoins rester à mes cotés.

Arrivée chez moi, je fus heureuse de constater que rien ne semblait manquer. Je pris mon journal, des vêtements de toutes sortes, des bijoux, de l'argent et d'autres choses encore et je mis le tout dans un sac assez grand. Je pris bien soin de vérifier qu'il ne me manquait rien avant de repartir de chez moi.

La vérité était que je ne savais pas où aller... Mais je choisis d'aller à Aden.




Dans une autre vie, je me rappelle que le roi d'Aden s'était montré très accueillant et respectueux envers moi, je garde donc un bon souvenir de cette ville. Mais si j'étais venue dans la cité royale, ce n'était pas pour les mondanités -non ce temps là était désormais révolu. Je désirais aller voir une personne en particulier...

Je fis quelques pas et vit que l'esprit félin me suivait toujours. Je l'observai et me pencha près de son oreille:


« Tu es libre, esprit, tu m'as beaucoup servi dans ma quête. Malheureusement tu me rappelles trop de mauvais souvenirs encore récents. Il faut que je revienne en arrière, que je me lance vers une voie différente, une voie qui pourra davantage servir mes intérêts. Va maintenant. »
La créature fit quelques pas devant moi avant de disparaitre complètement. Je fus surprise de ne pas être émue...A vrai dire, depuis mon éveil, je ne ressentais plus rien comme émotion.

A l'heure ou j'écris ces phrases, je ne sais toujours pas ce que les dieux ont prévus comme desseins pour moi.

Mes rêves de flammes m'avaient beaucoup inspirés, et je suis certaine que ces rêves ne furent pas imaginés par mon subconscient par hasard. Cette impression s'accentuait d'avantage au fur et à mesure que je m'avançais vers les quartiers de la magie, à Aden.

Arrivée devant le bâtiment des pyromanciens, mon cœur s'est mis à battre très fort. Je rentrai...
Un homme d'un certain âge déjà m'accueillit et se présenta comme magistère du royaume et disposé à me rendre service.
Je lui confia que j'étais intéressée par l'apprentissage de la pyromancie.

Les yeux du vieillard se levèrent vers moi et devinrent brillants. Il éclata de rire et me dit de le suivre, ce que je fis.

...

Quelques mois plus tard
Les mois passèrent où je dut m'entrainer. Ayant des bases dans l'art, nous avons pu directement passer à une pratique plus poussée.


Au début mes flammes étaient comparables à une petite explosion artisanale, mais, après des jours et des jours d'entrainement, mon maître voulait qu'on aille s'entrainer aux « Marais Ardents », de peur que le bâtiment s'écroule sous la puissance de mes déflagrations.


Lorsque mon entrainement fut assez satisfaisant, je remercia mon maitre et quitta Aden.