[bghumain] Nylann KODALCOR

Ici se trouvent les BGs des héros décédés, paix à leurs âmes.

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[bghumain] Nylann KODALCOR

Message par alveon » jeu. 31 mars 2011 à 19h34

Nom : Kodoalcor
Prénom : Nylann
sexe: masculin
Age : une vingtaine d'années
classe : warlord
croyance : aucune
langue parlée : commun
description physique : Nylann est un homme mesurant près d'un mètre 80 et de corpulence moyenne. Les muscles dessinés sous sa peau bronzée font deviner un effort physique régulier.
Les traits de son visage sont finement dessinés, faisant ainsi ressortir ses yeux verts arrosés de dégradés de couleurs chaudes. Il est la plupart du temps mal rasé et ses cheveux cheveux bruns en bataille.
Autres: Étant d'ordinaire un homme patient et réfléchi, Nylann laisse parfois son tempérament impulsif et violent prendre le dessus, notamment sous l'effet de l'alcool.




Mon enfance s'était déroulée dans un petit village non-loin de Gludin. Vivant uniquement de pêche, nous embarquions souvent dans ce bateau, un petit navire de pêche portant le nom de mon père, Aërick. C'était avec celui-ci que nous partions souvent en mer, rentrant quelques jours plus tard, les bras chargés de poissons de toutes sortes.
Mes jours coulaient dans l'innocence jusqu'à ce jour...Ce jour, où, du haut de mes neufs ans à peine, je vis ma mère allongée sur le sol, les bras en croix, sans vie. Ce malheur anéantit mon père, qui, commençant à boire plus qu'il n'aurait dû, déchargeait couramment sa tristesse sur mon corps, qui devint vite couvert de bleus.

Subissant chaque jour les humeurs de mon père, je le vis pour la dernière fois lorsque, tombant du bateau en pleine mer, il m'avait demandé de le secourir. Ce jour-là, je n'avais pas réagi, me disant que ce ne serait pas plus mal qu'il rejoigne ma mère et qu'il serait surement mieux avec elle, me disant surtout que mes jours seraient surement moins pénibles sans sa douloureuse compagnie. Je m'étais donc éloigné, le laissant dans l'eau glaciale de l'hiver.
Héritant du peu que nous avions et travaillant où je pus, je m'entretins ainsi durant quelques années.

Alors que je fêtai mes 13 ans seul, je décidai de me faire plaisir, je me rendis donc au marché, cherchant ce qui me ferait plaisir. Rien n'attira mon regard jusqu'à ce que je passe devant ce marchand ambulant, un nain vendant toutes sortes d'armes, arcs, épées, marteaux, dagues et autres... C'est alors que je vis cette magnifique lance, semblant banale avec son manche de bois et sa pointe d'un métal plutôt brillant, je fus cependant sous le charme à la seconde où je l'aperçus.
Moi, m'approchant de l'étal du nain : -Excusez moi, messire nain..
-Mon garçon, que puis-je pour toi ?
Je me demandais le prix de cette lance …, dis-je en désignant l'arme du doigt
Celle-ci ? Tu es bien le premier qui me le demande, elle n'a jamais attiré la convoitise de qui que ce soit. Combien as-tu à ta disposition, mon garçon ?
Je lui tendis ma bourse, en silence.
Alors qu'il comptait, il me dit : Un manche en cèdre poli de mes soins, une pointe de fer bien affûtée, elle vaut bien cette petite somme, dit-il en séparant le tas de pièce présent sur la table en deux.
Ne pouvez-vous pas la solder ne serait-ce qu'un peu, messire nain ?, dis-je, tentant ma première négociation.
Le nain remit quelques pièces du tas de droite sur celui de gauche : Bien, mais sache, mon garçon, que c'est une fleur que je te fais, profites-en.
Acceptant le marché d'un signe de tête et récupérant le reste de ma bourse ainsi que la lance, je ne pus ajouter avant de repartir qu'un:
Merci bien, bonne journée à vous.

Le nain, semblait heureux de s'en débarrasser, je me demande encore s'il ne m'avait pas menti sur le prix. Cette lance, je la porte et m'en sers encore, l'attachant dans le dos après chaque utilisation.
A l'époque, lorsque je ne travaillais pas, j'allais chez cet ancien soldat, un homme fort, la cinquantaine, plutôt grand, longue barbe, yeux bruns et toujours la pipe à la main. Il m'apprenait à me servir de cette arme, achetée sur un coup de tête. Je la maitrisai vite aussi bien que lui, mêlant vitesse et agilité pour une combinaison débordant de puissance.
Les jours et les mois passèrent, se succédant, étés après étés, hivers après hivers. Je décidai un jour de partir, quitter ces terres de mon enfance. Vendant la petite propriété dans laquelle je vivais autrefois, m'achetant un aller simple en bateau, je fis bientôt voile vers des territoires m'étant encore inconnus à cette époque, les terres de Giran.
Le voyage fut long, dans ce navire marchand, l'ennui me gagnait chaque minute. Cependant, lorsque nous débarquâmes, je compris que cela en valait la peine. L'endroit était magnifique, plaines et collines s'accouplaient à merveille, semblant former un bout de paradis. C'est donc à pied que je me dirigeai vers la ville si réputée de Giran.
Je me souviens encore de ces remparts imposants, renfermant un véritable oasis de commerces de toutes sortes. Me frayant un passage à travers la foule, je parvins enfin sur la place principale. Je n'avais, de ce temps-là, jamais vu autant de monde regroupé en une unique place, bien qu'ayant beaucoup de mal à me trouver des repères, je réussis tout de même à atteindre une auberge.
Ni les murs crasseux, le sol usé ou encore l'accueil glacial que l'on me fit ne justifiaient le tarif exorbitant que l'on me fit payer, je pris tout de même une chambre et dormis dans ce pitoyable endroit.
Je trouvai étonnamment vite du travail en tant qu'apprenti d'armurier. Mais sous l'effet impitoyable de l'alcool, alors qu'il me donnait une tape amicale sur l'épaule, j'envoyai mon employeur au sol, lui brisant ainsi deux côtes, une erreur me coutant ce poste que j'avais déjà tenu durant quelques années.
Les gens ne m'approchaient plus, ne me voyant plus que comme l'homme ayant agressé l'armurier. Vite, ils m'ignorèrent, trouvant sans doute cela plus simple que d'essayer de me connaître, de me pardonner. Cette attitude me mit souvent en rogne, c'est pour cela que j'en vins aux mains régulièrement, faisant honneur à ma réputation. Me débrouillant tant bien que mal, je réussis cependant à m'en sortir.
Depuis ce jour, je me méfie des personnes que je ne connais pas. Je les observe et les teste dans l'infime espoir de rencontrer des personnes que je jugerais comme dignes de confiance et m'acceptant comme je suis.
Dernière modification par alveon le mer. 6 avril 2011 à 13h48, modifié 3 fois.
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Re: [bghumain] Nylann KODALCOR

Message par alveon » sam. 20 août 2011 à 15h49

Une soirée comme une autre : "Hurk"
Putain !
Encore une bonne soirée pour moi : taverne, picole, alcool, filles, clientes, castagne, et juste quelques plaques d'armures défoncées, avec quelques côtes enfoncées.

Question : d'où un nain se balade en taverne avec un marteau qui fait plus que sa taille ??! Ca fait mal ces merdes là !
Mais bon, un coup de gnôle, un coup de bandage, et les nanas désœuvrées aiment bien les grands blessés. Ca sera une blessure faites en guerre pour la patrie, une connerie du genre. Ca en émoustille pas mal des connes. C'est presque aberrant... Enfin, c'est pas plus mal, ca m'évite les trucs louches et les fantasmes un peu dérangés à satisfaire.

Mais bon, là on va prendre les petits remèdes de grand maman, et se démerder pour cette côte. Faut que ca tienne assez bien pour que j'assure la qualité des services, mais pas trop que ca se refoute pas dans n'importe quel sens. Parce que sur quelques soirées ca passe, mais sur le mois ca va bien me les briser ... Et c'est pas culbuter rémunéré qui va me la remettre en place !

En attendant, elle fait mal cette putain de côte !


Spoiler:
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Re: [bghumain] Nylann KODALCOR

Message par alveon » mar. 6 mars 2012 à 16h49

Nylann ! Nyny' !


Quand on vient de se poser après un bel effort devant une superbe assiette de viande rouge, avec une journée épuisante dans le cul et un ventre qui a rien mangé pouvant être classiquement vu comme un repas par la plupart des gens, s'entendre appelé, c'est vraiment un des trucs les plus chiants qui puissent être.

Putain, je bouffe là ! Tu fais chier Emmanuelle ! C'est quoi le truc ?


Bon, on va en profiter, gagner au moins quelques secondes, on va se prendre quelques morceaux de bouffe et on va les gober. Juste quelques uns, ensuite on verra ce qui se passe encore dans la salle d'accueil.

On a un gars qui s'excite un peu trop, il a pas l'air de comprendre que j'ai le droit de refuser !


Holà, le sourire dans sa voix ca s'entend. Elle, elle a encore joué et veux pas assumer. Et vu que je suis trop gentil, ca va encore être à Bibi de régler tout ca. Il est trop gentil et trop con le Nylann des fois, mais bon, ca lui plaît comme rôle.
T'es encore aller aguicher en semaine Carmin sans vouloir aller plus loin toi. Bon, cette fois tu viens aussi. Et puis tant qu'à faire, c'est toi qui utilise ma lance, on va voir si tu sais mettre en pratique les cours.
Ah, elle grimace ! Et lui il sourit comme pas possible, a p'tit con, sale con. Aller hop, et pour pas partir les mains vides, on prend une des dagues qui traînent dans la salle. Bah oui, y a pas mal de monde qui les utilise dans la baraque, on est en temps de guerre il paraît. Donc un substitut phallique de plus ou de moins avec soit, c'est pas si mal. Et pis ca peut l'occuper, du genre à tailler des statuettes tirant la Tronche de la mascotte locale ou éviter de bouffer qu'avec les doigts.

A peine Nylann partit, on peut voir le petit Charnel regarder vers la table et l'assiette vide. Ah oui, Charnel, c'est la mascotte récente des mercenaires du manque affectif. C'est un petit renard roux, et qui est en train de se bâfrer comme pas deux dans l'assiette du patron, sans vraiment être dérangé par les bruits dans la salle principale. La viande est presque pas cuite, c'est un bon le patron.
Ah, tiens, enfin un bruit proche qui le fait descendre de la table. C'est le Nylann qui revient.

"Salopeté d'animal ! Emmanuelle, il est où mon couteau ?!"
Ou peut être tailler la mascotte elle même ... ou les clients qui aiment ca...
Spoiler:
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Re: [bghumain] Nylann KODALCOR

Message par mongeliam » jeu. 29 mars 2012 à 16h01

Gnik ?


Bon bah à prioris, Batso' a l'air d'avoir besoin d'un coup de patte pour aider dans son boulot. C'est pas comme si j'en avais déjà assez, mais si ca peut lui prendre un peu de temps pour se décontracter le cul, ca peut pas être plus mal. Et puis ca peut être sympa d'être là bas, ca peut être marrant.


Après avoir aidé à prendre un château - j'ai toujours pas fait de contrat dedans d'ailleurs, c'est casse couilles - et puis se taper la deuxième patronne de la ville - 'tain, fais chier qu'elle soit partie Edo', il était bien avec ! - faut bien qu'il soit un peu invité à rester quand même. Et puis une maison de mercenaires du manque affectif dans la ville, si c'est pas beau tout ca !

C'est pas mal pour déconner de passer Lieutenant machin truc de la garde, je sais même pas en quoi ca consiste, mais bon, si c'est trop chiant je me barre et puis basta. J'ai pas envie de me prendre la tête. Sauf pour Kro', je sais pas pourquoi. Peut être parce qu'elle aime une ville plus que les hommes ou les femmes ? Enfin, c'est très - trop - compliqué. Pas se prendre la tête.

C'est pas comme s'il était pas déjà un peu de la famille, nan ?


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Re: [bghumain] Nylann KODALCOR

Message par mongeliam » dim. 27 mai 2012 à 09h10

Bufflépilation

"Il est huit heures, il est l'heure mon seigneur !"
Réveil à la con, journée à la con. Y a pas plus vrai dicton à la con. On est quel jour ? Oh merde, Lundi. Le premier du mois. Pas cool. Et l'autre Manuel qui le réveil avec ses conneries au lieu de bosser sur la toiture. Déjà qu'il avait annoncé trois semaines de délai avant même de commencer. C'était bien un de ces poilus gludionnais qui savent pas en branler une.

Vu le programme du premier lundi du mois, on va éviter l'armure. Je risquerai de tuer quelqu'un vu comment ca va douiller. Aller, Nylann il descend prendre le petit déjeuner. Ca y en a être important dans la vie le petit déjeuner. Sauf que y a rien qui est préparé, l'autre Esméralda. C'est une sombre d'Oren. Encore une noire qui sait pas travailler, petite tête, gros cul et ca bouffe tout le blé que ca peut. Tout faire soi même le premier lundi du mois...C'est quoi ce délire ?

Comme d'habitude, tout est prêt, ca se passera dans le bois. Qu'est ce qu'il fait la gueule le Nylann. Et dès qu'on lui fait remarquer, il trouve juste à répondre bien bourrin "Quoi ma gueule ? Qu'est ce qu'elle a ma gueule ?" Bah quelque chose qui ne va pas, sinon on te demanderait pas, crétin. Bon, les tartes d'Eria qui sont pas mal - les vraies tartes, avec de la pâte et des fraises, pas les tartes avec les poêles et les gueulantes. Tarte au pommes, tartes aux fraises, tartempions, elle les fait bien la marmotte. Bah quoi, c'est pas le féminin de marmot ? Elle emballe pas de chocolat celle là !

Aller, Nylann il y en a être arrivé au Bois avec toutes ses putains. C'est l'activité du mois ca, du coup le bois il est remplit de putains du coin. C'est pas bon de s'y perdre dans le bois. Pourtant ces deux putains de buffalos arrivent à s'y perdre encore, comme par hasard. Putain de Buffalo, grill, voilà ce qu'il leur faut ! Buffalo et grill ! C'est Bill qui s'en chargera des buffalo tiens. Buffalo Bill Grill. Voilà, encore à dire de la merde Nylann, juste parce que c'est le jour du mois où t'es pas content.

Nylann se fait tout enduire de cire chaude. Tout le corps y passe, il est dedans jusqu'au cou. Il a des bandes de cire sur tout le corps, et elles sont toutes attachées par des cordelettes...Reliées à des Buffalos. Quand on sait pas s'épiler tout seul et qu'on est entourés de fous à la libido en expansion affolante. Voilà, Nylann se fait épiler par des buffalos. Il fait de la bufflépilation. Et voilà que le nain qui a eut l'idée sort le fouet pour faire bouger les buffalos. Il aime ça le Çarkoisie. C'est un nain avec un nom à décaniller des ratons laveurs à la cuillère, et un gros sadique. Voilà, les bandes de cires sont reliées aux buffalos. Manque le coup de fouet et les bestioles elles vont filer. Avec les bandes de cire. Et la pilosité Nylannoise. Et le fouet, il claque.

"AAAAAÏÏÏÏÏÏÏÏEEEEE !!!"
C'est en faisant n'importe quoi qu'on devient n'importe qui.

Spoiler:
Citation de Rémi Gaillard.
MàJ BG pour justifier ... Euh... Rien.

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