[bgelfe] Aewendel

[Aewendel]

Nom : Ninquelotë
Prénom : Aewendel
Age : 425
Sexe : femme
Race : elfe
Classe : guerrière défensive
Croyances : Eva non pratiquante
Langues parlées : elfique et commun + elfique ancien ( dictionnaire elfique irl)

Description physique : Aewendel Ninquelotë (ce qui veut dire fleur blanche) est une elfe plutôt gracieuse, à l'allure fine et claire. Ses cheveux dorés aux légers reflets roux laissent entrevoir un regard bleu nacré ensorcelant.

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Autres (particularités) : à vous de le découvrir



Chapitre 1, Un début à toute chose

"A heine dans une imposante maison luxueuse , une richesse certaine se lisant sur les parois dorées de cette imposante batisse"

De tout temps, les elfes ont toujours été considérés comme une race supérieure, à la sagesse et au savoir inégalé... La race la plus évoluée de façon moral. C'est ce que je me suis toujours dit, lorsque Mère me prenait dans ses bras, et que Père revenait du haut conseil où il siégeait depuis maintenant plusieurs centenaires. Nous vivions en ce temps là dans un splendide manoir au coeur de la citée de heine, une maison luxueuse, des domestiques, humain de préférence. Tout fût fait pour me combler ... et je le fut, du moins durant un certain temps.

Non mais franchement je n'ai que sa à faire que de rester assise a longueur de journée à recevoir les poutoux les câlins et les mamours de Mère et Père ? Ne puis-je rien faire par tout hasard de mes dix doigts, de mes deux mains ?

Un jour, d'ici une bonne centaine d'années, je partirai pour enfin vivre une existence palpitante et débordante de péripéties.

Chapitre 2, La naissance d'un rêve noir

"devant la forteresse, sur une colline, observant le ciel d'un oeil tourmenté mais rassuré"

Cela me fait tout drôle d'écrire sur ce bout de papier, tant d'années se sont écoulées depuis mes dernier écrits. Tant d’évènements incongrus sont survenus, la rencontre avec Karg et Kyrenna accompagnés de Kainy et Lantée, la prise d'une forteresse, l'enrôlement de centaines de soldats... Les combats, les forces vivent, la sueur le sang et la chaire. Tuer ? Est-ce mon seul lot ? Je le crains. En effet, il m'a semblé apprécier la vue de mes ennemis agonisants.

En tout cas de lourds défis nous attendent encore, mais nous sommes unis c'est ce qui compte. Demain un grand combat aura lieu, une bande de fou nécromancien en veulent a notre petits groupes, et bien qu'ils approchent ...

Les murs de notre forteresse sont épais, nos lames sont tranchantes et fines, ce combat est inégal, pour eux. Je vais enfin pouvoir étriper, égorger, mutiler à tout va. Les guerres sont les berceaux de l'infamie et pourtant, j'adore. Le monde sera, tôt ou tard, forcé d'embrasser mes pieds.

Chapitre 3, Le jour J / l'heure H / la minute M / la seconde S

"Le tout se passe dans l'imposante forteresse, l'anxiété monte mais l'énervement prend rapidement le dessus , l'avenir pour la jeune elfette se jouera à cette endroit précis , la mort ? l'avenir ? la vie ?"

Nous ne pouvons plus sortir de ce brasier, la détresse nous gagne, Kainy et Lantée... où sont-ils ? Morts ? Vivants ? Et moi où suis-je ? Mon corps ? Serais-je morte ?

NON ! Mon souffle est encore là, ma lame est encore tranchante et même si les flammes se font plus impressionnantes et plus grandes, elles ne pourront m'empêcher d'occire ces minables magiciens !

En ce qui concerne le dragon qui les accompagne, il s'agit d'une autre affaire.. Je commence à faiblir. J'ai peur que son infernal cracha finisse par avoir raison de mes dernières forces.

Mon bouclier traine sur le sol alors que je me dirige vers les profondes catacombes, entendant au-dessus de moi des hurlements et des cris strident sans doute émis par la créature celeste, des roches s'écrasent lourdement du plafond sur le sol, je continue de marcher tout droit sans m'arrêter. *Il semble manquer un lourd morceau du texte à partir de ce point *

Chapitre 4, Une horreur dans la rancœur

"dans les catacombes de la forteresse , une odeur nauséabonde redorant la qualité de ces lieux, les roches sombres et funeste de ces lieux nous offre une vision d'éffroi"

Quoi que tu fasses, où que tu ailles, je te retrouverai et je te tuerai. Tôt ou tard, je te montrerai la couleur de tes tripes, je te forcerai à regarder ton coeur battre avant de l'écraser de ma poigne. Kyrenna, elle avait confiance en toi et... Tu l'as trahie, tu ne mérites que l'oppression d'une âme trop pesante, Mère sera vengée ... je te... je vous ferais regretter à toi et ton amour, tout ce que vous nous avez fait !

*plusieurs traînées de sang traversent les lignes de ce livre*

J'ai mal ... mon cou, ma cuisse. Un bruit ? Sûrement le ruissellement de mon sang sur les dalles austères et sèches. Une ombre, Eva ? Est-ce toi ? M'entends-tu ? Le silence de mort est insoutenable et cette ombre qui s'approche, est-ce l'arrivé d'un nécromancien venu pour m'achever ? *l'écriture s'étire jusqu'au bas de la page en un trait courbé*

[Aewendel]

CHAPITRE 5, l'arrivée

C'est à bord d'une vulgaire chaloupe que je suis arrivée en elmore... les cheveux au vent le visage tourné vers les plaines que je pouvais entrevoir au loin.

"Le sang des mers" ... tant de victoire mais une défaite effroyable, quel dommage qu'un tel navire soit au plus profond des abîmes.

Je me demande vraiment QUI souhaiterait de l'aide d'un pirate, qui pourrait me faire confiance ... Cela risque d'être assez drôle.

Lorsque l'on regarde ces terres, à première vue, je me suis dit que ce n'étais que des villes infimes et non utiles... Mais dans l'ombre qui sait si des trésors se cache, si des talents seront décelés, je vais vraiment prendre mon pied dans toutes ces villes

CHAPITRE 6 La taverne

"C'est dans une taverne que cette scène se déroule, une odeur de bière et de rhum se faisant sentir"

c'est accoudée au comptoir amusée par les dires de Jakal l'orc que je me suis laissée à boire jusqu'à plus soif. C'est donc dans un état légèrement éméchée que la suite va se dérouler.

Plusieurs heures et donc plusieurs bouteilles plus tard, une jeune sombre entra dans cette taverne et interpellée par mon état d'ébriété, se mis à rire et boire à mes côtés.

Je ne me rappelle plus vraiment de la fin de cette fameuse soirée ou le rhum couler à flot et le vin sortait, sous nos dire, des plus imposants tonneaux.

Je me suis réveillée le lendemain dans une auberge de Goddard, un léger mal de crâne se faisant ressentir et quelques petites nausées dont je me serais bien passée.

CHAPITRE 7La rencontre

Grâce a cette nouvelle rencontre prénommée lucia faites à la taverne, rendez-vous fut pris avec le Général Caradryan, Général des armée de Goddard...

S'en suivi donc un entretien et un combat auquel je ne pus que m'incliner... En même temps, il a fait de la guerre son métier donc bon. Il m'a tout de même offert une place au sein de la garde de la ville, ce qui est pour moi une immense satisfaction.

En ce qui concerne le clan principal de cette ville, Le Cercle Carmin. Une tout autre entrevue se déroula, le tout durant un de mes bains... Je puis dévoiler plusieurs partis de mon passé et après celui-ci la Jeune lucia voulut m'offrir une famille, un logis, un couvert, de l'amour ...

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[Maj BG pour clantage au Cercle Carmin]

[Aewendel]

Chapitre 8 : La Nouvelle Vocation

"Sur les marches de goddard, La Dame De Pierre, impressionnante derrière son lourd manteau de roches volcaniques sombres. Lucia Notre chère et tendre sombre que nous aimons tous rejoignit l'elfe lors de sa garde, celle-ci pensive et fatiguée d'une dure journée à surveiller la Grande Goddard."

Lucia est une amie de plus en plus intime... elle est quelqu'un de très chère à mes yeux. Je ne vois aucune traitrise en ses yeux, ce qui m'aide énormément lors de mes confessions...

Elle sait dès à présent mes projets d'apprentissages... La sorcellerie sera ma prochaine vocation, occire l'assaillant par les flammes qui ont détruit le sang des mers, cela ne peut que me ravir, j'espère être assistée par différents professeurs mais, en attendant, la Bibliothèque de Rune sera mon avenir, le lieu ou mes sorts prendrons de l'influence. Où ma puissance grandira, ou la faiblesse de mes ennemis deviendra ma force.

La magie ma toujours intéressée, dresser un élément peut être à la fois une contrainte et une bénédiction, le feu sert a la fois à détruire mais à garder la vie.

"la suite du texte semble illisible, actuellement tout au moins " [prochain Chapitre à venir]

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BG de subclass sorcerer

[Aewendel]

Chapitre 9 : les chants, l'avenir...

*Dans la pleine de dion, le vent soufflant sur son visage d'ange martelé par un imposante cicatrice"

Aujourd'hui je me suis rappelé le jour ou le sang des mers a coulé ... je me suis remémorée les chants pirates que nous chantions, nous membres d'équipage de se puissant vaisseau pirate, avant de hisser l'étendard... C'est chant nous motivants à combattre, jusqu'à la mort...

Me remettre a ça... Cela fait quand même bien longtemps que je n'ai pas pratiquée ce genre de chants. Est-ce utile dans ma quête de paix... Dans la vengeance de mon enfant... *des larmes ont fait baver l'encre sur plusieurs endroits de cette page* Toi qui es mort depuis tant d'année, je ne vis que pour te venger, dans le seul but de pouvoir t'imaginer souriant en me voyant de là où tu es... J'espère que tu es heureux là où tu te trouves mon petit... Je t'aime.

c'est décidé, je vais me consacrer à l'art des chants de guerre ! Je ferai trembler mes ennemis avant même le début du combat, les chants pirates résonneront en elmoreden, il est temps d'offrir un étendard unique, celui de la tête de mort, sur les champs de batailles.

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MAJ : Sword Singer

[Aewendel]

La guerre... Folie des êtres peuplant les terres d'Elmoreden... Tous sont concernés, mais peu en acceptent la responsabilité.

Baireth, ainsi je fus nommée par Mère. Jeune demoiselle aux traits fins, d'une voix douce, ensorcelante. Mes cheveux d'un blond étincelant ne font que mettre plus en valeur mes yeux bleu nacré, du moins, c'est sous ces termes que l’on m’a toujours décrite. Je me demande souvent si c'est la bénédiction d’Eva qui nous a offert, à nous, elfes, la beauté et la grâce dont nous nous arborons fièrement.

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Chapitre I, prélude

Je suis née à Cefedellen, la somptueuse Cefedellen devrais-je dire. Ville elfique mythique arborant fièrement nos couleurs. Durant plusieurs centaines d'années je suis restée aux cotés de Mère et Père, attendant avec impatience le jour de mon départ.

C'est à mes 450 ans que je partis, que je pris ma vie en main. Et c'est vers la grande Giran que ma route me mena. Je finis par rencontrer un jeune aubergiste, très gentil qui me proposa de travailler chez lui pour un salaire plus que raisonnable. Durant quelques années, le jour de mes 455 ans je me suis liée d'amitié avec un certain Lean, jeune homme séduisant aux cheveux bruns et au regard de braise, nous nous sommes rencontrés par pur hasard, lui revenait d'une expédition au loin et souhaitait se reposer avant de prendre sa route. Je fus tout de suite sous le charme de son regard ardent. La timidité grandissante m’empêcha d’effectuer le premier pas. De toute manière, je n'en eu pas l'occasion, car le soir même, à la fin de mon service, le jeune homme me proposa un verre, l’entretiens continua jusqu'au fin fond de la nuit. Et ce fut le cœur gros que je finis par aller me reposer dans ma couche solitaire.

Le lendemain, à mon réveil, ma chambre venait d'être vidée sans que je puisse m'en rendre compte et c'est en descendant en nuisette et en chausson que je vis Lean et Roger le tenancier discuter entre eux, nombres de bagages prêts à partir sous leurs pieds. Je vous passe la stupeur de Roger ; me voyant si peu vêtue ; et le regard intéressé du jeune humain. Les yeux du tenancier se plongèrent dans les miens, poussant des larmes à couler sur mes joues, je me doutais que quelque chose était en train de se passer, les bagages... étaient les miens...

-Lean : Allons Baireth, il est l'heure. Nous sommes attendus...
-Baireth : m...mais comment, où ? Pourquoi ? Je ne suis même pas habillée ...

Le léger sourire de l'humain en disait long sur lui même et sur ce qui se déroulait sous mes yeux. Dans un élan de grâce, je me permis de prendre mes bagages et de me préparer, le cœur battant la chamade, une vie de rien échangée, mais contre quoi...

Me voilà prête a partir dans une robe saillante et douce telle de la soie, une dernière bise au propriétaire, quelques conseils avec les clients un peu trop pompette comme, éviter les décoltés, mais bon vis à vis de cela, il n'est pas concerné.

Deux imposants étalons blancs étaient devant l'auberge, prêts à être chevauchés et à fendre la brise, Ental et Arrog, je me souviens même de leur nom après tant d'années... Nous nous sommes donc mis en route, sans que je sache ou nous allions et vers quoi ma vie allait se tourner...

-Lean : je vais vous apprendre à vous battre, ou plutôt à vous défendre contre toute attaque. Il vous faudra être forte devant le Maitre...
-Baireth : Le Maitre ?
-Lean : Oron, celui... qui m'as tout appris, celui qui m'a offert la place que j'occupe désormais...
-Baireth : Et pourquoi moi, pourquoi pas une autre?
-Lean : je ne sais pas, mon intuition surement, et puis une si belle dame ne dois pas s'abaisser à vendre de l'hydromel à de pauvres personnes en manque d'affections...

Le reste de la route demeura silencieux, mis à part les oiseaux virevoltants au dessus de nos têtes...

Nous arrivâmes après plusieurs longues heures à notre destination, une imposante forteresse gardée par des centaines de soldats.

-Lean : Nous irons voir le Maitre bientôt, mais avant rejoint-moi dans les caves du donjon, nous avons fort à faire je pense.
-Baireth : bien...

C'est durant de nombreuses lunes, qu’avec mon nouveau compagnon d'armes, je m’entrainai m'épuisant jusqu'à l'évanouissement. Les méthodes brutales de Lean n'avaient qu'un but, me faire progresser. Lean rengaina son imposante épée.

-Lean : bien ... il est temps, file te laver et prend soin de toi, tu as deux heures, après nous irons voir Oron
-Baireth : Comment ! Déjà ? Vous me trouvez prête après quelques jours d'entrainement ?
-Lean : Vous y avez survécu, vous êtes dignes de voir Oron et de le servir, car telle est la destinée que je perçois en vous...
-Baireth : Mais que va-t-il se passer la bas ?
-Lean : Ah ça, seul lui le sais.
-Baireth : Je vais me préparer alors...

Quoi que je dise, quoi que je fasse, rien n'aurait pu me permettre d'échapper a l'intervention avec Oron. C'est d'un pas décidé que, après m’être soigneusement préparée et équipée, je me rendis dans la salle du trône, où ; un vieux bonhomme était présent, froid et le regard vide.

-Baireth : C'est ça Oron ?
-Lean : Un grand héros en son temps, un Maitre parmi les Maitre les plus influent...
-Oron : Approchez. Je vous attendais, Jeune Lean, dame Baireth. Je suis heureux d'enfin pouvoir contempler votre beauté, puisse telle toujours vous être accordée.
-Baireth : Merci, vous m’en voyez gênée.
-Oron : Alors Lean vous a-t-il expliqué le pourquoi de votre venue ici?
-Baireth : Oui, je suis ici pour devenir chevalier du Maitre, offrir mes services et mon sang à celui dont j'ai la protection, c'est pour cela que j'ai été contrainte de suivre un entrainement aussi rude durant ces deux derniers mois.
-Oron : Et ... que pensez vous de cette idée, êtes vous prête à servir un Maitre, à le défendre au péril de votre vie...
-Baireth : Je ne serai pas venue en cette forteresse si tel n'était pas le cas Maitre...
-Lean : Je me porte garant de ses progrès spectaculaires, la seule à avoir achevé mon entrainement. Je me sens honteux moi qui le croyait impossible à terminer.
-Oron : Montre lui ses nouveaux quartiers, elle prendra ses fonctions sous peu...

Sous les mots du vieux sage, je me suis mis à suivre Lean dans les couloirs de la forteresse avec une certaine fierté. Dans un mouvement de fougue je me rapprochai de Lean sur lequel mes lèvres se sont collèrent aux siennes, dans une union parfaite. La suite se déroula dans un endroit un peu plus réservé et donc je ne vous la raconterai pas.

La nuit fut courte du fait de la présence si enivrante de Lean à mes cotés. Malheureusement, ce ne fut la seule cause d'une nuit courte. Vers 4 heures du matin l'imposant cor de la forteresse retentit, l'état d'alerte venait d'être déclaré, les hommes se préparèrent, les balistes se chargèrent, les combattants s'armèrent... La folie des hommes était a nos portes, un mal encore inconnu emplit de haine et de soif de sang frappait avec férocité le sol des plaines jonchant la citadelle...

Il me fallut plus de temps que d'habitude pour me préparer, l'armure endossée, mes armes prêtes, je me rendis dans la salle du trône aux cotés de Maitre Oron et d'une poignée d'hommes avec eux.

Le peu de son que nous pouvions entendre dehors ne changeait en rien les tremblements du sol provoqués par le combat de ces deux armées gargantuesques. Les lames se croisaient ; brisant ça et là et, en plusieurs morceaux, les corps des soldats ; les flèches perçaient, les boucliers s’entrechoquaient ; le tout dans une harmonie affreuse.

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Soudain un bruit sourd, la porte claquant violement à chaque charge ennemie, nous savions que notre tour était arrivé, les guerriers hurlaient leur envie de croiser le fer. Pour ma part je suis restai silencieuse ; extrêmement concentrée.

La porte s'ouvrit, mes yeux aussi. Un groupes d'une trentaine d'hommes accoururent, six vinrent vers moi... le combat s'engagea et les hommes que ce soit amis ou ennemis tombaient l'un après l'autre devant mon regard. Seule contre une demi douzaine, un combat violent s’amorça, où la moindre faille était exploitée, quand soudainement, un bruit d'os fracturé se fit entendre derrière moi, Oron venait de se faire transpercer de la lame noire d'un sombre, son dernier râle eut à peine lieu que je me jetai contre cette adversaire, oubliant totalement les autres, le bout de ma lame lui trancha la tête. Un des derniers combattants, profitant du fait d'avoir baissé ma garde m'empala de sa lame... Dans un excès de rage, je pus lui en faire autant avant de retirer sa lame de mon dos...

Lean arriva dans la salle à se moment précis, les cadavres des gardes et des ennemis jonchant la salle principale.

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Je me tenais au bout de celle-ci, légèrement vacillante... Je me retournai en entendant son arrivée.

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-Baireth : Lean...
Lean me voyant vaciller accourut et me retenu d'une lourde chute. Surpris était-il de trouver du sang sur mon dos. Il me disposa alors le haut du dos sur ses genoux dans le but d'économiser au mieux le reste de vie encore en moi...
-Baireth : Je ... je suis désolée je n'ai pu le protéger, j'ai faillit à ma tache
-Lean : Tu es pardonnée, nul ne peu entacher un essai si pur...

Il déposa un baiser sur mes lèvres et je perdis connaissance

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[Aewendel]

*une lettre fut envoyée à l'ancien bureau du Cercle Carmin à Goddard sans grand espoir qu'elle trouvera sa cible"

Général Caradryan ... je suis dans le regret de devoir vous annoncer le décès de cette chère Aewendel Ninquëlote. Après plusieurs mois de surveillance, elle ne se sera pas relevée de ce que j'appellerai... une étrange maladie lui ayant provoquée une fort trou de mémoire...

Je vous informe donc dès ce jour, la fin du service en tant que garde au sein de la glorieuse Dame de pierre, que les liens que cette jeune elfe a pus tisser avec votre Ordre sont désormais révolus et ceux à jamais...

De plus votre Ordre aussi bénéfique comme maléfique soit-il ne peut accepter ma venus en son sein. Je ne peux tolérer de telle manque a l'honneur, de telle massacre, de telle infamie... La gloire d'elmoreden ne réside pas en un clan mais en un tout unifié, lorsque tous comprendront, il sera probablement trop tard.

Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire cela et d'avoir pus entreprendre les démarches administratives qui s'imposent pour radier cette jeune elfe des noms de la garde...

Veuillez agréer Général ... mes salutations distinguée Que la Sainte Dame de l'eau veille sur vous comme elle a si bien veillé sur nous par le passé....

*la lêttre est signé dans une calligraphie elfique" Baireth Indis

*Suite a cette lettre, la jeune elfe venus livrer cette missive, se rendit a l'ancienne caserne du cercle dans le but de reprendre les affaires de son ancienne moitié, laissant en plan un bouclier ornant le blason du cercle carmin. Puis repartit d'où elle étais venue...*

"Baireth depuis son arrivée sur ces terres aura connu nombreux tourments après une grossesse calme et un accouchement difficile, de nombreuses visions l'opposant a son passé lui faisant verser des larmes ensanglantées, elle serait de retour à Cefedellen avec son petit. Un enfant elfe adorable toujours vêtus de blanc et transporté dans un linge à la limite de la perfection de la propreté. Ce petit a des yeux marron, 45 centimètres et 2kilo9 et portant désormais le nom de Lean Indis en hommage pour son défunt compagnon est en permanence couvée par sa mère, en permanence chouchouté.*

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Déclantage Cercle Carmin

[Aewendel]

"Ceffedelen Verdel, le 23 Tourneterre de l'an 52 : Baireth se trouve dans une maison avec son enfant dans les bras celui-ci s'égosillant en voulant son repas tant attendu"

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-Mon tout petit "un léger sourire sur ses lèvres rosées" tu m'as l'air d'avoir une grosse faim, il n'est pourtant pas encore l'heure... Mais comment refuser quelque chose à une si belle petite frimousse "caressant le visage de son enfant avec amour,tendresse et délicatesse"

"L'elfette d'un mouvement ample du bras laissa apparaitre son sein pour la chair de sa chair, le portant instinctivement à celui-ci"

Un miracle de la nature, un miracle d'Eva ta présence en ce lieu, à mes côtés "laissant le petit téter en souriant toujours" comment un si petit être peut-il entrainer tant de bonheur parmi tout le malheur qui se répand en Elmoreden... "sursaute en sentant le petit mordre légérement" doucement mon petit goinfre, tu vas finir par me faire mal "sous un sourire continuant de contempler son visage d'ange". Comment tout cela a t-il bien put se passer ? Je me souviens bien de la forteresse ... "discute en fixant toujours son petit". Je me rappelle de maître Oron se faisant occir sous mes yeux sans que je ne puisse rien faire... Puis ... "fronce les sourcils en y pensant" cette douleur froide, ce goût de métal pénétrant mon être dans un son de craquement insupportable... Lean .... tu as tant fait pour moi, m'as tant aimé... et tu m'auras vue mourir mais pourtant je suis là.... Que s'est-il passé ? Pourquoi suis-je là 6 siècles après la bataille ? Qui était cette Aewendel ? Qu'est ce que ce sceau dont m'a parlé ce Korwin...?


"Tant de questions sans réponses, tant d'avenirs sans passés, tant de présents sans futurs... les anciens n'étant plus, les réponses se perdent peu à peu dans les visions arbitraires de l'elfette"

"le regard figé sur son petit le regardant manger" je t'ennuie je suppose, mais seul toi peut comprendre, après tout, tu es moi... Tu ne te poses pas ces questions toi ? "sourit amusée alors que le petit s'en met tout autour de la bouche". Comment pourrais-je annoncer que ton père est mort on ne sait comment, que je ne me souviens que de mon ancienne vie... Ce dont je suis certaine, c'est que jamais je ne pourrai disparaitre... "pose délicatement sa main à l'arrière de la tête de l'enfant la caressant" jamais je ne pourrai abandonner telle merveille, telle beauté. Si seulement je pouvais reprendre une vie paisible, une vie... normale... Mais désormais c'est impossible, je ne peux qu'encaisser le coup et me montrer forte, pour toi, mon tout petit, pour toi, ma raison d'être.

"le petit lâchant le sein de l'elfette lentement, celle-ci le glissant sur son épaule quelques instants, tapotant son épaule, soupire de bonheur"

Tout ceci, n'existe plus, le monde a bien changé, l'avenir est devant nous, notre avenir, notre amour, notre vie... "le petit laissant échapper son fameux petit bleurp sous un nouveau rire de l'elfette" j'espère vivre tant de mois, que dis-je d'années ainsi à te sentir à mes cotés, à t'aimer et à te chérir du mieux que je puisse... "le petit baille à pleine bouche sous le regard attendri de l'elfette" Lean... Mon tout petit... Je t'aime... "le bercant avec une tendresse énorme" Bien que beaucoup nous manque, nous serons toujours unis...


"l'enfant ferma ses petits yeux d'un cyan pur et clair alors que l'elfette le déposait lentement dans son berceau laissant comme bonne nuit, un tendre baiser sur le front de Lean, l'elfette se plaça sur son lit observant son enfant avec amour"

Un ange est arrivé sur ces terres, nous vivrons sans nous soucier du passé, sans nous préocupper de l'avenir. Ceuillons dès à présents les roses de la vie...

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[MaJ nous expliquant le fait que Baireth a oublié ce qu'elle a appris en étant Aewendel]