Prénom : Alessia
Race : Sombre
Age : 120 ans
Classe : Assassin
Métier : Alchimiste, Acupuncture.
Classe : Assassin
Alignement : Chaotique, Mauvais. (Loyal qu'envers Louvia)
Langues parlées : Commun, Sombre.
Description physique :
Une sombre assez élancée (un mètre quatre-vingt cinq), une silhouette harmonieuse et des formes voluptueuses. Les yeux vert émeraude, un sourire figé sur ses lèvres, une expression neutre et paisible. Sa voix est douce et berçante, sa peau dégage un doux parfum d'orchidée. La plupart du temps elle est enroulée dans un manteau de cuir noir qui tombe jusqu'à ses mollets, et le visage à moitié caché par une capuche de la même couleur.
Signe particulier : Il lui arrive de parler a son ombre. Elle porte une glyphe sur la poitrine.
Caractère : Schizophrène
Situation financière : Aisée
Comportement social : Ombre
Type d’éducation reçue : Matriarche.
Pensée politique : D'abord on plante, ensuite on pose les questions.
Croyances : Elle connais l'histoire des dieux mais ne voue pas de croyance spéciale.
Relations extérieures :
Elfes : Avec du sel et du poivre.
Humains : Neutre, mais amical envers les kainistes.
Kamaels : Ne les connais pas tellement, mais trouve que ce serais bon avec des epices.
Nains : S'étonne toujours de ces petits êtres.
Orques : Amical.
Sombres :Elle est persuadée que Shilen habite sa dague et guide son bras. Méprise les sombres mâle.
Spoiler:
Une jeune sombre, fine et élancée, de jolies formes généreuses. Son jeune âge ne lui permets pas de tirer profit de tout ces atouts encore, mais cela viendras. Son regard est noir comme l'ébène et perçant comme celui d'un faucon. Sa bouche est fine, mais elle décroche rarement un sourire. Ses cheveux en pointe tombant sur son visage, cisaillant son regard de quelques mèches.
Naissance d'une rose.
Un cri perçant troubla la tranquilité de la colonie, puis un long silence. La maison d'où provenaient les cris était assez modèste, à l'intérieur des prêtresses, une sombre allongée dans une flaque de sang, plus aucun bruit ne sort de sa bouche, un père en larme tenant son enfant dans les bras. C'est tout ce qui lui restait, sa fille... Il décida de l'appeler Alessia. Cette petite sombre était le dernier cadeau qu'une femme peut offrir à son amour. Il juras d'en faire une belle sombre qui sauras se défendre.
Encore jeune, Alessia était différente des autres enfants, elle disait entendre une voix, qui lui dirais de faire certaines choses. Son père n'y prettas pas attention, a cet âge c'est courant chez les enfants qui ont du mal a s'adapter.
Un matin, alors qu'elle prennais soin du par-terre de fleur de sa défunte mère, un bruit léger vint caresser les oreilles de la sombre, qui se hata vers la fôret. C'était un loup, il faisais profil bas, Alessia fascinée resta là, terré dans les feuillages à l'observer.
Toutes les roses ont des épines.
De retour après plusieurs heures de traque silencieuse, la jeune Alessia s'inspirais déjà des animaux pour se mouvoir, et agir. A son retour, elle vit le par-terre de fleur piétiné, des excréments de chien en plein milieu... Bouillonant de rage la sombre se mit en quête du fautif. Elle entendit des rires plus loin dans l'allée, en y jettant un oeil elle vit son petit voisin avec son chien.
<< Oui ! Tu t'es bien débrouillé ! Le par-terre de cette peste est réduit en bouilli !>>.
Sans attendre Alessia coupa a travers le bois, et plaça un piège sur le chemin ou passerais le voisin avec son chien. Ce dernier, alléché par l'odeur de l'appat qu'avais préparé Alessia se jetta donc sur le piège. Le gamin qui n'avais pas pu suivre l'allure de son chien, entendit un terrible couinement.
Alessia était debout à côté du chien
<< Oh... Pauvre toutou... Il s'est pris dans un de mes pièges... Si seulement son maître garder un oeil dessus...>>.
Mais le gamin ne se laissa pas tromper par l'ironie de la sombre, il cria et partit au coeur du village pour crier haut et fort le meurtre d'Alessia, mais la jeune sombre était déjà bien agile, et le rattrapa, le poussant au sol.
L'ombre d'Alessia semblais comprendre ce qu'il se passais, et elle n'était pas très contente. Les yeux plongés dans son ombre, complètement hypnotisée, Alessia imita son ombre. Elle sortit sa dague, et elle l'abattit en plein sur la poitrine du jeune garçon. Un liquide chaud gicla sur Alessia qui continuait de regarder son ombre.
Une fois revenue à elle, elle courut se réfugié à la maison. Elle s'avachit sur son fauteuil en caressant la seule rose qui restait du par-terre de fleur. Quelques heures plus tard, le père d'Alessia entra en trombes dans la maison, il montat les marches deux à deux. Une fois dans la chambre il se rendit compte rapidement de l'etat des mains d'Alessia qui étaient rougie par un sang qui commençait à sécher. Il hésita un instant, ne pouvant se résigner à croire que c'était sa propre fille qui avais tué le fils du voisin... Il essaya de la questionné mais sans succès... Elle resté prostrée dans son silence, regardant dans le vague son ombre qui dansait.
Tout à coup son père perdit patience, il s'avança pour éxiger la provenance de ce sang sur les mains de sa fille. Sortie de sa torpeur, Alessia prit peur, non pas de son père mais parce qu'un étrange voile noir obscurcit sa vision, comme si ses yeux ne voulaient plus voir. Sentant quand même une présence, dans un geste instinctif de survie, elle repoussa l'homme qui était devant elle. Aussitôt sa vue se rétablit montrant une scène qu'elle aurait aimée ne pas voir. Son père traversa la porte fenêtre et le balcon avant de chuter.
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Les villageois rameutés par le bruit fracassant de la scène, se ruèrent chez Alessia. Sur place, la jeune sombre n'avait pas bouger du balcon, elle était comme absente... La garde se saisit d'elle, avant que son comportement soit considéré comme dangereux, et son état mental défectueux, elle fut conduit en cellule, ou elle serais observée pour tenter de comprendre ce qui l'a poussée à faire cela. Les prêtresses de la colonie se penchèrent sur le sujet...
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Toutes les roses ne sont pas blanche.
*Un journal de prêtre relate les faits*
Spoiler:
Les années passèrent, Alessia libre, grandit à l'abris des regards, dans la fôret, s'inspirant des animaux pour vivre et chasser. Nul ne sais ce qui a poussé le prêtre à la relacher, mais elle était libre... La majeur partie de son temps, elle le consacré a s'entrainer a l'art de l'assassinat, des poisons... Loin de toute civilisation elle n'avais que peu de savoir concernant les usages, les moeurs, ce qu'il conviens ou pas de faire en société.
Après un siècle d'errance et d'autodidacte secondé par la nature, elle décida de s'interesser a ses origines. C'est ainsi qu'elle décida de rejoindre une autre colonie de Shel'Oloth afin d'en apprendre d'aventage sur Shilen sa déesse.Durant son aprentissage elle fit la connaissance d'Edora qui visitais ce village, elles n'ont pas directement accroché mais les liens d'amitié entre ces deux se sont ressérés assez vite.
Elle appris l'essentiel auprès d'Edora, qui lui montra comment se comporter en société. Là elle fit également la rencontre de Louvia ainsi que de Lulubia. Les quatres femmes s'entendaient a merveille. Mais les nouvelles amies d'Alessia n'était pas sans crainte. L'ayant vu agir plusieurs fois, il se pourrais qu'elle court un grand risque. Son manque d'experience, son jeune âge, son empressement...C'est pourquoi Louvia décida de s'occuper de sa formation, lui inculquant son savoir ainsi que les connaissances nécessaires a toute sombre.
Lulubia et Edora était parties devant, pour éxplorer les terres d'Elmoreden à la demande de Louvia, mais cette dernière ne pouvais pas se permettre de laisser Alessia agir avec sa jeune mentalité dans ces nouvelles terres. Celà aurais pu leur coûter la vie à toutes.
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Plusieurs mois s'écoulèrent, Louvia avais dispensé son savoir a la jeune Alessia, toutes deux prête à suivre le but qu'elles s'etaient fixé. Il leur fallais maintenant retrouvé Edora et Lulubia.
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