[bgkamael] Oleawen

[Oleawen]

Nom/Matricule : 74X658 _ Mirsk
Prénom/Nom de code : Oleawen
Surnom : Personne n'est assez familier pour lui en avoir attribuer un.
Titre : Dame Suture.
Age : 120 Ans
Sexe : Féminin
Race : Kamael

Métier : Chirurgienne
Compétences : Elle connait l'anatomie des créature sur le bout des doigts et excelle en ses compétences de chirurgienne

• Combat : Daguiste
  Magie : Warder → Soulbreaker → Soul Hound.
  Métamorphoses : Elle n'en a pas la capacité.

Alignement : Neutre.
Langues parlées : Commun, Kamael.

Description physique : Le corps longiligne, svelte de nature. Oleawen à un visage qui reste de marbre et froid. Elle attache ses longs cheveux en un petit chignons aux mèches pendantes. De son omoplate gauche surgit une aile blanche, qui bat doucement l'air lorsqu'elle est calme. Elle reste souvent une main sur la hanche pour observer. Son regard est toujours perçant, dissuadant parfois les plus faibles. Elle porte toujours des vêtements soignés et préfèrera s'en procurer d'autre plutôt que de les raccommoder.
Caractère : Elle est très sure d'elle parfois même trop. Très joueuse elle aime bien faire quelques blagues à ceux qu'elle apprécie. Capable d'un sérieux spectaculaire lorsqu'elle entre en opération ou lorsqu'elle à l'occasion d'étudier; elle appréciera la compagnie animé tout aussi bien qu'une présence plus discrète, s'accommodant aisément des différentes situations.
Autres : Elle à une fleur bleu dans les cheveux et ne possède rien d'autre de particulier.

Situation financière : N'étant pas une chirurgienne connue, elle mange principalement grâce à ses chasses et ne possède pas un grand pécule.
Comportement social : Elle apprécie les nouvelles rencontres tant qu'elles sont fructueuses à son développement. Dans le cas contraire elle aura aisément tendance à faire impasse sur une personne qu'elle jugera inintéressante.
Type d’éducation reçue : Comme chaque Kamaels, les règles de bienséance sont apprises très rapidement, se qui s'en suis c'est les armes.
Popularité et/ou influence : Elle est connue de très peu de monde.

Croyances : Elle connait l'histoire de la création, mais n'adore aucun dieux.
Relations extérieures :

• Elfes :Elle peu à eut, les trouvant souvent inintéressant à soignés.
  Humains : Ce sont les "bases" de ses connaissances chirurgical, ceux qu'elle est pour l'instant le plus apte à soignée. Elle s'occupera toujours de les recoudre si besoin est. Elle les apprécies.
  Kamaels : Membres de sa race, elle les respecte et les admires, cherchant encore à percer leur mystères.
  Nains : Tout comme aux humains elle leur donnera l'aide qu'elle peut leur apporter. Elle ne leur reproche rien et n'a pas envie de leur reprocher quelques chose un jour car, après tout ils sont très utile.
  Orques : Elle peine à les cerné mais comme à toutes les races elle ne les méprises pas et ne peu leur refuser une aide médical.
  Sombres : Bien qu'avec plus de méfiance à leur égard, elle essaye de faire comme avec les autres : les soigner au besoin.

[Oleawen]

Le corps est un assemblage de cellules, une entité formée par la rencontre de deux géniteurs, mâle et femelle. C'était ainsi pour tous. C'était l'unique façon de faire perdurer sa race. L'unique moyen de s'assurer une descendance. Pour tous, sauf eux. Êtres crées du cerveau et des mains, de l'intelligence de certain, du savoir d'autre. Ils étaient le fruit de l'orgueil de ceux qui avaient voulu faire bien mieux que les Dieux eux-mêmes, ou possiblement les égalés. Depuis ces temps lointains, leur civilisation c'était reculer, elle avait vécu hors du temps et cacher des yeux de tous, afin d'être au plus loin des conflits.

Dans la salle d'éveil du laboratoire de création, replier dans une sphère suspendue à l'intérieur de laquelle un liquide entour un corps, dont les doigts tressautes, dont la main finit par s'agiter. La créature écarte les jambes de son torse lentement révélant sa poitrine. Ses cheveux longs sont autour de son visage et flottent alentour. Un oeil perçant s'ouvre, laissant s'infiltrer la lumière ainsi qu'une ébauche de conscience de soi. Elle agite alors les bras, les pieds prenant connaissance d'elle-même. Elle observe ensuite autour d'elle, plusieurs personnes la regardent, sa matrice se vide lentement, la laissant prendre de l'air, avoir mal de devoir remplir pour la première fois ses poumons. Elle tousse et crache. On la sort enfin de là, de ce rien, de ce vide, du néant.

Matricule _ 74X658.

Quelques jours passent pour la conditionner, lui apprendre les règles de vie. Elle apprend vite. Après cela on la forme, elle doit devenir un membre à part entière de l'armée, exécuter son service militaire. C'était apprendre à esquiver d'abord, à frapper ensuite et finalement à survivre afin de faire des missions de plus en plus risquées. Elle assimilait certaines choses très rapidement, alors que d'autre mettaient plus de temps avant de faire partie intégrante de ses réactions. Ses précepteurs lui trouvaient de nombreuses défaillances qu'elle parvenait toujours à combler et ce sans efforts, il lui fallait juste savoir ce qui était à revoir. On l'avait assignée à plusieurs missions sans grande importance, avec ses camarades elle donnait le meilleur d'elle-même, se surpassant parfois, surtout pour faire du zèle en réalité. Elle aimait briller, scintiller. C'était une sensation grisante qui lui plaisait. Une attitude qui faillit mainte fois la conduire droit à la mort, si elle n'avait pas acquis de merveilleux et surtout très utiles réflexes de survie. Elle s'en tirait toujours avec une pirouette si on peut dire. Enfin vinrent les grandes batailles, enfin elle put s'affirmer en tant que Kamael digne de ce nom, parfois elle avait presque fait honte à son peuple. Mais ce jour sombre où elle et ses compagnons d'armes durent prouver leur bravoure. À la fin de ce jour, elle acheva son service auprès de l'armée, ainsi on lui donna enfin le nom qu'elle avait attendu de recevoir depuis le premier jour.


Oleawen.

À partir de ce jour elle commença à s'intéresser au reste de ce que pouvait lui offrir la vie. Elle débuta avec la bibliothèque où elle prie connaissance de livre sur l'anatomie. Intéresser elle poursuivit ses lectures, prenant connaissance de toutes les races que les dieux avaient créer. Cependant elle ne trouvait rien sur sa propre race. Ce qui la troublait. Après quelques investigations elle s'aperçut que très peu de choses sur sa race était connue. Surement parce qu'ils n'avaient pas été crée par les dieux. Alors elle voulut savoir ce que cachaient leur propre corps mais cela ne lui était même pas permit, on ne pouvait pas ouvrir le corps de ses pairs afin d'en découvrir les secrets. Combien même ça la démangeait. Elle retenait ses pulsions de savoir tant bien que mal, faisant preuve de maitrise, car au fond d'elle sa soif de savoir était étonnement omniprésente. Elle en rêvait même la nuit. Alors elle se rendit auprès de ceux qui créaient ses frères, afin de savoir.

« Nul ne sait, personne ne doit savoir.
- Pour quels raisons ?
- Parce que nous n'avons pas besoin de nous connaître autrement que par l'esprit. »

Elle ne comprit pas. Évidement sa race n'était pas menacer par les maladies, mais peut-être découvriraient-ils des choses qui feraient avancer leur histoire, leur façon de vivre d'être. Elle voulait savoir, elle était démanger par la soif de connaître leur fonctionnement interne.

Cette nuit là, ne parvenant pas à s'endormir, elle songea à celui qui les avait créer. Peut-être était-il toujours en vie bien qu'elle en doutait fortement aux vu de l'âge de sa civilisation. Mais il avait surement laisser des traces écrites de ce moment. Peut-être pouvait-elle aller les retrouver partir à leur recherche ? Elle se leva à l'aube pour se rendre à la bibliothèque. Elle avait décider de ne pas la quitter tant qu'aucune réponse ne lui soit apporter par ses lectures. Elle remonta dans la chronologie jusqu'à la réponse qu'elle cherchait. Les kamaëls avaient été crée par les géant, aujourd'hui disparu. Chacun pouvait le savoir, mais peu s'y intéressait autour d'elle, pourtant au fond, elle se doutait que ce frère à qui elle avait demander, savait. Elle se devait d'acquérir les réponses par elle même.