- Informations globales -
Nom : Fondernong
Prénom : Gweline (prononcer Gwé-line).
Surnom : Gwen
Connu sous les nom de : Gwenel Thornald.
Race : Naine (demi-naine, apparence enfant humaine)
Sexe : Féminin.
Age (apparent) : 10/12 ans.
Poids : 45 kilos
Taille : 1m12
Langues parlées : Khazalid, Commun, quelques bases d'elfique.
Situation financière : Riche.
Métier : Herboriste/forgeronne.
Popularité et/ou influence : Inconnue au bataillon.
Comportement social : Noble.
Apparence :
Elle ressemble a une enfant humaine de 10 à 12 ans environs.
Un petit visage clair encore marqué des rondeurs de l'enfance, mais des yeux durci par la peine. Une chevelure de feu comme sa mère, et les même yeux vert, vif et fort. Petite, pâle et maigrichonne, elle cache sous son apparence frêle et enfantine le corps nerveux et sec d'une montagnarde habituée à l'escalade, au jeune et à l'effort.
C'est une enfant tourmentée, entre sourires pour ceux qu'elle aime et connais, mais douleur et pleurs lorsque la nuit s'en viens. Plaine de vie, têtue et farceuse, elle s'attire facilement des ennuis dans ses jeux allant souvent trop loin, dans sa rage d'oublier ce qui s'est produit à Gludio. Son enfance dangereuse fait qu'elle a rapidement recourt aux armes dès qu'elle se sent menacée de quelque façon.
Autre :
Porte a l'annulaire droit la chevalière de sa mère, le symbole de la Tours d'Azur désormais brisée, et d'un royaume dépossédé. Elle ne le montre que rarement, n'aimant pas user du souvenir de sa mère pour s'imposer, et encore moins de son titre déchus de princesse du royaume. C'est avant tout à ses yeux un précieux souvenir .
Prénom : Gweline (prononcer Gwé-line).
Surnom : Gwen
Connu sous les nom de : Gwenel Thornald.
Race : Naine (demi-naine, apparence enfant humaine)
Sexe : Féminin.
Age (apparent) : 10/12 ans.
Poids : 45 kilos
Taille : 1m12
Langues parlées : Khazalid, Commun, quelques bases d'elfique.
Situation financière : Riche.
Métier : Herboriste/forgeronne.
Popularité et/ou influence : Inconnue au bataillon.
Comportement social : Noble.
Apparence :
Elle ressemble a une enfant humaine de 10 à 12 ans environs.
Un petit visage clair encore marqué des rondeurs de l'enfance, mais des yeux durci par la peine. Une chevelure de feu comme sa mère, et les même yeux vert, vif et fort. Petite, pâle et maigrichonne, elle cache sous son apparence frêle et enfantine le corps nerveux et sec d'une montagnarde habituée à l'escalade, au jeune et à l'effort.
C'est une enfant tourmentée, entre sourires pour ceux qu'elle aime et connais, mais douleur et pleurs lorsque la nuit s'en viens. Plaine de vie, têtue et farceuse, elle s'attire facilement des ennuis dans ses jeux allant souvent trop loin, dans sa rage d'oublier ce qui s'est produit à Gludio. Son enfance dangereuse fait qu'elle a rapidement recourt aux armes dès qu'elle se sent menacée de quelque façon.
Autre :
Porte a l'annulaire droit la chevalière de sa mère, le symbole de la Tours d'Azur désormais brisée, et d'un royaume dépossédé. Elle ne le montre que rarement, n'aimant pas user du souvenir de sa mère pour s'imposer, et encore moins de son titre déchus de princesse du royaume. C'est avant tout à ses yeux un précieux souvenir .
Spoiler:
***
- Histoire -
- Histoire -
Spoiler:
21 rougefeuille de l'an 50.
Je ne sais trop par où commencer d'écrire.
C'est de lire les notes de maman qui m'a donné envie de mettre sur papier ma vie. De poser en mots les événements récents. Sa mort. Ma douleur, l'exil. La destruction du château, et la fuite, se cacher, vivre comme des animaux parfois. Passer de maisons en fermes, en maisons, granges, cavernes, tunnels humides, puis la chaleur de la salle principale de la maison d'un sympathisant, ou d'un résistant. Puis encore la fuite.
Maman est morte.
J'ai beau l'écrire, on me l'a dit, on en parle tout le temps. Je n'y crois pas.
Elle ne peux pas mourir, ma maman. Je l'ai vu se battre, contre des bêtes à Gracia. Si gracieuse malgré sa lourde armure, environnés de lumière de son marteau et sa petite fée. Comment ce serait possible qu'elle meure ?
Pourtant ils me le disent tous. Et elle ne nous accompagne pas. Elle ne viens plus dormir avec moi le soir, pour me réconforter, et m'aider en chantonnant à trouver le sommeil. J'ai souvent froid maintenant.
Je suis née quelque part a Gracia. Dans des montagnes ont m'a dit, un petit village caché, qui a été détruit par les démons. Maman me croyais morte, c'est pour ça qu'elle est partit sans moi, et que Merulf l'Ancien s'est occupé de moi et ma sœur jumelle, Toryane. Je ne sais pas pourquoi on ne lui as pas dit qu'en fait j'avais survécu à ma naissance, moi et Toryane.
Elle, elle est restée à Gracia, après que maman nous ais retrouvées, alors qu'on étaient réfugiées dans la vieille mine, avec les monstres dehors qui cherchaient. Toryane a appelée maman, je ne sais pas comment elle fait. Elle faisait souvent des rêves ou quand elle les racontait, c'était comme la réalité. Moi je n'y arrive pas. Bref, les monstres étaient là, et l'ancien ne pouvait plus les retenir, même avec ses pièges, et sa magie qui bouge la pierre, et la terre, pour fermer les passages, ou ébouler les grottes, ou trouver là où était l'eau dans la pierre.
Elle a tué les monstres, et on a pus sortir. Elle avait un petit bateau qui vole, et elle nous a emmenée a une grande ville, pleine de plein de gens.
Ho. Aussi, Vrurk il est comme Merulf, vraiment très gentil. Il m'apprend à planter des plantes bizarres, et m'en occuper, et quels effets elles ont. Et puis, il m'a donné un beau chapeau aussi, pour me protéger de la pluie et du soleil dans je m'occupe des plantes.
Des fois, il dors avec moi, quand je lui demande, et que je pleure. Il sent pas comme maman, mais ça vas, c'est déjà ça. Il dois me présenter son loup, comme le Bijou de maman, aussi gros il a dit. J'ai âte.
Maman me manque. Et ma sœur me manque aussi, j'aimerais aller dans les rêves comme elle. Je pourrais la voir comme ça. J'essaie, mais ça me donne juste mal à la tête, et des rêves bizarre.
Allongée sur le lit pouilleux d'une auberge miteuse, elle écrivait, tirant légèrement la langue dans sa concentration pour former les lettres du commun, qu'elles n'avait apprise que depuis peu par l'enseignement de sa mère, puis d'un précepteur. Gwenline Fondernong, fille de Thyla Fondernong Azula, était passée de la dure survie dans des grottes humides de Gracia, avec sa sœur et son mentor et protecteur autant que père adoptif, Merulf. Et constamment en fuite devant les abominations qui y pullulait, pour soudainement se retrouver propulsée descendante et prétendante officielle pour la couronne du trône du Royaume de l'Ouest... avant de tout perdre à nouveau.
Mais tout cela, notamment la perte du rang et des biens matériels ne la préoccupait pas.
Il y avait bien plus important...
La vie était dure, et inconstante, elle le savait bien, en ayant largement fait l'expérience dans ses premières années de peur, de fuite, de survie et de faim. Seul contaient les gens au final, et non les lieux. Tel sa nouvelle famille, les enfants du château dont elle avait fait ses amis et qu'elle ne reverrait sans doute jamais. Elthien, la petite sœur d'Elvane qu'elle n'avait toujours pas pus rencontrer et dont elle anticipait avec plaisir les jeux et leur découverte mutuelle. Et puis, sa mère évidement, qu'elle avait apprit à respecter et craindre, tout autant qu'aimer d'un amour inconditionnel et sans retours possible. Pour sa gentillesse, sa capacité d'écoute et ses conseil avisé. Sa justesse et sa droiture, comme ses colères ou ses précieux instant de paix devant la chaleur du feu de ses appartements ou de leurs chambre avant de s'endormir la nuit venue.
Et bien que son esprit sois parvenu à comprendre ce qu'on lui avait dit, son cœur lui, le refusais encore. Et cela là déchirais intérieurement... tout comme les difficultés que son existence et ses pleurs apportaient à Kydha et Vrurk qu'elle apprenait lentement a connaitre, et apprécier malgré leur différence.
Actuellement, ses soucis étaient multiples, et bien que très différents de ce qu'elle avait pus connaitre. Apprendre le combat, et la forge auprès de sa "tante" Kydha, et l'herboristerie auprès de son ami Vrurk. Découvrir tout un monde qu'elle ne connaissait pas, fait de fermes, de tavernes et auberges plus ou moins douteuses. Mais aussi de petites joies, de granges pleine de pailles et bien accueillantes, d'animaux étonnant, de levé de soleil sur des terres verdoyante qui n'étaient pas noyés dans les nuages. Ou bien de sa découverte des adénas qui la laissait encore un peu perplexe, et du "droit à mentir" pour tous les "autres qui ne sont pas de la famille". Mensonges moins grave, moins importants le lui avait appris Vrurk un soir, dans une taverne de Giran.
S'adapter à une échelle des valeurs pleine de gris,
Pour elle qui ne pensais qu'en noir et blanc jusqu'ici...
Elle comprenais, et apprenais bien vite... oui.
Mais cela faisait beaucoup de choses, pour une enfant.
Léchant la pointe de sa plume, elle commença de fredonner doucement, toute à son écriture...
Mais tout cela, notamment la perte du rang et des biens matériels ne la préoccupait pas.
Il y avait bien plus important...
La vie était dure, et inconstante, elle le savait bien, en ayant largement fait l'expérience dans ses premières années de peur, de fuite, de survie et de faim. Seul contaient les gens au final, et non les lieux. Tel sa nouvelle famille, les enfants du château dont elle avait fait ses amis et qu'elle ne reverrait sans doute jamais. Elthien, la petite sœur d'Elvane qu'elle n'avait toujours pas pus rencontrer et dont elle anticipait avec plaisir les jeux et leur découverte mutuelle. Et puis, sa mère évidement, qu'elle avait apprit à respecter et craindre, tout autant qu'aimer d'un amour inconditionnel et sans retours possible. Pour sa gentillesse, sa capacité d'écoute et ses conseil avisé. Sa justesse et sa droiture, comme ses colères ou ses précieux instant de paix devant la chaleur du feu de ses appartements ou de leurs chambre avant de s'endormir la nuit venue.
Et bien que son esprit sois parvenu à comprendre ce qu'on lui avait dit, son cœur lui, le refusais encore. Et cela là déchirais intérieurement... tout comme les difficultés que son existence et ses pleurs apportaient à Kydha et Vrurk qu'elle apprenait lentement a connaitre, et apprécier malgré leur différence.
Actuellement, ses soucis étaient multiples, et bien que très différents de ce qu'elle avait pus connaitre. Apprendre le combat, et la forge auprès de sa "tante" Kydha, et l'herboristerie auprès de son ami Vrurk. Découvrir tout un monde qu'elle ne connaissait pas, fait de fermes, de tavernes et auberges plus ou moins douteuses. Mais aussi de petites joies, de granges pleine de pailles et bien accueillantes, d'animaux étonnant, de levé de soleil sur des terres verdoyante qui n'étaient pas noyés dans les nuages. Ou bien de sa découverte des adénas qui la laissait encore un peu perplexe, et du "droit à mentir" pour tous les "autres qui ne sont pas de la famille". Mensonges moins grave, moins importants le lui avait appris Vrurk un soir, dans une taverne de Giran.
S'adapter à une échelle des valeurs pleine de gris,
Pour elle qui ne pensais qu'en noir et blanc jusqu'ici...
Elle comprenais, et apprenais bien vite... oui.
Mais cela faisait beaucoup de choses, pour une enfant.
Léchant la pointe de sa plume, elle commença de fredonner doucement, toute à son écriture...
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