[bgelfe] Sayuri Amamiya

Ici se trouvent les BGs des héros décédés, paix à leurs âmes.

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Shirafune
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[bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mar. 16 décembre 2008 à 16h53



Nom

Amamiya Sayuri

Age

250 ans

Sexe

Féminin

Race

Elfe

Classe

Elfe sorcière, l'apprentissage de la magie non pas par les livres mais par le développement de soi, la magie évolue avec son hôte.

Carrière envisagée:


Aucune définie.

Caractère et moralité:



Du haut de ses 250 ans, Sayuri a un tempérament d'elfe calme. Cela mêlé à une grande courtoisie, un sens du code de la politesse connu, et des manières bien nobles, dû à sa race et à son environnement jusqu'alors.
Elle n'est pas violente, mais n'en est pas pour autant pacifique, elle sait faire la part des choses, mais reste bien souvent flâneuse ou "en contemplation" , une fois décidée il est rare qu'elle change d'avis, soit dû à sa réflexion, soit à son entêtement.
C'est également une elfe discrète, qui de par ses nombreuses années de vie, a su se faire présente quand il le faut et seulement quand il le faut.


Description physique:



Sayuri mesure environs 1M64, elle a un corps de bonnes proportions, proportions elfiques, elle a une longue chevelure argentée entremêlée de nombreuses mèches d'un rose sombre qui lui descend bas dans le dos, un savant tressage de cheveux noués derrière la tête grâce à une broche. Son oeil droit est vert, tandis que le gauche est bleu, c'est pourquoi sa frange de cheveux cache toujours avec efficacité et charme, son oeil droit, laissant croire qu'elle a les yeux bleus.

Histoire




La famille d'Amamiya Sayuri vivait au village elfe depuis plusieurs longues générations, malgré les temps qui changeaient, eux comme de nombreuses familles anciennes d'elfes étaient toujours là.
Cette famille était réputée aux seins des leurs, pour les facultés de transformation, non pas en tous, mais en Licorne (Unicorn) de génération en génération, c'était l'art de la famille qui avait été choisi L'âge moyen pour commencer à se transformer, était dans la centaine d'années entre les 200 ans et les 300 ans de l'elfe, après cela, il était une vieille rumeur familiale, que la transformation ne serait alors plus possible, ce qui ferait périr les traditions familiales.


Vient ensuite, la petite Sayuri de la famille Amamiya, jeune elfe, elle est très vite remarquée, dès sa naissance, pour la couleur de ses yeux différents, l'un vert et l'autre bleu. Dans sa famille, c'est un bon présage dit-on, les signes avant-coureurs qu'elle pourra elle aussi, se transformer comme ses aïeux l'ont fait avant elle.


Sayuri prend alors, dès son jeune âge, l'enseignement d'un maître arcaniste, assez proche de la famille, celui-ci, commence alors à donner son enseignement à deux jeunes elfes, Amamiya Sayuri, ainsi qu'une autre, Doyll. Les deux jeunes filles, ne tarderont pas à nouer un contact amical, à force de se côtoyer dans le même environnement.
Sayuri pourtant, de son enseignement, ne relève pas grand chose des livres sur l'art de la magie. Certes elle assimile autant de connaissances qu'un mage pourrait le faire en faisant de même, mais le procédé magique est bien insatisfaisant, les formules sont correctes, mais ne conviennent pas à la personnes. Le maître arcaniste en charge de leur éducation, se pose alors nombres de questions, et durant plusieurs années, d'études, de recherches et d'observations, il reste perplexe, face à cet étrange phénomène.


Doyll et Sayuri, de leurs quelques années désormais passées ensemble, sont devenues bien proches, rarement l'une sans l'autre d'ailleurs, elles partagent leurs impressions sur l'art qu'elles étudient toutes deux auprès de leur mentor, passant des journées de débats longs et fastidieux, sur les détails et les origines des arts, mais aussi de la musique et de la littérature, en tous sens, elles assimilent les bases de l'immense connaissance dont bénéficient les elfes, grâce à leur longévité étonnante.



Vient alors bien plus tard, la résolution du secret qui entoure l'étrange incompétence de Sayuri, de ne pas être douée en magie. Des recherches faites sur sa famille, montrent que leur talent de transformation est inné. Même si la peur de "tares" existe dans la famille, cela semble impossible car c'est un "don du sang" dans leur famille, aussi tous peuvent le faire, sans exception, et jamais exception il n'y aura. Mais cela lève aussi le doute sur leurs méthodes de magie. Ce ne sont pas les longues assimilations de formules qu'ils utilisent, mais comme pour leurs transformations, l'art inné des elfes à utiliser la magie, non pas dans les incantations, mais dans la magie de leur sang. A quelques exemples, on les compare aux sorcières humaines.


C'est alors, que la méthode d'enseignement du maître arcaniste, divergea entre les deux jeunes filles. L'une garde son maître mot pour les études implacables, le savoir pour le savoir et l'assimilation de connaissances.


Sayuri elle, vient alors à faire plus de séances de cours sur elle même. Les talents d'une "sorcière" se jouent sur ses aptitudes personnelle et sur sa spécialité, c'est en se connaissant au mieux, qu'elle peut accroître sa magie, la développer et l'utiliser, aussi il devient donc primordial de méditer pour Sayuri, pour apprendre sur son intérieur, son subconscient, et sur les subtilités de son conscient.



Les deux jeunes filles, quittent par la suite le village elfe, dans une période de quelques années, elles s'en vont, suivant leur mentor, dans quelques autres villes, un "tour du monde" initiatique, pour avoir une vision globale du monde, des autres cultures, des autres races, ou tout simplement des autres espaces qui les entourent.


C'est lors de ses quelques années prises, que Sayuri développe de plus en plus sa personnalité. De passage dans une ville tout d'abord, avec des compères elfes trouvés sur place et avec qui elle s'entend bien, elle apprend à fumer la pipe. L'art de la pipe des elfes, bourré de feuilles de qualité aux goûts tous différents, elle apprend alors cela sur place, s'initiant de quelques brides d'horticulture, en ce qui concerne les différentes plantes à utiliser, leurs effets, leurs contre-effets.
C'est ainsi que, parallèlement, Sayuri, commence à faire des recherches sur tout ce qui concerne les plantes, utilisant sont temps, et son voyage formateur, pour prendre en étude tous types de plantes qu'elle pourrait voir, les analyser, et les cataloguer ainsi, pour remplir un grand mémoire qui pourra lui servir de support à l'avenir. Il est bien entendu dit, que son mentor n'approuva jamais le fait qu'elle se soit initiée au tabac, et refusa d'ailleurs d'en parler.



C'est non loin de cette ville, dans une autre bourgade plus riche, que Sayuri, Doyll, leur mentor et maintenant deux nouveaux comparses elfes, s'arrêtèrent. Ne devant s'arrêter d'ailleurs que quelque temps, le temps d'une halte. Halte qui suffit pour découvrir encore d'autres choses, notamment les effets du bien être extérieur. ll fut prouvé que la façon de paraître à soi était un élément clef, pour réussir, non pas qu'être élégante rend les choses plus faciles, ça se joue plutôt sur l'image de soi-même, plus on s'estime au mieux, sans être orgueilleux et plus les capacités magiques en sont augmentées, ce qu'il faut donc, c'est de la confiance en soi.


C'est dans un changement vestimentaire et une plus grande confiance en soi, que Sayuri expérimenta alors ses résultats, non déçue de voir que son regain de confiance en elle, provoque une grande avancée dans sa maîtrise de la magie



C'est sur le chemin du retour, que Sayuri tomba dans sa période de "transformation". Désormais âgée de 250 années, c'est l'âge, dans la famille, où les elfes sont susceptibles de commencer à changer, et à gagner leurs pouvoirs de "changeformes" comme ils disent, leur mentor avait sans doute prévu le coup quelques temps à l'avance, car ils avaient dès lors toujours un livre épais sur les changeformes avec lui.


Plus le temps passait, plus les transformations devenaient évidentes, tout d'abord, cela se faisait bien involontairement, des griffes au lieu des ongles, des dents plus fines et pointues, parfois même des oreilles recouvertes de duvet. Bien que tout s'apparentait à la transformation, cela n'avait rien d'une Licorne, au contraire, on aurait plutôt dit un félin. D'après son mentor, c'est plus ou moins normal. Les premières transformations même familiales, nécessitent un certains "rodage" surtout pour les lignés qui se transforment en créatures magiques. Aussi il est presque tout le temps admis que la transformation première, est un félin ou une créature "simple" et que, lorsque cela fait, la transformation familiale prend alors le pas, remplaçant la créature d'adaptation.


Leur arrivée de nouveau, au village elfe était imminente, et de plus en plus, la transformation de Sayuri était accrue, plus d'une fois déjà, elle avait réussi à se changer entièrement en panthère, même si le temps restait encore long à la transformation, elle y arrivait, il ne restait plus maintenant qu'à travailler le temps de la transformation, une fois cela fait, cela voudrait dire que ses capacités magiques sont suffisantes, pour que la transformation de famille prenne le pas.



Mais pour le moment, cela n'était pas à l'ordre du jour, en effet, le travail du mentor venait d'être rempli, et même s'il restait à disposition, maintenant qu'ils étaient revenus au village, les deux jeunes élèves n'en étaient plus, le long chemin des arcanes leurs était alors ouvert, et il leurs revenait la tâche de l'arpenter chacune de leur manière.
Dernière modification par Shirafune le sam. 20 décembre 2008 à 00h47, modifié 2 fois.

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Message par Shirafune » lun. 16 février 2009 à 02h56




Voici désormais quelques temps, plus ou moins long, que Sayuri était désormais revenue sur les terres, qui jadis, l'avait vue naitre. Biensur, le choc des cultures étaient encore bien présent, mais riche de ses années passé, elle savait prendre tous ce qui venait avec un certains second degrès.



Tous d'abord, elle avait rencontrer au hasard des rues de Giran, une elfe, et un humain semblant fort sympathique, un brin pragmatique tout de même. Anastasia et Owein, tous deux servant sous la bannière en péril du Lys rouge, dirigé par le Régent de Goddard, Feb.
C'est donc avec ses deux personnes, qu'elle avait commencer son immerssion dans la société nouvelle qui s'offrait a elle. Les débats tournère court, car les esprit, a l'époque, était tous occuper par une seul chose, la bataille entre les Amtaks et le Lys rouge. Biensur, les raisons pour lesquelles cette batailles s'anonçait n'était pas toujours clair. Ce qu'elle avait put retirer, c'était que le Lys, a une époque, avait prit Goddard aux Amtaks, regnant sur les terres avec tyranie, mais que aujourd'hui, ces même Amtaks c'était reunit pour reprendre leurs bien.
Tous ceci n'était donc, finalement, qu'une guerre pour la récupération de terre, un conflits, comme il y en a tant et tant, un peu partout du globe, pourtant, toute la population n'avait plus que cette discution a la bouche, quelque part, cela donnait encore plus d'ampleur a ce qui en avait déjà si peu auparavant.



Par la suite, a l'une de représention d'un menestrel, elle connut Yllendris et Bernil, deux elfes qui avaient toujors vécue au village, plus a l'aise surement, elle ne mis pas longtemps a sympathisé avec eux, ce qui était aisé il faut dire. Ses deux elfes en effets, sous une attitude pseudo-sérieuse, était en réalisé de joyeux drille, qui se cachait a demi peu être pour fumer. Le contenue de ce qu'il fume restant un grand secret a demi eclairé par leurs maladresse.
Toutefois, leurs plaisantes compagnie s'avéras bien agréable, surtout pour ne pas être éseulé dans cette masse imposante de village inconnue pour la plupart pas toujours bienveillant.



Doyll elle, avait anoncé a Sayuri qu'elle irais rejoindre les Siannodel, SIannodel dont Sayuri ne connaissait rien et qu'elle c'était juré de connaitre un jour, c'était certains, mais pour le moment, elle n'avait ni la tête ni le temps de le faire, mais il ne faudrais pas y couper !
Elle parvint tout de même a Heine, un jour, en compagnie de deux humains, d'une elfe, et d'un orc, un assez étrange mélange de race dans une seule et même taverne, et encore plus autour d'une même table. Se lançant dans un jeu qui ne se trouve que dans ces taverne, durant des heures, ou les tensions firent place a une réelle et saine bonne humeur, avant de ressortir de cette endroit, d'un pas forcément aussi bien assuré que quand ils y étaient tous entré quelques heures auparavant.
Finissant presque échoué sur une place, au hasard de leurs balade, Alwena et Sayuri se mirent a parler longuement, bien que la discution avec l'elfe ivre qu'était Alwena ne menait pas a grand choses, sauf peu être a des fou rire non controler. Mais qui précéda une nouvelle rencontre, celle avec un jeune elfe, Irime, se disant amoureux des grand espace et des peinture qu'il pouvait en faire. Ce qui coupa court, car ils durent bien vite rentrer en ville, suite a une legere dispute avec un dénommé et bien connut Khyil.



Sa dernière rencontre marquante, et pas des moindres puisqu'il s'agit d'une sombre ! Enfin, rencontre est un bien grand mots, elle c'était déjà connut, il y a quelques temps, lorsqu'un bandit semant la mort sur les routes les avaient, Doyll, Eilistraee, Sharlène et Sayuri, attaquer. Ce qui fit toute l'affaires des mercenaire de la ville, qui rapliquèrent au galots, s'offrir un sanglant combat duquel il ressortire vainqueur, non sans mal, cela va sans dire.
Mais rencontre tout de même, car au delas de la race, Sharlène et Sayuri, prédestiné par certains comme ennemie mortelle, avait appris a ce connaitre, lors de grande "randonné" si l'ont puis dire, au Sayu réaprit a découvrire les terres qu'elle avait effleuré jadis.



Mais le temps qui passait, ne devait pas être vain pour tous, et Sayuri devait aussi s'occuper de son aptitude a la magie. Ce qui n'était pas alors son fort, pour le moment. Replongeant dans le bain de la magie, elle continua sur son ancienne lancé, c'est a dire a prendre les choses comme elle vienne. Décidant surtout de tout tabler sur la méthamorphose, celle du félin pour le moment, pour apprendre a mieux maitriser cette forme. Aussi, il n'est pas rare encore, de voir un énorme chat se gambadé la ou il n'aurait surement pas sa place, ou a faire des excercice impenssable pou un tel animal. Mais qui ne fait rien, n'obtiendras rien !

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Message par Shirafune » mer. 4 mars 2009 à 12h44




C'etait le village elfe, qui depuis quelques jours, était devenue le lieux favoris de Sayuri, passant des heures inombrables a rester au balcon du temple, a regarder l'arbre mère, mourant cela va sans dire, mais si jolie, qu'elle s'occupait.


Revenir ici, aprés un siècle de vie n'avait rien changer a la citée elle même, c'était en revenche plus le monde extérieur qui avait changer. Certe si les têtes n'était pas les mêmes et les sons de cloches pas tous identique, dans le fond des choses, pour ceux qui savait lire entre les lignes, l'histoire se répétait hélàs encore, comme toujours et a jamais sans doute.


En se baladant dans les bois pres du village, elle se revut parfois, plus jeunes de deux siècle, encore enfant, courir dans ses vert espace en compagnie de Doyll et de son tuteur, toutes deux fraiche et ignorante du monde et de ses subtilitées et complexitées, aujourd'hui, elle sentait cette époque plus loin que jamais, sans doute dut a l'éloignement, même si, etrangement, elle ne regrettait rien, et n'aurait rien changer si cela était a refaire.


Elle fut bien vite rejoint par Sendo, il est vrai, celui-ci lui avait demander entrevue depuis déjà fort longtemps, et par heureux hasard, privdence ou destin, il était enfin tout deux au même endroit, ce qui ne déplut pas a l'interresser.


Aprés quelques formalité d'usage, ce fut de faire plus ample connaissance de Sayuri qui l'interressait, il est vrai que Sayrui connaissait pas mal de chose sur Sendo a présent, mais que lui, ne connaissait réellement que son nom, et que son visage, ce qui était bien peu devait-il penser.


Amener sur la terrasse, derrière le temple, c'est la qu'il voulut tout savoir d'elle, mais tout savoir d'une elfe de deux siecles est un peu trop, surtout en quelques heures. Bien que les question qu'il lui posa n'était pas vraiment des plus poussé, cela était néanmoins amusant, on aurait dit un Sendo enfant, qui essaiyais de connaitre une petite fille qu'il ne connaissais pas, en espérant apprendre d'elle des choses qui permettrais a son coeur de battre plus vite encore a la prochaine rencontre.


Hélàs, il est bien évident que les idéaux de Sendo et Sayuri son différent au possible, a ma droite un elfe conservateur, a ma gauche une elfe ouverte au monde avec parfois trop de crédulité, Sendo en fut les frais, quand Sayuri lui avoua avoir un apprentie, un sombre, celui-ci si choquée sans recula de quelques pas, oubliant ses désuette avance sur la jeune femme qui avait, avec courage cela dit, tenté dans une prise de main. Lui qui avait été si content un moment de croire que Sayuri avait rejoint la Trinite à cause de ses vêtements ressemblant, semblait a présent décontenancé, presque répugner, une question d'habitude fit que Sayuri ne sans vexa pas, après tout, en quelques sorte, c'était elle l'anormalité, une elfe de bonne famille accordant savoir et confiance a des êtres née du mal.

Mais Sendo n'était pas bête, ni dénué de bon sens, il admit a demi mots que même si lui ne pouvait faire ce genre de choses, il comprenait l'intention de Sayuri et trouvait cela honnorable. Ce n'était certe pas tout a fait honnete il est vrai, mais l'intention y était donc ce n'était pas accusable présuma t-elle.

Sendo était quelqu'un d'assez protecteur, le grand frère elfe par exellence, inquiet en permanence, regardant les fréquentation de sa soeur d'un oeil en chien de faillance, un discour moralisateur et sage au possible, c'est sans doute ce qui amusait et plaisait le plus a Sayuri chez lui, un sens de l'éthique exacerbé.

Le discour se finit bien vite, Sendo promettant de présenter leurs guide a Sayuri, devait bien sur s'en aller ailleurs, Melyn l'un de leurs compagnon lui avait donner rendez vous, et c'est ainsi que s'acheva leurs entretiens d'une soirée.

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Message par Shirafune » ven. 6 mars 2009 à 20h00



Comme chose étonnantes, dans se monde, ont aurait surement de quoi remplir des bibliotèque entière, et dans ses bibliotèque, il y aurais bien de la place pour un humain, dénommé Khyil. C'est sans doute le plus étrange que je n'est jamais vue a ce jours. Désagréable, assosiacle et maitre dans l'art d'importuné au possible le monde qui l'entoure, il est l'un des plus étrange chose que j'ai vue a présent.



C'est une fois, alors que je me rendais a la taverne d'Oren, que je l'ai croisé, railleur au possible, avec ce que je crois être son amis Malice, que je ne croise pas pour la première fois si mes souvenirs sont bon, il se plait, même pendant des joyeuses fête dans diverse tavernes, a semé al discorde, le doute et la mésentante avec tous ceux qu'il croise. Le plus étonant, c'est qu'il a quelque peu l'air de s'être trouver une passion certains pour ne pas me ménager, cela n'as rien d'agréable, et c'est justement cela qui semble lui plaire, ce qui est vraiment déroutant par moment.



De ce que je savais des Siannodels, c'était des gens assez sage et calme, je n'aurais pas imaginé Doyll a l'époque ailleurs, de toute façon, est pourtant, aussi surprenant que cela puisse être cet individus plus que dérangeant se trouvait aussi dans la communauté. D"'un coup, j'eut un immense élan de compassion a ses chère siannodel, qui pour des raison encore obscures, se devaient de le supporter, lui, la terreur de la sérénité mental. Etrange d'ailleurs qu'il n'est pas plus de bleu et marques sur le corps que cela, sans l'éducation et la courtoisie elfe, je me serait bien tenté a le battre jusqu'a ce que les excuse exulte de son corps comme l'odeur de mort d'un cadavre putrifié depuis trois jours, hjélàs je ne pouvait me laisser aller a de telle élan d'optimiste.



Pourtant, les autres membres paraissait, quand a eux, tous normaux, je pense encore Xcylian, Malice, Arche... Quoi que Arche a un penchant trés net pour toute ce qui semble ressemblé a de la bière ou autres, mais ce n'est pas dérangeant.
Et le pire, c'est qu'il parait qu'il est jeune, donc que je vais devoir le supporter encore bien 50 années ! Ô rage, Ô desespoire, Ô veilleisses ennemie, que n'ais-je point donner pour tant d'infamie...

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Message par Shirafune » dim. 8 mars 2009 à 02h01


Aujourd'hui encore, rencontre avec un autres humain, non pas Khyil, heureusement pour mes pauvres nerfs qui, je le crains, je n'aurais pas supporter. Aujourd'hui donc, rencontrer sous un arbre de Giran, en pleine après midi, ce fut Viskor, un "jeune" humain avec qui j'avais déjà echanger quelques mots plusieurs semaines auparavant. A savoir que notre première rencontre c'était suivit d'une pré-déclaration d'amour a l'eau de rose, dont je n'avais alors pas crut un seul mot, pensant biensur que beaucoup d'humain doivent faire cela quand ils rencontrent des elfes : j'avais tord pour la première fois.



Il ma donc fait venir sur une plage de l'île du rire, ou beaucoup de spéctacle ont lieux, galant comme un prince, il y est aller a la seul force de ses deux petites jambes et ma ensuite téléporter la bas, autant dire que cela c'est vue, a Giran, une elfe disparaitre de la cohut et de la voie publique au vue et au sues de tous, mais qu'importe, je me retrouvais donc, sur une plage ou il m'attendais.
Une nappe, horrible cela va sans dire, blanche avec des rayure rouge m'attendais la, avec deux verres d'alcool, qui pourait sans doute fêter leurs virginité même après notre départ, je décidais de ceder a son invitation de m'assoir, sentant surement déjà l'embuscade amoureuse arriver comment on reconnait le mugissement de la Sombre en chaleur. Assis donc tout deux, ce fut biensur sans tarder qu'il posa les banales question, pour tous savoir de moi... Franchement ?! Est-ce un comportement typiquement humain, au premier rendez vous, de raconter tous ce que l'ont a fait et vécue durant ça vie ? Vraiment il y a des choses que je n'arriverais surement jamais a comprendre, je le crains. Mais ce n'était pas encore le meilleurs ! Qui celon la tradition humaine est toujours garder pour la fin...La bonne blague !



Il m'avoue donc fierement, avec une ardeur a faire palir un Lion, qu'il était fou amoureux de moi, et que sont coeur, s'il était encore dans sa poitrine et non a coter du miens, ne devait son absence qu'aux faite que cela soit une méthaphore...Heureusement, un coeur me fait déjà vivre un millénaire, alors deux...
J'ai passer un temps immémorable a lui expliquer, de diverse façon que je n'étais surement pas la femme de sa vie, et que je ne pouvais rien lui apprendre de la vie, nous n'avons pas la même culture, pas le même âge, j'aurais je pense vue son arrière arrière arrière arrière grand pere naitre et mourire, pour ensuite le connaitr elui, Viskor... Mais rien n'y fait, il ne semblait pas comprendre, ou vouloir comprendre ce que je lui disais. J'essayais la ruse, prétendant avoir déjà un compagnon et une famille ! Apparament ca ne le dérangas pas, car il me proposa l'adultère ! Je feint donc de lui dire que j'étais peu être attiré par les femmes ? La encore ca ne semblait pas poser probleme, a croire qu'il se serait transformer en blonde au yeux bleu si j'avais insister plus encore !



Me promettant de me chérire a jamais, de ne jamais me laisser seul, dans le desespoire, le désaroie, la maladie et la malchance, je fut rassurer, d'un coup d'oeil rapide, de voir que nous étions bien sur une plage, et non a l'église ! En quelques sorte, comme discour de mariage, on aurait pas fait mieux, sur cela, je lui tire bien bas mon chapeau, a defaut de me courire après, il serait fort bon poète !
Mais l'heure tournait, et je le laissait, au bout d'un moment bien lasser, aprés avoir eut des allusions douteuse sur un baiser qu'il devait me faire pour reveler toute l'intensité de notre amour. Amour qui, s'il existe, doit être enfouis dans un autres corps que le miens ! Je plains ma descendance si ca se transmet, ses bestioles ...



Je repartait donc, pour Giran ! Eccopant au passage de quelques prédiction comme quoi, sous entendue, si je n'étais pas avec lui, je souffrirais de malheur et de tristesse ! Et qu'il serait la pour m'épauler ! Hélàs je ne l'avais pas attendue pour souffrir ou pour pleurer, en deux siècles déjà d'existence, j'ai la net impréssion que le peu de larme que j'avais a la naissance sont partie ou se sont déséché, usé par le temps et la monotonie certaines et sanglante de l'histoire !


Encore ainsi, qu'une fois a Giran, je rencontrait, une nouvelle fois, Eluvia ! Une sombre aveugle, nous partîmes nous changer les idées, après le rendez vous que je venais d'essuyer, je ne pouvais pas m'en plaindre, de me rendre près d'un village des chasseur, dans un lieux reculer, vers une magnifique et interminable cascade d'eau... Oui il semble que tout le monde dans se pays sache que j'ai des affinité magique avec l'eau, si seulement ca pouvais être aussi simple de deviné mon état de couple, je serais peu être moin ennuyer, mais le père noel n'existe pas, nous le savons !

Après une longue aprés midi la-bas, ou j'appris bien vite, qu'elle aussi, cette charmante sombre, brulait d'amour pour moi , quand ont est idole, c'est pour la vie , je rentrit au village elfe, exténué par temps de révélation, je m'accordait une bonne salade bien faire, pour digerer cette journée, levant me vers a la santé des idiots qui enfante d'autres idiots !

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Message par Shirafune » ven. 13 mars 2009 à 15h38


Aujourd'hui encore, je flanais dans le village elfe, aprés être revenue d'une région ou je n'avais encore jamais mis, les pieds, une longue chaine de montagne m'avait intrigué depuis le début de mon retour. Haute et glacée, ou personnes ne semblaient vouloir aller tellement le paysage était désolant de neige, autant dire que c'était l'endroit idéal pour moi, tellement d'ailleurs que j'y avait passer la journée, contractant plus encore mes afinité avec les elements que j'aprivoisais déjà : L'eau, la glace, le vent... Mais je n'avais pas tenue plus d'une journée la bas, et donc je me décidais a rentrer au village elfe, prendre un peu de repos... Doux rêve absurde.



En rentrant, je tombit presque immédiatement sur Sendo, mon chevalier servant au allure de Saint Bernard au garde a vous ! Il était la, assis sur la dernière terrasse derrière le temple a contempler ou ne sais quoi, je soupsconnais qu'ils rêvasse ! Et d'ailleurs je n'avais pas entièrement tord, car il me le confirmat aprés que j'eut engager la conversation.
C'était un peu difficile d'ailleurs, le jour précédent, lors de notre visite a Rune, il m'avait offert en présent, avant de partir tel un voleur pris la main dans le sac, une bague, trés jolie, finement ouvragé... Une demande en mariage ! Ou en fiancaille du moins !... Grand dieux je le savais ! C'était pourtant clair depuis le début qu'il était amoureux de moi, et pourtant, je n'avais pas eut le coeur de lui brisé ses espoir naissant encore dans l'oeufs, mais d'un coter comme de l'autre, il allait être cruellement déçue...



Il ne mis pas longtemps a m'en parler, décidant qu'il était préférable de faire le premier pas, c'est moi qui lui dit ce que cela pouvait signifié, je priais intérieurement "qu'il démente, QU'IL DEMENTE !!!" mais non biensur, comme on pouvait s'y attendre de Sendo, fidèle a lui même, il resta franc et honnete, un brin penaud quand même et affirma mes suppositions... On était bien ! L'un devant l'auter a se regarder sans ne plus savoir quoi dire ! L'un charger d'espoir, l'autre munie de sa hache de bourreaux des coeurs, a force, j'allais passer pour un monstre !
Comme Viskor avant lui, mais en plus gentil tout de même, je dit a Sendo que j'étais encore trop jeune pour penser au mariage, ou a une vie stable en couple, ce qui n'est pas tout a fait faux, vue que j'ai a peine deux siecle et demi d'existence, meme si a 250 ans, cette excuse tiens moi la route que quand on a 120 ans.
Biensûr il était déçue, quioi de plus normal ?! Mais je n'y pouvait rien, c'était un amis trés estimé, mais je ne me sentais pas de vivre avec lui, lui faire des enfants, les elevés jusqu'a ce qu'il grandisse puis mourire, tel une mere et grand mere que j'aurais surement été.... Non ce n'est pas possible ! Pas encore en tout cas, je ne me sentais pas prete pour un "oui" j'ai encore tant de choses a apprendre... Enfin c'est rassurant de le croire.



La discution tourna cour aprés, un bref serment de loyauté et de fidélité de sa part jusqu'a ce que je change d'avis, ce qui peu prendre parfois la moitié d'un millénaire, et nous nous quittâme en bon amis, déçue et blème, mais en amis quand même, l'un dans l'autre, ne n'avais pas provoqué de grand esclandre de larme et de cries, j'avais même obtenue un baisé sur le front, ce n'était pas si mal ! Entre lui et Tem, j'avais l'impréssion d'être une pomme au milieux d'Alfirin affamé, comparaison peu flateuse mais ô combien significatrice !
Mais je décidait de laisser "ça" de coter pour le moment ! J'avais besoin d'ouvrage, une fois n'est pas coutume, pour ma morphose qui n'était toujours pas complete, il me manquait beaucoup de chose, et je dut me résoudre a aller a Heine, chercher un livre parlant de cela !



Arriver a la bibliotèque de Heine, je tombit alors sur Xcylian, en compagnie de Danae, une elfe blande, l'archétype par excellence, que je ne connaissait pas encore hélàs ! J'avais même l'impréssion de les déranger, car le conversation paraissait bien intime ...Non pas dans se sens la, mais assez intime pour ne concerné que deux personnes, grand dieux, Xcylian notre "chaiff" serait-il un homme a femme qui abuse de ses nouvelle recrue en leurs prométant mont et merveille grace a la promotion canapé ? Non je me refuse de croire qu'il y a des canapés a Heine...Et aussi ce qui concerne Xcylian.



Une fois les présentations faites, j'avouais presque fautive a Xcylian que j'avais rencontrer enfin Melua, qui s'enjouais de me présenté au conseil, pour ma part, ce que je trouvais de chou chez Melua, c'était son bonet !!!
Xcylian, comme on pouvait s'y attendre coupa cour a tout bavardage inutile, c''était une grande qualité que j'apréciais chez lui, l'art de ne pas dire autre chose que le nécéssaire, c'était quelque fois rassurant de savoir que des gens comme cela on survécue au phénomène de politesse hypocrite. Il me donna alors l'insigne des siannodels, un écusson qui ne paie pas de mine avec un Dragon bleu dessus, simple, pas forcément jolie, masi qu'importe !
Nous parlâme des quelques intentions des Siannodels, ainsi que les activités présente, puis, chacuns de notre coter, appeller par rien du tout, noous partîmes, vers un monde meilleurs... Non c'est une plaisanterie, un monde meilleurs ca n'existe pas.

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Message par Shirafune » dim. 15 mars 2009 à 04h52




Les trois accords de la démences ! Voila comment aurait put se surnommé Khyil, Kelthen et Corby !



J'ai eut le malheur de les rencontrer, tous les trois a Heine, en présence de Malice, bien évidément leurs complices a temps partiels, mais aussi d'Eilistraee, qui j'avoue devait se sentir perdue devant tant...D'inepsies.
Les trois gaillards donc, trés joyeux comme a leurs accoutumé, commencère a chercher querelle a tous le monde ! Au menu du jours, insulte, reproche, remarque et petit pic incessant ! Je ne sais pas s'il le font exprès, ou s'ils sont vraiment attarder, une chose est sur, quand leurs parents les ont commencer, ils devaient pas être fini...
Les trois enssemble notons bien sont redoutable pour vous donner la migraine, entre la rétorique de bas étage, le changement de conversation a tous va (et quelle conversation...) et toutes la mise en scène grotesque qui s'attache a leurs pitreries, j'avoue bien malgrès moi qu'il y aurait de quoi vaincre le plus grand des tyrans en peu de temps, et sans sortir la lame.



Malheureusement ils commençe a montrer trés peu d'interet, d'où la surprise du debut, c'est une lente et monotonique lassitude qui s'installe quand on les croises. Leurs "effet de charme" n'as plus autant d'impacte et on les laisse facilement dérivé sur leurs idioties jusqu'a ce qu'il se taise... Mais c'est pas pour autant que c'est plus facile a supporter ! Et pourtant tout le monde semble y aller de sa petite méthodes pour les fuir ou les supporter le mieux possible, je pense que j'ai trouver la mienne, les laisser faire jusqu'a ce qu'il trouve meilleurs occupation avec quelqu'un d'autres. Comme on dit, le malheurs des uns fait le bonheur des autres ! C'est de bonne guerre...




Aprés les avoir supporter plus que nécéssaire, et un projet avec Malice et Eilistraee tomber subitement a l'eau, je décidais d'aller a Dion, je ne sais encore trop pourquoi, mais je me souvient qu'avant d'être partie de mes terres, dans ma jeunesse, j'avasi eut des amis, humains pour la plupart qui arrivait la bas. Ce fut la première erreur ! Même si je ne me rendais pas encore compte, lors du voyage, il c'était écoler facilement 150 ans avant ma derrière visite, et je ne réalisais pas encore bien, que ceux que jadis connut jadis reposait désormais 6 pieds sous terre, sous une solide stelle de marbre blanc, avec parfois pour les plus fanfarons, un épitaphe.
Je réalisais alors, que leurs enfant avait repris leurs metier, le boulager qui m'avait sembler si familier n'était que son fils en fin de compte, un fils que je n'avais connut, car j'avais connut son père plus jeune encore... Celui-ci avant déjà les cheveux grisonant, et je ne tardais a savoir que lui aussi, était en fin de vie, et avait déjà eut des enfants. Me saluant de façon courtoise, je le regardais avec un brin de tristesse, lui qui était sans doute a mille lieux de se douter que son pere, dans sa toute jeunesse avait dialogé avec moi, et que pourtant encore trop jeune, j'allais sans doute déposer une fleur sur sa tombe, dans quelque année une sur celle de son fils, de son petits fils et ainsi de suite.




Ainsi était le retour de la médaille de notre longévité, a nous les elfes, qui ne pouvions avoir d'amis durable que les notres. Les humains bien que fréquentable ne perduraient pas dans le temps aussi bien que nous, et de décénies en décénies, nous avons alors l triste lots de voir leurs famille tomber, uns a un comme les pétable d'une rose qui fanerais a grande vitesse, ainsi sommes nous les constant spéctacteur des générations, et des époques qui passe, évaluant ce qu'un humble écuyer a fait, regarder sa ligné se hissé plus tard au rang de roi, puis revenir simple boulager, sans que cela soit graver nul part, sauf dans notre mémoire immuable et quasi-immortel. Voila sans doute pourquoi les miens trouve les humains si insipide et fade, sont-il déjà au courant qu'a peine le lien tissé, l'humain en question dépérirait au profit de son fils qui ne durerais pas plus longtemps hélàs.
Que dire, alors que je réalisais, sans le comprendre pour la premiere fois, que si j'avais, 150 ans aprés le même visage, ceux que je trouvais devant moi, avant parfois 3 génération de plus. J'avais alors, le sourire nostalgique, tout le loisir d'écouter les "veille histoires" de Dion, raconter dans les rues par des grand mère, histoires que j'avais entendue 150 ans avant, par une vieille femme elle aussi assise sur le même banc, comme quoi, certaines chose change et d'autre ne change pas !




Aprés cette fin d'aprés-midi nostalgique, je revenais a Heine, sur le qui vive ! Interdiction formel de repasser une heure avec les trois gignolles de services !! Heureusement on m'avait assurer que seul l'hérétique de Khyil était Siannodel...Et ce n'était pas un mal ! Lui serait déjà difficile a contenir sans qu'en plus ont est ses trois comparse de jeu dans les pattes. Seul soulagement, maigre cela dit.... J'irais faire pipi sur leurs tombe ! A tous les trois !!!

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Message par Shirafune » jeu. 19 mars 2009 à 03h16

NARJA !





Voila fort peu longtemps, lors d'une de mes arriver a Heine, je tombais a l'improviste sur Khyil avec une jeune femme, que je ne connais pas encore... Tous deux pres de la fontaines, je me surprenais a croire que c'était la femme de Khyil, tous deux, se passant l'enfant qu'ils avait, je finissais par me dire que Khyil avait au moins une personnes a chérire dans sa morose existence.



"Va-y débarasse moi en, j'en veut plus"



Ce fut la phrase qui me rapellas a l'ordre, Khyil est un cas sans issue, et la jeune femme ne pouvait être sa fiancé, surtout que celle-ci pensais plus a faire du garconnet un casse-croute plutôt que de s'occuper de lui...Bien étrange ses humaines ! Ca tues des animaux pour manger, et ca bouffe sa propre progéniture, si on me dit encore qu'il y a une logique dans tous ça !



Malice me rejoint bien vite, lui aussi était sans doute de passage a Heine, car tout deux, en silence, tapis tel deux chacals, nous observions nos proies...Enfin nos proies, plutôt les deux imbéciles qui, pouir l'un bradait son fils comme une vieille lampe a huile, pour l'autre, essayait de deviner avec quelle assaisonement il serait plus goutue ! Si ca avait été le miens, Narja aurait put manger sa cuisse avec la sauce de sang que je lui aurait vidé du coeur, sans compter les yeux évicérée en guise de garniture !



Elle nous rejoint bien vite d'ailleurs, mordillant l'oreille de Malice en guise de signe de bienvenue...Si celui-ci n'avait pas une oreille propre...DOMAGE ! Mis a part cela, elle semblait plutot energique, avec un fin maquillagede boue séché et de feuille morte ornant ses cheveux, un gout trés prononcé, si on aime la vase et les bout de bois, même en étant elfe, on aprécie mal les bains de boue, a ce moment la, elle tenait plus de la cochonne que de la louve, mais passons....



Ce fut ensuite mon tour d'être inspecter ! Détailler de prés, je sentais son regard brulant m'épier de part en part, comme me traversant, me perforant comme des fleches d'acier brulant, elle regardait tous, le moindre détails, le moindres aspect de mon corps... Si elle me leche je la transforme en glacon que Léo poura léché en souvenir de sa mere déchue aux champs d'horreur !
Mais rien ! Le plus étonant, c'est qu'on la disait louve ! Faut quand même avoir une sacré estime de soit pour se titre être une chienne sauvage érrant dans les bois et léchant tous ce qui passe a porter d'bouche quand même ! Les humains sont étonant, celle la c'est le bouquet !



L'espace d'un moment, je crut même qu'elle me prit pour une rival en rute, c'est le mot, pour un certains sphexe, frere de sang de Malice... En vain, un humain qui a meme pas la moitié de mon âge ne risque pas de m'interresser, je ne les "chasse" pas au bercaux, et quand ils grandissent, ils sont trop bete ! Regarder Khyil ...



Puis elle partie ensuite, sans mot dire, peu être l'envie de faire pipi auprés d'un chaleureux buissons l'avait-elle pris, je n'en sais rien, mais ca ne m'aurais pas étonner qu'elle retourne dans sa foret qui sembler lui manquer tant...Les bains de bout son bon pour la peau, mais la c'est de l'acharnement !!



Nosu discutâme ensuite avec Malice, d'une jeune sombre qu'il acceuillait en ce moment chez lui, chassé de Oren, est en grand danger apparament, elle qui s'interressait au Siannodel, il n'avait eut d'autres choix que de la cacher chez lui...Bah tiens la bonne blague !!! Enfin le geste était louable, aprés faudras voir ce qui se passe au dessous du niveau de la ceinture ...
Puis, sentant qu'il voulait partir, je prit les devant ! Trop peu envieuse d'un tête a tête avec Khyil qui, comme toujours, jouait l'ahurie de service !

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Message par Shirafune » lun. 23 mars 2009 à 15h18


A chaque jours suffit ca peine ! Il y en a juste qui ont parfois double dose ...


Passant a l'hopital de Heine, prendre des nouvelles de mon Elpys enrhumé biensur, j'apercut au détour d'une chambre Khaneyl, une jeune sombre qui avait été admis ici pour un cas d'empoisonnement.... Forcément, ses choses la, c'est toujours pour nous ! On devrait faire payer les entrer a l'hopital, on deviendrait richissime !...


Prenant quelque nouvelle de la sombre, qui paradoxalemetn paraissait assez pâle, je ne put hélàs pas rester trés longtemps, du moins, c'est ce que je croyais...C'était sans compter sur Malice qui, dont ne sait ou, on ne sait comment. Etait alors etendue sur le point de Heine, celui menant a l'hopital de la citée, mutilé, inconscient, il gisait la, presque mort, mais le remede de la sombre a la main, donc quelque part victorieux il n'était pas mort pour rien.... Merde il était encore en vie ....


On les coucha tous les deux dans la même chambre, même banière meme combat combat comme ont dit ! Avec la sombrette qui nous gémissait du "Malice" a tue tête, qu'ont aurait put en faire, si on voulait, une chansons, et Malice lui, qui avait la vivacité d'une huitre en hibernation, j'avais donc toute les raisons de penser que je ne tirerais rien de mieux en restant ici. Mais a ce moment la, les faveurs divine s'ouvrire a moi, m'offrant le rire d'une visite !


C'était Cierla Do'Urhven, Représentante des Crysos Renor. Qui venait ici a l'hopital, déjà elle n'était pas contente que Malice et Khaneyl soit encore vivant....Dire ça pour une représentante, j'avais déjà le sourire au levres ! Elle, elle debute, c'est pas possible !!


Accusant donc malice de tout le malheur que la terre put inventé jusqu'a ce jour, je lui demandais ce qu'elle voulait en dédomagement, histoire de la viré elle, et son encapuchonné de compagnon de l'hopital ou, par hasard, j'avasi fait venir des gardes....A tout hasard ?!?!
Elle demanda donc 1.000 adenas pour ca robe déchiré.... La j'avais envie de rire quand même. La plainte c'est "Malice ma tué" sauf que celui qui est quasiment mort, c'est Malice, et que elle déplore un accroc a sa robe .... Qu'ont essaie pas de me faire croire que c'était le but de la visite de porter plainte après ça !!


Enfin Léo arrivant, les deux joyeux lurons aussi sombre l'un que l'autre, surtout celui en robe de pretre, ou l'ont voyait les traits d'une lourde armure dessous, s'en allère enfin. On pouvait enfin commencer a ce marré !

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Message par Shirafune » mar. 31 mars 2009 à 04h24


Khyil est un porc, on le sait tous, ce que l'ont sai tmoin, par contre, c'est que parfois, sous l'effet d'une malédiction, par exemple ? Khyil en devient véritablement un !


C'est dans une belle matiné ou je découvrais un Giran frais et plutôt calme, donc des nains en grève, que je m'apercevait, avec un étonement certain qu'un cochon, bien rose et dodue, avec un regard porcin presque attendrissant, était en liberté a Giran ! Sous l'oeil amusé de la garde bien évidément.
Ce cochon passait, et repassait, parfois plus rapidement que d'autres, chiens ou fermier mécontent au trousse, il était étonant comme ce cochon courrait vite ! Biensur, on était bien loin de se douter que c'était Khyil ! Auquel cas il aurait eut le droit a quelque coups de savate en plus.


Avec Khelian et Mya, nous décision donc de nous offrir dans les campagnes avoisinant Giran, un feu de camp ou nous cuirions se cochon comme il se doit, vue sa masse, qui refletait surement la bétise de Khyil, nous n'allions pas manquer de faim ! Ligoter et ficeller le cochon fut donc trainer, au abord de Giran.


Ce fut au moment de le saigner, que la surprise vint. En effet, j'avais dégainer mon épée, et mon coup avait été net et précis, saus faute ! Malheureusement la corde avait lacher, ce qui avait donner au cochon une occasion pour fuir. L'animal, vraiment gauche, tombat dans le fleuve ! Et la, la magie s'estompa, Khyil redevint Khyil, au gand malkeur de tous. Se noyait presque, oubliant qu'il était humain avant d'être un Porc. Un fois revenue sur la berge, il nous accusa tous, biensur, d'être ses bourreaux, meutrier et assassin.... En même temps c'est pas tous les jours que votre cote de porc se transforme en homme, si ?!

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mar. 30 juin 2009 à 04h15

Avant, on pouvait se plaindre que les Siannodels, c'était dirigée par un sombre fatome qu'on voyais les jours de pleine lune, le 36eme jours du mois d'avril, a 26h quarante-douze.
Maintenant, on peu clairement dire que les Siannodel vont être dirigé par une chienne ! Et le pire, c'est que c'est vrai ! Déjà qu'on avait une réputation trés controversé.... La ! Nos adversaire vont pouvoir s'en donner a coeur joie, de tel manière que même nos alliée vont finir pas lever le nez devant nous ! Enfin, nos alliée ... Ambre ressemble beaucoup a Xcylian sur un point. On les voie PEU, et PEU LONGTEMPS ! Au moins vous me direz, on est pas emmerder par les visites !


On noteras quand même que pour rajouter a ma mauvaise humeur les nains ne m'aide pas ! Voyez vous, j'allais faire un présent a une amis, Sarathai... Des bijoux, je savais que ca lui fairas plaisir ... Sinon je lui fou une grande claque dans sa gueulle mais c'est pas le sujet !
Bref ! Je demande a ce pauv' nain agonisant sur le parvit de Giran, de faire preuve de son titre de joallier ! ... QUATRE bouclier d'oreille qu'il ma eclaté en morceau ce crétin ! Déjà qu'on les paie une fortune pour pas grande chose, eux ils sont fort ! Ils se débrouillent pour être payer a échoué ! A ce rythme la on se demande si le roi des nains, c'est pas celui qui boie le moins et qui sait le moins se battre !


Je crois aussi que Léo va m'en vouloir ! C'est vrai ... Déjà que le Lys rouge est en grande agonie, je viens, et sans levé ma jupe, de convaincre Iann de venir chez nous ... Vous avez déjà couper les cheveux a un chauve ?! Et bah la c'est la même chose... Notons bien que, j'ai fait oeuvre de charité, Iann avait honte de porter son blason, je l'ai persuadé de le quitter !


Il y a aussi Prune ! Aaaaaahhh ...Prune ! C'est le genre de fille qui arrive avec un problème bénin, vous vous dévoué a l'aider ...Et vous vous retrouver isolé a l'autre bout du continent, sur le pied de guerre, des assassins et des fiancé jaloux et armer sur les bras, qui vous attendent dans les ruelles sombres ! La prochaine fois, ma seul aide consisterais a mettre une claque dans la truffe et de dire "assume !"

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » jeu. 2 juillet 2009 à 14h28


Hier encore. J'étais avec Eillistraee... Nous avions décidé d'aller dans une taverne depuis Dion, on a pris celle de Giran, c'était la plus proche. L'alcool n'attendant pas, les deux alcooliques que nous étions, n'ont pas trainer pour aller jusqu'a la taverne, les gardes nous on arrêter un moment pour exces de vitesse... Les pauvres, au retour ca sera exces d'ivresse sur voie publique.


Nous avons donc commencer un petit jeu trés éducatif, consistant a descendre le plus de verres possible et de voir la qu'elle tiendras en denier debout. Eeeet oui, quand on a vécu deux siecles avec les humains, il n'y a guere plus que l'alcool pour nous donner une raison de signer pour encore 8 siecles...
Malice nous a rejoint, et a put assister a notre térrifiante batailles, verres aprés verre, un grand moment épique dans l'histoire que les barde manqueront encore de raconter...C'est féniant la, qui en foute pas une ! Qui ont des MOUFLES A LA PLACE DES MAINS !!!... Ca braille sur Giran des chansons d'amours a l'huile, mais pour raconter une lutte personnel contre l'alcoolisme, la biensûr ! il sont absent !


Finalement, nous sommes ressortie de la taverne, beuré comme des saumons, Eilis et moi marchions droit, c'est le sol qui était zig-zigant, encore un nain bourré qui a fait le pavé de la place, je me demande encore pourquoi on les engages ses pilliers de taverne. Bon à rien sauf à rôter dans leurs barbes et a poser leurs gros sac a graisse, qui leurs sert de cul sur la place de Giran et a attendre l'omone, qu'elle bande de chieurs !


Arriver donc chez Malice, nous étions fin fini ! Et la soirée n'allait pas en s'arrangeant ...Sur un parie débile donner par une connasse...Ah oui c'était par moi ... Nous avons danser ! Et je vous assure que la seul différence entre avant et aprés la danse, c'était justement la densité de vêtements qu'on portait ! C'est a dire plus rien ... Comme quoi l'alcool donne chaud !
Finalement, nous sommes aller dans le hamac le plus proche Eilis et moi... Son petit fessier moelleux pour dormire ..Huuuummm ! J'en aurais bien profiter si j'avais pas été gerber....

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » ven. 18 septembre 2009 à 15h50


C'est la guerre ! Enfin c'est ce qu'on dit ...

Pour tout dire, il y a pas mal d'évènements...Soyon concit, s'agit de pas s'endormir sur la plume. C'est pas comme si le récit etait interressant d'ailleurs, mais ca fait plaisir au marié...


Et oui ! Danae, l'elfette fantomatique de notre grande joyeuse, sympathique, adorable, aimable, et tout les adjectif complaisant qu'on peu donner, allait se marié a Irime ! L'elfette le plus niais et timide jamais vue ..Un joyeux couple d'innocent, ils vont bien enssemble !
Pour des raison obscur, ils décidaient de se marié devant l'arbre mère ! ... Faudras me dire, qu'elle charme il y a, a se rouler une pelle devant un enorme pommier ...Enfin, les gouts et les couleurs, c'est comme les coups et les douleurs, ca se discute. Biensûr ! Il y avait la joyeuse compagnie des paysans archer, les Gardien de l'eau (Ne sait-on jamais qu'un sombre veulent leurs voler leurs flotte, fait rester vigilant !) etaient la. Je ne vous raconte pas la tronche qu'ils ont tiré, quand ils ont vue tout les Siannodel débarquer. Eilistraee, Sarathai, le ton était donner !


Inseal Alfirin oblige, le mariage fut annuler ! A la grande non-stupeur de tous, aprés tous, fallait pas tenté le diable, on va pas se marié chez des racistes, quand on se traine avec des amis de couleurs ! Non mais sans rien , faut pas pousser mémé dans les orties ! Le mariage on l'aurait fait a la taverne, baptisé par une bouteille de rhum sur la margoulette, que ca aurait été bien plus festif ! ...Et ca aurait fait rentrer des sous dans la caisse, accesoirement .. Passons les détails financier.


Sur ce aprés ! Malice monta a l'assaut ! Et avec ses grand ongles long, déchiqueta la Pretresse d'Eva, dit Erlineth ! Au pied de l'arbre mere ! Quelque chose me dit qu'il allait faire la gueulle, le pommier ... ! Enfin les pommes aurait une raison d'être rouge.


Et c'est ainsi, que la guerre fut déclaré ! Les joyeux Alfirin nous demandait Malice, contre la "sauvegarde" de notre nation...La blague ! 4 paysans qui vous menace avec leurs arc, faut pas déconner non plus ! Qu'ils viennent a Heine, si ca leurs chante de ses retrouver devant l'ecclesia au complet...Et puis ca poura être drôle, aprés tous, on ne voie pas souvent d'elfe monté a l'assaut d'une grande ville...Enfin on ne les voie pas souvent tous court, me ddirez vous, ce n'est pas comme s'ils avaient un rôle actif !


Le pire dans cette histoire...C'est qu'avec toute ses paperasse qui m'incombe, j'ai loupé la beuverie du vendredi soir ! Une épreuve dur, dans ma vie, qui me laisse de profonde bléssures, des marques irréverssible, et une sacré jalousie d'avoir manquer de boire sans avoir un adenas a dépenser. Oui, en plus d'être ivrogne, je suis radine, comme quoi, un defaut ne viens jamais seul !

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » jeu. 15 octobre 2009 à 00h55

La tour d'ivoire.
Et oui, sous les grandes capes, les airs sage et réfléchit, parfois, les mages de la tour d'ivoire peuvent faire preuve d'un sens de l'humour a touet épreuves, si si, je vous assure. Notons bien que chez nous aussi, la blagues ne se taris jamais !


Un jours que je ne sentais pas, je me décidais d'aller au chateau d'Innadril, notre repère alcoolisée comme certains le dirais. La bas, je croisais quelques membres, qui m'informère de la visite "d'Avant-garde", un membres important de la tour d'ivoire, qui venait presque dans l'instant, car sinon arriver, je devais déjà aller lui ouvrir les portes...C'est bon a savoir, on a des portier qu'on va pouvoir foutre a la porte, on a un budget séré ses temps-ci.


La ou la blague est forte de chocolat, c'est qu'Avant-garde venait négocié quelque choses ... La Rune ! Et biensûr,nous nous attendions tous a voir des propositions alléchante venir nous brosser dans le sens du poil, c'est un peu ce que nous voulions en faite ... Mais non ! Niet ! Nada ! Peau de balle ! Comme seul rétributions nous avions le droit a une "conscience apaisés" d'avoir fait ce qu'il fallait pour la sauvegarde du peuple, le bien de tous, et tout ce genre de connerie bien idéaliste ou un enfant de 8 ans refuse désormais de croire.
Nous allions donc devoir, avoir de ferme négociations sur le morceaux de viande qui, heureusement, était de notre coter ! La discution c'est vrai était ferme ...Mais que faire, si c'est ..."pour la bonne cause" ? Je vous le demande, nous sommes donc devenue trés immoral, vil sournois et vindicatif, en rappellant a Avant-garde, que la sauvegarde du peuple et le bien être du prince charmant d'Aden était aussi important pour nous que les pauvres insecte que nous écrasion a longueur de journée en venant au chateau...La on était vraiment, mais alors vraiment méchant !


Au final, Avant-garde est repartie satisfaite ...Il lui faut pas grand choses, un cailloux, on sait quoui lui offrir lors de son prochain anniversaire. Et nous de notre coter, nous avions quelque maigres rétribution qui firent grincé des dents certains d'entre nous ...Je me décidais de vite prendre mes jambes a mon cou, avant que Narja surgisse de l'ombre pour me dévoré toute et entiere !

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mer. 21 octobre 2009 à 06h12


Voila plusieurs jours que je n'ai pas mis les pieds à Heine, un reproche habituel qui commence à sonner à mes oreilles comme le traditionnel "bonjour" que tous et chacun braille à mes oreilles dès qu'ils me croisent.


Je suis resté cloitrée je ne sais où pendant plusieurs jours, entièrement coupée du monde ou presque, plus de politique, je ne sais absolument pas ce qu'il se passe chez mes confrère Siannodel, j'ai sans doute du rater une des thérapie de groupe que l'ont surnomme réunion, en gros je n'ai pas loupé grand chose sauf quelques débats stériles qui nous donne plus de maux de tête que d'idée pour avancer, et comme nous sommes au bord du gouffre, je ne sais pas si j'ai vraiment l'envie d'avancer ... ?!


Etrangement, je ne ressens plus l'envie de revenir à Heine, encore moins au château, il y a de moins en moins de choses qui m'attire la-bas. On me reproche mon absence, mais de l'autre côté, je pense bien que ma rare présence les ennuie plus qu'autre chose. Peut-être ai-je fait mon temps sans m'en rendre compte, et qu'il est temps désormais que je tourne la page ? Je l'oublierais presque, mais il ne s'agit plus que de moi, j'ai désormais d'autres personnes à m'occuper... D'autres personnes qui je crois, passent avant l'union symbolique qui forme les Siannodel. Peut-être n'est-ce plus mon époque, peut être cela ne l'a t-il jamais été au final. Je me souviens d'avoir rejoint les Siannodels car je partageais les idéaux de Doyll, mais je crois que depuis, trop d'eau à coulé sous les ponts, et ses idéaux jadis ne m'atteignent plus, et n'ont plus aucuns sens pour moi. Je fais mon travail là-bas, sans réfléchir et sans plus grande passion, presque lassement, comme une besogne répétitive que l'ont refait, jours apràs jours sans plus aucune passion.


Mais je n'en suis pas encore à rendre mon blason, du moins, pas pour l'instant je crois, il y a encore quelque personne que je voudrais voir grandir dans cette communauté... Ou peut-être est-ce que je cherche un pardon, un apaisement de conscience qui tomberait un jour à l'improviste ? Je n'en ai plus aucunes idées je dois dire. Je ne sais plus ce que j'attends, ce que je désir ou veut des Siannodel. D'ailleurs, le suis-je vraiment toujours ?

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » lun. 14 décembre 2009 à 07h40

L'enlèvement.


C'est alors, que sur le pont de Giran, accompagné d'Eillistraee, je vis Prune, et un jeune homme dont je n'avais pas le souvenir, soit parce qu'il m'était inconnu, soit parce que l'alcool commençait réellement a affecter mes capacités mentales... Ce qui n'était pas à exclure. Je me dirigeais alors vers eux, mais arrivée là où ils étaient, eux n'y étaient plus, à la place, il y avait Sendo. Malgré les différents de nos clans, nous avions réussit a garder une amitié vaillante, lui et moi, notre passé d'elfe, nos rencontres hasardeuses au village des nôtre, tout cela semblait loin, si loin maintenant...


Il tenait à me parler seul, j'arrivais à le comprendre, il faisait déjà un effort pour ne pas insulter Eilis, sachant qu'elle m'était cher, je pouvais bien lui accorder cela. Tous deux, marchâmes le long du chemin, jusqu'à nous en écarter, ce à quoi je ne faisais pas trop attention, je savais que, si danger il y avait, il ne serait pas le dernier à dégainer son arc. Il avait toujours eu ce coté chevalier servant, un peu trop naïf, mais qui quelque part, faisait de lui quelqu'un de bien.


Assis sur l'herbe fraiche, je n'eus pas le temps de voir ce qui m'arrivait, une vive douleur à la tête, à l'arrière de la tête, et puis, plus rien, le trou noir, l'inconscience profonde... Une occasion n'est jamais perdue pour roupiller un peu comme dirait Narja !


J'ouvrais les yeux alors, pour ne rien voir, je me sentais nue, enveloppée dans un drap, les yeux bandés... Etais-je donc réincarnée en saucisson prêt à être fumé ?! Moi qui espérais le hérisson... Quoi qu'il en soit, j'étais assise, dans un endroit humide, peu accueillant sans doute, vu les faibles lueurs de lumière, autour de moi, des gens, beaucoup de gens, puis des voix. Je reconnus alors celle de Sendo, deux autres hommes, et deux femmes, un nom raisonna alors à mes oreilles: "Eva"...
Bande de vermines infâmes, pourritures, traitres à leurs causes et principes... Insael Alfirin, gardiens du peuple elfique ainsi que de sa dignité, voilà à quoi ils en étaient résolus, pour la capture de Malice, et la revendication de Heine ? A capturer les leurs, et les ligoter, tel un goret prêt à être égorgé ?... Sendo... Maudit sois tu, moi qui avait gardé de l'estime pour toi, tu as donc joué de ma confiance pour m'attirer dans un piege, pleutre... !


Je ressentais une forte vague d'indignation, de colère, venant de ceux qui prêchait la parole elfique...S'en prendre à moi, à plusieurs de surcroit, il fallait bien du courage !!!
Mais je savais Sendo prit de remords, même si je n'arrivais pas à excuser son comportement, j'étais nourrit, quelque part, comme prisonnière, je ne me plaignais pas, j'étais persuadée que rien ne m'arriverait de grâce, après tous, tuer des elfes leur étaient impossible, impensable...



Je déchantais bien vite alors, quand, manque de réaction de mon clan, traduit par les Alfirins comme un lâche abandon, les avaient pousser à envisager de me mutiler, me couper une main, une oreille, voir même me tuer, pour prouver tout leur sérieux...Disait-il réellement vrai ? En était-il réellement réduit a cela ?! Qu'Eva les parjure et les condamne au repentit éternel... Ils n'étaient plus protecteur du peuple elfe, mais mercenaires aux longues oreilles, à la solde d'une idée fixe et obstinée !
Néanmoins, sous mon air bravache et fière, je ne l'étais pas vraiment... Plus le temps passait, et plus les Alfirins n'avaient aucune réponse favorable, face à ma capture, à croire que les Siannodels ne m'avaient pas remarquer durant tout ce temps, pire encore peut-être, ne se souciaient-ils point de moi ...Après tout, avais-je le droit de leurs demander un quelconque geste en ma faveur ? Qu'avais-je bien pu faire pour eux, dans le passé, pour qu'aujourd'hui ils daignent venir à mon secours ? Faible amitié, copinage et bonne entente...Mais au de-là ? Rien d'autres ... M'étais-je abusé sur l'esprit de famille qu'ils avaient avancé, avais-je un jour cru en faire partie ? J'oublie peut-être que j'étais arrivée, bien après tout ceux, nombreux, qui étaient encore là, sans doute n'étais-je toujours que la nouvelle arrivante, une elfe distance que l'on ne connait que très peu, ou trop peu... Peut-être n'avais-je pas donné assez de moi tout ce temps, ou peu être ma place n'était-elle pas parmi eux, l'esprit de famille, ne s'applique qu'à la famille, sans doute l'avais-je oublié...



Alors les semaines passèrent, sans possibilité de m'échapper, me nourrissant quand on me le permettait de le faire, buvant ce qu'on me donnait à boire, parfois droguée pour je ne sais quelle raison, parfois méprisée par ses elfes qui se disaient frères et sœurs... Mais si je n'appartenais plus à leurs monde, et que je n'appartenais point non plus à ceux d'Innadril. Alors au final... Où était ma place, pour qui avais-je réellement d'importance, assez d'importance pour que l'on risque sa vie, pour ma personne qui n'est pas mieux qu'une autre ? Je me rendais alors compte, de toute l'absurdité de l'existence même, elfe comme humain, n'avions comme désir profond que le goût caché et ultime de laisser une trace, de marquer les esprits, sans quoi, perdue dans l'indifférence, nous suffoquons sous la peur de n'être rien, de n'être que mortel qui sombre dans l'oubli , comme la paille s'enflamme parfois en été. Avais-je peur ? Non ...Etais-je déçue ? Oui certainement... Déçue de voir, qu'en deux siècles et demi d'existence, je n'avais pas marqué assez les gens, pour qu'on vienne me chercher, qu'on me tire de cet enfer, qui injectait, au fur et à mesure des jours, la peur dans mon esprit...C'était absurde, dégoutantes pensées, méprisable état d'esprit. Alors, je pensais à la seule personne qui devait pleurer, larmes et sang, de ma disparition, au moins, n'avais-je pas vécu pour rien, avais-je marqué quelqu'un au point que mon absence la rendait malheureuse... Ce que j'avais toujours voulu, être importante, rien qu'aux yeux d'une personne, avoir de l'importance.
Confrontée à moi-même, et à mes ravisseur qui n'avaient désormais pas plus haute estime de moi, que d'un orc lépreux, je me rendais compte soudain, que peut-être, n'avais-je pas choisi la bonne communauté... J'espérais à croire qu'ils mentaient, me souvenant de Narja, qui sous ses airs bravaches, avait le rôle de mère poule... Mais avais-je ne serait-ce que le droit de revendiquer autant d'intérêt ?



Les jours, puis les semaines passaient, installant mon mutisme, et mes doutes... Puis c'est alors, que les Alfirins, dégoutés et peu surpris, vinrent me dire qu'ils allaient me relâcher, les Siannodels n'avaient décidément rien fait pour moi alors ? Je ne devais ma liberté qu'à mes ravisseurs, qu'à leur pitié ? J'avais honte, j'étais en colère ... ! Qu'ils ne viennent pas, de leurs grands sourires, me saluer, car le fait est là, j'aurais put laisser ma dépouille sanguinolente sur le sol, qu'ils n'en auraient pas été autrement. Il va que ce fut Alfirin mes ravisseurs, les sombres ou les orcs, ne m'auraient pas laisser en vie plus de deux heures... Alors...Les Alfirins avait-ils raison, faisais-je mauvaise route, avec les Siannodel ?...



Je ressortais, éblouit par la lumière du jour alors, retrouvant le village elfe... Sur lequel j'avais envie de vomir mon dégout. Beau peuple ? Tu parles... Croisant des vitres, je n'osais même pas me regarder, après cette expérience, le fait d'être elfe me dégoutait, j'appartenais donc à ce genre d'individus, proclamant la supériorité des siens, mais n'hésitant pas à s'en prendre à eux, de façon lâche et couarde ? Qu'elle honte... Honte de moi, honte de ma race...Et en colère contre ceux que, l'espace d'un temps de naïveté, j'avais osé appeler les miens, en parlant de ces Siannodels inactifs et plongés dans leur torpeur. Je ne voulais aucune vengeance, je ne voulais simplement plus les voir, eux et leurs discours grandiloquents sur l'important du clan, hypocrite à souhait.



J'étais alors de retour à Gludio, j'avais hâte de la revoir, elle était la seule personne qui m'accordait une once d'importance, presque d'humanité, et elle était la, larmes aux yeux de me revoir, me questionnant de mille et une façon possible, soucieuse, effrayée, affolée, au bord de la crise de nerf... J'étais heureuse, je comptais au moins pour quelqu'un. A ce moment là Malice passait, à peine un bonjour, un "ravi de te revoir" et celui là n'était plus là. Alors... En définitive, ni les Alfirins, ni moi ne nous étions trompés ... Ils n'avaient rien fait, ils s'en foutaient au final, sur que certaines membres ne savaient même pas ce qu'il c'était passé... La colère, laissait place au dégout envers ces gens désormais...
Mais je m'en souciais peu, je me rendais compte, de ce qui était réellement important pour moi désormais, de ce qui comptait le plus pour moi, ces choses étaient parfois à Gludio. Plus que jamais je savais, envers qui, devait aller mon allégeance et ma loyauté.

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » lun. 14 décembre 2009 à 15h38

Narja !
Un jour ou je passais a Heine, par simple hasard, je croisais la chaiff, je l'appelais ainsi, car cela avait le dont de l'énerver à chaque fois. Bien sûr, cette fois là fut différente, Narja semblait effrayer, timide...Elle ne comprenait rien de ce que je lui disait, et ne savais même pas qui j'étais...Que lui était-il donc arriver ? Comment cela était-il possible ? Plus je posais mes questions, plus la terrifiante réponse s'affichait à mes yeux, elle ne se souvenait de rien, d'absolument rien ....Siannodel, SPhex, moi, Leo... Personne, ses souvenirs les plus anciens dataient d'une semaine à peine.



Je ne savais pas quoi faire, désemparée par cette situation, d'une Narja franchement née presque, qui n'avait aucune conscience de qu'elle était, et de ce qu'elle représentait pour les autres, les Siannodels, mais aussi tous les amis qu'elle avait eut par le passé, de tout ce qui faisait que Narja, était Narja.
Prise au dépourvue, je décidais alors de la prendre sous ma protection, il n'était pas possible de la laisser ainsi, errer dans les rues sans savoir où elle était. Je lui offrais mon toit comme abri, et la nourrissait autant qu'elle le voulait, l'habillant, et lui assurant ma présence au quotidien, j'avais déjà mon plan de bataille, une idée fixe... J'allais lui faire retrouver la mémoire. L'idée me dégoutant, de fouiner dans sa mémoire, mais à cause extrême, solution extrême, je n'avais pas le choix, c'était nécessaire... J'essayais du moins de m'en convaincre, tellement le doute était omniprésent.



Nous commençâmes nos séances... Où je perçut la présence, de celui que j'allais appeler le lutin, un mioche infernal, qui n'avait de goût et de plaisir que pour le pourri, et le détestable, soit disant gardien, mais plutôt bourreau de l'esprit. Une présence malsaine, qui avait une emprise forte, puissante, contre laquelle, je ne peux encore rien faire, mais à laquelle je m'habitue. Peu importe ma souffrance, je sais qu'à chaque séance, des lésions internes se font dans mon corps, et que, si je vais trop loin, c'est la mort qui m'attend, sans conditions, mais, par honneur, je n'ai pas le choix. Si j'ai perdue l'estime pour les Siannodel, Narja n'en reste pas moins l'humaine la plus intéressante a vivre et observer que j'ai rencontré, son cas m'attriste, et me préoccupe, elle ne méritait pas cela. J'honore mon serment de Siannodel, en aidant notre guide, à retrouver l'usage d'elle même, car, pauvre d'elle, je doute que le reste du clan se bouge réellement pour l'aider concrètement...Oh bien sûr, des paroles apaisantes, des tapes sur l'épaules... D'un profond inutile et hypocrite, alors, je vais au bout de mes limites, de ma condition physique, je dois le faire, pour moi je crois, pour me prouver quelque chose... Un désir ardent de vaincre l'amnésie, pire des fléaux que je connaisse.



Mais peu à peu, le doute s'installe... Je me rappelle une Narja soucieuse, jamais souriante, morne et blessée en son fort intérieur, trop responsable, et là, sous mes yeux, une jeune fille, pleine de vie, souriante, enfantine, insouciante, à qui sourit la vie... Ai-je le droit ?... Ai-je le droit de la ramener vers la dure réalité ? N'est-ce peut être pas une volonté du destin, de lui accorder une deuxième chance, une nouvelle vie, avec moins de souffrance, de coups et de blessures ? ... J'ai honte, je doute, j'ai peur... Je me suis convaincue de continuer, elle me châtiera quand sa mémoire lui reviendra, à sa convenance.

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » ven. 8 janvier 2010 à 19h59

Rêve d'une autre époque


~ Se souvenir, se passe il y a désormais un siècle de cela, Sayuri était alors promise a un avenir certain pour la gloire d'Eva et du beau peuple, elle était âgée alors, de 156 années ~


"Sachiru ...J'ai soif" Scanda Sayuri, comme toujours, de sa voie désagréable, grincheuse et hautaine, à sa soeur


"Sayuri...Tu ne sais faire que boire, boire et te plaindre, encore et encore...Pire qu'une humaine dans les pires tripots de leurs villes, pleine de démences et d'hérésies...Que fait tu de nos préceptes, éducations, et raffinements ?!" Sachiru, essayant vainement de raisonner sa soeur, cette teigne qui n'avais cesse de lui donner des ordres


"Tais-toi...Et ramène moi à boire...Nous sommes sorcière, idiote, la magie viens avec le temps ! Je suis ton ainée...Ecoute moi, c'est tout." elle n'avait pas décoler son nez de son livre, ses deux yeux, l'un vert, l'autre bleu, fixant les lignes sans grande conviction, avec un dédain certain.



Sa soeur, bien malgrès elle, bléssé dans son orgeuil, d'être ainsi malmené par sa soeur, allait quand même lui chercher son soul, un alcool humain...Du "Rhum" appellait-il ça, quelque chose d'ignoble, sans gôut, écoeurant tout simplement, mais qui avait le dons de mettre sa soeur ainée d'humeur...Moins massacrante, presque agréable. C'etait le rituel quotidient, presque de l'esclavage familliale
Une heure plus tard, Sachiru revenait alors, la bouteille a la main, dépitée comme a chaque fois de son séjour dans les villes humaine, ou elle allait chercher la liqueur tant convoité, qu'elle rendait a sa soeur le plus vite possible, comme peur d'une maladie virulente qu'elle pourait, ne sait-on jamais, attraper.


"T'en a mis du temps...Tu me feras mourir de soif un jour." Scanda Sayuri, la tête haute, la moue dédaigneuse


"Tu pourais dire merci..." La voie peinée, la soeur la fixant douloureusement, consciente de la transparence de sa présence. "]Tu a penser alors, à qui pourait être ton cavalier dans l'avenir ? C'est une question importante, tu ne trouve pas, pour nous ?"



Sayuri ne répondit pas, trop occuper a boire pour l'instant, bien que la mine dégouté en entendant parler sa soeur laissait imaginé le cynisme de sa réponse:
"Cavalier ?...Car tu crois que je vais servire de bestiole, à quelqu'un ? Ca c'est ton rôle...Tu te complaint a être une fille soumise, tu seras une brave fille, père te mariras, tu auras deux enfants d'un bel elfe, peu être le fils d'Astérios ! Une brave elfe au foyer, priant Eva pour la reussite de son diner, et récompensant par la chaire, ton valeureux mari, victorieux de sa bataille contre ses immondes créatures de l'extérieur, tu pouras être fiere de toi."



Sachiru était blasé, plus que bléssée, habituée a ce genre de discour. Elle savait, ou essayait de se convaincre, que sa soeur n'était pas qu'une fillette trop gatée, égocentrique et imbue d'elle même, et pourtant, en un siècle et demi, c'était le seul visage, ou presque, qu'on voyait de Sayuri, arrogante, méchante, cruelle, têtue, irrespectueuse envers ses égals et ses inférieurs, jouant sur son titre d'ainée par tout les moyens possible, et se dédouanant de toute responssabilité, des que l'occasion s'en présentait.
C'est ainsi qu'encore une fois, elle avait reussit a trainer sa soeur, dans la ville de Dion, un endroit alors à la fête, les gens passaient et repassaient, en ce temps la, voir des elfes étaient encore assez rare et toujours associé a l'esotérisme d'une race immortel. Sayuri aimait cette effet, d'être admiré de tous, de tous ses humains libidineux, voyant deux jeune elfes, se balader avec insouscience dans les rues, étrangere et immortel, et de toute ses humaines, dépitée devant le charme de leurs races, devant l'absence de ride eternel et cette jeunesse de corps, qui déchaine les jalousies les plus inavouables.



"Ca te plait tous ça Sayu mmh ? Être parmis eux, en te disant que tu va tous leurs survivres, n'est-ce pas ?"


"Et alors ? Même si c'était le cas ? C'est bien vrai aprés tout... Puis nous sommes condamné a être les pauvres larbin d'un individus quelconque, a qui l'ont devras tout céder...J'ai bien le droit de n'en faire qu'a ma tête non ? Puisque je suis destiner a devenir un animal de compagnie, sage docile et aimant."


"Sayu...Tu n'as rien compris. C'est une chance ! Nous symbolisont la symbiose des races ! Nous représentons le plus grand pouvoir magique, qui est l'amour, et la fraternité par delas toute raisons, toute logique et toute psychologie !"


"Parle pour toi Sachiru...Tu va me dire que tu serait préte a céder donc, tout ton être sans aucune limite, a ce mandiant par exemple ?"


"Bien-Biensur que non ! Un humain...C'est...Enfin, ce n'est pas possible ! ..J'imaginais un elfe ...Enfin...Comme enseigner, non ? Doyll dirait surement comme moi !"


"Doyll Doyll...Doyll est mon amie je te rapelle..Toi...Tu es juste..." Sayuri ne termina pas sa phrase, un retroussement de nez dégoutée conclua la fin de phrase, qui terra alors Sachiru dans un mutisme sans nom, lassé et attristé de la connassité de sa soeur ainée.



Le soir était tomber sur le village elfique, les chaumieres était alors allumer, Sayuri et Sachiru était sur le chemin du retour, trainant le pas, grincant des dents, la bouteille de la main droite, Sayuri rentrait encore dans un etat lamentable, qu'au fil du temps, elle arrivait plus ou moins bien a confondre devant sa famille, comme de douloureux maux de tête, ou une humeur fracassante, ce qui en général, lui donnait l'etat de grace, pour des heures de flânerie sans dérangement, pendant que sa soeur cadette, s'occupait de ce qu'elle devait faire, jouant sur son etat de "faiblesse".
Les traits plus jeune, les cheveux plus court, elle avait un visage moins souriant qu'ont lui connait, plus arrogant, colérique, abrupte, sans aucune compassion, elle ne traitait les gens qu'en fonction de leurs richesses et de leurs statue social, de leurs pouvoirs sur les autres, et haissait vicéralement tous ceux qui subisasit ce pouvoir, comme elle se haissait, d'être sans avoir son mot a dire, destiner a devenir l'objet de quelqu'un, de se voir assujetir de sentiments qui ne lui était pas propres, et la peur cruelle, de devoir mourire, pour protéger cette personnes, cette saloperie de personnes, qui n'aurait sans doute vue qu'en elle, le coter pratique de l'esclavage volontaire et suicidaire.
Elle commanca son monologue, sur son lit, le regard morne par la fenetre, sur sa soeur en pleine nuit qui était sortie avec mere, pour on ne sait qu'elle raison.



"Tu demande de l'amour chere soeur... Depuis quand les betes de foire que nous sommes en mérite ils ? Nous qui devont supposément gloirifié Eva, et nous asservir a quelqu'un, des que nous l'aurons croiser. Pense tu que nous aurons cette afféction tant attendue ? Je ne te hais pas...C'est juste, que c'est comme ça... Tu ne mérite pas de vivre, pas plus que moi, pas plus que nous...Des erreurs de la magie, plus que de rares héritier de celle-ci. Tu parle de chance, quand j'y voie une malédiction imparable, qui nous menace chaque jours de son épée de Damocles... Et quand nous rencontrerons cette personnes, nous oublirons tous n'est-ce pas ? Nous seront honteusement heureuse et malheureuse a sa place...On se sacrifieras, on se saigneras de toute part, pour donner le sourire a une créatures qui n'en auras peu-être que faire de nous...Quelle existence louable, a peine venue au monde, nous avions déjà nos chaine et notre carquant, la guillotine attendant juste son heure pour nous couper le peu de raison et d'esprit qui nous habite encore...
Que je hais te regarder, ma chere soeur...Que je hais voir ses yeux, reflet de notre abbérante existence, que je deteste, quand tu parle de cela avec philosophie et entrain...Comme un clébard qui attend la mort avec véhénance et supplication, la remerciant presque de venir... Que je hais, ta docilité et ton inaction face a cela...Tu n'est qu'une guimauve, prete a être manger par le premier qui passeras, docile et bien douce, une catin spirituelle, pretre a offrir sa vie a ce cavalier apocaliptique... Que je hais ton existence, ma chere soeur...Autant que je me hais de vivre de ses conditions"




Elle s'envoya alors, encore la moitié de sa bouteille de Rhum, pas encore habituée, elle subissait, les effets del'alcool, qui anestésiait peu à peu son esprit, lui évitant après quelque bouteille des réfléctions trop tortueuse sur sa vie et ce qu'elle sera.



"Je n'est pas envie...Pas envie de servir quelqu'un...Je veut que l'ont me servent, je veut tout, tout de suite et sans attendre... Je suis elfes, je suis riches...Je ne veut pas sombrer dans l'indifférence, la servitude et l'ignorance...Et plus que tout ce qui m'inssuporte, et cette grande candeur familliale, qui nous couve du regard comme si nous attendions un enfant...Grand dieu, Eva toute puissante...Sont-ils si bêtes, si crétins, pour ne pas voir a qu'elle point leurs vie est moches ? Etranver...Enchainé."


Les heures passèrent, et elle finissait son monologue dans la chambre de sa soeur, qui c'était endormie aprés cette longue journée voyageuse


"Ce que je hais par dessus tout...Avec toi...Est cette instinct maudit qui me pousse à être plus malheureuse pour toi, que pour moi, de notre sort promis. Pourquoi l'accepte tu ?...Est-ce si bien finalement, d'être une marionette ? Ca a l'air de te plaire, et je déploie toute l'energie que j'ai, en vain pour te haire, sans succes...Je te hais, car je n'y arrive pas... !"



Elle vint s'assoire sur le bord du lit de sa soeur, la recouvrant calmement, lui remettant les cheveux en place, ceci désordonner, chaque soir, le même rituelle, elle veillait sur elle, ce qu'elle se refusait de faire la journée, elle restait alors la, assise, dans la pénombre de la chambres, ou seul leurs soufle brisait le leger silence de la demeure elfiques. Regardant dormir ça soeur, comme si c'était la derniere fois qu'elle pouvait la regarder de ses propres yeux, la tristesse ayant ceder depuis longtemps, a une abominable et dégoutante résignation. Lui brulant les entrailles, de voir sa soeur, pourvut au même destin.



"Avec toute la cruauté que je m'efforce de te faire subir, j'avais éspérée que tu me haisse tu plus profond de ton coeur, pour que le jour ou je serais enchainer a ce Cavalier, tu n'est point de larmes, de regret ni de tristesse, a me voir tourner entierement mon existence vers cette personne...Mais j'échoue...Plus j'essaie, et plus j'échoue...Qu'est-ce qu'il faut que je face, avec toi, pour que tu me haisse ?...Ca serait tellement plus simple au final, si tu ne voulait que me tué, au moins, toi, ma trés chere soeur, tu ne souffrirais pas mon départ."





~De nos jours~





Sayuri se reveilla en sursaut, une présence chaleureuse et douce dans ses bras, celle de sa compagne, a la peau obscur, et au cheveux blanc, qu'elle ne put s'empecher de venir carresser, comme d'habitude, comme elle l'avais fait un siecle plus tot durant des années, replaçant les meches de cheveux de celle-ci avec douceur, sans lui causer de trouble. Elle se souvenait de ce souvenir, elle se demandait d'ailleurs pourquoi aujourd'hui.
Depuis un siècle, elle c'était domestiquer, et aimait, être ce qu'elle est, cette animal de compagnie servile, que jadis, elle avait hais de tout son coeur. Elle ne se rappellait plus exactement, a partir de quand, elle avait commencer a aimet et aduler cette existence de soumissions, elle savait pour sure, qu'elle n'aurais voulut aucune existence autres que celle-ci.
Elle se leva, marchat dans al maison, silencieuse, entrouvant la porte de la pièce ou dormait Narja, la regardant un moment dans un sommeil de Louve au ventre bien remplie, elle semblait aller bien, les cries hormis de ses cauchemar, qu'elle vint apaiser un moment, en s'asseyant au bord de son lit. Puis, elle sortie prendre l'air un moment, regardant la Lune, comme jadis elle le fesait, depuis sa fênetre de la demeure familliale, qu'elle ne verais sans doute plus jamais, renié par son village, par sa famille, et tous les elfes surement, fidele a la cause d'Eva.



"Dit...Je me demande comment tu va, Sachiru." Demanda t-elle, blasée, a la Lune.

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » lun. 25 janvier 2010 à 09h24

Licorne.


La vie de Sayuri, avait toujours été rythmer par ce mot, par cette définition et les conséquences de la natures de ce mot, plus encore de cette créatures magnifiques. Admiré de beaucoup, les Licornes étaient des animaux mystérieux, indépendant, merveilleuse autant que légendaire, leurs existance, relevait du mythe est de la féerie.


En tant qu'elfe d'une catégorie spécial, Sayuri avait développer ses dons dans cette voie, plus encore que la magie, elle avait atteint un haut niveau, en ce qui concerne la connaissance de l'existence des Licornes, et du liens magique ancestral qui les liaient a sa famille, et donc a elle.


Les humains, avait Aden et son cimetierre, pour enterrer leurs morts, les Licornes avait la même chose, dans la vallée dite enchanté, près du villages des chasseurs, ce lieu n'avait jamais rien eut de féerique, la beauté des roches, des crystaux et des Licornes s'y balladant cachant la triste réalité : ce lui était un lieu de désolation est de déchéance, toute les Licornes, véritable ou non, renié rejeter ou non, terminait leurs vie, dans une lamentable agonie spirituelle, devenant moins que des animaux, perdant toute intelligence et toute notions, tout sens moral, n'attendant que la mort, vivant pour voir celle-ci s'achever. Cet endroit, parmis tous, était le plait déprécié par Sayuri, comme tous les siens. Là bas, s'entend l'agonie langoureuse de ceux qui sont passer avant eux, et qui ont échouer, ou n'ont pas eut de chance. Un louange a la tristesse, que tous ont du supporter au moins une fois, et qui est difficilement possible de supporter une seconde. C'est pour cela, que jamais les siens, n'y vont, l'endroit est tabou, et interdit.



Néanmoins Sayuri avait découvert cet endroit, a son propre péril, découvrant l'atrocité du lieux, et de l'odeur croupissante qu'il donnait, la peur au ventre, c'est a plusieurs reprises qu'elle vue, et revut ce lieu, accompagner parfois de personnes proches, qui l'aidait a vivre ce lieu, mieux que seule.
C'est alors qu'une fois, a la croisé d'un passage, ou elle avait perdue sa route, elle tomba sur l'animal. Une Licorne blanche, agonisante, qui avait échaper de peu a une traque, la Corne des Licorne était trés rechercher par les magiciens peu scrupuleux des traité magique en vigueur.



Le liens s'établit entre eux, assez facilement. L'animal avait peur, tout en restant noble est digne face a la mort, et a l'abandon. Un etat de conscience que Sayuri ne comprenant pas, ne pouvait apréhender ni concevoir, elle en restait admirative autant que pantoise, la bete était si noble...Mais si vaincue, que s'en était déroutant.
Malgrés les soin qu'elle pouvait lui apporter, rien ne semblait marcher, le corps de l'animal se mourait, sans moyen d'êter guérrit, pourtant l'âme ou l'esprit de celui-ci s'accrochait, comme desespérée, comme si tout ceci n'étit la fin de rien, plutôt le commencement d'autres choses, une nouvelle vie, différente qui s'offrait a lui.



Ce n'est pas tout de suite qu'elle sans rendue compte, mais plus elle passait du temps au sol, a genoux devant l'animal presque mort, plus elle se souvenait de choses et d'autres, surtout d'endroit du pays, des terres, des passages, dont elle était sur de n'avoir jamais fouler l'herbe, se souvenant de paroles, d'actes, surtout des chasseurs d'antant. Elle compris alors que ce n'était pas ses souvenirs, mais ceux de l'animal, qui peu a peu, par le liens qui l'unissait déjà au peuple des Licorne, était en train de se liée a elle, c'était cela, la seconde vie en question, certe sont enlevellope charnel se mourait, mais quelque chose de lui, sont esprit, son âme ou encore sa conscience, allait rester, au travers de Sayuri. Elle devenait alors, son portail vers le monde, loger dans le plan astral, l'animal sous sa forme éthérée, attendrais alors l'heure de son invocation, l'heure de son combat au coter de celle, qui devenait son hote s'il est possible de dire ainsi.



C'est pantoise, que Sayuri ressortir de la vallée des morts cornues, choquée, mais rassurée de ce qu'elle venait de vivre. Même au seins de sa famille, peu avait eut la chance, dans leurs vie, de se liée ainsi a une véritable Licorne, et d'avoir, a l'article de la mort, le possibiliter de se voir accorder le confiance...Qu'elle douce revenche, qu'elle doce vengence d'orgeuille, ne tenait elle pas la, par rapport a eux, si pure et hautain.

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » sam. 13 mars 2010 à 05h38

Entrant dans le château par la grande porte, c'était une enveloppe toute simple, en tissue, qu'elle franchit les pavés menant au trône des Siannodels.


Pour elle désormais, c'était sans doute la dernière fois, qu'elle aurait le privilège de franchir les portes ainsi, et d'avançé, le pas légèr, vers l'imposant siège aux velours rouge. Son blason n'était plus à son cou, attacher comme il l'avait alors toujours été jusqu'à présent, en pendentif.


Tout était désormais, consigner dans l'enveloppe. Son écusson, ses souvenirs bon et mauvais, de ses deux années passer dans la communauté, dont elle avait eut déjà le plaisir de voir une succession se passer, de Xcylian a Narja.

Cette fois pourtant, Doyll ne l'accompagnerais surement pas. Elle était admise enssemble, ici, dans l'enceinte de se château, mais ça serait cette fois seule, que Sayuri en partirait.

Elle déposa l'enveloppe, avec à l'intérieur, son écusson, l'enveloppe a l'adresse de Narja. Elle la déposa sur le velours rouge du trône, puis tout aussi simplement qu'elle était venue, elle parti sans rien dire de plus.



[Déclantage Siannodel]

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Re: Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » sam. 20 mars 2010 à 09h57

Gludio.




Depuis nos dernières réunions, nous étions bien plus nombreux que je n'aurais osé l'espérer à l'époque. Quand je me suis mise en tête, de prendre les devants de cette révolution, je ne savais pas encore ou cela nous mènerais, mais je n'imaginais pas l'avenir, sous le joug tyrannique des Marins, venue de leurs maudits océans.


J'ai put compter sur le soutient indéfectible de Iann, je voyais bien dans ses yeux, la rage qu'il avait a l'encontre des Marins, et c'était de ça que j'avais besoin. De gens solidaire, est prêt à tous, pour en découdre avec les marins, une fois pour toute. Sans quoi, nous irions tous tête baisser vers la guillotine de notre insolence.
Je pouvais compter également, sur le soutient d'Eilistraee, dans cette bataille. Eilistraee, qui m'avait donner tant et tant encore a chérir dans ce monde, et m'avez fait découvrir plus de choses sur moi-même, que je n'en connais sur l'art de la magie lui même, après deux siècles et demi de pratique.

J'étais attristée, de lui offrir ces batailles qui allait nous ronger, tous, jusqu'a ce que je dernier coup d'épée soit rendu... Mon devoir, ma devise, mon destin était de la protéger, quelque en soit le prix, alors avais-je vraiment le droit de me positionner, dans cette guerre ? Oui. Car si je ne réagissais pas, si nous ne réagissions pas tous, dans les plus brèves délais, alors même les Dieux ne pourraient plus nous protéger du funeste avenir que les marins complotaient, bien assis sur les villes qu'ils avaient conquis dans le sang et par la force.


Je suis Amamya Sayuri, et au seins de la résistance, je suis l'AS de trèfle, synonyme de trublions semeur de trouble et bénit par la chance, ces trublions qui allaient vendre tout leurs temps, toutes leurs forces et toutes leurs ardeur à combattre les marins, coute que coute, sans jamais ne lâché ne serais-ce qu'un pouce de terrain.

Nous ne devions pas être connue, et nos actions silencieuse ne nous laissaient pas le droit a une quelconque gloire, ou quelques prestiges que ce soit. Nous devions devenir des ombres meurtrière, silencieuse et redoutable, et plus encore : méconnaissable.
Que les marins tremblent et n'aient plus une seul nuit de paisible des ce jour, car notre œuvre est en marche, une marche forcé par l'espoir et le courage que chacun de nous invoquait avec chaque bataille.



C'est ainsi que nous sommes entrer à Gludio, fier et tétanisé à la fois, suant de tous nos corps la peur et l'ivresse de la bataille que nous allions mené cette nuit la. A ma demande, tous étaient présent au point de rendez vous fixer, sur le haut de la colline de Gludio, les nains nous avaient livrer d'énormes fut à la mécanique complexe, et assurait une explosions ravageuses... C'était l'un des points clef de notre opérations.


Aussi il était nécessaire de faire deux groupes:

Dans le premier, Iann, Zaraki, Eilistraee, Dante et moi même, devions nous charger de mettre fin au doux rêves du commandant Pal de Kiem, un des archers les plus redoutable de toute l'Elmodaren, chacun de ses trait était dit mortel, aucuns n'avait survécue à un affrontement en tête à tête avec lui. Peut-être n'avions nous finalement pas choisit le plus facile. Mais au final nous le savions, sans même le dire. Dans cette grande croisade que nous nous étions lancer, rien, non rien ne serait facile, et notre route serait semé d'embuches et de sang.


Nous n'eûmes pas de chance, à peine franchit les portes de la ville, en toute discrétion que le deuxième groupe lui, faisait retentir l'alerte général dans la ville. Nous n'avions alors plus le choix que de rasé les murs, un à un, avec la hantise de tomber sur une patrouille de gardes à chaque coin de ruelle ! Mais non, nous avions de la chance.


C'est alors que l'ont aperçut au loin, le commandant lui même sortie de sa tanière, entouré par ses hommes qui arpentaient la villes de long en large, afin de trouver qui était le vil responsable de tout ceci. Heureusement pour nous, le deuxième groupe avait réussit à poser ses explosifs à temps et il était ressortie aussitôt, tel était la consigne.


Au prix d'un long moment, de sueurs grandissante, nous nous sommes retrouver alors, seul à seul, mes camarades et moi même, avec Pal de Kiem, en personne. Celui-ci était de dos. Certes ce n'était pas très loyal, mais à la guerre comme à la guerre, celui qui ne profite pas de sa chance, finiras mort.
Incantant la magie des elfes, un vortex se créa alors dans le dos du marin. Lui broyant le dos, lui arrachant plus de la moitié de la colonne vertébrale et quelques organes au passage, laissant les chaires sanguinolentes gelées par la natures de ma magie.
Sans un crie, il s'écroula alors au sol, pas vraiment mort, mais plus vraiment vivant non plus. C'était un horrible spectacle, de voir ce qu'une incantation pouvait faire a un corps, le réduisant en l'espèce de quelques secondes, a l'état de moins que rien.
Toutefois, nous n'avions pas le temps d'avoir de la peine, pour ce genres de crapules. Ce fut Iann qui se chargeât de lui hotter tout espoir de survit, en le décapitant d'un coups d'épée théâtrale, dignes des louanges bardique.


Hélas ! Pendant ce temps, nous avions été vue par les gardes, qui se pressaient déjà de nous courir après pour venger la mort de leurs commandant.


Je ne me souviens alors, que d'une course effréné vers la sortie libres de la ville, nous tournions alors tous a l'angle d'une rue, bercé par le doux sifflement des flèches qui se perdaient derrière nous quand l'imposant garnisons explosa. Toute la ville trembla sous nos pieds, au point que quelque un d'entre nous perdirent l'équilibres, se remettant bien vite sur leurs deux jambes excité pour retrouver leurs course. Les poutres et les charpente de bois embrasser retombait autour de nous, écrasant au passage deux marins qui essayait de nous prendre à contre sens.


Une fois les portes de la ville franchit, les gardes encore à nos trousse, ce fut le deuxième groupe qui nous sauva la mise, tendant une embuscade aux gardes téméraires, les mettant au sol en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.


Nous retranchant dans nos positions, attendant de voir les fuyards prendre leurs jambes à leurs cou, nous avons bien laisser une bonne heure encore, le village dans la panique certaine de ce qui venait de se passer. Puis, avec Iann, nous sommes alors entrer dans la ville, leur annonçant que tout était terminer désormais, les marins en fuite, ils étaient libre !

Le temps que les villageois ouvre leurs portes, scande leurs bonheur, nous n'étions déjà plus la.

Une ombre
Sitôt apparut
Sitôt disparut.

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mer. 28 avril 2010 à 05h00

Aube




"Ce qui caractérise une pièce, n'est pas la tranche, mais les deux faces opposés de celle-ci."




Après la libération des Marins, sur les trois villes prises en otages, les Nains avaient commencé à s'investir dans la bonne ville de Gludio. Ceux-ci trouvaient la bas, les gens espérés pour faire proliféré leurs commerces. Les temps guerre, même si propices à l'armement massif de parties, ne profite jamais vraiment aux commerce.


Une nouvelle ère dans ces contrés s'invitait, de sa timide et subtile présence. De nouveaux groupes, de nouvelles idées émergeaient du néant des imaginations productives de tous les peuples. Revendiquant une indépendance, un territoire, une justice ou une race quelconque, chacun y allait de sa petites philosophies, pour rassembler les troupes de fidèles et d'idiots, parfois des deux, sous leurs bannières.


La prise de partie, de ces situations là est toujours obligatoire, car le solitaire marchant vers sa route muette et incomprise, fini souvent par se perdre en chemin, quand ce n'est pas la vie qu'il perd.


De nombreuses fois déjà, elle avait dû prendre les armes, parfois même contre sa volonté et contre des ennemies qu'elle n'avait pas choisi. La encore aujourd'hui, c'est le moment de prendre une position, de savoir qui l'ont va défendre et contre qui lutter. Un objectif est à atteindre, une mission est à accomplir, une vie est à préserver, envers et contre tout, qu'importe les moyens, qu'importes les blessures.


Iann lui avait demandé si elle comptait les rejoindre, après mûre réflexions, la vision que Iann avait des choses allaient dans le sens qu'elle voulait emprunter, tout deux se rendrait mutuellement service, et avait des idéaux plus ou moins proches, malgré l'énorme différence d'âge, entre l'elfe et l'humain.

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » lun. 5 juillet 2010 à 03h29

La transformation.
Jours I

"Je viens enfin d'avoir le parchemin, d'après les écrits et les légendes dessus, celui-ci peu, a celui qui sait le traduire et en invoquer le pouvoir, se changer en tigre arctique, animal aussi majestueux que redoutable, au longues dents acérées qui défieraient n'importe quel escrimeurs sur ses terre; aux muscles plus puissant que celui de deux Orc réunit et à la fourrure aussi majestueuse que les longs manteaux princier.


Mais pour l'instant, je n'est que le parchemin en main, offert par Sendo, un elfe, amoureux transit de ma personne, qui est dans l'espoir et l'attente. Et a première lecture, cela ne semble en rien évident de réussir a déchiffré tous ce langage et ses codes complexes ! Ah, Doyll aurait été plus à l'aise que moi avec ce genre de choses, elle qui aimait tant étudier, apprendre et assimilée... Moi, pauvre sorcière qui ait hérité de mes dons en magie par le sang, je n'est jamais eut un engouement très prononcé dans ce qui s'appelle "l'étude intensive particulièrement contraignante". Pourtant, aujourd'hui, la preuve en est faite, cela m'aurait bien servi ! Mais Doyll n'est plus là et je n'est pas encore assez de temps pour pleurer sur mon sort qui, n'est pas misérable que cela. A l'attaque !"
Jour II
"J'ai donc commencé à l'écriture de ce parchemin ! Les symboles sont assez basiques, mais leurs enchaînements reste complexes. Il y a des parties en langage elfe, en humain, mais aussi en ancien langage, une langue peu connue que nous avions brièvement apprise. Cette langue servait a désigné les choses. Le nom, c'est la chose, la chose, c'est le nom, celui qui connait le nom, contrôle la chose. Une connaissance très pratique en magie, permettant de lancer de puissant maléfice, de grandes malédictions, de terrible sortilège, mais que peu connaissance, au profit des incantations rapide qui privilégie une magie bien souvent barbare qu'on apprendraient à un guerrier.


Il me fait réunir plus d'oeuvre, plus de document, la bibliothèque Siannodel ne m'aide en rien, leurs ouvrages ne traite pas vraiment de ça. Alors, je me suis mise en route, vers le village elfique, ma patrie ! Ou, au vue de mes fréquentations si elles étaient connues, je finirais pendue haut et court sur une branche de l'arbre mère ! Mais pour l'instant, j'y suis encore bien vue et je ne m'en plaint pas.


J'arrive donc au temples, ou je consulte les ouvrages. Peu sur l'ancien langage, encore une fois, mais j'en apprend plus sur le rituel à faire. C'est de la transmutation, sans grande surprise, mais il s'avère que pour bien faire il faut des "entités" de l'animal désiré et à en voir la description, on ne peut trouver ce genre d'animaux qu'a Shuttgart, ou il y règne un temps délicieusement hivernale, toute l'année ou presque ! Un endroit que me plait, je ne comprend pas d'ailleurs pourquoi les autres râles. J'apprend aussi, que l'ancien langage tirait certaines racines du langage des dragons, le sujet reste floue, mais je suis arrivée à savoir que cette langue aujourd'hui disparut sauf de quelques bicentenaire, avait des racines chez les Dragons."
Jour III
"Aujourd'hui nouveau jour, je décide d'aller en premier lieu jeter, a la documentation Siannodels, un oeil sur cette histoire d'anciens langages. Biensur, je ne trouve rien de bien intéressante, quelques brides d'informations, un mot ou deux, qui aurait pu faire le bonheur des profanes, mais rien qui ne complete mes connaissances actuelles, encore moins dans le domaine de la transmutation. Je ne suis pas étonnée, déjà à l'époque, quelques sorcières et mage la parler couramment, avec le temps, les disciples de confiance se sont fait plus rares et de fils en aiguilles, cette langue se perdit, seul quelques rares encore la connaisse, mais taise son existence, important peu à peu, les uns après les autres sont secret avec eux, dans la tombe. Cette recherche ma prise toute la journée, pour pas grand chose, le parchemin en poche, j'ai l'impression de me lancer dans une véritable croisade, je doute que même Doyll aurait eut de plus grande aisance que moi sur ce coup-ci."

Jour IV


"Mon expéditions a Shutgart et enfin préparé, je pars seul bien évidement. Malice et moi sommes un peu en froid ce moment, son coter râleur m'agace par moment, même si sont coter chevalier servant sur protecteur et assez attendrissant sous un certain oeil. Il râlera encore de mon départ hâtif, mais a 2 siècles d'existence, je me passe d'autorisation. Sendo lui aussi serait surement venue, mais un peu de solitude vue les quelques jours énervés que je viens de vivre ne me ferons pas de mal.


C'est ainsi donc, que me voila dans la ville de Shutgart. Froide, glacial, ou souffle perpétuellement un vent polaire, je me sens ici comme chez moi, alors que les quelques rares villageois dehors semble pâtir de la situation, ne trouvant rien de réjouissant a être recouvert presque toute l'année de neige. J'aborde alors un chemin qui part vers les montagnes. Je ne croise personnes, il fait nuit, la terre comme le vent est gelée a en tué un chat, les lieux sont peu sur, les étoiles brillent..."

Jour V
"Apres toute une nuit de marche, je les trouve enfin ! Toute une meute, de ses énormes tigres aux poils blanc et soyeux. Biensûr, les approcher maintenant serait assez sot, je dois plutôt attendre le bon moment, quand l'un d'eux serait isolée, je pourrais en profiter pour prendre ce que j'ai besoin de lui. Malheureusement, la nuit tombe, et rien ne bouge ! Soudé comme jamais, ils avancent d'un même galop, si bien que je commence, a force, a avoir pas mal de retard sur eux, bien heureusement, ils ont des petits, et sont donc obligé de faire des haltes souvent, sans quoi je les auraient perdu depuis longtemps. C'est la que la chance me souris enfin ! L'un deux, assez paresseux c'était retirer un peu plus loin des autres, pour profiter d'un sommeil bien mérité après une chasse dont il n'avait rien ramené sauf un lapin anorexique. D'un maléfice, je crois la bête endormit après ce maigre repas, j'en profite donc pour venir près de lui, lui prendre suffisamment de mèches de poils pour ne pas avoir a revenir. La tache accomplit, je me dépeche de rebrousser chemin, par simple prudence... De longue heures de marches m'attendent de nouveau vers Shutgart, mais le combat est gagné."
Jour VI

" Je reviens enfin dans la ville de Shutgart, les habitants on presque l'air étonné que je soit revenue en un seule morceaux et surtout vivante, vue le froid mordant qui avait sévit les jours dernièr. Rien de mieux pour une sorcière douée en aquamentie, mais j'éviter de trop le crier sur les toits, préférant jouer sur le mystère de la race elfe et de ses imprésionnantes resistances au éléments naturel, ce qui semblait marcher au plus haut point.
Je décidais de prendre un peu de repos, a l'auberge du coin ! C'est dans ces moments la que j'aurais avoir Sharlene, Sarathai ou encore Echos a qui raconter des grosses bétises, pour le simple plaisir de rire, après un tel périple, pas trés pénible certes, mais fastidieux.


Pendant cette fin de journée, sous un froid crépuscules, je m'attelait encore a décortiquer, point par point les différentes phases de la transformation. Les phrases étaient a présence bien apprise, j'avais l'ingrédient, ne me manquait plus qu'a attendre la prochaine pleine lune, pour lancer le rituel ! Celle-ci avait lieux dans 7 jours, pendant ce temps, j'allais rester ici, loin de l'agitations ambiante a laquelle je suis habituée."

Jours XIII

"Enfin, le moment tant attendue était venue. Même si, pour ma longévité, tous cela n'avait guère pris plus que quelques heures si on traduit tout cela en temps humains. C'est a cela que la reflexion se dissipe et que la compréhension se dessine. Nombres d'entre les peuples, glorifie souvent les elfes et les sombres, pour leurs talents exceptionnel, leurs aptitudes magiques hors normes, leurs incroyable pouvoir et la démesuré maitrise qu'ils en ont, mais en faite, ce n'est jamais qu'un jeu de dupe. Nos aptitudes et nos pouvoirs, nous viennes de l'âge et d'un corps en jeunesse éternel. Un elfe ou un sombres peut aller jusqu'a 1000 ans d'existence, s'il commence les arcanes, par exemple, a l'âge de 100 ans, cela lui donne jusqu'a sa mort, 900 ans de pratiques quotidiennes. Combien de façon de faire, d'incantation, de rituel peut-ont apprendre en 900 années ? Je n'est pas encore la réponse, je sais seulement que c'est un privilège de nos deux races, qui se paie néanmoins par notre mémoire infaillible, ce qui au bon penseur, n'est pas un petit prix à payer.


J'ai enfin tout installer, pour ce rituel, la plume lune et à son zénith, grande et bleuté dans un ciel d'encre, je m'avance alors, dans cette clairière, balayait par le vent, une brise légèrement fraiche, comme je les aime sans doute, donnant la parole aux branches les plus fines et aux feuilles les plus indisciplinées. Sur le sol, déjà inscrit au préalable, les symboles dans chacun des huit cercles, conformément au manuscrit que j'ai eut en main si longtemps. Les ingrédients sont réuni eux aussi, comme demandé dans une coupe, remplie d'eau, comportant cinq mesures de mandragore, 3 de clous de girofles et un de son propre sang, en y ajoutant une mèche de cheveux, bien entendue.
Que la chaire, accepte la chaire
Que l'esprit, accepte l'esprit
Que l'âme, accepte l'âme
Que les deux, ne forme plus qu'un

Que la chaire, accepte la chaire
Que l'esprit, accepte l'esprit
Que l'âme, accepte l'âme
Que les deux, ne forme plus qu'un

Que la chaire, accepte la chaire
Que l'esprit, accepte l'esprit
Que l'âme, accepte l'âme
Que les deux, ne forme plus qu'un.
Récité trois fois, aux heures les plus sombres de la nuit, laissant seul juge la lune, impartiale et muette, l'incantation par trois fois avait été dite. Peu à peu, les cercles et les symboles disparurent, laissant à nouveau une terre vierge ou presque de toute magie, dans un faux semblant remarquable. Peu à peu alors que cela se faisait, je sentait en moi, comme il y a un siècle, une partie de moi qui s'éveille et une partie qui y est implantée, comme deux fragments séparés qui se retrouve enfin, s'unissant pour à jamais ne former plus qu'un.


Dans la coupe, n'y avait plus qu'une pomme, c'était bien anondin, mais je savais ce qu'il fallait en faire, ce n'était plus un trés grand secret, depuis le temps. Croquant pour la premiere fois dans la pommes, ce fut comme si les souvenirs du fauve que je n'étais pas encore, et que je n'avais jamais été s'eveillait en mois, comme de vieux souvenir refaisant surface après de longues, trés longues années. Je voyais alors les sensation, les odeurs, les formes, les tensions, le stresse, la saveur de tous ce que ces animaux pouvait un jours ressentir.
Une deuxieme bouché de cette pommes, pour que ce récit qui me métait si mal a l'aise et qui me plut tant continue. Je "me voyais ?" courir dans les plaines les plus arides, mes émotions irrité a la chaleur se mélant au émotions de liberté de l'animal que je devenais, peu a peu, cela influant sur lui, influait sur moi, nous étions entrain de chercher un équilibres dans nos existences, elle et moi, pour ne faire plsu qu'un, nous appropriant le passé le présent et le futur de chacun pour le partager a deux.


Encore quelques bouchés et ses souvenirs passait des "siens" au miens, je revoyais 2 siecles de vie, mais sous un regard un peu changer, plus félins si l'ont peut dire, de nouvelles hypothèses s'ouvraient à moi, de nouvelles façons de faire, de nouvelles sensations et émotions, au fur et à mesure que cela avançait, c'était comme si mon passé n'avait jamais été fait sans l'animal que j'étais à présent. Les souvenirs se rapprochait du présent et sans m'en rendre compte, ou peut-être sans vouloir être assez pertinente pour m'en rendre compte, je ne faisais plus aucunes différences de l'avant ce rituel que de l'après, j'étais moi-même et non plus quelqu'un en phrase de se nouer avec quelqu'un d'autres.

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » sam. 21 août 2010 à 04h29

Aden
La nuit était tombée, sur la majestueuse ville d'Aden. Symbole désormais de pouvoir, d'ordre et de sécurité, depuis la chute de Garius. Mais aussi d'oppressions culturel, et de racisme. Le Maréchal Di-Lamia, voyait en nous, les "autres peuples" qu'une menace, aux pouvoirs déjà bien affirmer des humains dans ce monde.
La peur, l'avait conduit à de si sombre extrémité, de si radicales actions. Le doute c'était épris de lui, troublant son esprit jusqu'à le conduire dans le chemin qui, ce soir là, le conduit à sa perte.



Une assemblée, bien improbables étaient alors unis... La rancoeur de Sayuri, envers les Alfirins, ces faux-frère qui l'avait jadis faite prisonnière, pour arriver à traquer Malice, était aujourd'hui là, à coter de la Vindicte écarlate pour venir à bout des murailles impressionnantes, du plus grand château de tout le continent.


Ne vous y trompez pas, l'union n'était pas de mise, ni même l'amitié, ou la complicité...Mais chacun y trouvait son bout de satisfaction, chacun remplissait là une vengeance, un but personnel, ou une action de bien commun. Tous était bien décidé à venir à bout de Di-Lamia, les Alfirins, La Mingol, les extérieurs et la Vindicte. Tous les regards, accusant la même cible.



Alors, l'assaut fut donné, violent et rapide. Tandis que les héros de ces temps de guerre, galopait vers leurs positions, les nains avançaient, avec les plus impressionnantes machines de siège, que Sayuri eut l'occasion de voir, en deux siècles et demi d'existence.

Les murailles se brisèrent sous les coups puissants des Golem et bien vite une brèche fut annoncée ! Les héros s'y engouffrant comme un courant d'air, envahissant, chaotique, toute la cour du château, massacrant le restant de gardes qui venaient en renfort.

Les lourdes portes, immense, magnifique, résistèrent un temps à la fougue des monstrueuses machines de guerre, mais en vain, elles tombèrent aussi au sol, dans un grand fracas. Alertant les troupes de l'intérieur, que l'heure du baroude d'honneur était venu. Le temps de prendre leurs lances, boucliers, épées, nous étions déjà dans la salle du trône.



Tous réunit, côte à côte sans le savoir, en sueur et blessé, nous attendrions... Une longue seconde...Puis deux, trois, quatre... La sueur sur nos corps coulaient, lentement, nous donnant tous soudain quelques frissons, nous ramenant à la réalité. Puis un bruit vif, une fenêtre en éclat et il n'était plus que charge, crie de rage et métal froissé, la collision fut aussi rude que violente entre les hommes d'armes.


Je chantais alors, couvrant le flot des armes par les enchantements, vidant les esprits du doute, les corps de la douleur, annihilant les malédictions des magiciens. Mes compagnons pouvaient avancer sans peur, sans faille devant notre victoire. Ma voix portant leurs bras, leurs bras assurant notre victoire, nous étions unis et complémentaires, indissociable les un des autres.



Nous étions alors, la Vindicte Ecarlate, désormais dirigeant de la citée d'Aden.

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » jeu. 26 août 2010 à 10h31

Première note

Le château d'Aden, vaste demeure que ses habitants d'aujourd'hui, n'ont encore point visité entièrement. Bien des salles, bien des couloirs, en sommes bien des lieux tapis dans l'ombre, attendant la fortuite visite des propriétaires, pour livrer les secrets qu'ils contiennent.


Une pièce existe, en hauteur, près des tours les plus hautes de l'illustre demeure. Vétuste, drapée d'étoffe miteuses et rongée par le temps, elle demeure. En son centre, un piano, dont les touches ont vue les années passer, tantôt ignoré, tantôt acclamé. Pourtant, depuis quelque temps, depuis la venue de nouveaux locataires, chaque soir de pleine lune, celui-ci retrouve alors sa jeunesse d'antan. L'elfe se place, silencieuse, sur le petit tabouret prévue aux artistes, effleurant silencieusement les touches pendant de longues minutes, saluant l'instrument de son expression nocturne.


La nuit battant son plein, la mélodie sonne. Chaque touches livrant à la demeure endormie, les sonorités du coeur, de ce mystérieux mélomane, qui, à chaque soir de pleine lune, envoûte les occupants endormis, dans un concert privé. Durant le court laps de temps, où la lune atteint son zénith, l'elfe joue. Sans s'arrêter, la même mélodie à chaque fois. Langoureuse, charmante, mélancolique, elle rappelle aux demeurants, des siècles et des siècles d'existence, aguichant leurs oreilles, d'une vie qu'ils n'ont pas connue. Jouant les saisons, les années, elle berce les salles vide et silencieuse, d'un palais somnolant.


Lorsqu'un bruit raisonne, une porte qui s'ouvre, un éternuement, des bruits de pas, rien que la nature ne produit...Alors, la mélodie s'arrête. Le château retrouvant alors son silence, apaisant et inquiétant. Laissant le curieux visiteur sur sa faim et l'instrument à sa vieillesse. Nul ne sait de qui du château il s'agit. Pourtant, si les murs avant des oreilles et des lèvres, fort à parier qu'ils chanteraient en coeur, cette longue mélodie de pleine lune.

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » sam. 4 septembre 2010 à 05h39

Seconde note

Dans ces mêmes pièces, encore inconnues de beaucoup au château d'Aden, depuis une semaine, un mélomane insomniaque hantait les murs, de ses langoureuses mélodies au piano. Surement bien loin de déranger les oreilles endormies, qui voyaient leurs sommeils bercé par des notes légères.


Pourtant depuis lors, à chaque pleine lune, un autre instrument venant se joindre au siens, juste le temps d'une nuit, d'une mélodie. C'était un violon, qui enchantait le château de ses nouveaux accord, encore... Un valet cette nuit-là, bien trop curieux pour garder l'oeil fermer, se leva, laissant sa compagne dormir, il s'éloigna des draps, bien heureux pour une fois, de ne pas faire preuve de maladresse en fuyant la chambre conjugale.


Refermant légèrement la porte, ses mouvements semblaient être portés par la mélodie, lui offrant souplesse et agilité, sans qu'il ne sache pourquoi, il devenait très confiant, arpentant ensuite le couloir, l'oreille au garde à vous pour ce faire un chemin, dans le dédales des couloirs silencieux...Agréablement silencieux. Pourtant, au détour d'un couloir, le pauvre valet n'eut point de chance, trop confiant sans doute, son coude frappa un vase de porcelaine. La chute fut alors longue, ralentie, les yeux du pauvre homme fixé sur le vase, qui lentement poursuivait sa course vers les dalles de pierre. Il retint son souffle, attendant le bruit d'éclat et le pas féroces des gardes qui chargeraient dans le couloir. Il entendait déjà ses lamentations aux autres, ses plates excuses et les hurlements de sa compagne suspicieuse...Mais rien.


Le vase se brisant belle et bien, éclatant en morceaux, sans un bruit, sans un son... L'homme voulut alors crier de surprise, mais la non plus, aucun son ne sortie d'entre ses lèvres. Il ne semblait pas comprendre, mais quelque chose dans son esprit lui disait que cette étrange mélodie n'y était elle, pas étrangère. Il se remis alors en chemin, voulant à tout prix découvrir qui jouait ainsi.

La saveur de la musique, laissait son imagination aller bon train pendant sa marche. Imaginant une...Non deux jeunes femmes sublimes, vêtue de simple nuisettes, elles auraient été sans gout pour la nuitet aurait surement bien voulut jouer pour lui. Envoûter, sa compagne lui paraissait bien loin, comparé à ces saveurs, elles qui semblaient se rapprocher, encore... Et encore.


Son attention se porta alors, au bout d'une heure de marche vers le grand balcon du château, il savait que c'était la que le seigneur Iann de Rune, prenait sa Wyerne...Pourquoi des gens jouerait-il ici ? Comment la musique .. ? Peut-importe, sur le moment ce n'était pas le plus important. Son coeur battant, il voulait les voir, les entendre ! Arrivant alors en toute hâte sur le balcon, qu'elle ne fut pas sa surprise.
Un violon et son archer était la, suspendue dans le vide, jouant comme si un homme, ou une femme invisible jouait, mais il ne voyait personnes. S'approchant, il passa sa main au travers de ce qui aurait dû être un corps, la encore rien. Mais...Ou était le piano ? Lui était dans l'une des tourelles, bien plus haut. Il aurait sans conteste repris sa marche, si la lune, cette espiègle joueuse de la nuit n'avait pas captivé son attention.

Au loin, vers la chute des anges, un rayon de lune d'une lumière vivace illuminait le lieux, bien lointains pour des yeux d'humain, pourtant avec cette musique, il resta beat, regardant la lune bercé de sa lumière, sont lui favoris de la nuit. Quelque chose se passait la-bas...C'était de l'art. Il ne voyait rien, n'entendait que la musique, mais là-bas, quelqu'un dansait...Deux personnes, il en était convaincue.


Sans doute ne le saura-t-il jamais. Mais cette nuit là, il fut sauvé d'une tuberculose, qui l'aurait en deux ans, fait quitter se monde. Les ignorants sont bénit.


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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mer. 8 septembre 2010 à 03h19

Inlul velve de'suliss
Mutilation
Depuis cette fameuse nuit, ode à la folie, je ne me sens plus moi-même. Perdue dans ce vaste monde, privée de mes essences, je me sens lasses et fatiguée. Mon corps se traine, lentement, sur le chemin de mon existence. Alors, je m'arrête, devant cette rivière et je me regarde...Horreur, quelle laideur. Depuis quand suis-je devenue si vide de tous sens ?


Pourtant, je sens que la faiblesse ne m'apportera rien de ce que je désire. La lune m'a dit un jour, que jamais la peur ne devait prendre le dessus, car sinon, tous se perd, ce mélange et se fane. Alors, je m'accroche aux branches d'un espoir que j'arrose désormais de toute ma volonté, pour la voir fleurir à nouveau.


Je ne saurais dire si cela sera facile ou non, ni le temps que cela prendra. Je ne sais pas grand-chose. Pourtant, je suis convaincue d'une chose, l'abandon comme l'échec ne sont permis, pas dans cette tâche pour laquelle j'ai voué mon existence.
Que cela prenne des siècles s'il le faut, cela m'est bien égale et je ris d'avance des remarques et des regards, la Lune n'a sa meilleur place que dans un ciel étoilé et qu'importe ce qu'il en coute, je m'assurerais qu'elle retourne dans son doux logis ténébreux. Ainsi je pourrais encore l'admirer et la louer à souhait.


Pourtant, malgré moi, mon corps faiblit, comme le reste. Si la ténacité est là, c'est la solution qui se fait désirer. Aurais-je besoin d'aide ? Non ce n'est pas moi qui en est besoin. Car c'est à jamais le rôle des étoiles, que de mettre la Lune en valeur et jamais l'inverse, quoi qu'on en dise.







Hier, j'étais alors partie pleine de courage, au cimetière. Le chaton je l'espère me guide la bas. J'étudie les errants, choses difficile car je ne suis point habitué par leurs présences. Mais au diable mes envies, ce n'est pas le moment ni le lieu pour cela, je dois le faire... Je dois le faire.


Les âmes qui ne trouvent pas la paix, sont encore ici et elles attendent, indéfiniment de trouver ce qui leurs manques, pour finir leurs voyages, l'objet de leurs désirs, de leurs obsessions, ne se voyant finalement libérés, que lorsqu'elles le trouvent. D'un certain point de vue, les errants et moi-même sommes pareils, la paix ne dépend pas de nous-même, mais bien d'une chose qui résume toute la raison de notre existence


Comme la vallée enchanté, ce lieu raconte une histoire, plusieurs histoires même. Celle de personnes qui n'ont eut de leurs vivants ce qu'ils désiraient, et qui en ont besoin aujourd'hui, pour continuer le long périple du cycle.


Je me suis alors dit, que je devais les aider, tous comme la Lune les guides et je les suis dans leurs douces litanies. J'apprends alors de leurs vies, ils me la racontent parfois, car nous sommes peu à les entendre et je ne les vois pas et surement jamais. Mais je commence à comprendre, peu à peu pourquoi est-ce si important pour l'astre de la nuit, de s'offrir en guide, je comprends alors que ce n'est pas une vocation, mais un état d'esprit, un art de vivre.


Peu importe de la vocation ou de la folie. Si la Lune dévie de son parcourt, je la suivrais avec dévotion, non que ca soit une peine...C'est mon art de vie.

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » ven. 26 novembre 2010 à 06h12

Inlul velve de’suliss
Libération



L’aube se levait sur les hommes et leur terre, Aden. Une aube triste et bien fade pour certains, dans le château de la Vindicte le bruit du fer et des bottes se faisaient entendre sur les dalles de marbres de la salle du trône. Les vaillants s'apprêtaient à mener un rude combat pour une cause qui était l'essence même de leur existence ici. Pour une cause qu'ils auraient relevée qu'importe soit l'adversaire. Pour une cause qui était la définition même de la Vindicte Ecarlate.



C’est, les armes au fourreau, les armures robustes sanglé autour de leurs poitrails, les pavois à leurs bras qu'ils allaient en ce jour, se rendre au cimetière pour délivrer l'une des leurs d'une malédiction. Tous les sacrifices devraient être fait et serait fait s'il le fallait. Car il n'est pas dit que les braves recule devant la tâche, qu'importe sa taille.
C’est alors d’un pas noble qu’ils sortirent de l’enceinte du château, le regard grave, la mine haute. Leur adversaire qui n’était autre que l’impératrice sanglante, aussi connu désormais sous le nom de « douceur », n’avait alors qu’a bien se tenir. Celle-ci les attendaient d’ailleurs de pied ferme, assurée qu’elle fut dans le vaste royaume des morts sous lequel elle exerçait un règne sans partage.



C’est le coeur vaillant alors, que les roturiers écarlate entrèrent dans le cimetière, passant sur le monument des quatre anges. N'arrêtant leur chemin sous aucun prétextes la marche fut rapide, silencieuse et lourde de sous-entendu pour quiconque oserait se dresser sur leur chemin.



Les adversaires furent nombreux, devant les brave, leur faisant face, les créatures ignobles d'un endroit bâtis pour le repos éternel. Le combat fut bien mené, les fiers combattant de la Vindicte Ecarlate, dans des bruits de métal qui s'entrechoque, des hurlements de douleur bestiale et de peur, occire leurs adversaires sans grand mal, vivant d'une force que rare possèdent.



Grimpant les quelques marches, d'un trône bien modeste, ils arrivèrent enfin devant l'impératrice sanglante, la fureur des morts, « douceur »... Les paroles n'avaient pas leurs places en cet instant, car rien ne devait être dit, trop de mal avait déjà été fait, trop de souffrances endurés pour certains, trop de larmes encore pour d'autre. Il était temps d'être ferme, car la justice l'est. Et nous serions juste, car ferme. Si en ce monde, toutes malveillances mérite sa justice, alors celle-ci serait rendu ici même, pour le plus grand bien.



Un silence alors...Puis un vacarme ensuite. Un combat sanglant et exalté fit rage alors. Les coups d'épées, les sortilèges...Tout cela se mélangeant dans une danse macabre, sonnant le déclin et la chute de l'impératrice sanglante, qui au crépuscule de ce grand jour, posa le genou à terre, vaincue.



Les femmes et les hommes, héros de ce combat rentrant en ville, avaient tous alors l'oeil sur la sombre répondant au doux nom d'Eilistraee, tous inquiets de son état, tous espérant que la victoire acquise lui redonnerait la raison, mais en vain... Cela était peine perdue, rien ne semblait y faire, pas même cette victoire au nom de la justice sacré, que les éphémères nommaient « amitié ». L'elfe des glaces, semblait avoir perdue alors tout espoir, elle décida alors de se rendre sur les terres de Dion. Là-bas ou tant de choses avaient été vécues, elle espérait y trouver des réponses, des solutions, un cierge qui la mènerait sur le chemin de la vérité.



Ce qu'elle trouva était bien loin de tous ses désirs...Eilistraee s'y trouvait également, mais elle n'était pas seule. Se trouvait là également, Cassandre, l'une des connaissances d'Eilistraee qu'elle avait recommandée à la Bibliothèque. Celle-ci alors était en train de rompre le sortilège qu'elle avait lancé à Eilistraee, alors la vérité apparut, dur et implacable...



Ce n'était autre qu'elle, qui lui avait lancé cette affreuse malédiction, salvatrice et amère. Elle qui était responsable de tout ce tourment, elle encore, cause et sources de toutes les peines et souffrances endurés. Il n'était alors plus question de justice, mais de vengeance...Aussi l'elfe, dite « Froideur » n'agit plus au nom de la Vindicte Ecarlate, mais en son propre nom à elle, criant corps et âme vengeance pour cette trahison qu'elle avait fait à toute la Vindicte. La colère, bien mauvaise conseillère pris alors le dessus, tandis qu'elle s'élançait à la poursuivre d'une Cassandre paniquée face à la furie furieuse qui la suivait de près, l'arme au clair pour en découdre dans le sang et l'horreur avec elle.



Ce fut Eilistraee, une nouvelle fois, encore elle, qui évita le triste massacre. Ramenant l'elfe à la raison, la menant ailleurs qu'ici... Elle lui compta alors le pourquoi du comment... Les conséquences qu'avait eut Baium sur sa vision des choses et surtout comment Cassandre avec une maladresse extrême l'avait sauvé, même au péril de sa vie...Comment grâce à Cassandre Eilistraee avait pu revenir à la raison et la réalité de la vie.



L’elfe pris du temps pour saisir le sens de toutes ses paroles... La colère était encore présence, mais elle ne pouvait ignorer ce qui était dit. Un affreux mélange dans son esprit, entre le soulagement et l'appel de la vengeance. Elle compris bien tard que Cassandre avait eu raison de faire ce qu'elle à fait. Et pourtant aucun pardon, aucune pitié ne lui serait surement jamais accordée.




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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mer. 1 décembre 2010 à 09h36

Althéna
Prélude de l’impensable.

Le village des murmures et sa triste capital, Althéna avait été pris par le terrible Zaken, l'une des funestes légendes de nos terres et personnes ne semblaient en mesure de le défier. Nos armés que nous pensions solide, devant sa puissance n'étaient rien que poussières aux vents. Alors, devant ce fléau, ce qui était aux yeux de tous impensable fut. Une alliance fragile, mais concrète de tout le continent fut établie, dans le seul et unique but de combattre l'un des plus grands fléaux de notre temps : Zaken.



Sous la nouvelle bienveillance de Liudewen et d'Altar, les réunions à la tour d'Ivoire se poursuivirent, tous encore avait en tête Jaerf, qui fut pour tous une lumière, un guide de sagesse. Désormais sa digne fille avait reprit le flambeau pour guider de son mieux l'armé continental que nous avions dressés sur le chemin de la petite fille, celle-ci d'ailleurs bien mystérieuse depuis quelques temps...Laissant Zaken, l'un de ses plus fidèles servant répandre la haine et la misère sur nos terres déjà bien martyrisé par le temps.



Alors, les vaillants et braves de tous les horizons, d'une seule et même marche, débarquèrent sur l'ile des murmures dans la ferme intention de ressortir d'Althéna vivant, vainqueurs. Les armes à la main, devant l'imposante armé de marins, les guerriers et les mages, chacun dans leurs domaines se fondèrent dans le terrible assaut. Massacres, boucheries, effroyable vision qu'était cette bataille et triste journée cela fut pour la vie elle-même...Plus de morts que de gloire, plus de sang versé que d'épargner. Pour cette cause, cette fameuse paix, nous avions créé la plus grande, la plus effroyable guerre de notre temps, étrange paradoxe, amère résolution...



De l'aube au crépuscule, cries de terreurs, hurlement de douleur, râle d'agonie, tout cela tournait aux oreilles fragiles de l'elfe...Ressortant de cette marre sanglante, elle était éprouvée, non pas par le combat en lui-même, car elle en ressortie étrangement sans mal, mais par la vision d'horreur que cela fut. Et pourtant, cela ne fut pas sa première bataille, loin de là.



Les braves retournant alors vers leurs demeures, chacun avaient la mine grave et lasse. Surement eux aussi, ou tout du moins certain, se rendaient alors compte du lourd tribut qu'est la digne résolution de paix et d'harmonie.



"Pour le plus grand bien..."
Xcylian

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » dim. 5 décembre 2010 à 05h57

Les portes de l'Enfer.
L’échiquier de Noct



[ image externe ]



Le soleil allait mourir derrière les montagnes, tandis que les hommes et les femmes, s'apprêtaient à mourir à ce qui semblait être leurs dernières campagnes. Tous étaient présents, du moins ceux qui pouvaient encore tenir debout et à qui la bataille, la maladie ou la peur n'avait pas encore brisé les jambes. Ils étaient présents dans le port, ou un navire allait les amener là-bas, dans le pire endroit que le monde ait connue, dans la plus atroce des îles que la terre n'ait jamais portés. L'endroit portant le nom, le sinistre et funeste nom de
"Portes de l'Enfer".



Le voyage fut long et le tumulte de la mer impétueux, chacun ayant pris le strict nécessaire à l'expédition, malgré tout, tous dans cette même galère sous les flots houleux, la tension était palpable, il ne suffirait que d'un mot, d'un seul, pour transformer cette apparente paix en mutinerie tournant au carnage. Sachant cela, tous observait plus ou moins le silence, désireux de ne pas embrasser les feux de la colère de ceux qui seraient, très certainement dans quelques heures, de bien précieux alliés.



Nous avons enfin posé le pied sur le sol terreux et aride des portes de l'Enfer, déjà l'air y est suffoquant, brûlant et chaque inspiration se fait sableuse. La transpiration sur le visage de tous, nous prenons alors le chemin des trois tours de la démence. La marche est longue est périlleuse, car sur notre chemin les créatures affamés de ce lieu maudit ne manque pas de venir nous harceler, désireuses de faire un royal festin de nos chairs déjà bien cuite par un soleil détestable. Les affrontements encore inutile nous creuse nos propres tombes, certain des aventuriers les moins connus connaîtrons un triste destin, celui de finir comme offrande à l'appétit des terribles créatures qui nous épuisent.



Sayuri pendant tout le trajet gardant un oeil sur Liudewen, cette personne là ne devait en aucun cas mourir, sinon tout ce qui avait été fait serait anéantit, tous les projets qui reposaient sur ses épaules ne verraient le jour que si elle restait en vie... Il ne devait rien lui arriver. Aussi l'elfe ne la quitta jamais d'une semelle, laissant ses compagnons occupés à leurs tristes destin, ne faisant strictement rien pour leur venir en aide, se réservant corps et âme pour la suite des évènements, ou plutôt de l'avènement.



Traversant la citée, le groupe ne fut pas bien discret, pouvant compter sur une organisation catastrophique ainsi qu'une discipline de pucelle en fleur, ils se firent bien vite prendre par les tours de surveillance, récoltant alors les fruits de leurs bêtises en espèce sanglante et mutilante. Enfin, grâce à leur détermination qui, elle, n'avait rien à envier à celle des Dieux, ils parvinrent à l'une des tours de la démence, qui s'élevait si haut dans les cieux qu'elle semblait transpercer le ciel lui-même



Les combattants par le bouclier de la rage gravirent les étages en lamentation de la tour, jusqu’à sont sommet ou était retenue le seul et l'unique personne encore capable de mettre fin aux maux qui ronge les terres d'Elmoraden :
Hardin.
Malheureusement pour eux, devant eux se tenait, fière et puissante la "petite fille" qui attendait leurs venues avec une joyeuse impatience



Les braves présents, posèrent enfin la bonne question. Qui était donc la petite fille ? Qu'était-elle donc à la fin ? La question trouva sa réponse, que beaucoup , surtout les Siannodels encore présent, n'auraient jamais voulu entendre. La petite fille n'était autre que
Noct l'un des plus terribles enfants de Shilen, le Dragon régnant sur le domaine des cauchemars et des ténèbres, celui que redoutent tous ceux qui ferment les yeux ne serait-ce qu'une fois dans leur vie, Noct, redouter par tous ceux qui vivent dans un monde ou l'ombre côtoie la lumière.



Noct n'avait pas fait les choses à moitié. Des personnes vinrent à ses coter une fois celui-ci dévoiler aux grands jours, deux sombres de Shel'Oloth que beaucoup sans doute suspectait et également Sayuri, l'elfe qui s'était jadis tant investie dans la lutte contre ce fléaux était désormais, au coter du fléau lui-même avec sa protéger du jour, Liudewen qui n'était autre qu'une dame dénommée :
Sirra.



Tous surpris, n'eurent le temps de voir venir la suite. Sayuri jouissant de nouveaux pouvoir aussi redoutable surement que ceux de la "petite fille", dons qu'elle avait désormais par la faveur de Noct, elle créa un mur de glace épais d'un mètre, entre les deux camps qui allaient désormais se faire face dans une lutte terrible.



Noct et ses quatres nouveaux alliés disparurent alors, laissant le monde à la consternation et à la frayeur.





"Que tombe le blanc manteau de notre victoire."
Sirra

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » lun. 24 janvier 2011 à 10h04

Les portes de l'Enfer
Les dernières paroles de l'Emissaire.



[ image externe ]




Depuis sa triste rencontre avec Noct à Aden, qui était venue lui reprendre un artefact puissant. Sayuri avait été l'hôte d'un puissant démon. Tout d'abord,dormant, celui-ci n'avait pas fait grands bruits, même l'elfe ignorait encore sa présence. Le parasite, sournois, vicieux, était resté en elle, accumulant les informations que la dame pouvant détenir, bien caché dans son esprit.



C'est alors que, devenue de plus en plus fort, plus fort que l'esprit propriétaire du corps, le démon en pris possession. Bannissant l'elfe dans les confins de sa propre âme, la condamnant à être le triste et impuissant témoin du sang qui serait répandue par ses propres mains. Les frères d'armes, les proches de l'elfe n'eurent alors rien vue. Comment le pouvaient-ils d'ailleurs ? Ce nouveau démons répondant alors au nom "d'Émissaire". Prenant la direction de Shuttgart, celui-là avait la ferme intention d'y réunir de nombreuses personnes. Disposant de pouvoir inimaginable, il n'avait aucun soucis à se faire.



Arrivant dans la ville sans été, il discuta de nombreuses fois avec la Souveraine du lieu. Le temps passant, l’Émissaire réussit à la convaincre de se joindre à Noct. Les jours passant, la citée de Shutgart ressemblait de plus en plus à un dépôt de force démoniaque et maléfique, un gouffre immonde à tout le mal de cette terre.



Toutefois, il le savait, bien que puissant il n'était pas indestructible, seule la force à laquelle il obéissait l'était, lui était encore mortel en quelques sortes. Il avait conscience d'un ancien rituel qui pouvait l'obliger à quitter ce corps qu'il possédait. Ce corps était très pratique, aucun de ses alliés n'avaient eu le courage de lui faire endurer la moindre blessure. Pactisant avec ses ennemies, il n'avait alors que peu de soucis à se faire, sauf si on l'obligeant à quitter ce corps, alors... Il serait plus vulnérable que jamais et cela ne devait en aucun cas arriver.



Il traqua, chassa alors les membres de la Vindicte écarlate jusqu'aux portes de leurs domaines. Dans un odieux chantage il essaya d'obtenir d'eux les quelques objets nécessaires à la composition du rituel. Malheureusement ceux-ci firent preuve d'assez peu de coopération, ce qui donna à l'Émissaire une raison suffisante pour leurs infligés des maux aussi bien gravé dans leurs os, que dans leurs âmes. Défiant ainsi toutes personnes de se dresser sur son chemin.



Néanmoins, ceux d'Aden avait compris que s'en prendre à lui renforçait à chaque fois son emprise sur l'elfe, laissant sur son corps de sinistre veines d'une couleur noir poisseuse, tel l'image de Noct : répugnante. Il devait alors trouver un autre moyens de renforcer son pouvoir sur l'elfe et ainsi prendre ce qui lui était nécessaire pour le jamais se voir défier et accomplir la volonté de "mère" comme celle-ci le voulait de lui.



C'est alors qu'un matin, l'Émissaire pris le chemin pour Gludio. Dans la ferme intention de défié ceux-ci et si possible, anéantir leurs forces armés. Le Bailli de Gludio pourtant avait eu vent de sa venue et avait donné ordre aux siens de préparer le grand canon pour lui souhaiter la bienvenue comme il se doit. Après quelques paroles échangées et des refus bien ferme, le grand combat commença enfin. Les membres de l'Elite naine de Gludio sortirent leurs haches et foncèrent sur l'Émissaire, à grand renforts de leurs golems de chair et d'acier pour combattre le serviteur de Noct.
La force de celui-ci n'était plus à prouver, tenant en échec toutes les tentatives de ses adversaires, jusqu'à ce que le premier coup de canon fut donné. Prenant le boulet de canon de pleins fouets, l'Émissaire fut mis en déroute, il avait subi tant et tant de dommages qu'il était hors de questions de continuer le combat. Néanmoins, il avait obtenu l'objet de son désir...Toute cette souffrance, autant physique que morale lui assurant maintenant une emprise presque absolue sur l'elfe. Il pouvait désormais partir, satisfait.



Pendant ce temps, plusieurs personnes avaient complotés contre l'Émissaire et dans le plus grand secret avait réussi à rassembler les composants nécessaires aux rituel. Ils se préparaient alors à affronter l'Émissaire dans les formes, en rassemblant le plus de personnes possibles, d'anciens héros reconnus comme de nouveau aspirant à la grandeur.



La confrontation se fut alors au bord du Lac Narsell. L'Émissaire était venue réclamer son dû à la Vindicte Ecarlate et il tomba nez à nez face au groupe des plus hardis résistants qui soit. Le combat commença alors et cela fut une véritable boucherie. La magie et les armes causèrent à tous des blessures monstrueuses, dans la minute qui suivi, déjà certains des héros étaient à terre, hurlant leurs douleurs autant que leurs effrois.
L'Émissaire sans s'en rendre compte, fut attiré dans une vieille église en ruine, c'est alors qu'il se rendit compte de son erreur, il était au beau milieu du cercle prévus à l'extraire du corps de l'elfe. La douleur pour lui fut intenable, son corps presque conquis devenait à présent une chose dégoûtante, bouillante dans laquelle il ne pouvait plus tenir, étouffant dans sa propre chaire et dans son propre esprit, il devait partir et vite !



Il se retrouvait alors en dehors de ce corps qui l'avait tant aidé...Seul, vulnérable devant les hordes d'adversaire qui, en dépit de tout, lui faisait face...Quelle bande d'insolent chanceux se disait-il alors. Car chanceux ils l'étaient tous. L'Émissaire fut vaincue, rejoignant les abysses dont, de mémoire d'elfes, personnes n'étaient jamais réellement revenue.


Ce soir là à Aden. On célébra la victoire sur l'Émissaire, ainsi que le premier pas dans la destruction de Noct et de ses apôtres.






La souffrance d'aujourd'hui, sera la force de demain.
Narja

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » jeu. 3 mars 2011 à 20h51

Les portes de l'Enfer
Rendre à Aden, ce qui est à Aden

[ image externe ]



Le vent était frais, ce matin. Depuis bientôt quelques mois, le froid c'était abattu, autant sur les villes que sur les coeurs, la disparition d'Angueran avait laissé un grand froid, un grand vide. Malgré les recherches de bien des camarades, rien n'avait aboutis. Nous le pensions partie pour une quelconque quêtes, sous l'emprise de Sirra peut-être, ou partie la combattre pour l'une de ses objectifs chevaleresques. Nul ne savait, ce qui restait alors était sa non présence.


Assa, qui avait depuis sa naissance ou presque des dons pour la divination, avait alors appris quelque chose qui pouvait nous être d'une aide précieuse, qui sait, avec de la chance peut-être même retrouverions-nous Angueran avant qu'il ne soit trop tard. De sa vision, nous avions bien des idées sur l'endroit où il pouvait être, mais la seul qui était logique fut le labyrinthe de glace, le château de Sirra. Le silence fut, pendant de longues minutes puis un a un, les valeureux qui s'étaient rassemblés pour partir en croisade avec la Vindicte Écarlate ramassèrent leurs armes, une à une. Attachant leurs boucliers aux bras, fixant leurs armures à leurs torses, ils étaient prêts, avec la peur et le courage tout deux aussi présent l'un que l'autre.



Nous étions alors tous en marche, le problème majeur était qu'ils nous faillaient traverser les terres de Shuttgart. Il va sans dire qu'une simple demande de passage n'aurait pas abouti à grand-chose, sauf peut-être attiser leurs curiosités et nous n'avions point besoin de cela, surtout en ce moment.Eilistraee était allée sur leurs terres sans prendre la passeuse, une longue marche fut de mise pour arriver dans un endroit capable de tous nous réunir dans la plus grande discrétion. Une heure passant... Nous fument alors tous appelés là-bas. Traversant les strates et les plans afin de revenir sur le plan matériel dans un autre endroit, gelée et vide. Mais nous étions là, saint et sauf... Notre aventure commençait à peine.



Les terres de glaces n'avaient pas changé depuis le temps, elles étaient toujours fidèles à elles-même, froides, désertes, mortelles, silencieuses. Nous avancions alors péniblement pour certaine dans une neige molle sur des plaques de verglas. Les pentes parfois abruptes laissait les plus lourdement armé aigris. Le vent soufflant, les visages pour la plupart étaient rouge, écorché, fatiguée. Nous n'avions pas encore combattu mais, le climat de l'endroit suffisait à nous rendre vulnérable.



Le pire était à venir quand Sirra s'adressa à nous, de façon sournoise, vicieuse... Elle s'adressait à nos esprits, murmurant nos peurs, chuchotant nos frayeurs. Dans le souffle du vent, le message de nos angoisses était palpable. Le groupe ralentit, certain pris de frayeur, de panique, d'autres encore de mutisme face à leurs propres démons. Ce n'était alors plus une lutte contre l'environnement, mais aussi une lutte contre nous-même.



Avançant péniblement désormais dans ce qui semblait être l'un des plus rudes blizzard que nous ayons affrontés, nous entrions peu à peu dans le domaine de Sirra, ou de véritables statues et fontaines de glaces étaient présentes. La mélodie du froid raisonnant avec splendeur sur son alter ego matériel. Nous étions alors devant d'immense porte de glaces. Majestueuse, splendide, gargantuesque, il n'y avait de mots...Sauf peut-être qu'elles s'ouvraient...



Personne ne la vue vraiment, pourtant nous savions tous qu'il s'agissait d'elle. Le plus choquant, le plus effrayant sans doute fut de voir que le guerrier l'accompagnant n''était autre qu'Angueran. Tandis que certains pensaient la situation perdue, d'autre se résignèrent à faire ce pourquoi ils étaient tous là. Ce combat fut sans doute pour tous l'un des plus difficiles, il s'agissait la non pas de combattre un adversaire, mais un ami, un frère ...



Le combat fut rude autant qu'éprouvant. Angueran était au sol, la domination de Sirra n'avait alors plus de prise sur lui. Il était sans doute libre, mais à quel prix...Certains des notre pris dans le lac de glace, le retour fut aussi périlleux que le voyage lui-même. Meurtries de toutes part et sans vraiment savoir pourquoi, cette croisade se termina à l'hospice des soins dans un silence de mort...Angueran était encore pris dans la glace et nous en étions sortie avec perte et fracas. Nous avions rapportés l'écuyer dans sa demeure... Le temps nous donnerait ensuite l'ultime verdict.





"C'est pas trois glaçons qui nous arrêterons, hurk !"
Zaraki

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mer. 18 mai 2011 à 05h51

L'incarnation
L'essence d'une vie


[ image externe ]


[ image externe ]

En bien des occasions, nous avions lutter contre Sirra. Des mois et des mois de souffrances et de combats, sans jamais en voir le bout…Nous avions tenue. Nous avions finalement réussit l’impensable. Nous étions arrivés au trône suprême de l’hivers ou même les flammes vous frigorifies ou l’été n’est pas différent de l’hivers.


Sirra nous attendait, c’était évident. Nous avions déjà eut une rencontre avec elle dans la caverne de cristal, pendant que nous étions en mission pour trouver des cristaux bloquant ses pouvoirs, nous avons encore du la combattre une nouvelle fois. L’echec fut cuisant mais nous avions quelques cristaux, suffisamment pour mené à bien ce que nous avions à faire.


Nous étions alors, tous… Mingol autant que Vindicte, dans le palais des glaces. Prêt à notre ultime combat…Qui fut des plus cours. Nous n’avions pas la force ni même la moindre chance de réussir contre un adversaire aussi puissant, poussé par des ambitions et des convictions si profondes que notre existence même en ce monde, en comparaison, semblait risible.


La reine, Freya elle-même du faire le déplacement, c’est quelque part grâce à elle que nous avons survécu, quelque part… Nous lui devons la vie et pas seulement la notre, mais celle de beaucoup. Ses intentions n’étaient pas là cela va de soit….Elle était impressionnante, sans gêne ni scrupules…Elle était glace, dans sa splendeur la plus complète. Nous sommes repartis, alors qu’elle nous congédia…Sans demander notre reste nous sommes rentrés chez nous, sans un mot, le cœur encore sous l’étreinte de l’angoisse.


Cette aventure nous avait fait voir toutes les saisons, cela n’est pas une métaphore. L’hivers, l’été, l’automne, le printemps… De part les actes de Sirra, nous avions été amené à les aider, chacune d’une manière différentes. Nous avions tous, quelque part, fait notre légende lors de ces combats. Pourtant je ne pouvais pas m’empêcher de compatir avec Sirra….Si j’avais été à sa place, sans doute aurais-je fais la même chose ou pire encore ?


Quelque temps plus tard, bien après notre victoire, nous avons été convoqué…Pourquoi ? Avait-elle encore besoin de nous ? J’avais pourtant déjà combattu l’élément qui m’était le plus proche, était-ce révélateur de ce que je suis au fond de moi ? Je n’en savais rien, sans doute le découvrirais-je en y allant.


Choisir une saison ? Une question bien étrange. Tout en moi invoquait l’hivers, tout ce que j’ai fait, tout ce que j’inspire. « Froideur » était pourtant si juste. Alors sans l’ombre d’un doute, ce fut pour l’hivers. Ce fut ma récompense…L’être qui incarne l’hivers, son essence même…L’essence de ce que je suis ? Cette créature qui est désormais mienne…Semble mieux me connaitre que je ne me connais moi-même.
Alors j’apprendrais d’elle, pour apprendre de moi.

" Votre existence, mon crépuscule. "
Pheles
( M.A.J item correspondant à la Saga de Sirra )

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » jeu. 30 juin 2011 à 07h44

Portrait d'une Reine
Masques & Vérités



[ image externe ]
Le pouvoir, un grand mot, bien trop grand pour ce que les gens en font réellement. La couronne était lourde, bien trop lourde pour être porter par une tête si fine, aux épaules si maigres et a la volonté si vacillante envers ses engagements...Quels engagements, d'ailleurs ?



Cette couronne et tout le pouvoir qui va avec était arrivée sur la tête de l'elfe par erreur. Le roi Iann lui avait cédé ce pouvoir, pensant que le peuple serait en sécurité entre les mains de ce qu'il pensait être l'une des meilleurs alliée probable. Il avait tort, c'était certain. Jamais ce pouvoir ne lui avait servit à autre chose qu'accomplir son propre objectifs, la mission ancestrale d'une ligné d'elfe peu connu hors du village d'Eva. Du début à la fin, tout avait été mis en oeuvre pour que ce qui devait être protéger le soit, qu'importe le prix.



Elle avait été prise dans une guerre, qui n'était visiblement pas la sienne. Mais elle avait combattue avec le semblant de courage qu'elle pouvait faire valoir à toute une assistance demandeuse d'idéals et de convictions. Ironie du sort, celle qui donnait l'impulsion était par conséquent celle qui y croyait le moins, mais peu importe, qui l'avait jamais su ?



Toutefois les personnes qui était dans les rangs de la Vindicte Écarlate n'étaient pas - tous - des idiots, certains réfléchissait jusqu’à voir, apercevoir ou... Coïncidence ? Que la Reine n'était plus à sa place. Elle l'avait sentie, sans que personnes ne lui en parle, les regards et les rumeurs avait suffit à lui faire prendre sa décision. Logan bien sur n'était pas en accord avec cela, mais qu'importe ? Ce siège n'était pas le siens, cette couronne ne lui apportait rien, sans parfois des ennuies et des politesses dont elle ne pouvait plus voir le visage.




Alors ce fut une cérémonie qu'elle organisa, durant laquelle, la couronne se posa sur une autre tête. Celle du Chevalier Archibald Angueran. Chevalier et maintenant Roi, il lui incomberait désormais de prendre, seul, toutes les décisions importantes et de faire tout ce qui devait être fait, sans jamais se plaindre, sans jamais verser de larme, sans jamais baisser les bras ni la tête. Alors la triste malédiction serait pour un autre bien heureux.



Elle retournerait désormais à une vie simple. La demande du Roi Archibald auprès de la Synode pour faire de Sayuri une noble auprès de la Synode avait été refusée. Elle serait donc en disgrâce, quittant un château dont elle fut la maîtresse pour revenir anonyme, dans les sombres abysses des badauds qui oublierons, elle l'espère, bien vite son visage qui ne fut point marquant pour ceux n'avait jamais croisé le fer avec elle.
Elle avait toujours une mission, un idéal...Et ce poid en moins sur ces épaules ne ferais jamais que lui donner plus de temps pour d'autres choses
Dernière modification par Shirafune le mer. 7 septembre 2011 à 17h00, modifié 3 fois.

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mer. 21 septembre 2011 à 05h42

Pour la rose
Que cela reste entre nous



[ image externe ]
Tout ce qui se trouve sous nos pieds. Tout ce qui se trouve devant nos yeux ou bien derrière. Tout ce qui vie au dessus de nos têtes ou dans nos esprits...Tout se fane, un jour ou l'autre, la seule variable c'est le temps que cela prend.



Aden, symbole de justice et de liberté. L'aube du Phenix, espoir de grandeur et d'un monde dit meilleur et juste pour tous et toutes. Gludio, image d'un peuple fort et travailleur qui su vaincre. Tout cela comme le reste est voué à voir les pétales de leurs grandeurs supposé tomber au sol, redevenant poussière. Ils ne savent pas, n'ont jamais su ce qui était essentiel à l'éternel.



Nous avons vaincue des ennemies mais nos causes étaient-elles juste ?
Avons nous sauvés autant que nous avons tués ?
Notre jugement fut-il toujours le bon ?


Les hommes ne sont pas des dieux et les dieux dupe les hommes. C'est une lois cruelle qui sévit sur notre pauvre monde en larme. Nous autres créatures avons fait verser les larmes de nos aïeux sans graver de sourire sur aucuns visage. Nous n'avons jamais été respecter, nous avons seulement été craints. Ce n'était pas la valeur mais le sang sur nos mains qui provoquait chez les autres cette intense peur. Nous nous sommes dit un long moment sauveur, un long moment juste, un long moment salvateur pour un monde qui nous n'avons jamais compris. L'union ne fut jamais notre force, elle n'était qu'illusion nous permettant de mieux dormir une fois le soleil enfouis dans les abîmes de la nuit.




Jadis...Je passais ma vie dans les monts les plus venteux, la ou la neige jamais ne cesse de tomber. Dans ces lieux-là, nous avons la vision la plus parfaite des choses car seule ce qui doit être là y est. Le superflue tout comme l'inutile périssent sans laisser de traces, il ne reste qu'un blanc manteau juste et cruel, il ne reste que ce qui doit rester à la fin des fins.
J'ai vue un monde privé de cela. J'ai vue un monde sans morale ni honneur, un monde sans valeur ni savoir. Le monde qui est le leurs et qui fut le miens n'a rien d’intéressant. Nous y découvrons des gens qui s'arrachent des vies sans savoir pourquoi ils lèvent leurs armes. Nous y voyons des dirigeants qui vocifère des guerres par principes et non plus par convictions. Ce qui était juste sont devenue tyran, les tyran sont devenue des justes. Le monde s'inverse lentement et la folie deviendra morale, la morale sera impie.





Durant de nombreuses années j'ai cédée ma place à la morale, a la raison ainsi qu'a des valeurs qui importaient plus à ceux qui j'aimais qu'a moi-même. Par dévotions, j'ai dormis de trop nombreuses années, engourdissant mon esprit criant qui m'hurlait de faire halte à ces fausses convictions qui furent l'espace d'un temps presque les miennes. Aujourd'hui comme beaucoup d'autres, ma rose est fanée, sa couleur est morte, son parfum n'est plus. Il n'en reste même plus la tige, seulement une terre sèche et blanche qui n'attend que le vent pour se rendre ailleurs.




Puisque les peuples ne savent vivre en paix, il faudra ouvrir les yeux de ceux qui dorment encore. C'est vrai que l'éveil sera difficile mais il n'en demeure pas moins obligatoire. Ceux-ci ont dormit dans l'idée que la compréhension mènerait très certainement à la paix d'un monde divisé aujourd'hui en deux, ce n'était jamais qu'une utopie qui n'aurait jamais dû être permise. Seule la peur fait réagir comme il se doit les êtres vivants. Alors c'est très certainement de peur qu'il auront besoin à présent. Si chaque choses capables d'esprit est noyé dans une peur profonde et irracibles alors dans ce cas, plus personnes n'osera regarder la lame d'une épée. Alors dans ce cas toutes sorcières et sorciers seront rejeté et tuer. Alors dans ce cas les Reines et Roi resterons aux châteaux à jamais, les gueux à leurs boues et personnes, plus jamais, ne franchira de mauvaises limites.




L'espoir ainsi que les douces illusions des fous ont fané ma fleure, je piétinerais alors leurs jardins. J'arracherais chaque germes d'espoir et de compétences qu'ils pourront avoir semé. Je ferais de leurs pâturages des champs stérile sur lesquelles je les condamnerais à la culture improductive. Pour qu'ils connaissent tous enfin le terrible prix de la guerre et qu'il s'éduque à ne plus jamais être orgueilleux. Je crèverais les yeux de ceux qui osent encore regarder le blanc soleil avec une illusion d'avenir. J'éventrerais le coeurs de ceux qui pensent l'amour possible et réel. Coulerons les viscères des vaillants portant le courage au creux de leurs ventres.


Si m'est possible de le faire, je souhaite rendre l'humanité stérile et néfaste. Je veux que ces dit dieux descendent de leurs blanc nuage pour venir voir ce qu'ils ont eux même fait. Le monde comprendra alors qu'ils n'ont pas besoin des dieux pour vivre, que ceux-ci leurs sont néfastes, qu'ils sont les véritables ennemies à combattre. Qu'ils soient privée d'amour et ne reçoivent que la haine, alors privés de leurs pouvoirs les dieux ne seront plus que des hommes et les hommes seront des dieux.





Ce n'est pas la peine de me le dire, il est vrai que j'ai perdue l'esprit. Dans ce cas je serais l'apotre des fous et des illuminée. Les parjures et les parias seront alors mes fils et mes filles. Que notre famille soit grande et forte. Car dans un monde ou tout s'inverse tout les siècles, il se pourrait bien que demain, nous soyons les nouveaux dignitaires de la raison, cette compagne infidèle.

[Maj - Grail Apostle]

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » jeu. 19 avril 2012 à 02h53

Traque

Coupables d’existences



Nos jours ne sont plus, nous n'avons plus rien d'avant, nous sommes devenues, tous autant que nous sommes soit des monstres soit des vestiges d'un passé qui aujourd'hui ne survit plus que dans les livres ou dans l'espoir des imbéciles qui ignorent tous des crimes et des atrocités que nous avons commis pour avoir, ne serait-ce qu'un jour, notre image de chevalier au grand coeur, protecteur et sauveur d'un monde que nous pensions peut-être meilleurs que celui que nous venions de mettre en ruine.



La Vindicte Ecarlate, tout cela était bien fini depuis longtemps. Les croyants avaient été chassés d'Aden il n'en restait désormais plus. Les rares insolents proclamant encore leurs appartenances à un quelconque culte étaient exécutés, ainsi que leurs familles, pour l'exemple, pour la peur. Voila pourquoi Aden était devenue Aden. Prendre les armes contre la chancelière ne signifiait pas mourir, mais perdre ses proches et devoir vivre avec ce manque, cette tristesse, ce vide qui dure, dure et dure éternellement. Cela avait été le sort de la chancelière et tout ses opposants auraient le droit à cette souffrance s'ils osaient relever la tête.
Elle avait encore la bague de la Vindicte à son majeur, de la main droite. C'était ainsi son souvenir, sa croisade et son fardeau, elle l’acceptait et n'en voulait aucun autre tant il lui était devenue désormais naturel d'agir de la sorte.



Pourtant la créature, pendant longtemps avait dormit au coeur de son palais de glaces et de poussières, jadis les bals, les peuples, les rires et les espoirs trônait là-bas, aujourd'hui ne reste plus que les vestiges des massacres et d'un passé qui, honteux, ne salit même plus les murs. Mais quelqu'un avait fait sortir cette affreuse créature d'un sommeil qui satisfaisait tout le monde. La rumeur du retour de Gali Nimah, la septième membre de la Vindicte Ecarlate. Alors l'oeil ouvert, la traque pouvait reprendre car jamais il n'avait été question de laisser les chiens de l'hypocrisie en vie, ils étaient nuisibles cela n'était pas négociable pour elle, ils devaient périr, tous autant qu'ils étaient encore, pour le crime qu'il avait commis contre le monde et surtout contre elle. Il fallait pourtant attendre, reprendre des contacts et se faire de nouveaux alliés, fort, puissant capable de soutenir son projet, capable de participer à sa croisade contre les dieux.



Elle les avaient enfin, les héros du nouveau monde qu'elle rêvait le soir entre ses draps froid et solitaire. Elle les avaient enfin, les triomphants guerriers d'une nuit sans fin, avec leurs dents longues et pleines de sang, leurs aura noir ou encore leurs démons et leurs vices. Tous autant qu'ils étaient, insultait la morale, les moeurs, la dignité et la vie elle-même, tous autant qu'ils étaient, il devenait à ses yeux parfait dans leur horreur. Ils étaient prêt depuis des centaines d'années, elle avait juste mis longtemps à le comprendre et encore plus longtemps à les trouver. Ils furent si talentueux qu'un soit sans lune, l'un d'entre elle la conduit jusqu’à Gali. Gali Nimah la vertueuse, paladine d'Einhasad, capitaine des armés d'Aden, Vicomtesse d'Aden. Elle était là a quelque mettre de Sayuri qui s'approchait avec Tolog son nouveau bourreau, fort et puissant, les muscles écrasant de splendeur, une sorte de Zaraki...Acquis à sa cause folle et perdue d'avance. Elle n'avait pas changée avec le temps, pareil à elle-même. Ce fut un soulagement, un plaisir qui ne porte aucun nom, un rare délice qui n'arrive qu'une fois tout les siècles que de la voir se faire écraser d'un coup de masse par Tolog. En quelques seconde elle était à terre, inconsciente ou morte ? Ce n'était plus l'heure à y réfléchir, la Chancelière exultait, elle touchait enfin au but, elle avait trouver l'espoir de tout un peuple est venait, séance tenante de le réduire en miette, puis en cendre quand son corps pris feu. Tous trois partirent, laissant le cadavre en proie aux flammes de la justice vue par Sayuri, de sa justice personnel et sans coeur.



De retour à Aden, la fête battait son plein dans un endroit réserver, tous fêtaient la mort de Gali, qu'ils ne connaissaient pas biensur, mais la mort les amusaient et de leurs amusement résultaient les désirs de la chancelière folle. Désormais c'était fait, la paladine de coeur était morte, livrée aux abysses pour toujours. Par le vitrail de l'endroit, Sayuri regardait loin vers l'est, loin vers Goddard. Sa prochaine destinations, sa prochaine victoire se déroulerait...Au monastère du silence ou elle irait en personne imposer un silence sans délais à la Haute prêtresse d'Aden, Mariel. Les membres de la Vindicte était coupable et punissable, ils étaient tous, à présent, coupable de leur propre existence.
"Si de mes décisions découlent vos conditions de vie, celle-ci influençant mes jugements, n'êtes-vous pas coupable de votre propre sors ?"
Khyil


[MAJ : Déclantage Vindicte Ecarlate ]

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Re: [bgelfe] Sayuri Amamiya

Message par Shirafune » mar. 24 avril 2012 à 15h27

Le retour du Roi
Éternité

[ image externe ]

[ image externe ]
L'oeil s'ouvre enfin, sur la réalité des choses. Ni triste ni heureuse, elle est, dans son plus simple appareil. La Chancelière d'Aden, aujourd'hui avait eut de nombreuses, très nombreuses et sans doute trop nombreuses visites. Tous étaient venues ici, en entendant la rumeurs d'un espoir qui, depuis longtemps, semblait déjà perdu. Les visages n'étaient pas tous clair, ni tous de son époques, pourtant tous assistaient à sa chute. Certains le sourire libérateur aux lèvres, d'autres avec une larme de regret au coin de l'oeil.


Sayuri elle, observait son meurtrier qui, pour elle, avait cette fois des airs de sauveur, de libérateur, pour elle qui n'était déjà plus de ce monde depuis bien longtemps, sans doute depuis le départ de sa danseuse de lune et peut-être aussi lors du départ de ceux qui, un jour, avait été sa famille la plus proche, sous la brillance rassurante de la citée d'albâtre. Elle restait immobile, tandis que le dernier sortilège qu'elle voulait lancer, celui qu'elle savait le plus meurtrier, s'éffrondrait sur eux, sans plus aucune magie, simplement de l'eau, une douche Shuttgartoise ramenant les deux héros de l'ancien temps à la réalité, sur ce qui se passait en ce moment même dans les yeux de chacun.


Iann de Rune, voilà le nom de l'homme qui avait ses transpercé l'elfe. La douleur fut grande et cela ne devait rien au blessures physique, c'est l'esprit qui souffre, quand deux personnes ayant combattue ensembles, tant et tant d'années arrivent à devenir rivaux. C'est alors qu'on devine sans mal, que l'un des deux à pris, à un moment de son existence, le mauvais chemin, la fausse route. Pourtant, il n'y avait plus de haine ni de rancoeur, ni regret ni remord non plus alors qu'elle s'effondrait dans les bras tremblant de ce qui fut son ami le plus chère. Elle prononçait ses dernières paroles, l'esprit clair, en parfaite connaissance de cause, elle avait jadis fait beaucoup de bien, aujourd'hui beaucoup de mal, mais cela important peu, elle allait la revoir, enfin.


Les plus fidèles furent présent. Iann de Rune, Mariel, Eowyn. Etaient réunit à présent les visages qui lui restaient les plus précieux en ce monde. Ceux qui, présentement, la conduisait dans la tombe de la danseuse de Lune, Inlul Velve De'suliss. Le silence était de mise, c'était eux qui lui avait fait découvrir ce monde, ce n'était sans doute que justice que ce soit eux encore, qui lui le fasse quitter. Les portes du tombeau s'ouvrait lentement à leurs approches, Eilistraee dans son cercueil de glace était présente, la place de Sayuri semblait évidente puisque la plaque sur laquelle était posée le cercueil était large. Le corps fut déposé et la Fée des glaces, autrefois offerte par Sirra en récompense vint alors faire son office, lui rendant l'ultime service d'une vie, un cercueil de glace, identique à l'autre, liant dans la mort celles qui étaient liées dans la vie, la lune et le soleil, à jamais réunit tandis que les portes de cette tombe aux airs de musée d'une époque qui n'existe plus, se refermaient lourdement, à jamais.
Si je ne le fais pas, qui le fera ?
Iann de Rune

[ Mort ]

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