Les Corsaires d'Azur
Port principal : Île de "la baie de résolution".![[ image externe ]](http://i27.servimg.com/u/f27/11/87/01/36/thyla_10.jpg){kind=link}
Autres lieux de relâche (sous couleur de navires marchands) : L'île des murmures, port de Gludin, port Giran, port de Heine, port de Rune.
... Existance
Les corsaire d’Azur, navires effilé aux coques peintes d'un bleu vif, portant haute la bannière de la piraterie -un crane au cheveux rose attaché par des clochettes et croisé d'un sabre et d'une hache de marine- furent jadis les fières marins de la flotte du royaume de l'Ouest. Sous ses anciennes bannières, ils luttèrent contre le terrible capitaine-pirate Zaken, le démon des océans durant les débuts de la guerre contre le grand Dragon Noct.
La Vaillante Azura, coulée par l'Arrogante de Zaken lors de la bataille de la reprise de l'ïle des murmures vis sont capitaine prendre sa revanche, a bord de la Vaillante II, en coulant l'ignoble navire fantôme au large du château de Rune lors de la chute de la ville aux mains des vampires, mais aussi celle du capitaine démoniaque.
Entrainés pour le combat naval, ce sont des marins libres, qui avaient jadis fièrement travaillés pour le royaume contre une paie mensuel confortable. Avant sur l'ordre de leur de leur propre reine, "survivre et rester fiers en attendant le renouveau". Ils sont rudes, courageux (les peureux et les lâches ayant quitté le bord depuis longtemps) et savent se battre. Si bien que certains particulièrement doués aient été spécifiquement entrainés et aient pris le titre de marinier-combattant, gagnant le droit de porter les armes à bord en toutes circonstances, et jusque dans les hauban et les drisses.
Désormais, c'est au pillage des navires marchants portant les pavillons des entrepreneur nordique, qu'ils accumulent leurs faits d'armes. Devenant une plaie sur les mers, au même titre que le furent les tristement célèbre Marin des Mers Supérieurs, sans toutefois s'adonner aux excès de carnages de ceux-ci.
... Fuite en avant.
...Déchéances des âmes.
... Espoirs de renaissance.
...Déchéances des âmes.
... Espoirs de renaissance.
ombrelongue a écrit :_Amiral Trask !!!" s'époumona un marin courant sur la jetée a toute vitesse : "Ces bâtard de fils de chiennes à peau grise arrivent vers la ville ! Ils sont a 20 minutes de la cité !"
_Et qu'est-ce que tu attends espèce d'âne baté ! Qu'ils s'amènent ici pendant que tu me fait causette ?!" répliqua un homme courtaud, laissant entendre que des nains se trouvaient quelque part cachés dans sa lignée. "Remonte sec vers les baraques ! Et que toutes les familles soient a bord d'ici 5 minutes, exécution matelot !"
Et alors que le marin repartait en dérapant sur le ponton humide, l'amiral Trask, chef de la flotte de l'Ouest commença de distribuer de sa voix puissante les ordres nécessaire pour quitter le port. Les matelots, anciens mariniers de commerce, corsaires ou soldats mêlés ayant appris sur le tas durant ces deux années s'activèrent aussitôt, grimpant dans les mâts pour préparer la voilure, tendant les filins pour les archers dans les vergues, ouvrant les barils d'armes et de munitions pour le combat.
La plupart des familles des homme se trouvaient déjà a bord, mais certaines avaient préférés vivre sur la terre ferme, dans les bouges et baraquements du front de mer, et continuer leur petite vie habituelle malgré l'arrivé massive de réfugiés inconnus, et la menace imminente de la fin du royaume.
Bientôt, une cavalcade se fit entendre, les planche des quais du port résonnant avec force alors que femmes et jeunes, portant souvent un enfant au bras couraient a toute vitesse vers les trois navires de guerre amarrés. rapidement, ils montèrent a bord, abandonnant ainsi sans un regard, prêt a cela depuis des semaines leur vie d'antan et la sécurité bien relative de la cité. Bien sûr, nombreuses étaient les familles a ne pas avoir voulus faire ce sacrifice, et des marins-soldats a avoir décidés de quitter leur service comme le leur avait offert leur souveraine. Ceux qui étaient resté, n'avaient rien a perdre ainsi, ou nul désire de vivre sous le joug des nordistes. certains marins n'ayant nul famille ou épouse pour les retenir, d'autres les ayant persuadé de venir.
Bientôt; tous furent a bord... les retardataires n'auraient que leurs yeux pour pleurer.
_Larguez les amarres ! Repoussez nous du quai avec les perches !" rugit l'amiral depuis le pont arrière, près de la barre tenue d'une main de fer par son second. "Hissez les voiles bande de fainéants ! Pour le royaume, et pour notre reine ! On s'en vas les gars !"
Alors, lentement, majestueusement le navire de guerre s'écarta du quai, puis, prenant de la vitesse dans le port, sans se soucier d'écraser quelque une des barques des récents émigré d'on ne sais où, ils quittèrent la rade de Gludin.
Les trois navires rejoignirent rapidement les deux plus anciens qui gardaient la baie, et avaient aussi levés les voiles en voyant leurs homologue leurs adresser les signaux de l'alerte.
Les deux flutes modifiés, les corvette et l'imposante frégate en tête mis le cap droit sur la haute mers.
Regardant un moment la côte derrière lui, et l'endroit où se devenait la ville... qui disparue lentement, Trask soupiras et carra ses fortes épaules. Lui qui quelques années plus tôt n'avais qu'une petite flutte de pêche sous ses ordre, avait participé à la bataille d'Althéna contre l'Arrogante de Zaken, puis second de la "Vaillante" lorsque le navire maudit avait été enfin coulé a Rune.
Désormais, seul maitre a bord, il commandait l'une des plus puissante flotte militaire d'Elmoraden.
Soupirant, et porta la main a sa veste de lin, faisant criser le papier de la lettre qu'il avait reçu a peine un moi plus tôt, porteur des mots -et ordres !- de sa souveraine. il se tourna alors vers les marins qui s'étaient lentement réunis sur le pont, en attente de la suite.
_Messieurs. Fiers marin-soldat du royaume. Et fiers habitants de l'Ouest qui avaient décidé de nous suivre. Je vais enfin vous informer des ordres de notre souveraine, Thyla Fondernong Azula, bénie sois son nom." Posant ses deux grandes mains sur la balustrade, il regarda les hommes et femmes qui attendaient ses mots. "Ils sont simples en vérité. Survivez, et portez haute la flamme de l'espoir. Rendez-vous sur l'île du Maudit, et faite la vôtre. Comme faite vôtre son ancienne occupation.
Messieurs ! Nous ne sommes plus désormais des marins-soldats du royaume de l'Ouest, mais des Pirates !
Nous coulerons tous les navires portant les couleurs du nord ! Nous pillerons leurs gros vaisseaux ventrus plein de marchandises de Goddard ! Nous les revendrons au marché noir, ou les utiliserons pour nous même ! Désormais, et jusqu'à ce que le royaume soit rétablis, et l'ombre banis de nos terres, nous écumerons ses mers ! Et le sang des chiens alliés a ceux du nord, des marchants qui s'engraissent sur la misère de peuples rougiras l'écume dernière notre passage !
Mais n'oubliez jamais ! Ils nous dirons pirates ! Ils nous dirons montres, et mécréants ! Mais nous serons dans nos coeurs et pour toujours, des hommes et des femmes de l'Ouest ! Des hommes et des femmes libres ! Priant Eva et la Sainte Einsahad, et non leurs dieux maudits de nordiste !!!"
Un rugissement de colère, et de fureur fit trembler le pont alors, tandis que les hommes brandissaient le poings et que les femmes les regardait d'un air perplexe.
_Faites donner nos nouvelle couleurs, matelots !!!"
Et au mat le plus haut, la bannière du royaume fut abaissée, tandis qu'une autre, pour la première fois voyait le jours. Une bannière d'un bleu sombre, un crane hurlant aux yeux d'un azur éclatant se trouvait, une épée et une hache croisé sur son fond.
Les navires marchands de Goddard, de Rune ou Schuttgart allaient bientôt apprendre, que s'ils avaient pris le contrôle des terres par le fer des armées, le feu des démons, le poison et la trahison. Les mers restaient entre les mains des gens de Gludin, fils spirituel des libres Corsaires de Sirius, et du sens de l'honneur et de l'ardente volonté de la Souveraine de Gludio.
... Une nouvelle vie.
... et du sang sur l'océan.
... et du sang sur l'océan.
_Caaap' ! Voile en vue !" tonna la vigie du haut du grand mat. "Et ils battent pavillons de commerce Shébali !"
Trask leva les yeux sur l'homme qui s'agitait et faisait de grands geste pour désigner la direction du navire. Cela faisais maintenant presque un mois entier qu'ils s'étaient établis, avec femmes et enfants sur une petite île cachée dans un archipel oublié de tous. Deux mois qu'ils avaient fuit Gludin honteusement, et étaient sans nouvelles de ce qu'il s'était passé a Gludio.
Le vieux loup de mer esquissa un sourir mauvais, et échangea avec son second un regard de connivence.
_Boucaniers ! Préparez vous pour votre premier acte de piraterie ! Sus à ce navire ! Issez nos couleurs ! Réveillez ceux du quart de nuit !
Un long hurlement d'approbation lui répondit alors. Alors, d'un seul coup, le pont du long navire de guerre semblant presque amorphe peu avant, s'anima. Le navire frémi imperceptiblement, alors que le barreur en changeait le cap rapidement. Les voilent furent réorientés, et celles qui qui n'étaient encore sorties se mirent bientôt également à prendre le vent dans de grands claquements, descendants sur leurs drisses sous la mains des marins experts.
Très vite, des armes apparurent de partout, des tonneaux furent mis à découvert, et chacun se saisissait de la sienne. Dagues longue, épées fines ou larges, haches et crocs effrayant. Les archers se précipitant dans les vergues, avec arc long et courts, flèches à barbillons en main. Bientôt, chacun fut armé, même ceux ayant pour rôle principal de s'occuper des manœuvres. On ne savait jamais. L'équipage avait été formé lors pour affronter les marins de mers supérieurs, ou le pirate-démon Zaken. Prendre son ennemi à la légère, c'était mourir.
Désormais les combattants-mariniers se détachaient clairement des autres, attendant sur le pont par petits groupes, calmes mais impatients. Leurs court jaseran de mailles -rapide a enlever en cas de chute dans l'océan, leurs petits casques à nasal et les gantelets à leurs bras qui les équipaient maintenant faisait un contraste frappant avec les courts pantalons de cuir, et les chemises de lin blanc du reste des hommes à bord, et qu'ils portaient peu avant, marins comme tant d'autres.
Sur l'autre navire, cela s'agitait pas mal aussi. Ont donnait toute la voile, et au risque de verser, le navire marchant prenait de la bande pour gagner au vent... peine perdu. Visiblement, ils ne comptaient pas se rendre, et quelques flèches tirés hasardeusement vienent même frapper l'ondé, plusieurs dizaines de métres devant la proue de la Gloire d'Azura. Urval grogna dédégneusement devant la stupidité de l'acte. Le second, tout à coté de son capitaine, ses deux longues épées dans le dos, secoua la tête avec pitié. "Bordel de chiens, savent même pas la porté d'leurs propre arcs, ces cons d'abrutis."
***Bientôt, l'imposant navire de guerre, plus lourds certes, mais bien fin et fait pour la traque, se rapprocha assez. Difficile d'échapper a une frégate de guerre, conçue sur les chantiers de Gludin par les meilleurs charpentier de marine que le monde eut connu. Le chef artificier, dans un beuglement hurla un ordre sec, et de longs carreaux de baliste, liées deux à deux part des chaines dentelées jaillirent alors. La voilure du marchant n'apprécia guère, et il ralentit brusquement tandis que ce qui lui restait de toile claquait misérablement au vent, réduite en lambeaux. Celle de misaine et de brigandine, a elles seuls, ne pouvaient plus guère leur servir a fuir. Sur le pont, les petites silhouettes coururent de partout. Fourmilière dérangée, et se préparant a la bataille.
Trask donna quelques ordres, vite relayés par son second, puis les chefs de pont. Le navire pris de la bande, se redressa, offrant son flanc -et surtout ses canons- a la vue de l'autre navire. Alors, s'approchant du flanc, Trask posa les deux mains sur le bastingage bellement sculpté de naïades, et autres créatures marine, puis de toute sa voix beugla vers son vis-à-vis.
_C'est votre dernière chance ! RENDEZ VOUS, OU NOUS VOUS ABORDONS TAS DE CHIENS NORDISTES !!!
Une volée de flèche -a portée celle-ci- lui répondit alors. Trask soupira doucement, lorgnant celle qui venait de s'abattre a quelques centimètres seulement de son petit doigt. A part cela, il n'avait pas bouger d'un pouce, son plastron et le demi casque qu'il avait enfilé l'aurais de toute façon arrêté a cette distance de fin de portée.
_Bon... et bien tant pis pour eux, hein ?" marmonna-t-il dans sa barbe, un brin froissé par la réponse. "CANNONIERS ! FEUUUUUUUUUUUUU !!!"
Le hurlement des batterie répondit aussitôt, noyant le pont et les flancs du navire marchant sous une pluie de mitraille meurtrière. Sans se préoccuper de savoir s'il avait touché -il faisait amplement confiance a ses hommes, Trask retourna près de la barre, donnant ses ordres qu'Urval ou quartiers maîtres répétaient à coup de beuglements sonores selon à qui ils étaient destinés.
_Préparez a virer de bord ! Tendez moi ses drisses ! Carguez les basses voiles ! Préparez vous a l'abordage !
Grappins ! LANCEZ !!!
A l'abordage ! Pour la gloire, la richesse et l'honneur !!!
Dans un hurlement de fureur, les soldats-mariniers de la Gloire d'Azura fondirent sur le pauvre navire marchant que la bordée avait dévasté. Tombant de la mature, sautant depuis le pont largement surélevé par apport au gros marchant, ils s’abattirent dessus tel une vague d'acier et de rage, taillant et tuant tous ceux tentant de résister. Les mercenaires humains et sombre du bord ne purent rien faire, surclassé en nombre, pour la plupart blessés ou déjà presque morts, ils n'offrirent qu'une résistance de façade avant que les rare survivants ne jettent les armes au sol et ne se rendent.
Trask, cette fois-ci n'avait pas rejoins ses hommes. Ce n'était plus vraiment de son âge après tout, toutes ses galipettes et ses efforts. Tous savaient qu'il maniait l'épée si besoin, mais que le "vieil ours" préférais désormais les batailles en les regardant de loin pour donner ses ordres. Descendant enfin à bord du navire conquis, il vint se camper devant son vis-à-vis a la peau grise, au visage barré d'une profonde coupure sanglante.
_J'ai des questions pour toi, bonhomme. Si tu réponds bien, tu vivras, et ce qu'il te reste de ton équipage aussi. Voici la première... qu'est-il devenu du royaume de l'Ouest, et de ses dirigeants ?
_Hein... quoi ? Le royaume ? Ils sont tombés il y a un mois ! La naine pathétique qui les dirigeait et sa seconde ont fini leur têtes plantés sur des piques et leurs corps balancés aux corbeaux, ha ! Fallait s'y attendre non, des naines reines hahaha-ha...ha ?
_Hilarant oui. Le Commandeur Zaraki ? L'armée ?
Douché, et comprenant qu'il fallait peut-être éviter les moqueries, le sombre hocha la tête frénétiquement. "En géoles a Schuttgart, c'est la maitresse sorcière du nord qui a pris le pouvoir sur les terres. L'armée de l'Ouest n'a même pas été présente au combat pour défendre sa reine. Comme quoi elle n'était pas si aimée que ça, hein ? En tout cas, la résistance a été pitoyable. La ville s'est rendue sans combattre après la chute du château. Mais ils ont détruit toutes leurs armes de siège avant, les balistes, les catapultes, tout. Ont a rien pu récupérer.
Shel'oloth dirige Gludin, et l'port. Dion et Gludio sont aux mains de Schuttgart....
C'est... je n'sais rien d'autre !
_Le trésors royal ? La grande bibliothèque du château ? Qui les as pris ?
_De quoi vous parlez bordel ? Ont dit qu'a part des pièges dans tous les couloirs et les chambres, ont n'a rien trouvé là bas qui en vaille la peine ! C'royaume était complément ruiné a c'qu'il semblait !" Fit-il en crachant au sol. "Ces nains auraient dû se contenter de faire ce qu'ils savent faire. Obéir et travailler pour les races supérieur. A part à faire des esclaves, ils ne servent a rien. Ils se sont cru capable de mieux, on a vu le résultat, ah !"
Trask regarda d'un air sévère le sombre à ses pieds, qui, lentement ; comprenant qu'il était allé trop loin, vira au gris et se décomposa sous le feu de sa haine froide qu'il pouvait lire dans ses yeux. Jetant un regard appeuré alentours, il surpris la même haine, la même fureur horrifié dans tous les yeux des marins. des murmures s'étaient élevés à l'entente de ses terrible nouvelles, qui bien qu'attendus, les bouleversaient tous. Et alors, enfin, ile capitaine du navire Shebali compris a qui il avait a faire.
_Vous... vous êtes l'un de ces navires de la marine de l'Ouest qui s'est enfuis ! Mais... mais vous avez fuis non ? Vous n'vouliez pas vous battre pour cette reine pathétique, c'est bien ça, hein ?
_Tu ne comprendrais pas, bâtard d'chien, le sens du mot respect !" ragea Urval en levant ses épées, s’apprêtant à les plonger dans le torse du sombre. Avant de s'interrompre, attendant l'ordre.
_Tue les tous." fut celui-ci, donné froidement alors que Trask tournait le dos pour s'éloigner de quelques pas.
Un concert de protestation, et de hurlement de douleur naquis alors, les marins-soldat passant leur haine, leur détresse et leur douleur dans un bain de sang. Un long moment après, Urval s'approcha de son capitaine, après l'avoir laissé suffisamment longtemps seul pour qu'il puisse encaisser le coup qu'il venait de recevoir.
_Trask, j'sais qu'tu l'appreciais ta reine, mais on s'y attendais, non ?" Dit-il en guise de préembule, posant une main apaisante sur l'épaule musculeuse de son vieil ami. "On peut pas rester là, si un aut' navire s'amène, on s'rais en mauvaises posture. T'es capitaine, et tes gars attendent tes ordres."
Hochant la tête, le désormais ex-amiral de l'Ouest se retourna pour faire face aux soldats de son équipage, les regardant un a un dans les yeux.
_Bon... nettoyez moi cette barcasse jusqu'à l'os messieurs. Voyons au moins si la prise en valait le coup. Pour la suite, ne vous en faite pas. La mort de l'Ouest, et d'notre reine, on vas la leur faire payer chers ! On va leur faire comprendre a ses bâtards, qu's'ils controle les terres, l'océan appartient encore a la bannière d'Azur !
Pour la gloire, la richesse... ET LA VENGEANCE !
***Perdu dans ses pensés, Trask regardait la colonne de fumée noire qui disparaissait au loin. Déjà, la courbe de l'océan cachait les débris du navire marchant incendié, qu'ils avaient sabordé avant de faire barre vers leurs îles. Leur seule patrie désormais.
Un pas reconnaissable derrière lui le fit se redresser un peu, et tenter de prendre meilleur figure.
_Oui Urval, tu veux quoi ?
_Juste te dire que ta pris la bonne décision, mon cap'taine... Ta reine, on vas te la venger. On vas couvrir ces putains mers du sang d'ses bâtard de gris, promesse d'urval.
hochant la tête, Trask fini par enfin tourner le dos à la colonne de fumé du navire, aux nouvelles et a son passé.
_Oui, nous les couvrirons de sang. Ses mers son a nous... et personne ne nous les prendras.