[BG Kamael] Myliame

[myhelye]

Myliame

Matricule: CAS 78-69
Alias : Myliame
Surnom : Aucun
Titre : Éclaireuse / Nettoyeuse
Age : 70ans, 25 apparents.
Sexe : feminin
Race : Kamael

Métier : Millitaire
Compétences :
Combat : Maniement de l’arbalète

Alignement : Loyal Mauvais
Langues parlées : Kamael, Commun, Sombre.

Description physique : Ni grande ni petite. Idéalement proportionnée. De long cheveux d’un bleu pale et brillant. Elle est dotée de toutes les armes de séduction. Ses jambes sont élancées et son regard intriguant est profond, son grain de peau fin et ses pommettes gracieuses soulignent son charme naturel. Elle porte des vêtements légers, idéale pour se déplacer rapidement, et laissant une vision clair de son physique : le décolté est large et les jambes dénudées ainsi que le ventre souvent apparent. Ses formes sont mises en valeurs et la tenue dans son ensemble est très subjective.

Caractère : C’est une soldat, une éclaireuse, obéissante et expérimentée. Son dévouement est sa mission. Tout est bon pour la mener à bien. Elle croit et est sûre en ses capacités. Ses armes principales sont l'arbalète et son corps. Elle possède malgré tout un vice : elle est obsédée par les âmes. Elle en veut et en réclames toujours plus, comme gourmandise.

Situation financière : Entretenue par l’armée.
Comportement social : dépendra de sa mission. Soit discrète et muette, soit charmante et provoquante. Tout est bon pour soutirer des informations ou prendre des âmes.
Type d’éducation reçue : Militaire
Popularité et/ou influence : inconnue
Pensée politique : endoctrinée, communautaire.
Croyances : Craint et respecte la puissance de tous les dieux. Pour elle , aucun n’est légitime.

Relations extérieure
Toutes les idées sur les peuples extérieures lui ont été inculquées lors de son entraînement militaire.
Elfes : méfiance : ils sont suffisamment rapide et lâche pour arriver à survivre.
Humains : neutres : aisément corruptible.
Kamaels : Patriotique
Nains : méfiance : leur savoir faire en manufacture peut être utile, mais peut aussi être une arme pour les ennemis.
Orques : Grande méfiance : excellents combattent, difficilement utilisables et imprévisibles.
Sombres : Extrême méfiance : leurs fourberies et leurs stratégies sont leurs plus grandes forces.

[myhelye]

B.G :

Une pièce aux murs lisses, des fenêtres en hauteur. Les lueurs du couchant filtrent à travers elles. La lumière rougeâtre règne dans la pièce. Dans celle-ci, le bureau en roche sculptée ; le fauteuil massif, imposant, se trouvant à contre-jour. L'officier assit, assombrit par la pénombre écarlate, le visage baissé. Des reflets verts, les yeux de l'instructeur parcourent l'écran.

Debout, droite, au garde-à-vous : Myliame attend.

Sur l'ordinateur, les données apparaissent, l'officier s'informe.

Matricule, capacités, entraînement reçut. Le passé écrit et résumé. Il doit décider de la prochaine mission.
Les données :

Connexion aux informations partielles du sujet via l'avatar du passé...
Obtention de la fiche descriptive et du résumé des affectations en cours...
Matricule : CAS 78-69
Alias : Myliame
Spécialités naturelles et/ou développées à l'entrainement. :
• Tire
• Précision
• Vitesse
• Discrétion
• Assassinat
• Infiltration
• Séduction
• Adaptation
• Maitrise du langage Commun
Défauts enregistrés : goût trop prononcer pour le vol d'âmes. Jugé non préjudiciable.
Dévotion : totale.
Missions :
• Affectation 01 : succès
• Affectation 02 : succès
• Affectation 03 : succès
• Entraînement 01 : terminé
• Entraînement 02 : terminé
• Entraînement 03 : terminé
• Entraînement 04 : terminé
• Entraînement 05 : terminé
• Test final d'aptitude : succès
• Mission 01 : succès
• Mission 02 : succès
• Mission 03 : succès
• Mission 04 : succès
• Mission 05 : succès
• ......
• Mission 25 : succès
• Mission 26 : succès
Note syntaxique : Nettoyeuse confirmée, à utiliser pour des missions d'assassinat, d'infiltration et/ou d'information.

Une nettoyeuse, spécialisée dans l'infiltration. Un long entraînement, de l'expérience. oui, elle peut être utile. Pourquoi pas pour ... Elle ? Qui d'autre ? Elle semble toute indiquée.

- Agent Un Cas 78-69 ?

Salut militaire de la part de la Kamael s'en suivi comme réponse.

- Le continent et l'île des âmes ont vu apparaître des fontaines de sang. Des recherches ont commencé de toutes parts pour les comprendre et anticiper. Nous savons que les renégats de l'ARMADA et les enfants des Dieux des continents ont recueillie des informations vitales sur le sujet. Vous allez partir pour les terres continentales et les rencontrerez et userez de tous les moyens nécessaires pour obtenir ces dites informations. Puis vous les rapporterez. Allez.

Un nouveau salut militaire, puis la Kamael disparut du bureau.

Le vent dans les cheveux, le navire tanguant sous la houle. Myliame, assise préparait sa mission. Infiltration, renseignement, elle avait déjà fait, mais contre d'autre création de Nornil, jamais. Les renégats, les traîtres, voilà maintes années qu'on lui raconte cela. On lui avait appris leurs histoires, leurs fautes et le fait qu'il faille les éliminer à tout pris. Mais lors de ses missions, Myliame avait déjà vue deux ou trois contradictions avec ce qu'on lui avait apprît. *claque* Non ! Tu n'as pas à douter comme ça. Tu dois les infiltrer, leur soutirer tout ce qu'ils savent. Et après je les tuerais. Et je prendrais leurs âmes. Ho oui, leurs âmes. J'ai hâte. *claque* Non ! Pas de précipitation. Être méthodique. D'abord, les rencontrer. Essayer de les infiltrer. Les séduire ne servirait pas à grand-chose. Je dois leur faire croire que je soutiens leurs causes. Oui c'est ça, jouer double jeu. Je dois gagner leurs confiances. De plus, à leur coter, je verrais bien si tout ce qu'on m'a enseigné est vraie. *claque* non, ne pas perdre de vue l'objectif. Leurs informations !

A l'horizon, le rivage pointe le bout de son nez. Le continent venait à elle. Cette mission sera longue. Il faudra être patient.
Le navire la déposa en pleine nuit sur les rives d'une campagne. Au loin la vue d'une cité éclairée. Non pas comme Gevurah. Une lueur dans les cieux. Elle tourne, guide le navire. Elle se rapproche. Juste dessous se dessine une tour. Cette tour se dresse en haut d'une falaise. Au pied de la falaise, des pontons en bois sortent de la brume. Des poutres, planches. Le bateau s'y arrime.

Bienvenue au port de Gludin.

Les passagers descendent, se dirigent vers la ville. Les marins, s'attardent sur les bateaux. La nuit, la ville au loin, trois marins solitaires sur le quai, l'arbalète à la taille, une faim qui monte. Trois âmes. Commençons la mission maintenant.

La Kamael s'enfonça dans la brume du continent.

Le sang, le soleil, et on recommence. La fontaine est trop active ici. Comment? Gludio? Ne pas s'attarder ici. La ville s'éloigne. Un fermier, une envie, un carreau, une âme. Dion, ici, une halte s'impose. Une auberge, ouf, j'ai faim. Les vêtements sont dépoussiérés, les cheveux recoiffés au peigne d'Almain, un bouton de chemisier a sauté. Elle entre. Assise à une table, elle repère deux hommes au fond. La trentaine, roublard, pilier de bar, elle les provoque du regard. Ils s'avancent. Ils commandent une chambre, les trois montent. L'aube, la Kamael redescend, seule, laissant la ville derrière elle et du travail aux gens du ménage.

La plage, le sable chaud, le bruit des vagues, la chaleur est trop forte, le soleil éblouit et la peau brule. L'objectif est au nord. Que fais-je ici ? Un humain, non deux, allongé là, un brun, une blonde, l'un sur l'autre, sur le sable. Le vent couvre le bruit des baisés, mais ne cache pas les caresses. Des jeux amoureux vont s'envisager. Elle s'en lèche les babine. Elle s'avance. Derrière elle, elle laisse des traces de pas dans le sable humide, un chemisier, puis de nouvelles traces de pas. Ils la regardent, l'invitent. Le couple est séduit, elle a faim. Une main dans les cheveux, des mots au fond des yeux, chaleureux, amoureux, les deux se prennent au jeu. Une main descend sur les hanches, l'autre monte à la gorge. Un cri, un sourire puis le silence. Se reboutonnant, rassasiée, elle reprend sa marche. Le nord, plus au nord, non d'abord l'est, c'est là qu'est le chemin.

[ image externe ]

Il fait nuit. Il y a des lumières au loin. La mer est toute proche, on l'entend. On ne peut distingué l'horizon. C'est une de ces nuits où le ciel et la mer ne fond qu'un, un noir immaculé. Allez vers les lumières, le port. Mais ce n'est pas la ville. La kamaelle est trop au sud. Vers le nord, plus au nord. La ville est au nord. Une caravane y part. Les yeux doux, un grand sourire et un petit billet : la voilà embarquée. Giran approche. Les portes s'ouvrent. Il y a beaucoup de gardes. Elle ressent un sentiment d'hostilité : se faire discrète. Remercier le côché, le tuer? Non, trop de monde, plutôt se faufiler d'ombre en ombre. Qu'elle sentiment de mal être. Sur le bord des remparts, elle avance rapidement et agilement, vers la porte nord. Là, une partie peu haute, elle saute. Deux garde l'ont vus. Elle court, eux aussi. Deux carreaux sortent du petit carquois. Le premier, d'un tire en aveugle, atteint sa cible et décourage le deuxième garde. Alors, le bois retourne au chaud, la marche reprend, droit devant. La vallée de la mort, immense couloir jusqu'à la prochaine étape.

La nuit est toujours présente. Le vent hurle. Ou bien est-ce un cri de bête? Le froid commence à se faire sentir. Le jour est encore loin. Rien de bien dangereux ici. Elle le sait. Mais, Nuit, vent, cri, froid, tous ces facteurs lui provoquent des tremblements. Ce n'est quand même pas la peur? Impossible. On ne lui a pas appris ce que c'était. Qu'était-ce alors? C'est très étrange, mais pas assez gênant pour l'empêcher d'avancer. Elle marche, fixe, droit devant. Impossible de se perdre ici. Le chemin est tout droit. Elle marche. Elle ne regarde pas derrière elle. Elle sait déjà ce qu'il y a, puisqu'elle y était l'instant d'avant. Pourtant, ça la rattrape. Elle marche, vite. Elle ne veut pas se retourner. Juste pour se rassurer? Non, perte de temps. L'allure est maintenant très rapide. C'est pesant, on la regarde. On la suit. Non, c'est son imagination. Elle court. Mais elle ne la distance pas. Distancer Quoi? Il n'y a rien. Qu'est-ce qui la suit alors? C'est son imagination. Elle court. Une lueur? Au loin, là-bas, vite. Elle court, elle court, puis s'arrête. La vallée est derrière elle. Elle se calme, là, regarde la ville et pense au bain chaud qu'elle aura bien méritée.

[myhelye]

Oren, Goddart. Que le chemin fût long. Les politiques des différents pays sont si compliquées et différentes que Myliame voyage en clandestin. Pas de soucis de paperasses, pas de files d'attente, pas de temps à perdre. La route vers le nord, fatigante et éprouvante, peu dangereuse mais bien fastidieuse. D'abord, la route, dans les plaines, longeant les forets. Au loin une tour blanche, une perche sortant d'un cratère. Cette aiguille blanche semble sortir des entrailles de la terre pour indiquer la direction des astres. De l'autre coter, un brouillard, une autre tour, plus gris que blanc s'en dégage. C'est une ruine, insolente de se trouver face au blanc ivoire. Vers le nord, il y aura la porte. Peut être le plus délicat du voyage. Passez en Elmore. La mêlée, la magie seront peut être utile. Elle vérifie, la rapière est bien attachée. La porte s'avance. Le passage a été préparé, bourses sont passées de mains en mains. Mais le passage a toujours été difficile, pourquoi cela changerai? Et pourtant, la roulotte, coursier d'un jour, est passée sous la herse sans même une secousse. Rien, pas un bruit pas une emmerde. La guerre est finie, certes, mais elle s'attendait quand même à plus difficile. La rapière est toujours, et le sang dessus n'a pas coulé. Plus tard peut être.

Un passage entre les montagnes, puis, la pluie. Douce pluie, signe que Goddard est proche. Les terres d'Elmore assombries par ce ciel nuageux s'étendent devant. Goddard est proche, mais ce n'est pas le chemin. Sa route va vers l'ouest. Tout droit vers la citée blanche. La route passera d'abord, par le territoire Silenos. Quelle joie. Elle sourit. Les Varkas sont hostiles. Les Varkas sont nombreux et il ne la laisseront pas passer. Se faufiler à travers la horde, hors de question. Il faudra alterner entre lame et ombre. Elle se tiend devant leurs camp, voyant l'effervescence, salivant déjà devant le festin. Elle s'élance, saute de l'ombre, un trait, une âme. Le temps d'égoutter le fer à l'abri d'un muret, elle bondit de nouveau, une tête vole, elle esquive, estoc, se baisse puis coure droit devant. Quel régal. Une entaille au coup, balafre à l'oeil, une oreille saute, elle continue. Elle estoque, pare, coupe, esquive, feinte. Aucune tache de sang ne cache son sourire et sont régal.
Le camp est derrière. La lame passe sur le tissu blanc. Elle continue sa route laissant à terre le chiffon imbibé.

Spoiler:

Maj : Sub soulhound

[myhelye]

Des robots de cuivre et de zinc cliquettent en cadence. Chacun des craquements qu'émettent leur mécanique claquent dans l'air, se répercutent sur la structure, courent le long des murs jusqu'aux oreilles Kamael. Trois tours, de bois de fer et de pierres, pourquoi donc son chemin l'a conduit jusque là? Il n'y a pas Ames qui vivent ici. Il n'y a que la non-vie de ces machines. Et elle a faim. Une lueur, peut être même une voix ? N'est-elle pas seule ? Encore une fois. Cette fois c'est certain. Elle s'en lèche les babine en s'avançant. Là, cette pièce, ça vient de là. Un oeil passa l'entrebâillement de la porte. Il se retira aussitôt. Le vice amiral, si près, trop près. Est-il seul ? Elle mit la main à la crosse. La situation est dangereuse. Elle ne peut l'approcher ici, cela susciterait trop de questions. Il ne doit pas la voir. Un nouveau coup d'oeil pour vérifier sa position, toujours là. A coter de lui, cette arme, large. Une ancienne lame qui dégage une puissance surprenante. Si les bons travailleurs ont les bons outils, cette épée le montre bien. Elle bondit d'un pas léger pour sortir d'ici, rapidement et discrètement. Il était temps pour elle de retravailler les techniques de cette arme, et ce, avant d'arriver.


Rune, blanche, immaculée, un rocher surplombant la mer, les murs d'une pureté innocente se tenaient autour d'elle. Les pavés couraient sous ses talons et la lumière reflétée par les murs blancs révélait le brillant de son aile. Les yeux fermés, inspirant profondément, cheveux ondulants au vent, le sel piquait le nez. L'air marin, enfin, la traversée d'Elmore fut longue et soulageant est la vue des onde. Sur les rempart elle monta et l'horizon contempla. Faisant voler les feuilles, bruisser les oriflammes, le vent allait porter le deuil, car elle avait faim d'âme. C'est alors qu'elles se frôlèrent. L'humaine, flânant insouciament marchait nonchalamment cheveux au vent. Perdue dans ses pensées elle croisa la Kamael sans la remarquer. Ce ne fut pas réciproque. Elle était d'une beauté affolante. L'élégance et la grâce des gestes relégueraient la médiocrité au rang de crottin. La faim montait. Sa peau bruni par l'astre n'avait été altérée par le salin. Le gris félin de ses iris était aussi perturbant que rare. Ses longs cheveux noirs, qui d'ordinaire masquaient son dos, volaient derrière elle comme la trainée d'une promise qui monte sur l'hôtel. Une telle beauté ne peut exister sans exciter. Sa mort fut courte. Le drame permit à Myliame de prendre son âme aux langueurs océanes. Ca y est, elle est arrivée.

Spoiler:

MaJ Sub Berzeker

[myhelye]

Vert et blanc, noire de monde, de la dorure aux ouvertures, de l'argenterie pour la bourgeoisie, tel est Aden. La citée d'Albâtre qu'on l'appelle. Un bien joli nom pour une bien grande fourberie. Les petits plats d'argent précédant les grands, les mets se succédaient devant les yeux de Myliame. Elle les vit et les laissa passer, n'y voyant rien d'intéressant dedans. La main passant sans cesse dans les cheveux pour les relancer en arrière. Le voile repoussé laissait entrevoir le décolté de sa robe. Et sa robe, d'un rouge sang, passion, s'arrêtait mi-cuisses après avoir longé les courbes des ses hanches. On n'attrape pas les mouches avec du vinaigre, après tout. Et quelle mouche! Un Général semble-t-il, pas un de ces pouilleux qui trainnt dans les ruelles sombres. Un ami du roi qui plus est. Que cette réception était esquise. Elle avait gagné, la danse allait l'entrainer plus loin. Le goût se faisait déjà sentir. L'excitation était là. Mais, quelle cruelle leçon se fut. Un meurtre, un vulgaire assassinat, et sa proie s'envola, accordant plus d'importance à un cadavre qu'a Myliame. Que la peste s'abatte sur le meurtrier. Qui suit l'excitation? La frustration? Oui, avec la déception, le tout mélangé à la rage. Elle était comme un enfant à qui on vient d'enlever son jouet, sa sucette. Et la faim ! La nécessité vint se mêler à tout ça. La colère montait. Malheureux fut le mendiant qui demanda la charité. Le pauvre se retrouva au fond de sa ruelle infestée de rat, tête et corps désunis. Quelle pauvre âme, pitoyable, indigne de sa grandeur. Elle vaut mieux que ça. Elle veut mieux que ça. Un général, un roi, pas un mendiant sentant la vinasse, que personne ne connaissait et qui maintenant a disparu dans une parfaite indifférence. La rage l'emmena loin, hors de la ville. Elle prit abri sous un rocher. La pluie bat maintenant et la Kamael ne décolère pas. Les pensées sont floues et s'emmêlent. Des éléments se mélangent. La frustration de ce soir se mêle aux éléments de la semaine passée.

Qui est ce Kamael pour m'avoir donné des leçons. Ce Shoulmak m'a pris de haut. Il ne sait pas QUI je suis, QUI je sers. Il devrait se plier. Raaah. Aztothe, je vais te tuer ! Haha, tu vas voir quand l'heure sera venue. Tu ne verras rien venir, tu tomberas de haut! Et alors je rirai des sottises que tu déblatéras.

Un vertige, plusieurs même, se font sentir. La colère permettrait cela? Quelle étrange sensation. La colère, quel étrange mot finalement. Quelque chose vacilla en elle.

Et j'ai faim !!!!!

La chose céda cette fois. La colère éclata, une fureur qu'elle n'avait jamais ressenti. Quelque chose de meurtrier, destructeur et à peine contrôlable.

****

Le soleil se lève. Les oiseaux chantent. Et Myliame, vautrée par terre revient à elle. Quel étrange rêve. C'était unique, intriguant, déboussolant mais en même temps effrayamment jouissif. Elle passa la main sur son épaule droite. Non, rien. Ses pensées se seraient-elles jouées d'ailes ?

Spoiler:

Maj final transfo