[BG Sombre] Valvyr Gallear

[Snowkills]

Nom : Gallear
Prénom : Valvyr

Né en : 578 (388 ans)
Sexe : Masculin
Race : Sombre

Métier : Caravanier
Compétences : Ne maîtrise ni armes ni magie, seulement l’art du bien paraître.

Alignement : Loyal Neutre
Langues parlées : Sombre, Commun

Description physique :

Du haut de ses 1m88 et de sa silhouette élancée, Valvyr pourrait passer parfaitement inaperçu parmi les siens, s’il n’était pas richement vêtu et un peu m’as-tu-vu sur les bords. Il porte une attention très particulière à son visage, une peau anormalement lisse, arborant une barbichette de quelques jours finement taillée. Ses cheveux albâtres, sont coiffés méticuleusement, souvent recouverts d’un couvre-chef élégant. Son regard d’un azur pâle, laisse transparaître du calme et un brin de malice.

Caractère :
Posé, accueillant, sûr de lui, pragmatique, le tout accompagné d'un léger brin de folie.

Situation financière : A la corde
Comportement social : Bourgeoisie
Type d’éducation reçue : Sommaire

Croyances :
Respecte les religieux pour ce qu’ils représentent.
Admire les croyances autour du Léviathan.

Relations extérieures :
Tout peut être bon à prendre, sans distinction de race.

[Snowkills]

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Être né en 578 et passer l’entièreté de sa vie en tant que membre d’une caravane n’est-il pas ironique ? Une liberté nouvelle de régner en paix sur nos territoires ancestraux, et pourtant, décidé à stagner dans une vie nomade… Pour un peuple si attaché à la notion de familles et aux jeux de pouvoir, une opportunité gâchée.

C’est effectivement ce que j’ai cru pendant une grande partie de mon existence, ou plutôt, ce que certains s'efforcent à me faire penser. Depuis l’effondrement de Shel’Oloth, la plupart ont dû changer d’avis sur la question, en tout cas, c’est le mien. Cette ère d’instabilité créée par le Néant, moi, je ne la hais point. Elle est fastueuse, bien qu’incertaine, où des opportunités inégalées naissent. Un véritable vivier d’épanouissement et de richesse, le potentiel d’enfin laisser transparaître ce que je suis vraiment.
C’est dans cet état d’esprit que je sillonne dorénavant les routes, prêt à bondir à la moindre occasion, même si cela devait signifier de quitter définitivement la caravane qui a fait toute ma vie.

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Dion, 12 Brilleblé de l’an 961

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Ville en pleine agitation durant ces périodes de récoltes. Il y a de quoi marchander pour sûr et mettre un peu de côté. Le paysage est charmant, le tout plutôt calme. Trop calme même… clairement pas de quoi assouvir mes envies. J’ai eu beau discuter et faire de nombreuses connaissances, il leur manque un petit quelque chose, une petite étincelle qui donnerait à ces campagnards un peu plus d’intérêt. Cette petite étincelle de mystère et de classe ne viendra cependant pas de moi. Il va falloir chercher plus grand, plus riche, plus paillettes même…

Giran est en plein essor ces temps-ci, malgré les quelques troubles récent dont j’ai pu ouïr. Il me reste à convaincre le reste de la caravane d’aller dans ce sens. Je suis un vieux de la vieille comme on dit, ça sera sans mal. Si Giran n’est pas non plus à la hauteur, il me restera toujours deux options :

Aller plus au Sud vers la Brumeuse, qui de ce qu’on m’a dit sont plutôt ouverts d’esprits concernant le Léviathan. Cela serait même l’occasion de jeter un œil à la cité sous-marine.

Pousser ma chance plus loin au Nord, plus proche du front et du danger.


suivi de notes concernant les denrées à acheter en vue leur revente à Giran

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Oren, 26 Vertefeuille de l’an 966

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Après nous être divisés au départ de Giran, certains sont venus avec moi en direction de l’Imprenable. Imprenable… ce surnom me provoque, m’invite à lui prouver l’inverse. Maintenant que nous sommes arrivés aux pieds de la citadelle, je comprends mieux. Je me sens minuscule, une fourmi, parmi tant d’autres.

Hors de question de faire demi-tour maintenant cela dit. Demain, je poserais les pieds sur la place et découvrirait ce que l’avenir me réserve.