[BG] Alycia (aucun clan)

[Alicia]

...
Naissance d’une Enfant

< Elle rêvait encore a demi a la nuit quelque peu mouvementée qui s’était écoulée, savourant encore ses souvenirs comme autant de grain de sucre fondant doucement.
Le couloir était plongé dans la pénombre et en arrivant au seuil de la porte quelque chose heurta violemment son pied gauche, s’entortilla a demi sur sa jambe droite avant de filer sous l’escalier … Elle n’eu guère le temps de chercher ou de comprendre, elle vacilla dangereusement, tenta de se rattraper au linteau puis, comme une fatalité incontournable s’étala de tout son long sur le parquet.
Ses yeux fixèrent un instant le flacon de pelliantium, suivirent sa courbe aérienne au ralentit et se fermèrent en même temps que ses dents se crispèrent quand il s’écrasa dans un fracas sur le coin de la table d’alchimie.
Elle rouvrit les yeux pour se relever, son regard ne pouvant plus se détacher de la flaque vert sombre qui dégoulinait molle et gluante et venait grossir la tache au sol. Elle commença à épousseter sa robe, l’esprit encore confus et cherchant a comprendre ce qui venait de se passer quand, mue par un instinct, elle releva la tête mais trop tard.
La gifle la prit de volée et de plein fouet, si puissante qu’elle eu l’impression qu’elle l’avait soulevée du sol pour l’envoyer au bout du couloir, le cri suivit de quelques fractions seconde le geste, quelque chose qui devait s’apparenter à … >
« Sale gosse imbécile … une fortune par terre … fout le camp avant que je ne t’égorge … »

< Elle n’avait pas vu que sa mère était là, longue silhouette fine et sombre au cheveux plus noirs que la nuit. Une femme d’une rare beauté mais hélas pour elle presque aussi caractérielle qu’elle fut belle …
Ayicia toujours assise sur le sol recula instinctivement puis se repris et se redressa d’un bond, toisant sa mère.
Quelques secondes s’écoulèrent ainsi et un Elfe Noir rentra brusquement par la porte derrière elle, haletant, cherchant les yeux rivés au sol, et marmonnant quelque chose a propos d’un « rat-zombie » … Alycia secoua la tête dans un geste de désespoir >
« Sous l’escalier … Père … »

< Elle sortit sans autres mots. Son père n’était qu’un minable Nécromant raté, incapable même de contrôler un simple rat alors que certains gamins se promenaient déjà fièrement a cinquante ans à peine avec un zombie ou un squelette derrière eux.

Le soir était frais et la lune brisée irradiait de son halo doré comme un sourire de travers, moqueur et immuable.
Elle haïssait ces ruelles étroites pavées à la va vite, glissante, ou les talons venaient immanquablement a se coincés et les chevilles à se tordre.
Elle haïssait cette île de réfugiés ou elle était née parmi tous ces « sans courage », les lâches et les pleutres qui avaient refusés de suivre l’Overlord dans la reconquête du monde.
Elle haïssait Neriak (capitale des elfes noir) pour s’être écroulée et l’avoir obligée a naître dans ce taudis infâme, simulacre de reconstruction, « petite-Neriak » comme se plaisaient a dire certains … « fantôme immonde et pitoyable de Neriak » oui plutôt !
Elle haïssait, enfin, son père de n’être qu’un raté que le sang aurait du mener a siéger au Conseil des Nobles, au pire au Conseil des Sages, si seulement il n’avait pas simplement été un imbécile incapable.

Heureusement encore avait-elle Feyd’ l’ Har, qui lui avait tant appris, toujours présent à son côté.
Lui au moins savait ce que sa lignée signifiait, lui sûrement succéderait à son père au Directoire du Conseil des Nobles,
Lui au moins avait de l’ambition et ne rechignait pas non plus a prendre du bon temps et du plaisir.

Tout a ces pensées elle avait gravit la ruelle menant à la Grand Place. Avec un peu de chance Feyd y serait avec ses amis. Cette seule idée lui redonna le sourire et elle pressa le pas. >


La Lame et le Feu ou la vie par la Haine

< Quelle ne fut pas sa surprise en débouchant sur la place d’y voir en effet son ami, son amant, son confident, celui qui lui avait promis de l’emmener par dela les mers vers terres sombres en mauvaise compagnie … « Mauvaise » tout dépendait pour qui.
Entre ses bras enlacés une garce, une fille de chien galeux, une immonde vermine à la robe de satin et aux cheveux soigneusement rangés. Une de ces catins de la Haute Noblesse, une de ces nanties ombrageuses qui gloussait comme une oie blanche en se tortillant de plaisir …
Alycia déglutit lourdement et franchit les derniers mètres qui la séparait du halo jaunâtre des torchères, signifiant ainsi sa présence aux deux amants honnis.
Tous deux la regardèrent s’approcher, elle amusée, un petit sourire narquois aux lèvres, lui hésitant, semblant peut être gêné, peut être simplement surpris. Il ne dit pas un mot, ce fut le pire, c’est elle qui parla, d’un ton suffisant, hautain, la voix haute perchée comme si elle voulait en faire profiter tous les somnambules et réveiller les autres. >
Et bien … Alycia ma belle ? On traîne dans les rues ?
Allons greluche ne fait pas cette tête ou je devrais te prendre à mon service comme zombie de placard.
Que croyais-tu ? Qu’il allait t’attendre ? Que tu pourrais lui donner le dixième de ce que Moi je peux lui offrir ?

< Alycia ne sut pas ce qui poussa Tinhilith la Noblionne a prendre le bras de Feyd et à l’entraîner à sa suite d’un pas pressant. Sans doute le manque d’envie de débattre, peut être la tête ahurie de Alycia qui avait du se transformer en autre chose de moins avenant qu’un simple regard ébahie.
Elle resta là seule un temps infini. La nuit froide l’enveloppait de son manteau de frisson et l’engourdissait mais elle n’en avait cure, son esprit lui était en fusion, il bouillait, il brûlait d’un feu vif que chaque nouvelle seconde, chaque nouvelle pensée venait aviver, comme un vent malin vient attiser les brandons pour vous jeter les éclats crépitant d’un feu au visage. Elle ne laisserais pas l’affront en l’état, elle laverait la souillure qu’il lui avait faite … elle effacerait cela avec son sang. >

< Le soleil avait depuis quelques heures déjà dépassé son zénith et s’apprêtait sans vigueur a décliner pour rendre sa place aux ténèbres quand Alycia descendit la ruelle du centre.
Son visage rayonnait d’une joie effrayante. Son sourire mangeait son visage et ses yeux brillaient d’un feu intense et nourrit. Elle ne marchait pas, elle volait. Chacun de ses pas plus léger que l’autre laissait flotter sa pèlerine noire loin derrière elle.
Tinhilith la regardait venir vers elle d’un regard noir et plein d’une rage mal contenue, derrière elle cliquetaient deux squelettes d’orcs de guerre. Il n’y avait pas a dire elle était douée en nécromancie. Elle la regardait encore fixement quand Alycia la dépassa sans même lui jeter un regard, trop absorbée, semblait-il dans un bonheur affiché.
Et cela se passa comme prévue …
Tinhilith lui emboîta le pas. Hésita puis au bout de la rue l’interpella. Sans résultat. Elle lui courut après, la héla de nouveau mais Alycia n’entendait pas et son pas s’accélérait encore. Enfin, alors que la nécromancienne en herbe s’apprêtait a hurler elle se retourna brusquement et d’une voix toute de douceur et de miel lui demanda >
« Hé bien ‘Tin ? Que me veux tu a la fin ? Il ne t’en suffit pas de m’avoir pris Feyd que tu me pourchasses ainsi ? Me voudrais-tu au pied de votre lit pour t’emmener le pot ? »
< Tinhilith semblait au bord de l’hystérie, le visage bouffit d’avoir couru et les yeux rougis > « Te l’avoir pris ?? Où est-il ??? Espèce de chienne des bas-fonds … Ou est-il ?

< A marcher ainsi les deux jeunes femmes étaient sortis de l’enceinte de la petite ville et, toujours aussi souriante Alycia pointa du doigt un promontoire rocheux ou une silhouette semblant a genou se découpait devant un monolithe. >
Hé bien il est là … Il prie depuis ce matin semble-t-il … Peut être lui as-tu fait peur finalement et se demande-t-il s’il n’est pas en train de faire une horrible bêtise … < Et Alycia éclata de rire, se retourna, regardant un instant le promontoire hocha la tête semblant se décider soudainement a y aller voir de plus prêt.
Tinhilith la devança, au pas de course si elle n’eut peur de s’empêtrer dans sa robe trop serrée, elle trébucha à quelques reprises, maugréant et jetant régulièrement des coups d’œil en arrière à Alycia qui la talonnait sans sembler s’essouffler ou forcer les pas et enfin elle arriva en haut de l’aplomb.
Son cri déchira l’air plus encore que ne le faisait les éclairs. Il vibra et se répercuta en échos moqueur sur les faces meurtries de la colline et mourut enfin alors que s abouche elle refusait de se refermer, continuant sa lancée sur un hurlement devenu muet.

Feyd était a genou en effet, mais il ne priait pas. Il gémissait faiblement et de façon continue, comme le faible mugissement d’une brise dans une grotte qui ne reprend jamais son souffle. Le dos raide, les mains jointent et ouvertes en coupe sur ses genoux, et aux creux de ses mains, déposés comme une offrande sur un autel immonde trônaient ses yeux, sa langue et son sexe.
‘Tin s’avança, hésitante, les mains plaquées sur sa bouche ouverte, dans la nuit tombante l’image devenait irréelle.
Les globes oculaires, trous béants laissait échapper encore un peu de liquide sombre et de longues traînées de sang séché ravinaient son visage lui faisant un masque presque trop théâtrale. Sa bouche entrouverte ne laissait rien voir du vide qu’avait laissée sa langue mais comme pour ses yeux son cou n’était plus que noir et sombre de sang coagulé. Combien d’heure déjà avait du s’écoulée ainsi pour que les plaies ne saignent plus, combien de temps ainsi a se mourir lentement, la douleur lancinante abreuvant l’esprit et noyant les sens … et combien encore avant que la mort ne le délivre …
Il s’écoula encore un peu de temps avant que la nécromancienne ne commence a réagir et à se laisser envahir par la haine et la fureur, encore un peu et trop sans doute car alors qu’elle se retournait brutalement elle sentit le nuage nauséabond l’enveloppé et ses jambes semblèrent d’un seul coup refuser de la porter.

Alycia riait ou plutôt elle exultait. Ce n’était plus la de la joie mais de la folie pure qui se matérialisait sous la forme d’un rire glacé et cinglant qui meurtrissait les tympans.
Puis son rire cessa, elle jeta un rapide coup d’œil au deux squelettes cloués au sol par les chaînes mystiques et enchaîna a son tour la voleuse de rêve.
Enfin son visage se para d’un masque neutre, ni triste, ni heureux, ni aimable ni méchant mais le visage de celle qui va simplement et consciencieusement accomplir son devoir, son œuvre.
La tête droite et le regard brillant elle s’avança vers ‘Tin et d’une voix tout aussi calme, posée et neutre que son visage … >
N’ai crainte ma très chère amie, il ne lui reste plus très longtemps a souffrir, quelques heures tout au plus … et … bien sur tu vas l’accompagner dans son dernier voyage … ma très chère amie …


Le Tribunal et le Sourire ou la mort de l’ Enfance

< Son Grand Oncle se leva du fauteuil qui trônait sur la chaire, hésita, toussota puis après s’être éclaircit la voix une ultime fois prit la parole d’une voix grave, lente et solennelle. Alycia pencha légèrement la tête sur le côté ne le quittant pas des yeux, elle savait qu’il adorait quand elle le regardait ainsi, comme une petite fille aux grands yeux ébahies devant un homme si vieux et si important. Il détourna le regard et s’adressa à ses condisciples, a la foule … >

Silence je vous prie …
Moi, Lufreyn’Thil, Ordonnateur du Cercle des Anciens et Membre du conseil des Sages je dois a présent que nous en avons débattu rendre la sentence.
Pour avoir laver un affront dans le sang, pour avoir rendu sa justice par le sang nul reproche ne pourra être fait car telle est notre loi.
Il n’en demeure pas moins qu’une seule vie aurait du être ôtée et que nous ne pouvons permettre qu’un simple affront soit lavé dans les sangs mêlés de plusieurs de nos enfants, pas plus que nous ne pouvons permettre que soit versé le sang de la Noblesse sans un motif suffisant …
Ainsi notre justice sera rendue et la sentence exécutée :
Alycia fille de Lilith et d’Ezoniroel, pour avoir enfreint les règles de la « Légitime Justice » tu seras a jamais bannie de cette île.
Comme tous les bannis le fer et le feu marqueront ta peau du symbole des Perdus.
Plus jamais tu ne pourras revenir en arrière, plus jamais tu ne reverras ta famille ou tes amis. Tu seras seule pour expier ton acte et ainsi méditer sur sa portée.
Que le fer soit chauffé et que l’on prépare le bâton et la robe des déchus qui lui tiendront compagnie.

< Le vieil homme semblait porter le jugement sur ses propres épaules. Son visage gris semblait accusé pour lui-même la sanction et, en hochant la tête en signe de dépit se rassit lentement sur les derniers mots >


La Mer et la Terre ou la Naissance d’une Femme.

< La rune cuisait encore son épaule et la robe de lin rêche frottant sur la plaie ravivait constamment la lente et inexorable brûlure des chairs.
Alycia arracha le long bâton planté dans le sol a la porte de la cité. Il n’y avait personne pour la saluer ou lui cracher au visage et elle n’en avait cure. Elle hésita un instant puis se retourna quand même pour enveloppé du regard la cité. Misérable et grise, tassée sur elle-même, recroquevillée comme une vulgaire limace séchant au soleil sur un rocher, ainsi lui apparaissait-elle.
Un large sourire emprunt de défi se dessina sur son visage. Elle murmura juste avant de prendre le chemin serpentant vers le quai.

Pauvres Elfes minables … vous croyiez me faire souffrir alors que je prend votre plaisir< et se disant elle planta ses ongles dans la rune pour raviver la douleur qui commençait a diminuer > … vous croyez me bannir alors que c’est moi qui depuis longtemps déjà vous ais bannis de mes pensées … Lâches et pleutres pleureurs de Neriak dont vous n’aurez jamais la grandeur, je rejoindrais le Seigneur Overlord, et à ses côtés je lutterais contre vous et contre tous les faibles pour rebâtir un monde ou la peur, la douleur et la mort régneront en Souverains incontestés.

< Debout, une main sur le bastingage du bateau qui quittait le port de la cité des réfugiés elle mis négligemment la main dans la poche ou elle avait rangé l’Anneau de sa famille. Un peu surprise elle en sortit bien l’anneau mais aussi un morceau de parchemin sur lequel était écris d’une main soignée … >
Passe l’île du refuge et de là embarque vers Giran. Rend toi a l’auberge des Ecailles et demande a rencontrer Gortack. C’est un Humain, un peu bourru certes mais il t’écoutera et pour peu que tu ranges un peu ta langue il t’aidera sûrement. Dis lui que tu viens de la part de Lufreyn « Gants-rouge ».

< Alycia esquissa un sourire, replia le mot et le rangea dans sa poche puis soupesa l’Anneau familiale dans sa main et d’un geste sec le jeta au loin dans les vagues écumeuses de la mer. >

Que ma vie commence enfin …

[Alicia]

[plutot que de tout rediger, j'ai preferer resumer un peu mon parcours ici, sa sera plus facile a lire et a comprendre]

Arrivée a Giran

Rencontre avec les membres de la guilde des sombres

Arrivée au village des sombres

apprentissage pour devenir pretresse pendant 20 ans

deviens pretresse au temple, spécialisé dans la torture

ameliore son art durant 20 autres années

part du temple, premiere rencontre avec Valkiryon au village sombre

Erre sur les terres sans avoir de but precis, rencontre a nouveau Valkiryon, quelque chose se passe entre eux ...

Entame une liaison amoureuse avec Valkiryon

premiere rencontre avec Lydia, soin de ses yeux

Création de l'ordre des corbeaux d'Ebene

Création de la Légion Obscure

Recrutement intensif des corbeaux d'Ebene

premiere rencontre avec Inlandis, torture intense, signature d'un pacte maudit

Part avec Inlandis en quete de l'huile du feu de l'enfer pour sauver son frere

Attaquée par le démon Avarice, est forcée de boire l'huile du feu de l'enfer, devien possédée d'un démon

Partage de son Ame avec celle d'Inlandis

Les Corbeaux d'Ebene sont en pleine activité

Valkiryon prend ombrage de la puissance des corbeaux et décide de radier Alycia de la legion.

Prise de contact avec Narayan, les corbeaux d'Ebene deviennent les services secrets Amtaks

Siege de Goddard

Rencontre avec Ewaalyne, création de l'ordre des Valkyries, Inlandis Quitte le Sanctuaire Rouge

Rencontre avec les autres Valkyries

A une chambre au chateau de Goddard

Premiere rencontre avec Artas dans les rues de Giran, est alors possédée par les epee Akamanah, seconde rencontre avec Artas a Giran, il la menace de mort

Rencontre avec Artas au monastere du silence, torture.

Excuses publiques du Sanctuaire rouge a l'encontre d'Ewaalyne, d'Inlandis et d'Alycia

Rencontre avec Artas a Heine, une relation amoureuse s'établit lentement entre ces deux opposées.

Mort d'Ewaalyne, suivis de son enterrement.

Chutte de Narayan, prise de pouvoir de Krum.

Rencontre avec Feb et Zorya

Liaison avec Artas dévoilée au grand jour

Cassy est assez grande pour aller en ville toute seule a present.

Liana attaque Inuu, Alycia entre en contact avec Kirika

Kirika attaque Urda, Alycia met Kirika a terre pour sa

Violent mouvement de repression des prenoahy, enlevement de Cassy par Taranis, rencontre avec Taranis dans les catacombes de la sorciere

Met en place les plans pour les assassinat de Krum et de Basha

Rencontre avec Heigardt

Ouvre des negociation avec Heigardt pour une aide mutuelle

Rencontre avec Ticka, la considere comme sa fille, au meme titre que Cassy

découvre que Ticka est possédée et qu'elle possede un pouvoir enorme.

Mort accidentelle de Cassy, dans le but de la ressuciter plus tard, Alycia la transforme en Zombie

Alycia est affaiblit par la mort de cassy, son pouvoir faiblit et manque plusieurs fois de perdre le controle du demon en elle.

Planifie son depart pour retourner dans son ancienne Citée du nord avec Cassy, fait ses adieux a Artas

est prise au piege par l'ordre d'Ambre, rouée de coup, elle perd completement le controle de son Démon qui chasse l'Ame d'Alycia dans le corp de cassy et prend entierement le controle d'Alycia, est ensuite jugée sommairement en publique pour de nombreux crimes.

Artas detruit le démon, le corp d'Alycia part en poussiere.

Cassy, possédée par Alycia, cherche a faire ses adieux au gens qui lui son cher.

Derniere rencontre avec Ticka, Alycia utilise les dernieres force de Cassy pour lui transmettre un message d'adieux et lui donner sa plus belle armure.

Cassy part en poussiere sur la place de Giran...


FIN