Kalakdorm

[kenpachi-san]

Prélude

Kalakdorm, un jeune orque d'une trentaine d'année, vécu la plus grande partie de son existence sur les terres d'Aden, dans le village orque situer au Nord de ces plaines et montagnes. Pour lui, les terres d'Aden sont ces terres d'origine, où il naquît et y grandit. La seule chose que Kalakdorm ne savait pas fut qu'il arriva sur ces terres qu'à l'âge de 5 ans.

En effet, ces parents (Bersek et Nagarak't) étaient des orques venus d'une lointaine contrée nommée Daraken, situé a plusieurs kilomètres des terres d'Aden, sans compter l'énorme étendu d'eau qui les séparent. Leur village était un petit coin paisible où il faisait bon de vivre, mais les parents de Kalakdorm pensaient que c'était trop calme, beaucoup trop calme. Ils partirent donc à la recherche de petits êtres répugnant nommé gobelin, qui, malgré leur laideur à faire évanouir nombre de personnes, ils étaient munis d'une intelligence incomparable, ce que ne se doutaient pas les parents de Kalakdorm. Ils venaient juste d'entendre parler de créatures agiles qui avaient fait tomber nombre de petits villages par des stratégies infaillibles. En échange de quelques pièces d'or, les gobelins acceptèrent d'envahir le village de Kalakdorm. Cependant, ce qui avait été conclus entre les parents de Kalak et les gobelins finis très rapidement en une bataille des plus redoutables. En effet, lorsque leurs contrats a été passé, les parents de Kalakdorm voulaient simplement qu'ils y mettent un peu d'action pour ne pas perdre la main au combat, sans faire de blesser et de dégât matériel. Mais les gobelins, dès leurs arrivées, saccagèrent les petites maisons, tranchèrent la gorges à de nouveau né sans scrupules. Ils avaient cernés tout le village, rendant une fuite quasi impossible. Tous les guerrier en âge de se battre prirent leurs armes et se lancèrent dans cette bataille déjà perdu, au vu du nombre de combattant présent. Comme de brave guerrier, leurs haches fricotaient avec les griffes acérer de leurs assaillants, le bruit des coups portés étaient tels que les cris étaient presque inaudibles. Bersek, le père de Kalakdorm, ainsi que sa mère ne voulant pas que cette histoire se sache auprès des autres guerriers, s'ils étaient amenés à gagner ce conflit, pris son fils sous son bras et se fraya un chemin parmi les cadavres de leurs congénères et ceux des gobelins tranchés en deux, ou coucher sur une mare de sang. Ils ne cessaient de courir que lorsque le bruit que faisait le choc des armes de leurs propriétaires disparu complètement. Ils se situaient déjà à une bonne dizaine de kilomètre lorsqu'ils s'arrêtèrent pour se reposer tandis que Kalakdorm qui ne comprenait pas la situation, ne cessait de s'amuser avec toutes les petites bestioles qui lui passaient sous la main.
Réfléchissant à un endroit où se loger et ainsi mettre Kalakdorm dans un lieu sûr, Bersek et Nagarak't se souvinrent d'une légende où l'on pouvait y trouver un immense village orque sur les terres d'Aden, qui, selon cette légende vivait en communauté avec d'autres races sur la contrée. Ils partirent donc en chemin pour essayer de la trouver, mais plus les jours passaient, plus l'espérance de trouver cet endroit idyllique s'estompait. Ils durent traverser diverses épreuves avant d'atteindre une immensité d'eau dont on pouvait distinguer au loin un pic de montagne. Tout ce qu'ils avaient trouvé en chemin afin de se nourrir alla en particulier à Kalakdorm, qui, contrairement à ces parents, débordait d'énergie. De plus devenant de plus en plus grand chaque jour, son père ne pouvait plus le prendre sous son bras afin d'avancer sans embuche. Malgré la fatigue qui les prenait, ils décidèrent de traverser courageusement ce long fleuve en espérant atteindre, l'autre côté avant d'être complètement épuisé. A leur plus grande surprise, ils atteignirent la plage bien plus vite qu'ils ne l'avaient imaginés. En effet, il leur fallu seulement une journée de nage pour arriver sain et sauf sur cette plage d'une dimension hallucinante. Ils n'arrivaient pas à distinguer le bout de cette plage.

Epuiser par cette traverser, ils s'endormirent tous trois sur ce sable fin, sans même se rendre compte de ce qu'ils venaient de faire... Ils venaient de traverser le fleuve menant aux terres d'Aden. Sans se douter du temps qu'ils avaient passé à dormir, Kalakdorm se réveilla le premier et réveilla ces parents. Après plusieurs minutes, ils se remirent en route, plus épuisé que jamais, ils distinguaient au loin une grande rempare en pierre remplie de flamme sur chaque hauteur, ainsi qu'une énorme statut de pierre dressée en son milieu. A bout de force, les parents de Kalakdorm s'effondraient. Kalakdorm cria de toutes ces forces espérant remettre ces parents sur pied, sans remarquer qu'un orque vint derrière lui et lui donna de l'aide. Arrivé dans le village, Kalakdorm dû laisser ces parents auprès d'orques se disant « shamans » et attendit. Kalakdorm ne connaissait pas la signification de ce mot. Plusieurs idées lui vinrent à l'esprit, mais aucune ne le satisfait. Quand soudain, un orque, d'une envergure impressionnante s'approcha et lui dit :

« Ne t'en fais pas jeune orque, dans ce village, nous disposons de grand sorcier pouvant guérir tes parents, ainsi que toutes blessures. Ces sorciers, sont ceux que l'on prénomme ici shamans. »

Kalakdorm, ébahi ne sut que dire à son interlocuteur. Quelques instants plus tard, un des shamans sortis de la salle et dit à Kalakdorm que tout c'était bien passé et qu'ils seront debout dès le lendemain. Puis il regarda l'orque qui se tenait debout auprès de Kalak et lui parla dans une langue que Kalakdorm n'avait pas coutume d'entendre :

« Kran'dan, assomme ce jeune Kalakdorm, ces parents vont bientôt mourir, mais ils ont eu le temps de me faire part de leurs souhait pour son fils. Ils veulent qu'ils vivent parmi nous et qu'il oubli tout ce qui s'est passé dans son village ainsi que leur arriver ici. Ils veulent que leurs fils vivent une vie mouvementé, qu'il découvre le monde et qu'il devient un brave guerrier digne de leur tribu »

Kran'dan acquiesça d'un signe de tête, fit demi tour comme s'il avait à faire, puis lorsque Kalakdorm tourna la tête en direction de la maison où ces parents se reposaient, il lui donna un coup de son long bâton si violent que Kalakdorm tomba net par terre. Pendant le temps où Kalakdorm était évanouie, le plus expérimenter des shamans, l'accompagna dans le temple de Pa'aggrio et intervint donc dans la mémoire de Kalakdorm. Il fit oublier à Kalakdorm ces parents, les remplaçants par la tribu d'Aden, puis ce qui s'était passé dans son village en y mettant à la place un entrainement long et rigoureux, puis leur arriver à Aden, sans rien y rajouter. Kalakdorm se réveilla donc dans le temple auprès d'un orque et d'une orquesse assez mince et il leur demanda ce qui lui était arrivé. L'orque lui répondit simplement qu'il avait poussé son entrainement un peu trop loin et qu'il avait dépassé ces limites...

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Chapitre 1 : Le début des services

A cet instant Kalakdorm comprit l’étendu de sa force et de son endurance, et apprit à connaître les limites que son corps pouvait supporter. Pour ainsi éviter quelconque dérangement auprès des autres orques, Kalakdorm s’arrêtait de chasser et de s’entraîner à chaque fois que son corps lui semblait lourd. Cependant après plusieurs jours et nuits d’entrainement, le guide du temple de Pa’aggrio demanda à Kalakdorm un service. Un service que Kalakdorm ne pouvait pas refuser après ce que le village avait fait pour lui lorsqu’il c’était évanoui. Elle lui demanda donc de lui rapporter une pierre nommé « gem stone » de couleur bleu. Cette pierre pouvait se prendre aux petites créatures inoffensives du temple de Pa’aggrio. Ce service fut rapidement exécuter et Kalakdorm lui rapporta la pierre. En échange de sa, la prêtresse donna a Kalakdorm un petit sachet de capsule blanche et expliqua à Kalakdorm qu’il pouvait s’en servir avec ces griffes pour augmenter sa puissance de frappe. Elle lui donna aussi un parchemin que Kalakdorm devait transmettre au prêtre à ces cotés. Ce que Kalakdorm fit. Après lui avoir donné le parchemin, le prêtre donna un autre petit sachet de capsules a Kalakdorm et lui demanda d’aller voir, un orque sur la place centrale du village pour qu’il lui donne des capsules blanches ainsi que des petits parchemins en lui expliquant leurs utilités. Kalakdorm s’exécuta et accouru devant cet orque massif à l’armure solide, muni d’une épaulette aussi grande que la moitié de sa tête. Kalakdorm commença à lui demander :

« Rhazar’n frère orque à grande armure. Kalakdorm venir de temple et prêtre avoir dit à Kalakdorm que toi donner capsules blanches et parrr….chemins

-Ocdak’n frère Kalakdorm. Tiens, voila pour toi. *lui tend le sachet de capsules et les deux rouleaux de parchemins*. Tu sais maintenant comment utiliser tes capsules frère Kalakdorm ?

-*acquiesce d’un signe approbateur de la tête *. Mais Kalakdorm pas savoir à quoi servir parchemins

-Moi, frère Rhasgal, vais t’expliquer à quoi cela va te servir. Ces deux petits rouleaux ne serviront à frère Kalakdorm que lorsqu’il ira à la chasse et que celui-ci perdra conscience. Zog zog, quand frère Kalakdorm se réveillera, il se sentira mal. Donc à ce moment là, frère Kalak utilisera un rouleau.

-Ocdak’n frère orque *s’incline* dromp dromp »

Après cette brève discussion, Kalakdorm parti chasser quelques loups. En revenant de sa chasse pour aller manger quelque chose, un garde orque l’appela et lui demanda d’aller dans la ville des humains. Kalakdorm ne savait ce qu’était un humain. Personne auparavant ne lui avait expliqué, à vrai dire, personne ne lui avait enseigné quoi que se soit. Juste que le dieu des orques se nommait Pa’aggrio, et qu’il pouvait chasser comme il le désirait. Mais au delà de sa, ni la lecture, ni la comptabilité ne lui avait été apprise. Kalakdorm alla donc voir un des shaman pour savoir ce qu’il avait à faire dans la ville des humains, mais celui-ci lui dit seulement qu’il devait aller voir le « portier » qui permettait à quiconque lui demandait, d’aller dans un autre village. Kalakdorm parti donc la voir et elle lui donna un parchemin à lire pour pouvoir se retrouver dans la ville de Giran. Seulement comme Kalakdorm ne savait pas lire, il mit du temps pour activer le sceau qui était inscrit dessus et pouvoir être entouré d’un signe bleuté et se voir propulser dans la ville de Giran quelques minutes plus tard.
Après ces émotions, Kalakdorm se retrouva dans la ville de Giran….Giran, quel ville gigantesque aux yeux de Kalakdorm, de grandes maisons y étaient bâtis, et derrière lui se trouvait une énorme bâtisse nommée « église », terme qu’il apprit un peu plus tard. Stupéfait de la grandeur du village, Kalakdorm avança à petit pas. Il sorti les instructions qui lui était donner et parti donc à la recherche d’un homme nommé Gadallucci. Kalakdorm franchi bon nombre de porte à la recherche de Gadallucci, mais personne n’avait pu l’aider jusqu'à ce qu’il tombe sur une petite naine du nom de Lys. En effet, contrairement aux autres personnes qui ne savaient rien dire à part : « Que voulez-vous ? Achetez des Objets ? Acheter des armes ? Ou encore, vous souhaitez vendre quelque chose peut être ? ». Elle pouvait clairement dire bien plus de mot que les autres. Kalakdorm lui demanda donc quelques renseignements avant de savoir où se trouvait Gadallucci. Et étrangement, celui-ci se cachait dans la bâtisse situé derrière la petite Lys.

Cette sensation étrange que Kalakdorm avait en la présence de Lys se fit sentir rapidement. En effet, quand Kalakdorm prononça le mot humain à la personne du nom de Gadallucci, la petite Lys se mit à rire et lui expliqua qu’elle et lui étaient des nains. Des nains….Kalakdorm était de nouveau confronter à un terme inconnu, et ne savait pas qu’elle était la différence entre nain et humain. Ne voulant paraître comme un imbécile, Kalakdorm fit comme-ci de rien n’était en sortant : « oh ! Ocdak’n. Kalakdorm comprendre… ».

La transaction devait s’effectuer entre Gadallucci et Kalakdorm, mais Gadallucci l’envoya dans un autre magasin afin de récupérer un objet de la part d’un vendeur. Lys y emmena Kalakdorm et revinrent auprès de Gadallucci avec l’objet en question. Mais après lui avoir donné l’objet, Kalakdorm du retourner voir un autre vendeur, pour en récupérer un autre. Kalakdorm et Lys durent faire plusieurs fois le chemin entre le magasin de Gadallucci et les autres, jusqu’à ce que Lys donne à Kalakdorm un plan de la ville pour savoir où se trouvait les prochains lieux que Kalakdorm devait aller voir pour le nain. Kalakdorm dû se débrouiller seul a cet instant pour savoir comment lire la carte qui lui a été donné. La seule chose que Kalakdorm se rappelait était l’endroit où se trouvait le magasin. Après plusieurs va et vient entre les différents magasins, Gadallucci envoya Kalakdorm à l’église pour y récupérer le dernière objet. Cette bâtisse n’était pas seulement grande de l’extérieur, mais elle l’était aussi de l’intérieur. Un silence de marbre y était, contrairement aux magasins où régnait la bonne humeur. Kalakdorm s’avança lentement à la recherche du prêtre qu’il devait rencontrer, mais ne sachant pas qui il était, il demanda d’une haute voix. L’un d’eux leva la main et Kalakdorm parti lui dire qu’il venait de la part du nain Gadallucci. Celui-ci lui transmit alors l’objet que le nain voulait et Kalakdorm parti lui donner. En sortant Kalakdorm fut pris d’un frisson, comme s’il venait d’entrée et de ressortir d’une antre ténébreuse. Il se précipita donc chez le nain vendeur et en l’échange de l’objet du prêtre, celui-ci lui donna un parchemin identique à celui que le portier du village orque lui avait donné. Mais en le lisant, toujours d’une lenteur invraisemblable, celui-ci se rendit compte qu’il retournait au village orque… Quelques minutes plus tard, Kalakdorm se retrouva fasse au portier du village. Il décida de se reposer un peu avant de reprendre sa vie de chasse.

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Chapitre 2 : Passage a l’orque "Monk"

Plusieurs jours sont passés sans que Kalakdorm n'aille chasser, repensant sans cesse à ces humains, ces nains et cet immense village du nom de Giran. Il ne cessait de se demander ce qu'était vraiment les terres d'Aden, se demandant aussi si ces frères lui disaient tout ce qu'il y avait à savoir sur ces terres et ces occupants. Kalakdorm restait assis sur ces pierres au centre du village orque en pensant, un doigt sur la bouche ou bien une main par-ci, par là se penchant maladroitement sur son menton fissurer. Regardant le ciel changer de couleur plus d'une fois, il décida de reprendre les choses en main et de découvrir les terres au-delà du village orque. Mais avant cela, Kalakdorm devait voir le chef Bursuk, afin qu'il lui apprenne à bien maitriser ces griffes et apprendre de nouveaux coups pour assommer ces adversaires ou leur faire de nombreux dégâts en concentrant sa force et son mental sur le poing à viser. Kalakdorm s'est dit que, tant qu'il n'aurait pas maîtrisé ces deux coups, il ne partirait pas vers les autres villages. Du coup, Kalakdorm resta encore un bon moment dans le village en aidant ces frères orques qui avaient besoin des services de Kalakdorm. Cela l'embêtait au départ qu'on lui demande de faire leurs tâches mais il comprit qu'à chaque fois qu'un service était rendu, on lui donnait quelque chose en retour. Il accumula ainsi, un bon nombre de capsules, beaucoup de pièces d'or, ainsi que des objets pour la vente, jusqu'au jour où il su complètement maîtriser ces deux coups qui s'avèrent fatales aux créatures qui étaient frappées par cette force.

En revenant au village comme à son habitude, après une bonne chasse et un entrainement fastidieux. On proposa à Kalakdorm de devenir soit un maître dans l'art du maniement des griffes ou un maître dans le maniement des épées à deux mains. On lui expliqua que dans la tribu, lorsqu'un jeune orque maîtrisait parfaitement tous les coups qu'on lui avait enseignés, il était apte à devenir l'un de ces deux maîtres. En sachant qu'un orque maîtrisant l'épée, était quelqu'un de plus solide, plus résistant et plus puissant, du fait que son armure et ces épées étaient assez lourdes à porter, alors que celui qui maniait les griffes étaient plus rapide, plus habile, car il portait une armure légère et, assez souvent, des griffes acérés et légères. Kalakdorm repensa à la fois où il avait utilisé une épée et ne se sentait pas à l'aise en la tenant et ne sachant pas quoi faire de sa deuxième main. Il choisit donc de devenir un maître de l'art dans le maniement des griffes. Pour cela, il devait chercher quelques ingrédients dans la grotte de l'essai ainsi que dans des plaines. On lui avait indiqué l'endroit ou se trouvait ces éléments, mais Kalakdorm avait eu du mal à les retrouver, surtout dans la cave d'essaie ou l'on pouvait voir une sorte de loup graver dans un rocher à l'entrée de la grotte. On pouvait y sentir un grand souffle chaud de l'extérieur provenant de l'intérieur de la cave. En y rentrant Kalakdorm su pourquoi. Il le su, car des flammes étaient posées au centre de la cave, cinq flammes pour être plus précis. Quatre petites autour ainsi qu'une grande au milieu. Autour des quatre plus petites étaient disposées d'énorme pierre, avec ce qui paraissait être des colliers et du sang. En était-ce vraiment ? Kalakdorm ne pouvait pas répondre à cette question. Mais chose encore plus stupéfiante, était que les parois des murs n'était pas uniforme, non, bien au contraire les murs étaient creusés, déposant une marque différente sur le fond des six trous qui étaient à présent formés. Kalakdorm continua son chemin en pensant sans cesse à demander ce qu'il s'est passé ici à ces confrères orques. En chemin il rencontra une sorte de salamandre à corne qu'il combattu avec courage et en récupéra le fameux objet. Kalakdorm y resta un moment pour explorer totalement la cave, mais plus il avançait, plus les créatures le résistaient, alors il rebroussa chemin en pensant d'abord à ce qu'il devait récupérer. Kalakdorm passa toute une après midi à trouver ce qui lui était demandé et quand il revint, avec les objets qu'on lui avaient prescrit de retrouver, il fut agréablement surpris, puisqu'il s'attendait à recevoir ce titre après tout ce qu'il avait parcouru jusqu'ici... Et bien non, ces pensées ont été trahies par la nouvelle demande que l'orque lui avait faite. En effet, il fallait qu'il rejoigne une ville du nom de Gludin pour avoir la suite des ordres et qu'il aille voir le « voyant », un orque maigre, apprenant les sorts aux orques mages. Le seul endroit où Kalakdorm pouvait trouver cette information était le grand village de Giran. De ce pas, il parla au porteur du village orque et lui demanda de l'emmener dans la ville des humains. Une fois arrivée, Kalakdorm aperçu un groupe de personne en train de parler, c'est pourquoi Kalakdorm attendit un moment avant d'aller à leur rencontre mais, ils prenaient tellement de temps que Kalakdorm abandonna l'idée de leur parler et alla voir un nain avec un ventre assez rebondit et lui demanda la direction.

« Ocdak'n. Kalakdorm devoir aller dans village Geludyo et ensuite allez à Gludein.... Ocdak'n. Dromp à toi petit nain pas très grand »

Il se dirigea donc dans cette ville, trouva l'édit voyant qui lui demanda de chasser quelques montres pour en extraire un jus. Ces créatures ressembles à des ours et d'autres à de grosses araignées vertes. Il dit aussi à Kalakdorm qu'une fois ce jus extrait totalement, il devait aller voir au nord de l'arène pour donner cet extrait. Il devait non pas la donner à quelqu'un, mais à quelque chose que Kalakdorm connu en se dirigeant vers le nord de l'arène de Gludin. Cette chose, Kalakdorm pensait qu'elle aurait une forme humaine, mais en la voyant il se mit tout de suite en garde afin de s'apprêter à un combat, mais en s'approchant, celle-ci lui parla. Etonnement surpris Kalakdorm s'avança avec doute toujours avec ces griffes en mains, mais quand cette araignée lui parla de l'extrait, Kalakdorm abaissa sa garde et la lui donna après quelques explications. Après quoi elle donna à Kalakdorm une attestation, prouvant qu'il avait réussi le test. Il devait maintenant retourner auprès du voyant et le donner au grand chef se trouvant à côté de lui.

Avant d'aller rendre cette attestation au grand chef, Kalakdorm se reposa et repensa a tout ce qu'il avait accompli jusque là pour devenir maître dans l'art de manier les griffes et se dit à lui-même que c'était le commencement d'une grande aventure qui s'annonçait devant lui. Il parti rejoindre le grand chef prêt à recevoir son titre, qu'il appréciait déjà. Le grand chef ne se fit pas attendre lorsqu'il parcouru le document. Il décerna le titre à Kalakdorm en lui précisément qu'il ne pourrait revenir à son ancien statut ou devenir maître dans l'art des épées et des armures lourdes. Kalakdorm acquiesça d'un signe de tête et obtint son titre. Le grand chef lui expliqua aussi qu'à partir de ce moment-là il avait la possibilité de porter des armes et des armures ayant plus de résistance et plus de puissance dans les autres grands villages. Kalakdorm s'empressa donc d'aller récupérer ses nouveaux vêtements et ces armes dans un autre village pour découvrir d'autres endroits. Il alla donc à Gludio pour prendre part de sa nouvelle tenue et de ces nouvelles griffes. En effet elles étaient plus belles que les autres, mais ne savait pas si elles étaient plus puissantes. Il alla donc les essayer sur des lézards au Nord de la ville et fut étonnement satisfait du résultat. Kalakdorm resta dans les environs un bon moment pour se perfectionner, livrant ici et là quelques dures batailles difficiles à gérer, car certains paraissaient de temps à autres plus résistant que d'autre, comme ci ceux là étaient les chefs de la tribu des lézards. Cependant, un jour on appela Kalakdorm à se rendre à Gludio, car quelqu'un aurait besoin de lui. Il s'y dirigea et on lui donna la direction de la baraque des orques ou Kalakdorm devait récupérer vingt morceaux de « Turek ». Kalakdorm s'y dirigea donc et commença à les frapper...Mais ce qui n'avait pas été dit, c'est que ces orques étaient bien plus coriaces qu'il n'y paraissait, car la fatigue consumait plus facilement Kalakdorm, les coups que portaient ces petits orques étaient plus fréquents sur le corps de Kalakdorm, de ce fait certaine cicatrices apparurent sur son torse, ses bras et ses jambes. Kalakdorm était à peine arrivé à la moitié qu'il dû se reposer un peu le temps de soigner ces quelques petites blessures. Quand il reprit, il entendit une grosse voix derrière lui, mais ne pouvait se détacher de sa cible du fait qu'elle était coriace. Après plusieurs minutes de combat acharné, Kalakdorm mit l'orque à terre et se retourna pour voir qui lui parlait. Kalakdorm ne peut dire si à ce moment-là il était bien réveillé ou non mais il vit en face de lui un orque trois ou quatre fois plus grand que lui. Il se disait marchand ambulant et a vendu à Kalakdorm de nouvelles griffes avec sur le coin, une petite lettre...un « D ». Oui un « D ». Pourquoi un D ? Kalakdorm ne le savait pas, mais en voyant l'hésitation que Kalakdorm a marqué en voyant la lettre, il lui dit que c'était une arme de rang D et que chaque arme avec une lettre, une capsule lui allait. Ne comprenant pas ce qu'il voulait dire par là, Kalakdorm essaya ces capsules blanches sur cette nouvelle arme, mais celle-ci ne s'activèrent pas, c'est alors qu'il demanda :

« Quelle capsule Kalakdorm devoir utiliser *se grattant la tête de sa main gauche sur le peu de cheveux qu'il lui restait*

-Kalakdorm devoir utiliser capsule bleue pour arme comme frère marchand donner à toi. Comme sa toi taper taper fort.

-Ocdak'n frère marchand. *récupère le sachet de capsule bleue que le frère marchand lui donna ».

-Frère Kalakdorm pas oublier tuer Turek et manger Elfe pour devenir grand comme frère marchand.

-Ocdak'n frère marchand. Narandaz à toi. *le regarde partir*.

Cette rencontre lui avait fait oublier ce pourquoi il était là, ce service qu'on lui avait demandé. Kalakdorm passa donc la fin de sa journée à récupérer le nombre d'objet qu'on lui avait demandé. Mais un problème de taille survenu lorsqu'il récupéra la totalité des objets. La personne qu'il devait aller voir était une vendeuse du nom de Tyra et d'après les explications fournies elle devait se trouver à l'Ouest de quelque chose que Kalakdorm ne savait pas, c'est pourquoi Kalakdorm revenu en ville pour savoir de quoi il s'agissait, ou plutôt de qui il s'agissait. Cependant, lors de sa recherche, une personne de couleur blanche, assez mince, aux grandes oreilles apparu derrière Kalakdorm. Cette personne était une elfette du nom d'Evania.....

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Chapitre 3 : Intégration au sein d’un clan

Kalakdorm ne savait pas au départ qu'il s'agissait d'une elfette, il pensait que c'était une humaine avec de grandes oreilles simplement, mais après quelques présentations Kalakdorm sentit ses entrailles frémir de joie. Sa première proie était devant lui, malgré une crainte, peut être dû au fait qu'il n'avait jamais mangé une sorte d'humain. Seuls des animaux, tels que des loups ou des petits gobelins passaient dans son ventre, mais pas des personnes munies de parole. Se mordillant la lèvre, essayant d'accentuer son envie de la croquer, commençant à sortir ces griffes, celle-ci l'arrêta en demandant à Kalakdorm ce qu'il comptait faire. Celui-ci lui raconta sa rencontre avec son frère orque ainsi que ce qu'ils se sont dit et Kalakdorm fut frappé par le petit rire qu'elle fit. Elle n'avait pas peur qu'un orque la croque, au contraire elle riait de cette situation. C'est alors que l'envie de Kalakdorm de la manger disparut, remettant ces griffes le long de son corps toujours prêt à les armer si besoin. Soudain Kalakdorm eut l'envie de lui demander pourquoi elle n'avait pas peur que Kalakdorm la mange et elle répondit simplement que Kalakdorm était un orque bien trop bon pour la manger, car si c'était le cas, Kalakdorm n'aurait rien dit et lui aurait simplement sauté dessus tentant de la mordre sans le moindre répit. A ce moment-là Kalakdorm ne savait plus quoi faire, au fond de lui, cette sensation devait être due au fait que son frère marchand lui ait parlé de ça. Et en effet cette sensation ne réapparut pas lorsqu'Evania présenta « la famille » à laquelle elle appartenait : Des mercenaires.

Ces présentations furent plutôt agitées du fait qu'un humain criait comme si personne n'était dans la pièce, alors qu'une autre elfette semblait garder son calme. Un humain était présent ce jour-là, il s'appelait Artémis, pas très bavard l'humain. Ce qui avait surpris Kalakdorm au premier abord était la pièce en elle-même. Elle paraissait spacieuse, le sol étant garni de pierrse carrées semblables les unes des autres. Le mur étant quasiment nu, seul le bois qui partait du sol jusqu'à la moitié du mur, ainsi qu'un papier peint de manière sobre mais d'une beauté incomparable, jouait de ces motifs et donnait vie à ce grand mur. Et la seule chose dont disposait cette pièce était une armoire sagement taillée, pour y mettre bon nombre de livres ainsi que deux pendules entre chaque glaces transparentes. Et sur la gauche un petit meuble y était déposé un livre ouvert. Pendant que ces trois personnes discutaient, Evania proposa différentes choses à boire, que Kalakdorm n'apprécia pas beaucoup après en avoir bu plusieurs gorgés. La seule boisson que Kalakdorm put boire depuis son départ du village orque était l'eau de certains marécages ou de l'eau provenant de fontaines. Après plusieurs minutes la voix de l'humain s'arrêta et nous avions pu entendre le soupir de l'elfette qui lui parlait. Kalakdorm voulait directement allez lui demander certaines choses sur le métier qu'il pratiquait, mais Evania le retint et lui dit d'attendre quelques minutes et de la laisser parler. Ce que Kalakdorm fit sans se faire attendre. Evania parla de Kalakdorm à Eowyn et Kalakdorm put commencer à lui poser toutes les questions qui lui passaient par la tête. Après comptabilisation, seules quatre questions lui sont venues à l'esprit : « Pourquoi taper taper créatures ensemble alors que Kalakdorm pouvoir taper taper tout seul ? Qu'être mère....c'est...n'air ? Vous taper taper créatures seulement ?, et vous taper taper orque aussi ? »

Les réponses que lui donnait Eowyn lui paraissaient correctes et sincères. Ces êtres appelés elfes ne sont pas si méchants et aussi délicieux que ce que le grand-frère marchand a expliqué à Kalakdorm. Après avoir posé ses questions, la discussion s'arrêta peu après, car Kalakdorm ne cessait de pensé à ce qu'il voulait faire. S'il rejoignait le groupe des mercenaires il pourrait faire énormément de combats et en plus de cela, ces compagnons l'aideraient si celui-ci avait besoin de quelque chose. Kalakdorm s'excusa et partit dehors pour pouvoir y réfléchir. Il leur dit aussi qu'il reviendrait dans deux lunes pour leur dire la réponse qu'il choisirait...Deux lunes...Etait-ce vraiment suffisant pour Kalakdorm ? Lui qui avait beaucoup de mal à parler, à réfléchir ou à compter. Lui-même ne savait pas. Mais pendant ces deux jours, il retourna au temple de Pa'aggrio et resta assis devant l'énorme statut à trois têtes afin de réfléchir à sa future décision. Personne au village orque ne vint lui demander quoi que ce soit sur les villages extérieurs ou ce qu'il avait fait depuis son départ. Ceci lui permit d'accentuer son envie d'aller auprès de ces elfes qui paraissaient sympathiques. Mais était-ce vraiment leur nature ? Kalakdorm trahirait-il sa famille orque s'il venait à être proche de ces elfes ? Voilà les deux seules questions qui perturbèrent sa décision. Pour la première question Kalakdorm la retourna sous plusieurs angles pendant un bon nombre d'heures, mais à la fin ce qui en ressortit, était qu'il ne les connaissait pas assez pour pouvoir les juger. Kalakdorm devait donc passer beaucoup de temps avec pour pouvoir le découvrir. Quant à la deuxième...Kalakdorm n'a pas réellement réfléchi au sujet. Il s'est dit, après quelques heures de réflexions sur des sujets divers, tels que : « quelles créatures Kalakdorm pouvoir taper taper avec groupe ? Quand Kalakdorm pouvoir rencontrer frère à lui dans autres villages ? », que s'ils comprennent Kalakdorm, ils suivront ses choix, même s'ils ne sont pas bons.

Une fois ces deux questions traitées, il repartit en direction du village de Gludin espérant revoir Evania. Il rechercha la porte qu'il avait passé deux jours auparavant et une fois arrivé devant il frappa comme l'avait fait Evania en sa compagnie... Cependant, personne ne répondit à sa frappe. Kalakdorm frappa à plusieurs reprises, de plus en plus fort même en criant le nom d'Eowyn, mais personne encore une fois ne répondit. C'est alors qu'il entreprit de partir à leur recherche. Mais où devait-il chercher ? Voilà la question qu'il s'est posée. La seule grande ville où il pouvait retrouver quelqu'un qui l'avait aidé auparavant était Giran et ainsi retrouver Lys pour lui demander son aide. Une fois arrivée dans le village de Giran, Kalakdorm, de son pas lent, chercha la petite Lys des yeux. Cependant, quelqu'un d'autre lui apparut. Un elfe sombre avec les cheveux lui arrivant devant les yeux. La première fois qu'il en avait vu ses cheveux était bien derrière. Cela intrigua Kalakdorm et l'observa pour voir s'il marchait correctement. Il avait une posture droite, le bras gauche remonté jusqu'à la poitrine, les jambes serrées et le visage haut. Kalakdorm entreprit de lui poser quelques questions mais celui-ci coupa court à la conversation et s'en alla. Ne comprenant pas ce qu'il venait de se passer Kalakdorm resta immobile pendant un petit moment. Se ressaisissant, il alla en direction de Gadallucci espérant voir la petite Lys, mais sur la première sortie sur sa gauche, Kalakdorm vit un elfe se tenir près d'un nain qui gardait les objets de Kalakdorm. Kalak s'avança donc et lui demanda conseil :

« Rhazar'n toi.

-Rhazar'n ? Ça veut dire quoi ?

-heu *lui fait un signe de main pour lui faire comprendre le mot*. Kalakdorm pas trouver mot pour dire.

-Bonjour c'est ça *le salut*

-oh !! Zog zog. Kalakdorm avoir besoin aide. Toi connaitre peut être personne que Kalakdorm rechercher

-Zog zog ?

- *lui fait un signe d'acquiescement*. Toi connaitre dame Eva ? Elle être elfe comme toi

-Evania tu veux dire.

-Zog zog. Kalakdorm rechercher dame Eva et dame Eo pour dire réponse.

-tu recherche aussi Eowyn ? *sourit* C'est ma sœur. Ils sont peut-être au quartier du clan

-Clan ? Qu'être Clan ?

-et bien...c'est l'endroit où les personnes d'une même famille se réunissent

-Oh ! Toi être avec eux ?

-Zog zog *sourit et utilise son nouveau vocabulaire*

-*Surpris et sourit*. Toi très bien parler orque. Toi être de famille de Kalakdorm ? Toi être un orque ?

-Non, pas du tout, c'est simplement que c'est facile à retenir *sourit*. Bien. Je vais t'accompagner au quartier. Peut-être y trouverons-nous quelqu'un. Et au fait, je me présente. Je m'appelle Azael .

-Kalakdorm *pose une main sur sa poitrine pour dire que c'est lui*. Ocdak'n. Kalakdorm suivre toi. »

C'est ainsi qu'il fit la connaissance d'une nouvelle personne et qu'ils se dirigèrent de nouveau vers Gludin pour rencontrer Evania et Eowyn. Demandant à Clarissa de les envoyer à Gludio puis à l'aide de l'autre « portier » de les envoyer au village de Gludin, ils arrivèrent sans encombrement devant l'église de ce même village. Ils s'avancèrent en parlant quelque peu, afin que la route ne soit pas monotone et une fois arrivé devant la porte, Azael l'ouvrit et entra. Kalakdorm fit de même et une fois arrivé à l'intérieur, ils constatèrent qu'il n'y avait personne.

Pour faire attendre Kalakdorm, Azael proposa tout un tas de services, comme de la boisson, de s'asseoir sur un canapé et bien d'autre. Seulement quelques minutes plus tard la porte s'ouvrit de nouveau et laissa entrer deux personnes, un humain et une elfette ressemblant étrangement à Evania, qui n'était qu'en fait qu'une autre elfette. L'humain intrigué en voyant Kalakdorm, sortit son arme, mais quand il sut que Kalakdorm n'était pas un danger, il la lança au pied d'Azael. S'ensuivit une longue discussion entre eux, où l'humain semblait de mauvais poil, criant ici et là sur Azael. Plus tard Kalakdorm apprit que l'humain s'appelait Siegfried et l'elfette Syu. Quand la porte s'ouvrit de nouveau, laissant entrer Eowyn, Siegfried s'en alla brusquement criant sur Syu de venir la rejoindre immédiatement. Mais celle-ci en pleine conversation avec Eowyn tarda un peu son départ, puis partit au bout d'un certain temps. Quand les deux elfettes eurent terminé, Kalakdorm et Azael se mirent côte à côte en attendant qu'Eowyn leur fasse face. Azael était un elfe très étrange, quand il se trouvait à côté de Kalakdorm, il ne cessait pas de le regarder et de se mettre sur la pointe des pieds. Pensant que c'était un jeu, Kalakdorm fit de même mais celui-ci se mit à grogner en disant à Kalakdorm qu'il était déjà assez grand comme ça. Azael se plaça derrière Kalakdorm et sauta pour atteindre ses épaules et l'obliger à revenir sur la totalité de ces pieds. Après ce petit moment de détente, Kalakdorm revint au fait de sa présence et expliqua tant bien que mal son raisonnement à Eowyn, pour conclure définitivement à l'acceptation de l'offre, après quoi Evania revint un peu déboussolée...

[Lotradas]

Compte supprimé par conséquent de même pour le perso