[bghumain] Amandil Malaval

[Fayt]

Prénom: Amandil
Nom: Malaval
Âge: 17 ans
Sexe: Masculin
Orientation: Mage
Alignement: Bon



Amandil est un jeune apprenti. Depuis tout jeune, il rêve de devenir chevalier, de combattre maintes créatures démoniaques, d’avoir une grande renommée et de voir son nom dans les livres d’histoire.
Hélas, rien ne va en ce sens pour lui. frêle de nature, il tombe assez souvent malade; peureux, il n’ose pas souvent s’aventurer dans des situations inconfortables; rêveur, il ne peut réussir en une fois ce qu’on lui demande.

- Dépèche toi, empoté! Apporte moi la hache!
hurlait son maitre, le chevalier André.

- J..J’arrive! Excusez moi de ce retard..!
Implorait Amandil, essoufflé et courbé sous le poids de la grande hache.

- Du vent! Va graisser le cuir des selles! Elles sont sales!
Aboya André d’Elbeuf tout en le frappant d’un coup de pied.

Amandil, épuisé et contrarié s’en alla chercher un torchon et la graisse. Il s’énervait tout en graissant les selles.

- Saleté de marquis...Maudit Elbeuf!
murmurait-t-il.

Leur relation ne s’améliora pas. Le marquis, remarquant la colère d’Amandil se faisait un plaisir de la cultiver, ne lui laissant pour diner que des fayots, et le privant des leçons de combat tant adorées par les écuyers avides d’aventure.
Amandil ne sut que faire, il prit une carnet et commença à y écrire toute sa haine envers l’homme.
Grâce à ce petit carnet, Amandil extériorisait toute sa haine, affichant un sourire hypocrite lorsque André l’observait. Cette attitude eu l’effet voulu: André fut exaspéré par Amandil et commençait à ne plus le supporter.

Un soir d’été, alors qu’Amandil rangeait l’armurerie, André vint dans la chambre d’Amandil afin de le priver de ce qui lui plaisait encore dans ce petit château. Il prit donc sa plume et son encre, sachant qu’Amandil aimait écrire, mais ne se doutant toujours pas de ce qu’il écrivait et il fouilla un peu son armoire, déplia les habits favoris d’Amandil et prit le seul oreiller de la chambre et alla se coucher.
Amandil, ragea de voir son armoire désordonnée et son encre et sa plume envolés. Il alla se coucher et sa fureur ne fut qu’ accentuée par l’inconfort de sa position, sans oreiller.

[Fayt]

Le lendemain, la colère contre André avait fortifié Amandil. Il faisait ses corvées, le visage de marbre, sans parler ni répondre aux remarques de son maitre.
Content de lui, André alla voir Amandil pour en finir avec ce jeune homme.

- Voilà, j'ai bien réfléchi... Tu es trop maigre, tu te plains tout le temps, et tu n'as aucune endurance... Tu ne m'aide pas et tu n'es d'ailleurs plus le bienvenu ici.

- Ah? Vous m'envoyez soulagé, je n'osais vous le demander... Il est inutile de prolonger cet apprentissage, surtout dans ce cas ci...

- Bien. Va-t-en dès maintenant, nous gardons les affaires que nous t'avons prêtées.

- Entendu. Au revoir, André d'Elbeuf, bonne continuation.

Les grandes portes se refermèrent derrière Amandil, il inspira longuement et se dit "Je reprend tout à zéro."
En parcourant les terres, il devint intrépide, et curieux. Il observait chaque recoin des terres d'Aden, étudiait minutieusement les écritures anciennes et autres symboles.
Mais cette vie nomade ne lui convenait pas, cette vie éloignée de toute civilisation fit de lui un solitaire.

Mais Amandil était avant philanthrope. Il regrettait sa vie et ses amis et il ne garda pas longtemps ce rythme de vie.
Il s'installa finalement à Giran pour y voir les différentes races.

[Fayt]

Amandil a dorénavant rejoint le clan des chasseurs de vampires, charmé par cette noble quête. Lug-Brisefoudre, le nain qui s'occupe de ce clan lui a paru vif d'esprit et tout à fait apte à mener ses amis à la victoire, c'est pourquoi il a décidé de se tirer de sa torpeur.

Amandil fit aussi la connaissance d'un certain "Zachari aux chats", un humain de la même corpulence, mais qui semblait plus expérimenté néanmoins.

Encore trop jeune et pas assez méfiant, Amandil s'est baladé au village des elfes sombres. Il vu une sombre, qui ne semblait pas aggressive. C'est donc décontracté qu'il a répondu aux questions de la femme, jusqu'à ce que des gardes le conduise à une petite maison, où se trouvait déjà un humain.

La sombre disparut, puis un homme au masque de fer apparut, il prit un objet et commença à le torturer. Mais deux sombres, alertés par les hurlements vinrent. Ils étaient du même clan que lui, apparemment et ils ordonnèrent à l'homme de le relâcher, ce qu'il fit.

L'homme au masque, contrarié, se tourna vers Amandil.

[Fayt]

Amandil mit pied à terre, doucement. Il se retourna pour regarder le blanc bateau reprendre le large.
Après plusieurs mois à naviguer, il retrouvait enfin Aden, avec un sourire il se mit en marche pour retrouver ses compagnons.

[Fayt]

Rwild a disparu.

Eowyn ne semblait plus être la même, Amandil, troublé par ce changement lui assura que Rwild allait bien, qu'il avait surement des obligations, mais elle gardait cette mélancolie.

Les idées se bousculaient dans la tête d'Amandil: Ce doit être ça que les vampires préparaient! Peut être qu'il n'a rien dit pour ne pas nous inquiéter!
Emmy, lui et Eowyn eurent une grande discussion. Amandil promit à Eowyn de tout faire pour retrouver son époux, et il y mit un point d'honneur.



Amandil avait aussi fait la rencontre d'une humaine du nom de Nami. Il ne savait pourquoi mais dès qu'il la voyait, il était soulagé qu'elle aille bien.
Les minutes passées avec elle semblaient être des secondes. Il verrait bien ce que l'avenir leur réserve.

[Fayt]

Amandil, après de longs moments passés avec Deirdre, pour la malédiction, revint à Giran. Mais il ne trouvait plus personne de son clan.. Les doutes qu'il y avait avant son départ s'étaient-ils vérifiés?
Apparement, oui. La griffe de l'Aube n'était plus.

[Fayt]

Amandil revenait de son voyage avec Deirdre. La compagnie de son amie était des plus agréables, mais il ne fut pas mécontent de revenir en Aden.
Les choses avaient bien changer, il ne s'y retrouvait plus.
A présent, il n'avait plus de but auquel aller, et il en chercha un.
Il revit Leo son ami, et discuta avec lui. Seigneur de Goddard...! Leo avait fait bien du chemin, depuis le temps.
Il décida de prêter main forte à son ami, convaincu de la noblesse de ses décisions.