[bgorc] Ikual

[throrin]

Nom : Grogdush
Prénom : Ikual
Age : 33 ans
Sexe : femelle
Race : ORC
Totem : Atuba
Classe : Dominator
Langue parlées : Commun, orc
Croyance : Paagrio
Alignement : Neutre Strict
Description Physique : Grande femelle coifée d'un chapeau de magicien ne laissant que peu appraitre ses yeux. elle porte souevent une armure lourde. Au combat elle utiise une masse ou une lance.




Ikual, c’est ainsi que l’on me nomme. Ma peau verte vous laissera connaître mes origines. Par nature, vous ne me trouverez jamais sur les lignes de front, mais plutôt un peu en retrait, chantant la gloire de Paagrio et rameutant les troupes. Je suis une orquesse peu farouche, mais je ne destine mes prières qu’à mes proches.

Que voulez vous, c’est ainsi que ma mère m’a élevée, dans le sang des champs de batailles et le respect des traditions orques, bénir et soigner les valeureux guerriers. Certes, au début, il a bien fallu faire comme tout le monde, j’ai commencé par décimer les Keltirs auprès du village, ensuite, quelques bestioles bizarres en zone neutre, des loups garous et de grosses araignées. Dans notre village, les jeunes années des enfants sont faites pour les évaluer. On leurs fournit une paire d’armes de poing et on observe. Le combat au poing, j’y étais habile, mais un précepteur du village m’enseigna une technique noire, me permettant de me revigorer dans le sang de mes ennemis. Le côté sombre de moi-même se révéla de très bonne heure. Je me délectais de l’anéantissement de ces bestioles, parfois non sans mal certes.

De simple orquesse mystique, je viens d’être promue shaman. Il faut encore que je travaille dur afin d’être élevée au rang de Seigneur de Guerre. Au village, on voyait souvent revenir les Amtaks, un clan quasi exclusivement composé d’orcs, aussi, c’est tout naturellement que j’ai souhaité me rapprocher d’eux. De longues histoires étaient contées sur les Amtaks, comment les crieurs de guerres exhortaient de fiers destroyers et tyrants en première ligne. Puis une histoire parvint à mes oreilles, de fiers shamans comme Ward et Myako disparaissaient ou tombaient dans des pièges. Cela me mit dans une colère profonde, et ma haine envers les infidèles grandissaient. Ma décision était entérinée, je devais coûte que coûte me rendre dans la maison des Amtaks.

La route fut longue pour rejoindre Goddard, au village, elle était le symbole de la puissance Orque et c’est là que j’y ai rencontré Revas. Cependant, Goddard ne semblait plus abriter autant de mes congénères, et j’appris même qu’un humain était maintenant sur le trône.

Revas était un fier Titan, les armes à deux mains n’avaient guère de secret pour lui, lorsque je me suis présentée à lui, il m’a presque ri au nez. Il m’avait seulement indiqué qu’un de leurs alliés, des Légionnaires, avait crée une sorte d’école où les élèves parfaisaient leur technique. Leur maison était à deux pas de celle des Amtaks, un peu à gauche lorque l’on sort du temple. Je m’y rendais donc d’un pas rapide.

Sur le pas de la porte, une petite naine, sans doute alchimiste œuvrait, un peu plus loin, on apercevait des humains, une autre naine et même des sombres. De mon bâton, je toquais donc à la porte et m’annonçais.

- « Humm, Ikual, shaman, mes frères Amtaks m’ont indiqué que vous aviez une école, peut-être pourrais-je m’y exercer un peu. »
- « Oh là, un instant, l’orc, parle nous un peu de ce que tu sais faire, et de ce que tu veux faire avant ! » répondit la naine aux cheveux rouge au fond de la salle.
- Dans nos traditions, les gens comme moi sont un peu en retrait mais peuvent vous conférer un grand soutien, les Amtaks sont déjà dotés d’éléments comme moi, aussi ils ont pensé que je pourrais peut-être vous aider.
- Bien ! Si nos alliés vous envoient, c’est qu’ils ont décelé des qualités intéressantes en vous. En ce cas nous nous chargerons de votre formation.

A ces mots, Ikual se vit confier le Blason de la Légion Obscure. Et fut envoyée en formation, elle prit une poche préparée par l’alchimiste, et Aida lui donna quelques bénédictions.

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Ma présence à L’Académie du Crépuscule ne dura que peu de temps, en effet, je brûlais les étapes et bientôt, il fallut que je la quitte pour m’enquérir de nouvelles compétences. Les terres hostiles se trouvaient peu à peu dépourvues de terrains de chasses intéressant. Cercles après cercles, j’acquerrais la maîtrise des arts shamaniques Orcs. Bientôt, ce fut le grand saut, l’épreuve de force pour devenir Dominante. Je payais un lourd tribut à ces tests, les coups répétés me firent perdre le sens de l’ouie. Il me fallu donc apprendre à lire sur les lévres pour comprendre les autres.

Les chants et sorts orcs n’avaient maintenant pour moi plus aucun secret. Néanmoins, ma race, aussi forte et vouée au combat soit elle connaissait bien des lacunes. En effet, Nous sommes très mauvais quant aux soins. Errant dans les terres, j’observais de loin ces humains et pales qui incantaient afin de supporter et soigner leur confrères. Les pâles en particulier attiraient mon attention, je les suivais donc encore et toujours et je tentais de reproduire ceux-ci sur Fluk, mon loup. Petit à petit, cela semblait venir. Encore fébrile dans les faits, je rentrais à la caserne, j’y appris qu’un de mes frères Amtaks, Obkuros avaient percé cet art, et il me mit en relation avec un de ses lieutenant, Myako qui étudiait comme moi les soins.
Au fond, ce ne sont que des incantations, la langue, les tonalités sont différentes, mais la Foi, elle était là, aussi je me perfectionnais dans les bénédictions et soins élfiques. J’étais fière de mes nouvelles attributions, et quelque part, la diversification me conforta et j’entrepris de ne pas en rester là !

[HRP] sub Spectral Master [HRP]
Les shamans orcs dont je fais partie entretiennent d’étroites relations avec les esprits, nous leur devons toutes les bénédictions. Un jour, alors que voulais faire appel au « Chant de la Victoire », je m’attendais comme à l’accoutumée à ce que l’esprit d’un de mes ancêtres me possède, mais ce ne fut pas le cas, quelque chose apparut, devant moi, matérialisé de manière éphèmere, étrange compagnie, cette forme était néanmoins féroces et semblait se comporter selon ma pensée. Aussitôt, je voulu prendre conseil auprès de Anciens, mais ceux-ci ne purent me dirent ce qu’il se passait, et il me dirigèrent vers la Tour D’Ivoire, là bas, je trouverai sans doute des réponses. Je me mis en chemin, et je trouvais des réponses à mes questions. Certains savaient animer les morts, cela aurait pu être mon cas, mais en l’occurrence, j’avais invoqué une sorte d’esprit servant venue d’ailleurs. Ce cadeau des dieux ne pouvait être laissé de côté. Les Orcs et les sombres se faisait confiances de temps à autres, bon grés mal grés, aussi chez eux je trouvais les ressources nécessaires pour commander et influencer ces invocations.

S’il est une frustration chez nous les Orcs, c’est que notre Dieu ne nous confie pas totalement la capacité de manier les Flammes. Au cours de toute mon expérience de Dominante, j’ai mainte fois déploré de ne pouvoir terrasser mes ennemis sous une pluie de feu. Cette carence fut précisée par l’association d’une pierre de vie et d’une tête de dragon Enflammée. Décidée et fortes des conseils des Sages de la Tour d’Ivoire, Je décidais d’interroger les Humains qui avaient su domestiquer le Feu. Ce fut comme un déclic, à peine les rudiments acquis, je me délectais de mes nouvelles capacités. Mes capacités d’Archimage me donnaient le sentiment que mon Dieu me faisait vraiment confiance.

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Long fut le chemin, bien des choses furent découvertes, mais, en éternel insatisfaite, il me manquera toujours un petit quelque chose. De la maîtrise des soins, du feu, et des esprits, ce sons les soins qui me font toujours le plus défaut. Aussi j’ai eu vent que les plus sage d’entre nous pouvaient méditer et influencer leur corps jusqu’à même le métamorphoser ou le transcender. On raconte qu’un être puissant nommé Hardin pouvait nous guider sur ce chemin. Je me rendait donc à son académie et pris conseils auprès de lui.
J’expliquais à Hardin mes besoins et il confirma les rumeurs. Je croyais enfin pouvoir réussir à combler mes lacunes, mais cette pratique avait pour effet de nous passer dans un état second qui nous interdisait d’utiliser les compétences que nous avions. Ceux comme moi qui voulait soigner sans pour autant se dénaturer s’appelait les Hérétiques.
Cette étape compliquée qui nous transcende devait néanmoins être maîtrisée à la perfection, alors Hardin me proposa de m’entraîner d’abord à me métamorphoser en Tigre, Le corps étant plus simple à manier que l’esprit.
J’acceptais, Hardin me demanda de me procurer les parchemins nécessaires et de revenir le voir par la suite afin de m’assister lors de la première Transformation.
La suite serait simple, de la méditation et des efforts et à la fin d'un dur labeur, le reconfort du renforcement de l'esprit et du corps.

[HRP] en attente de validation pour l'acquisition de la transformation en tigre à dents de sabre (sabertooth tiger) et hérétique (heretic) [HRP]

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J'avais eu cœur à porter les mercenaires de la Légion dans certain Combats, J'en avait former, j'avais appris de Certains. Malheureusement, à mon grand regret, beaucoup dessertirent, pour qui ? pour quoi ? Jamais je ne le saurais.
Ma nature est de guidée des troupes, ici, je n'ai plus personne à Mener, alors à quoi bon me leurrer. Il y avait bien Enlil, Myako, mais en aucun cas ils ne constituent la grande Légion d'antan.
De plus, les autorités se font de plus en plus oppressantes, non pas que je veuille fuire le combat, mais il est hors de question de ne pas y être préparer et de ne pas avoir dans mes rangs les unités nécessaires et suffisante.
C'est Décider, je vais laisser une note à Axya, elle m'a accueillie, elle saura les raisons de mon départ.
Je me rends vers les Nord, retrouver mes ancêtre, peut-être auront-il une nouvelle mission à me confier. Cela fait trop longtemps que je n'ai pas retrouver mes frères.

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[HRP]Remplacement des Subclasses 'Elven Elder' et 'Archimage' au profit de 'Doomcryer' et 'Dreadknought"[HRP]

Avec le déclin de « feu la Légion », je mettais de coté certaines de mes compétences. Ce fut le cas pour les soins et le maitrise du feu. Je ne pratiquais guère plus, aussi, il fut arrivé une période ou je décidais donc de reléguer ces arts.

Mes capacités de Dominante avaient elle encore franchi un cap, je ne me contentais plus de mes acquis shamaniques que je croyais complets, et lorgnais du coin de l’œil les Crieurs de Guerres qui, de consistance certes moins bonne possédaient quelques ressources que je ne supposais pas.
Myako, m’avait plus d’une fois surpris, alors je replongeais dans les anciens écrits de ma culture afin de combler cette carence. Les Shamans orcs regorgent vraiment de mystères. L’apprentissage ne fut pas bien compliqué, les bases étant commune avec ma nature première. Néanmoins, les Bénédictions réservées à l’élite orc nécessitaient un peu plus de travail pour en avoir la maitrise parfaite.

Aujourd’hui, je n’ai plus rien à apprendre des arts Shamaniques Orcs, on raconte cependant qu’à la Tour d’Ivoire, Avant-guarde que j’ai déjà rencontré auparavant, pourrait m’aider à combiner en quelques sortes les deux natures des arts shamanique Orc. Je remets cela à plus tard, et la méditation prolongée me rend Nerveuse.

Un interlude fort intéressant à la méditation est le combat, et je me suis surprise à vouloir manier comme Zaraki, la lance. Etrange constatation que de s’apercevoir que le mouvement ne manque pas de fluidité et que l’efficacité est assez redoutable. Je faisais état des différentes techniques orcs, naniques et humaines, et je retenais d’étudier celle des Humains. Le coté malin, la pertinence des gestes et coup portés retenait toute mon attention. Long fut l’entrainement dans le labyrinthe des glaces qui offrait une multitude d’espèces animales, puis ce fut le tour de la vallée du silence. J’ai beaucoup amélioré ma technique qui a apporté rapidité à ma nature propre.

A ce jour, je combine tous ces enseignements et j’ai revêtu une armure lourde, j’alterne sort de renforcement, attaques magiques et physique.