Mortes, Ancien Démon... ?
Chapitre 1 : Souvenirs j'usqu'à la "source de l'apaisement"
.....................Je me prénomme Mortes, jamais personne ne connaîtra mon nom, sauf si cette personne a de bons arguments. Je fait partie des premiers sombres mais aussi, le premier et peu être le dernier ayant un pouvoir de télékinésie. Parmis les premier, j'etait le plus vieux et notre vie était plus courte que celle de l'autre race nous ressemblant, les elfes... Lors de mon dernier anniversaire, notre Déesse, celle que nous avions choisit comme t'elle me demanda de venir pres de cette statue etrange dont une main depassait des grilles, je descendit une marche, puis une autre, et a la derniere... mon coeur s'arreta... C'était la fin... ?
.....................Je me réveilla, confiné dans quelque chose de granit, un cercueil, prit de panique et à la fois de colère, je fit voler le couvercle et la terre qui était au dessus grâce a mon pouvoir. Une fois sortit je vit une personne étrange, vêtu de noir, je ne serai dire qu'elle race elle était et quel sexe, peut être femelle. Cette personne posât une question qui tombait comme une sentence.
-Veut tu vivre...? ou mourir...?
Le choix fut très vite prit par ma curiositée et mon instinct de survie.
-Et bien, vivre !
-En est tu... sur ?
-Certain !
-Bien...
Le bras droit de la personne se tendit dans ma direction et je vit une main squelettique qui me glaça le sang. Je vit une partie de mon âme quitter mon corps et aller dans cette main relier a cette personne presque "invisible".
-Tu devra tuer au moins trois personnes par ans si tu désire voir le jour l'année suivante, si tu en tue plus, sa te permetera d'evité d'en tuer l'année suivante. Maintenant tu est un Démon, comporte toi comme tel.
Je fut très pertubé mais je fit se qu'elle m'avait demandé, chaque année, trois personnes mourraient, étrangement, je ne tuais que des "choses" ou des orcs.Je n'avait pas encor essayer les semblables, les elfes et, je n'avait pas envi d'essayer.
.....................Trois milles ans s'étaient déjà écoulés, j'avais rencontré une sombre, Ataliena, elle était jeune, belle et assez drôle, j'avais trouver de la compagnie, quelqu'un a qui je pouvait me confier. Lorsque les villageois du village de sombre apprirent qu'elle était avec un Démon, nommé le Démon de La Mort, ce fut le choque. Pour la punir ils enfermèrent ce qui restait de mon âme et de mon esprit dans le corps de celle-ci qui me rendit fou...
.....................Nous étions a une nouvelle aire, dans un village orc, sur un grand mur, on pouvait lire le nom des orcs et orcesses tués: "735 tués depuis le printemps derniers...", Ataliena était elle aussi devenue folle et tuait au moins un orc par jour ou un touriste qui se perdait..
.....................Pendant un voyage sur une île de sombres, je perdit bizarrement connaissance, Ataliena voulait se débarrasser de moi et avait trouvé comment faire... Lorsque je me réveilla dans un nouveau corps, je vit a travers les yeux de cette personne, le reflet de celle-ci, une très jeune elfe au cheveux roses et au visage angélique troublé par la tristesse... Cela fait bientôt 14 ans que j'ai la paix, une paix méritée, j'avais trouver le repos grâce a cette elfe, Seikyo. J'ai remarqué qu'elle me laissait énormément de liberté, tellement que maintenant, je peut apparaître en chair et en os. Elle ne connaît pas mon nom, elle me l'as jamais demandé, je la remercie de sa, peut-être qu'un jour, elle le saura. J'espère, ne jamais à avoir quitter la seule personne grâce a qui j'ai enfin trouvé mon repos, car tuer, devient lassant. Mais parfois je ne suis même pas maître de mes propres actes. Javou que parfois, je suis vraiment ennuyeux, mais Seikyo est a moitié morte, je lui offre un peu de mon immortalité pour la faire vivre, et ne plus jamais nourrir. Je n'ai pas envie de la tuée même si maintenant, si je veux, je peut quitter son corps, la laisser mourir et reprend ma forme normale...
Mortes
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Seikyo
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Mortes
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Seikyo
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Chapitre 2 : Buki Sil'in
.....................Voilà bien longtemps que ce nom et ce petit minois adorable et attachant ne m'étaient pas revenus en tête. Une jolie sombre, certes petite, mais avec un visage très attachant, elle avait de beau yeux rouge. Ses yeux rouges, ce sont ceux des démons issus des nobles, pour la plupart. Pour seul maquillage, elle avait un beau rouge à lèvre brillant, ses lèvres étaient fines tout comme les courbes de son corps. Elle en était à sa "deuxième naissance" car elle est une démone qui a besoin d'avoir des périodes de repos pour son esprit. Donc, pendant des milliers d'années elle disparaît et réapparaît comme si de rien était. Quand je repense à elle, à présent, je me dit que j'aurais mieux fait de l'écouter, la comprendre et m'intéresser à elle plutôt qu'à Alenia mais à cette époque, Alenia était si gentille... Cette douce sombre est a présent un vieux souvenir qui est partit avec sa dépouille, et c'est moi qui lui est fait rejoindre le monde des morts. "Tu gagneras en plus de mon silence quelques mois en plus de vies. Bientôt tu devras à nouveau tuer pour vivre, tu le sentiras et à ce moment, ces merveilleux yeux réapparaîtrons...." tel était ses paroles, au début je fus presque émus mais, quand elle me parla de "ces yeux" je ne pus me retenir. Je l'avais tuée, elle avait gagner à mon propre jeux, et je ne pouvais pas faire de revanche, une onde mortelle s'était propagée dans le corps de cette sombre qui jadis obnubilait mon esprit tant par sa splendeur et par sa dignité. Maintenant, le seul souvenir qui me reste, que j'ai récupéré à l'entrepôt du village des sombres est le violon noir que Buki m'avait offert. Les sons du violons sont un plaisir pour n'importes qu'elles oreilles, Buki m'avait appris à en jouer et pour la remercier je lui en jouait souvent mais lorsqu'elle disparut, ce violon noir qui lui appartenait disparut ensuite. Ce n'est que bien plus tard que j'avais su où il était mais mes envies, à cet instant, n'étaient pas celles de toucher ce violon noir. Oui, ce violon était noir, un noir mat, qui ne brillait pas mais tellement beau, un archet de la même couleur était avec et est toujours avec. Cela fait maintenant quelques semaines que j'ai récupéré le violon, et j'y joue, comme il y a bien longtemps je joue encore ses mêmes musiques. Ces mêmes musiques que je jouait en fonctions de mes humeurs et qui, grâces a elles, je pouvais voir le regard empli de joie de Buki se poser sur moi. J'aimerai encore une fois, une simple fois, revoir ce regard se posé sur moi, même une seul et dernière fois. Je profiterais à cet instant le fait d'avoir un tel regard sur moi et d'une telle personne. Démone qui n'en était pas une par le fait que lorsqu'elle me rencontrât, elle arrêtât de faire ses actions de démons.
"Voilà bien longtemps,
Sous ce ciel de printemps,
Que nos regards se sont croisés
Et que nos âmes se sont parlées..."
Avait-elle prévu ses quelques vers pour le jour où elle partirait ? Avait-elle eu pendant un instant un quelconque sentiment d'amour envers moi ?! Je ne l'espère pas, son sourire à ce moment était rassurant, comme pour dire que bientôt je la reverrait, qu'il me faudrait l'attendre. Est ce qu'elle avait espéré à ce moment que je l'aimait ? Mon regard fixait le regard calme et doux de Buki qui lentement me quittait, la Démone partait pour prendre son repos. Il n'y avait aucun moyen pour l'empêcher de mourir ? Si il en avait eu un, a cet instant, je l'aurait sauvée, je ne sais pourquoi mais je l'aurais fait. Peut-être parce que je me sentait coupable de quelque chose ? C'est après cet "incident" que j'avais décidé de ne plus tuer mais le destin en avait décidé autrement. Quelques semaines plus tard, j'étais dans le corps de celle qui jadis, me plaisait tant et qui a présent ne me fait que avoir des pensées de dégoût à son égard. Est ce que j'avais gâché mon existence de Démon en m'intéressant a Alenia ? Sûrement, je n'étais plus libre à cause d'elle qui trouvât quelques temps plus tard que j'étais une gêne...
.....................Voilà bien longtemps que ce nom et ce petit minois adorable et attachant ne m'étaient pas revenus en tête. Une jolie sombre, certes petite, mais avec un visage très attachant, elle avait de beau yeux rouge. Ses yeux rouges, ce sont ceux des démons issus des nobles, pour la plupart. Pour seul maquillage, elle avait un beau rouge à lèvre brillant, ses lèvres étaient fines tout comme les courbes de son corps. Elle en était à sa "deuxième naissance" car elle est une démone qui a besoin d'avoir des périodes de repos pour son esprit. Donc, pendant des milliers d'années elle disparaît et réapparaît comme si de rien était. Quand je repense à elle, à présent, je me dit que j'aurais mieux fait de l'écouter, la comprendre et m'intéresser à elle plutôt qu'à Alenia mais à cette époque, Alenia était si gentille... Cette douce sombre est a présent un vieux souvenir qui est partit avec sa dépouille, et c'est moi qui lui est fait rejoindre le monde des morts. "Tu gagneras en plus de mon silence quelques mois en plus de vies. Bientôt tu devras à nouveau tuer pour vivre, tu le sentiras et à ce moment, ces merveilleux yeux réapparaîtrons...." tel était ses paroles, au début je fus presque émus mais, quand elle me parla de "ces yeux" je ne pus me retenir. Je l'avais tuée, elle avait gagner à mon propre jeux, et je ne pouvais pas faire de revanche, une onde mortelle s'était propagée dans le corps de cette sombre qui jadis obnubilait mon esprit tant par sa splendeur et par sa dignité. Maintenant, le seul souvenir qui me reste, que j'ai récupéré à l'entrepôt du village des sombres est le violon noir que Buki m'avait offert. Les sons du violons sont un plaisir pour n'importes qu'elles oreilles, Buki m'avait appris à en jouer et pour la remercier je lui en jouait souvent mais lorsqu'elle disparut, ce violon noir qui lui appartenait disparut ensuite. Ce n'est que bien plus tard que j'avais su où il était mais mes envies, à cet instant, n'étaient pas celles de toucher ce violon noir. Oui, ce violon était noir, un noir mat, qui ne brillait pas mais tellement beau, un archet de la même couleur était avec et est toujours avec. Cela fait maintenant quelques semaines que j'ai récupéré le violon, et j'y joue, comme il y a bien longtemps je joue encore ses mêmes musiques. Ces mêmes musiques que je jouait en fonctions de mes humeurs et qui, grâces a elles, je pouvais voir le regard empli de joie de Buki se poser sur moi. J'aimerai encore une fois, une simple fois, revoir ce regard se posé sur moi, même une seul et dernière fois. Je profiterais à cet instant le fait d'avoir un tel regard sur moi et d'une telle personne. Démone qui n'en était pas une par le fait que lorsqu'elle me rencontrât, elle arrêtât de faire ses actions de démons.
"Voilà bien longtemps,
Sous ce ciel de printemps,
Que nos regards se sont croisés
Et que nos âmes se sont parlées..."
Avait-elle prévu ses quelques vers pour le jour où elle partirait ? Avait-elle eu pendant un instant un quelconque sentiment d'amour envers moi ?! Je ne l'espère pas, son sourire à ce moment était rassurant, comme pour dire que bientôt je la reverrait, qu'il me faudrait l'attendre. Est ce qu'elle avait espéré à ce moment que je l'aimait ? Mon regard fixait le regard calme et doux de Buki qui lentement me quittait, la Démone partait pour prendre son repos. Il n'y avait aucun moyen pour l'empêcher de mourir ? Si il en avait eu un, a cet instant, je l'aurait sauvée, je ne sais pourquoi mais je l'aurais fait. Peut-être parce que je me sentait coupable de quelque chose ? C'est après cet "incident" que j'avais décidé de ne plus tuer mais le destin en avait décidé autrement. Quelques semaines plus tard, j'étais dans le corps de celle qui jadis, me plaisait tant et qui a présent ne me fait que avoir des pensées de dégoût à son égard. Est ce que j'avais gâché mon existence de Démon en m'intéressant a Alenia ? Sûrement, je n'étais plus libre à cause d'elle qui trouvât quelques temps plus tard que j'étais une gêne...
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Chapitre 3 : Le violon noir...
.....................Je m'en rapelle à présent. Ce violon noir... D'un noir mat, même en le briquant longuement il ne brillait jamais, même mettre du vernis dessus n'avais aucun effet. Ce violon, parfois je regarde Buki en jouer, elle jouait de smusiques très étranges et presque effrayantes avec et ensuite, ensuite une lumière rouge sang semblait sortir du sol et l'entourait. Les crins de l'archet cessait de toucher les cordes et pourtant la musique continuait de se jouer, Buki faisait des gestes doux et calme avec l'archet puis après un moment, un dragon sans ailes ni pattes mais long se formait. Il était rouge et volait comme par magie et entourait parfois Buki, les yeux rouges de la sombre brillaient encore plus que d'habitude. Puis elle refaisait des mouvements et une sorte de longue, très longue épée se formait et Buki semblait parler à son dragon lorsque cette épée était visible. Des rumeurs circulaient sur cette épée, que faisait Buki ? Quel était son don ? Cette épée semblait innaccessible mais bien réelle. D'autre fois, elle formait des projectiles de toutes sortes et les touchait avec son archet, lorsque l'archet touchait ces projectiles, ils partaient à une vitesse fulgurante et, parfois, touchaient un oiseau qui passait par là. A cet instant, ce n'était plus un oiseau que l'on voyait mais un ammat de plumes volantes. Cela m'effrayait parfois, ce violon était et est t-il toujours la puissance de Buki ? Lorsqu'elle ne l'avait pas avec elle, les rares fois où il n'était pas près d'elle, Buki semblait plus faible. Et ce violon noir, après m'en être servit plusieurs semaines je me rend compte qu'ils n'ets pas normal. Ce violon donne une soif de pouvoir assez horrible d'où le faite que l'on en joue bien rapidement. Buki, d'où te vient ce violon ? Pourquoi est-il toujours ainsi ? Sombre, mat, effrayant... Rien de blanc... Et sur ton étui, depuis des années ton nom est inscrit sur une plaque en or sur un côté de ton étui de violon. Il me faudrat une expliquation sur l'origine de ton instrument. Une grande expliquation car il est étrange et smeble être ton arme, une arme qui enerve lorsque l'on c'est que s'en est une. Mais ces tours que tu faisait avec était assez impressionnant. Que cherchait tu à l'époque, que tévoque ton violon et d'où vient t-il ? Qui est son créateur ? Tant que questions que j'ai hâte de te poser...
.....................Je m'en rapelle à présent. Ce violon noir... D'un noir mat, même en le briquant longuement il ne brillait jamais, même mettre du vernis dessus n'avais aucun effet. Ce violon, parfois je regarde Buki en jouer, elle jouait de smusiques très étranges et presque effrayantes avec et ensuite, ensuite une lumière rouge sang semblait sortir du sol et l'entourait. Les crins de l'archet cessait de toucher les cordes et pourtant la musique continuait de se jouer, Buki faisait des gestes doux et calme avec l'archet puis après un moment, un dragon sans ailes ni pattes mais long se formait. Il était rouge et volait comme par magie et entourait parfois Buki, les yeux rouges de la sombre brillaient encore plus que d'habitude. Puis elle refaisait des mouvements et une sorte de longue, très longue épée se formait et Buki semblait parler à son dragon lorsque cette épée était visible. Des rumeurs circulaient sur cette épée, que faisait Buki ? Quel était son don ? Cette épée semblait innaccessible mais bien réelle. D'autre fois, elle formait des projectiles de toutes sortes et les touchait avec son archet, lorsque l'archet touchait ces projectiles, ils partaient à une vitesse fulgurante et, parfois, touchaient un oiseau qui passait par là. A cet instant, ce n'était plus un oiseau que l'on voyait mais un ammat de plumes volantes. Cela m'effrayait parfois, ce violon était et est t-il toujours la puissance de Buki ? Lorsqu'elle ne l'avait pas avec elle, les rares fois où il n'était pas près d'elle, Buki semblait plus faible. Et ce violon noir, après m'en être servit plusieurs semaines je me rend compte qu'ils n'ets pas normal. Ce violon donne une soif de pouvoir assez horrible d'où le faite que l'on en joue bien rapidement. Buki, d'où te vient ce violon ? Pourquoi est-il toujours ainsi ? Sombre, mat, effrayant... Rien de blanc... Et sur ton étui, depuis des années ton nom est inscrit sur une plaque en or sur un côté de ton étui de violon. Il me faudrat une expliquation sur l'origine de ton instrument. Une grande expliquation car il est étrange et smeble être ton arme, une arme qui enerve lorsque l'on c'est que s'en est une. Mais ces tours que tu faisait avec était assez impressionnant. Que cherchait tu à l'époque, que tévoque ton violon et d'où vient t-il ? Qui est son créateur ? Tant que questions que j'ai hâte de te poser...
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Chapitre 4 : Arrêt du repos
..................... "Tel une personne qui serait habituée a trop manger, après un moment sa faim se fait ressentir... Toi, tu à tellement tué que bientôt, tu ne te contrôlera plus... Qui tuera tu ? Les gardes du village des nains ? Des elfes ? Des humains ? Tu aurait pu au moins faire une victime par an car là tu va souffrir..."
.....................Voici ce qu'il y avait écrit dans une encre blanche comme la craie, sur du papier noir. C'était celle qui m'avais fait devenir ce que je suis à présent qui me l'avais envoyé. Juste après avoir lut ce message, pendant quelques instant, je n'étais plus moi même. Je redevient lentement ce Démon qu'"elle" apprécie tant... Alenia, et ce squelette ambulant que je n'est pas revus depuis notre dernière rencontre. Le Démon de La Mort, il a besoin de tuer pour vivre, il tue de sang froid femmes, hommes et enfants. Son seul but et de voir leur sang rouge et de vivre grâce à leur vies. Il est déjà mort, son corps n'est fais que de ses pouvoirs... Si un jours on raconte ça aux enfant, lorsqu'ils me verrons tel que je suis vraiment... Ils fuirons mais heureusement pour moi, mon histoire s'est perdue avec le temps, je ne suis plus qu'un simple sombre qui fais peur a raconter une histoire qui ne doit pas être la sienne. Mais.. Lorsque mes deux yeux serons noirs, lorsque je serais celui que tout ceux qui sont mort de ma main on vu... Est ce que je serais encore apte a protéger qui que ce soit ? Est ce que je pourrait à nouveau protéger Buki et Seikyo, même si Buki est a présent une elfe, elle n'en reste pas moins Buki Sil'in. J'espère trouver ce "remède" pour Buki, avant d'être rattraper par mon histoire. Avant que "ces yeux" ne reviennent et que je perde tout raison. C'est vrai, lorsque je suis "moi-même" me je sent supérieur, mais le suis-je vraiment ? Suis-je vraiment supérieur ? Je ne crois pas... Pas du tout mais pourtant j'en ai l'impression. Et quand je suis ce Démon, le sang devient ma seule raison de vivre, les larmes des gens aussi. Séduire les femmes pour ensuite les laissées tomber fais aussi partit de mes raison de vivre lorsque je suis ce Démon. Mais ce Démon, je le suis depuis toujours... C'est en faite, ce pouvoirs qui me fais avoir ces pensées. Et à présent, tout comme Buki, je me demande: "Qu'elles sont mes véritables capacités de Démon ?", oui, qu'elles sont-elles ? Je ne le sais pas, ou peut être si, je tue trois personne pour gagner une année à peine... Est ce que je gagne réellement mon année où est ce la façon de "nourrir" mon âme de Démon ? Démon putride, né dans sa propre tombe, pourrissant de l'intérieur et qui ne cherche qu'a voir la souffrance dans les yeux des innocents qu'il tue. Ce n'est pas grave, je n'aurais qu'a tuer trois personnes et je serais tranquille.. A moins que... Il me faille en tuer trois cent soixante, comme à l'époque où c'était Alenia qui se servait de mes pouvoirs...
..................... "Tel une personne qui serait habituée a trop manger, après un moment sa faim se fait ressentir... Toi, tu à tellement tué que bientôt, tu ne te contrôlera plus... Qui tuera tu ? Les gardes du village des nains ? Des elfes ? Des humains ? Tu aurait pu au moins faire une victime par an car là tu va souffrir..."
.....................Voici ce qu'il y avait écrit dans une encre blanche comme la craie, sur du papier noir. C'était celle qui m'avais fait devenir ce que je suis à présent qui me l'avais envoyé. Juste après avoir lut ce message, pendant quelques instant, je n'étais plus moi même. Je redevient lentement ce Démon qu'"elle" apprécie tant... Alenia, et ce squelette ambulant que je n'est pas revus depuis notre dernière rencontre. Le Démon de La Mort, il a besoin de tuer pour vivre, il tue de sang froid femmes, hommes et enfants. Son seul but et de voir leur sang rouge et de vivre grâce à leur vies. Il est déjà mort, son corps n'est fais que de ses pouvoirs... Si un jours on raconte ça aux enfant, lorsqu'ils me verrons tel que je suis vraiment... Ils fuirons mais heureusement pour moi, mon histoire s'est perdue avec le temps, je ne suis plus qu'un simple sombre qui fais peur a raconter une histoire qui ne doit pas être la sienne. Mais.. Lorsque mes deux yeux serons noirs, lorsque je serais celui que tout ceux qui sont mort de ma main on vu... Est ce que je serais encore apte a protéger qui que ce soit ? Est ce que je pourrait à nouveau protéger Buki et Seikyo, même si Buki est a présent une elfe, elle n'en reste pas moins Buki Sil'in. J'espère trouver ce "remède" pour Buki, avant d'être rattraper par mon histoire. Avant que "ces yeux" ne reviennent et que je perde tout raison. C'est vrai, lorsque je suis "moi-même" me je sent supérieur, mais le suis-je vraiment ? Suis-je vraiment supérieur ? Je ne crois pas... Pas du tout mais pourtant j'en ai l'impression. Et quand je suis ce Démon, le sang devient ma seule raison de vivre, les larmes des gens aussi. Séduire les femmes pour ensuite les laissées tomber fais aussi partit de mes raison de vivre lorsque je suis ce Démon. Mais ce Démon, je le suis depuis toujours... C'est en faite, ce pouvoirs qui me fais avoir ces pensées. Et à présent, tout comme Buki, je me demande: "Qu'elles sont mes véritables capacités de Démon ?", oui, qu'elles sont-elles ? Je ne le sais pas, ou peut être si, je tue trois personne pour gagner une année à peine... Est ce que je gagne réellement mon année où est ce la façon de "nourrir" mon âme de Démon ? Démon putride, né dans sa propre tombe, pourrissant de l'intérieur et qui ne cherche qu'a voir la souffrance dans les yeux des innocents qu'il tue. Ce n'est pas grave, je n'aurais qu'a tuer trois personnes et je serais tranquille.. A moins que... Il me faille en tuer trois cent soixante, comme à l'époque où c'était Alenia qui se servait de mes pouvoirs...
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Chapitre 5 : Une histoire... Captivante
..................... Alors que la fin de ma capacité de raisonnement approche à sa fin j'ai tiré ce temps, il est réduit, et pourquoi ? Je fais partit des premiers elfes noirs, vous devez le savoir si vous avez lut tout ça. Je suis pas le premier des elfes, de sorte que je ne connais pas toute l'histoire, je ne connais pas le plus captivant de l'histoire ! Je ne sais pas qui est quoi, ou qui est qui. C'est pour ça que j'avais décidé -sûrement en pensant à ma fin proche...- d'aller au vieux monastère abandonné que les gens nommes "Monastère du Silence" qui se trouve dans la région d'Elmore. J'y ai été quelques jours, pour prier tout les dieux dont je connais le nom mais je crois que je ne les connait pas tous. Ma demande avait été simple: je voulais savoir ce que mes yeux immortels n'avaient pas encore vu, ce que mes yeux maudit n'avaient pas admiré. Le passé, le commencement, je voulais le savoir, même si pour cela je devait perdre quelque chose où ne jamais le dire. Ma vie de démon, depuis le temps elle ne me plaît plus. J'aurai peut-être aimé être avec les Dieux pour voir, voir toutes ces magnifiques choses qui, vues de la terre par un mortel sont horribles. J'avais donc prié dans ce monastère, silencieusement pour le pas troubler ce long silence qui devait peut-être être plus jeune que moi. Une lumière étrange avait apparu et deux livres, fins avec de magnifiques dorures s'offraient à cette vue qui depuis le temps ne devrais plus être. Une voix avait retentit, une voix assez grave et ses mots, ils étaient prononcés si calmement qu'il sont encore dans ma tête. J'avais bien écouté, comme un enfant à qui l'on allait donner une chose merveilleuse avec une condition. "Voici deux ouvrage, les deux contiennent à peut près la même histoire mais racontées différemment, une par un être beaucoup plus ancien que toi et tes ancêtres, les elfes. L'autre histoire, elle est racontée de façon la plus neutre qu'il soit, tu peut choisir. Soit tu prend celui de droite, assez court, raconté par cette ancienne race soit tu prend celui de gauche, racontée de la façon la plus neutre qu'il puisses être." tel étaient ses mots et, mon regard devenu presque celui d'un enfant malgré mes iris rouge avec des trais bleu c'était posé sur l'ouvrage de gauche, un peu plus volumineux. Ma main sombre avait agrippé ce livre tandis que l'autre avais disparut tout comme la lumière puis la voix avais reprit: "A présent, Démon." Le ton avec lequel cette voix avait dit démon semblait être du dégout, ce devait sûrement en être, que sais-je. Ce ton m'avais fais reprendre mon air sérieux habituel. "Tu peut tout lire, te servir de ce que tu aura appris, ce n'est que le passé, l'histoire s'arrete au moment ou tu avait commencer à la vivre. Cependant, tu ne devra jamais raconter cette histoire mais tu peut la raconter à une personne une seul et unique alors fais bien ton choix." Puis le silence revint dans le monastère, mes yeux ce posèrent sur l'ouvrage que je tenais entre mes mains. Alors ? Maintenant que je l'avais, qu'est ce que j'allais faire... En priant un Dieu, j'avais offert une part du temps de raisonnement qu'il me restait. J'ai un peu commencer ce livre mais dans cette région, il est dur de lire un livre sans être dérangé. Je vais donc retourner dans les terres d'Aden et continuer de lire mon livre. Le passé, le commencement, j'allais le savoir, je n'allais peut-être savoir pas tout mais j'allais en savoir plus qu'avant. Peut-être aurais-je dû être observateur. J'aurais parfaitement remplit ce rôle.
..................... Alors que la fin de ma capacité de raisonnement approche à sa fin j'ai tiré ce temps, il est réduit, et pourquoi ? Je fais partit des premiers elfes noirs, vous devez le savoir si vous avez lut tout ça. Je suis pas le premier des elfes, de sorte que je ne connais pas toute l'histoire, je ne connais pas le plus captivant de l'histoire ! Je ne sais pas qui est quoi, ou qui est qui. C'est pour ça que j'avais décidé -sûrement en pensant à ma fin proche...- d'aller au vieux monastère abandonné que les gens nommes "Monastère du Silence" qui se trouve dans la région d'Elmore. J'y ai été quelques jours, pour prier tout les dieux dont je connais le nom mais je crois que je ne les connait pas tous. Ma demande avait été simple: je voulais savoir ce que mes yeux immortels n'avaient pas encore vu, ce que mes yeux maudit n'avaient pas admiré. Le passé, le commencement, je voulais le savoir, même si pour cela je devait perdre quelque chose où ne jamais le dire. Ma vie de démon, depuis le temps elle ne me plaît plus. J'aurai peut-être aimé être avec les Dieux pour voir, voir toutes ces magnifiques choses qui, vues de la terre par un mortel sont horribles. J'avais donc prié dans ce monastère, silencieusement pour le pas troubler ce long silence qui devait peut-être être plus jeune que moi. Une lumière étrange avait apparu et deux livres, fins avec de magnifiques dorures s'offraient à cette vue qui depuis le temps ne devrais plus être. Une voix avait retentit, une voix assez grave et ses mots, ils étaient prononcés si calmement qu'il sont encore dans ma tête. J'avais bien écouté, comme un enfant à qui l'on allait donner une chose merveilleuse avec une condition. "Voici deux ouvrage, les deux contiennent à peut près la même histoire mais racontées différemment, une par un être beaucoup plus ancien que toi et tes ancêtres, les elfes. L'autre histoire, elle est racontée de façon la plus neutre qu'il soit, tu peut choisir. Soit tu prend celui de droite, assez court, raconté par cette ancienne race soit tu prend celui de gauche, racontée de la façon la plus neutre qu'il puisses être." tel étaient ses mots et, mon regard devenu presque celui d'un enfant malgré mes iris rouge avec des trais bleu c'était posé sur l'ouvrage de gauche, un peu plus volumineux. Ma main sombre avait agrippé ce livre tandis que l'autre avais disparut tout comme la lumière puis la voix avais reprit: "A présent, Démon." Le ton avec lequel cette voix avait dit démon semblait être du dégout, ce devait sûrement en être, que sais-je. Ce ton m'avais fais reprendre mon air sérieux habituel. "Tu peut tout lire, te servir de ce que tu aura appris, ce n'est que le passé, l'histoire s'arrete au moment ou tu avait commencer à la vivre. Cependant, tu ne devra jamais raconter cette histoire mais tu peut la raconter à une personne une seul et unique alors fais bien ton choix." Puis le silence revint dans le monastère, mes yeux ce posèrent sur l'ouvrage que je tenais entre mes mains. Alors ? Maintenant que je l'avais, qu'est ce que j'allais faire... En priant un Dieu, j'avais offert une part du temps de raisonnement qu'il me restait. J'ai un peu commencer ce livre mais dans cette région, il est dur de lire un livre sans être dérangé. Je vais donc retourner dans les terres d'Aden et continuer de lire mon livre. Le passé, le commencement, j'allais le savoir, je n'allais peut-être savoir pas tout mais j'allais en savoir plus qu'avant. Peut-être aurais-je dû être observateur. J'aurais parfaitement remplit ce rôle.
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Chapitre 6 : Étrange Démon
............................Après la rencontre d'un elfe quelques peu étrange et aux coutumes tout aussi étranges, je m'étais décidé à retourner au monastère du silence, j'avais déjà appris beaucoup de choses grâce au livre mais je ne l'ais pas fini. Voilà, j'étais à nouveau dans ce monastère mais à avais-je pénétré les lieu que la même voix grave que la dernière fois avait retentit. "Tu as fini le livre ? Tu viens donc me le rendre ?" Avais dis la voix puis j'avais engagé la conversation suite à cette question.
"-Non, je viens vous demander une chose...
-Une chose ? Et quel est-elle ? Qui je suis ? Je ne le dirais pas.
-Non, pas ça... Je voudrais savoir... Serait-il possible que je joue le rôle d'un observateur pour les Dieux ?"
La voix n'avais pas répondu, réfléchissait-il. Je restait, impassible, juste devant la porte principale par laquelle je venais d'entrer.
"-Ce qui signifierai... Un Démon... Déchus ?..." La voix se mit a rire, il riait de cette situation.
Un Démon Déchus, c'est vrai que cette chose étais particulièrement drôle à penser et surtout à voir. Puis la voix s'arrêtât net et repris d'une façon un peu sévère.
"-Un fils de Shillien qui viens faire l'aumône ?! Que croit tu que tu aura ? Ta vie immortel ne te plaît déjà plus !
-Je n'est rien a faire de ma vie c'est donc pour ça que je me cherche un but...
-N'en as tu pas déjà un ?! Protéger l'enfant et sa mère par exemple ?! Protégé la jeune démone et la jeune sombre ?!
-Peut-être mais elle savait ce défendre seules...
-Ne te fiches pas de moi ! Dehors ! Je te recontacterai si ton étrange demande me semble bien !"
Je n'avais rien rajouté. J'étais partit silencieusement. A peine m'étais-je éloigné du monastère que sa voix résonnât dans ma tête. "Revient !" Avait t-il ordonné rapidement. Calmement, j'étais revenu avec mon air impassible. Sa voix reprit: "Tu le sera, cependant... Je te retirerai une des ailes que Shillien ta offertes et lèverai ta malédiction...". Ma malédiction ? Parlait-il du fait que je devait tuer ? Je l'espérait... Une aile ? Des ailes ? Cela signifiait-il que Shillien m'avais offert sa bénédiction ? J'étais donc un vrai Démon... C'était obligé que j'hésite mais je n'avait pas eu le temps de donner ma réponse que je sentit une atroce douleur dans mon dos, comme si l'on m'arrachait quelque chose. Puis soudain, je vit une aile noir, semblable a celle d'un dragon apparaître a ma gauche. Mon aile restante ? Il n'avait pas attendu ? "Tu ne devais pas savoir pour les ailes, donc... Que tu accepte ou non tu travaillera pour les Dieux..." avait t-il dit. La douleur était atroce cependant, j'avais réussi a faire disparaître mon aile. Je vis ensuite une brume noir partir de mon corps et s'envoler. "Nous verrons par tes yeux donc pas besoin de faire de rapport... Maintenant, va t-en !!" avait reprit la voix. Je partit donc du monastère. Seul, livré à moi même avec une atroce douleur dans le dos, je commençât à marcher jusqu'à la ville la plus proche pour ensuite demander à une passeuse de m'envoyer à Giran. Lieu où l'on voit le plus de choses...
Cependant, je sentait que ça ne durerais pas... Le fait d'être un observateur des Dieux... Allait-ils rirent de mes dirent, mes action ? Allait-ils m'arracher ma deuxième aile et me laisser ensuite mourire en tant qu'être mortel?
............................Une aile en moins, une malédiction sûrement pas enlevée. Voilà comment j'ai du finir. J'avais oublié le faite que les Dieux ne venaient plus sur terre ou s'occupaient des êtres vivant. Donc j'ai été dupé, je vai continuer mon ascension vers l'irraisonnement en piteux état. Il m'a fallut arriver à Giran pour me rendre compte de ma bétise et de ma naïveté -sûrement légendaire. Je tuerai alors... Ou... Je mourrait. Je vai donc à partir de maintenant partir en voyage, pas à la tour d'Ivoir ni dans un endroit de la region d'Aden ou d'Elmore mais bel et bien a Garcia, si déjà j'arrive à atteindre cet endroit. Un crout texte que celui ci pour expliqué que maintenant je me balladerai avec un peu moins de mon assurance habituelle et avec une chose en moins que j'ai découvert il y à peu...
............................Après la rencontre d'un elfe quelques peu étrange et aux coutumes tout aussi étranges, je m'étais décidé à retourner au monastère du silence, j'avais déjà appris beaucoup de choses grâce au livre mais je ne l'ais pas fini. Voilà, j'étais à nouveau dans ce monastère mais à avais-je pénétré les lieu que la même voix grave que la dernière fois avait retentit. "Tu as fini le livre ? Tu viens donc me le rendre ?" Avais dis la voix puis j'avais engagé la conversation suite à cette question.
"-Non, je viens vous demander une chose...
-Une chose ? Et quel est-elle ? Qui je suis ? Je ne le dirais pas.
-Non, pas ça... Je voudrais savoir... Serait-il possible que je joue le rôle d'un observateur pour les Dieux ?"
La voix n'avais pas répondu, réfléchissait-il. Je restait, impassible, juste devant la porte principale par laquelle je venais d'entrer.
"-Ce qui signifierai... Un Démon... Déchus ?..." La voix se mit a rire, il riait de cette situation.
Un Démon Déchus, c'est vrai que cette chose étais particulièrement drôle à penser et surtout à voir. Puis la voix s'arrêtât net et repris d'une façon un peu sévère.
"-Un fils de Shillien qui viens faire l'aumône ?! Que croit tu que tu aura ? Ta vie immortel ne te plaît déjà plus !
-Je n'est rien a faire de ma vie c'est donc pour ça que je me cherche un but...
-N'en as tu pas déjà un ?! Protéger l'enfant et sa mère par exemple ?! Protégé la jeune démone et la jeune sombre ?!
-Peut-être mais elle savait ce défendre seules...
-Ne te fiches pas de moi ! Dehors ! Je te recontacterai si ton étrange demande me semble bien !"
Je n'avais rien rajouté. J'étais partit silencieusement. A peine m'étais-je éloigné du monastère que sa voix résonnât dans ma tête. "Revient !" Avait t-il ordonné rapidement. Calmement, j'étais revenu avec mon air impassible. Sa voix reprit: "Tu le sera, cependant... Je te retirerai une des ailes que Shillien ta offertes et lèverai ta malédiction...". Ma malédiction ? Parlait-il du fait que je devait tuer ? Je l'espérait... Une aile ? Des ailes ? Cela signifiait-il que Shillien m'avais offert sa bénédiction ? J'étais donc un vrai Démon... C'était obligé que j'hésite mais je n'avait pas eu le temps de donner ma réponse que je sentit une atroce douleur dans mon dos, comme si l'on m'arrachait quelque chose. Puis soudain, je vit une aile noir, semblable a celle d'un dragon apparaître a ma gauche. Mon aile restante ? Il n'avait pas attendu ? "Tu ne devais pas savoir pour les ailes, donc... Que tu accepte ou non tu travaillera pour les Dieux..." avait t-il dit. La douleur était atroce cependant, j'avais réussi a faire disparaître mon aile. Je vis ensuite une brume noir partir de mon corps et s'envoler. "Nous verrons par tes yeux donc pas besoin de faire de rapport... Maintenant, va t-en !!" avait reprit la voix. Je partit donc du monastère. Seul, livré à moi même avec une atroce douleur dans le dos, je commençât à marcher jusqu'à la ville la plus proche pour ensuite demander à une passeuse de m'envoyer à Giran. Lieu où l'on voit le plus de choses...
Cependant, je sentait que ça ne durerais pas... Le fait d'être un observateur des Dieux... Allait-ils rirent de mes dirent, mes action ? Allait-ils m'arracher ma deuxième aile et me laisser ensuite mourire en tant qu'être mortel?
............................Une aile en moins, une malédiction sûrement pas enlevée. Voilà comment j'ai du finir. J'avais oublié le faite que les Dieux ne venaient plus sur terre ou s'occupaient des êtres vivant. Donc j'ai été dupé, je vai continuer mon ascension vers l'irraisonnement en piteux état. Il m'a fallut arriver à Giran pour me rendre compte de ma bétise et de ma naïveté -sûrement légendaire. Je tuerai alors... Ou... Je mourrait. Je vai donc à partir de maintenant partir en voyage, pas à la tour d'Ivoir ni dans un endroit de la region d'Aden ou d'Elmore mais bel et bien a Garcia, si déjà j'arrive à atteindre cet endroit. Un crout texte que celui ci pour expliqué que maintenant je me balladerai avec un peu moins de mon assurance habituelle et avec une chose en moins que j'ai découvert il y à peu...
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Seikyo
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Chapitre 7 : Une aile perdue mais des jours gagnés
Voilà que j'étais arrivé au continent de Garcia, j'avais pu trouvé un vieux temple dans se continent mais, même si se temple était vieux, majestueux et avais une aura très spécial, je ne reçu aucune réponse ou paroles. J'avais cependant attendu longtemps, plusieurs jours. Et j'entendais les animaux dehors qui marchaient autour, sûrement attirés par l'odeur d'une proie. La proie devait être moi, peut-être est ce que je dégage une odeur de cadavre que seul les animaux peuvent sentir. J'avais donc attendu et après le cinquième jour, je sortit du temple et partit en direction de la plage, je ne sais pourquoi mais j'y était aller. Sur le chemin, une personne m'avais interpellé sur la route. Il m'avais demander pourquoi un pur démon se déplaçait avec dans son dos, l'énergie d'une seule aile. Je lui avais donc expliqué puis il me racontât, après que je lui est dis comment je vivais, que je devais voir gagné plusieurs jour. L'aile que j'avais perdu contenais un peu de ma malédiction, j'en était presque heureux. Vêtu d'une cape noir fine à l'intérieur rouge, j'avais quitté cet homme qui m'avait dis de continer ma route et de partir de ce continent puis je repris ma route, comme il me l'avais conseillé. Quelques jours en plus... Voilà juste ce que j'avais gagné et celui qui me l'avais pris devait avoir gagné quelques jours en moins. Bien fais pour lui, faux dieu... Le septième jour, tôt le matin, j'étais arrivé à la plage et quelque chose me disais: « ne bouge pas ». Pendant plus de quatre heures j'avais attendu quelque chose. Après un moment, mon regard seul s'était déplacé sur une embarcation qui arrivait vers l'île. Quelque chose habillée avec des vêtement simple et de couleur de peau clair avait sauté à l'eau. C'était une personne avec des cheveux roses, je n'avais jamais vu quelqu'un nager si vite, mais pourquoi cette personne allait si vite ? Pourquoi venir si vite vers ce continent inconnu des Adeniens ? J'avais attendu de voir cette personne arrivée à l'île et lorsqu'elle fut arrivée, je vis une elfe et en regardant de plus près je vis Seikyo. Ma tête s'était cette fois ci déplacée vers l'elfette et, s'était bien elle. Seikyo était venue juste pour moi ? Elle avais sauté à l'eau pour me rejoindre plus vite. Mes jambes m'avais emporté jusqu'à elle et sans savoir pourquoi je l'avais prise dans mes bras. Comme si cette trop longue séparation de nos âme n'avais pas été appréciée par mon esprit. Sans savoir pourquoi, je m'étais excusé pour ne pas l'avoir prévenue et ensuite je senti ses fines mains se poser dans mon dos. Cet instant fut doux puis, je put voir que Calla, Eikan et une sombre du nom d'Alenia étaient aussi du voyage mais seul Seikyo avais sauté à l'eau pour moi. La sombre du nom de Alenia avait -étrangement- son âme rattachée au continent de Garcia et tout aussi étrangement elle décida de rester sur le continent. Puis moi, Buki et Seikyo étions repartis à Aden. Arrivé sur le continent Adenien j'avais rapidement donné une lettre à Seikyo et était partit.
Voilà que j'étais arrivé au continent de Garcia, j'avais pu trouvé un vieux temple dans se continent mais, même si se temple était vieux, majestueux et avais une aura très spécial, je ne reçu aucune réponse ou paroles. J'avais cependant attendu longtemps, plusieurs jours. Et j'entendais les animaux dehors qui marchaient autour, sûrement attirés par l'odeur d'une proie. La proie devait être moi, peut-être est ce que je dégage une odeur de cadavre que seul les animaux peuvent sentir. J'avais donc attendu et après le cinquième jour, je sortit du temple et partit en direction de la plage, je ne sais pourquoi mais j'y était aller. Sur le chemin, une personne m'avais interpellé sur la route. Il m'avais demander pourquoi un pur démon se déplaçait avec dans son dos, l'énergie d'une seule aile. Je lui avais donc expliqué puis il me racontât, après que je lui est dis comment je vivais, que je devais voir gagné plusieurs jour. L'aile que j'avais perdu contenais un peu de ma malédiction, j'en était presque heureux. Vêtu d'une cape noir fine à l'intérieur rouge, j'avais quitté cet homme qui m'avait dis de continer ma route et de partir de ce continent puis je repris ma route, comme il me l'avais conseillé. Quelques jours en plus... Voilà juste ce que j'avais gagné et celui qui me l'avais pris devait avoir gagné quelques jours en moins. Bien fais pour lui, faux dieu... Le septième jour, tôt le matin, j'étais arrivé à la plage et quelque chose me disais: « ne bouge pas ». Pendant plus de quatre heures j'avais attendu quelque chose. Après un moment, mon regard seul s'était déplacé sur une embarcation qui arrivait vers l'île. Quelque chose habillée avec des vêtement simple et de couleur de peau clair avait sauté à l'eau. C'était une personne avec des cheveux roses, je n'avais jamais vu quelqu'un nager si vite, mais pourquoi cette personne allait si vite ? Pourquoi venir si vite vers ce continent inconnu des Adeniens ? J'avais attendu de voir cette personne arrivée à l'île et lorsqu'elle fut arrivée, je vis une elfe et en regardant de plus près je vis Seikyo. Ma tête s'était cette fois ci déplacée vers l'elfette et, s'était bien elle. Seikyo était venue juste pour moi ? Elle avais sauté à l'eau pour me rejoindre plus vite. Mes jambes m'avais emporté jusqu'à elle et sans savoir pourquoi je l'avais prise dans mes bras. Comme si cette trop longue séparation de nos âme n'avais pas été appréciée par mon esprit. Sans savoir pourquoi, je m'étais excusé pour ne pas l'avoir prévenue et ensuite je senti ses fines mains se poser dans mon dos. Cet instant fut doux puis, je put voir que Calla, Eikan et une sombre du nom d'Alenia étaient aussi du voyage mais seul Seikyo avais sauté à l'eau pour moi. La sombre du nom de Alenia avait -étrangement- son âme rattachée au continent de Garcia et tout aussi étrangement elle décida de rester sur le continent. Puis moi, Buki et Seikyo étions repartis à Aden. Arrivé sur le continent Adenien j'avais rapidement donné une lettre à Seikyo et était partit.
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Seikyo
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Chapitre 8 : Fin temporaire
.....................Un sombre se tenais assis au pied d’un arbre, une arme de mage tenue dans sa main droite qui était posée sur son genou droit. La jambe gauche était à plat, le sombre était adossé à l’arbre. Ses yeux était fermées, dans sa tête, ses pensées était toutes sauf apaisantes pour un être plus faible que ce sombre.
« Je n’ai pas bien réussit à m’entrainer, je ne suis pas encore assez puissant pour porter la tunique que j’ai, elle est si belle pourtant… J’ai soif… Je croyais qu’à cette heure… si j’entendrai d’ici les enfants sortir de leur école… Qu’elle plait de devoir s’attaquer à ces choses. »
Un craquement fit ouvrir les yeux du sombre, ceux-ci étaient entièrement noir. Le sombre tournât lentement sa tête vers le craquement qu’il avait entendu, face à lui se tenait debout deux enfant : une petite humaine et un humain qui se tenaient par la main. L’intriguant être sombre se leva, il portait un long manteau de cuir noir avec, en dessous, des vêtements sombre, il esquissa un sourire malsain en voyant les deux enfants. La petite se resserra contre ce qui devait être son petit ami. L’elfe noir pointa les deux enfants avec son arme. En un son sourd et une lumière aveuglante, des enfants, il ne resta plus que des corps sans vie.
« Même pas suffisant… Trop faible… » Pensa l’être sombre avant de se rassoir contre l’arbre en faisant, grâce à sa magie, disparaitre les corps.
« - J’ai soif… » Finissait-il de penser à voix haute quelques instant après son méfait quand un craquement le fit sortir de ses songes sans pour autant ouvrir les yeux.
« - Excusez-moi ? Auriez-vous vu deux enfants ? Fit une voix d’homme.
- Non. Répondit le sombre, ouvrant légèrement un œil.
- Oh… D’accord… Vous… Vous semblez mal en points, je vous ais entendu dire que vous aviez soif, si vous voulez j’ai de l’eau ! » Tenta l’homme, intrigué par l’état du sombre.
L’elfe noir ne répondit rien. Il semblait calme et attendais quelque chose. Semblant découragé, l’homme vêtu comme un paysan continua sa route à la recherche des deux enfants, morts. Le sombre le regarda partir quand il sentit un regard sur lui, son regard sombre se posât sur un jeune elfette, une adolescente semblerait-il.
« Qu’elle diversité dans ce petit village… » Pensa t-il.
« - Vous êtes un elfe sombre ? Questionna la jeune elfette.
-Oui... Je le suis… Répondit le sombre d’apparence jeune.
-Oh ! Vous savez ! Je n’ai jamais vu d’elfe sombre ! Vous savez que vous avez beaucoup de charisme ? Enfin, c'est ce que le sgens disent...
-C’est gentil… » Reprit le sombre.
L’elfette le fixait avec un regard presque émerveillé, ses cheveux roses mi-long glissaient doucement sur ses épaules pour arriver devant celles-ci. Ses deux yeux vert émeraude fixait les yeux noir du sombre. L’elfe sombre s’embla se sentir mal à l’aise et pourtant, une bonne proie se tenait juste devant lui, quelque chose contre sa « soif ». Il fixait l’elfette avec un regard noir et se levât brusquement pour partir.
« Pourquoi je fais ça ? Qu’est ce qu’elle a cette elfe ? Je commence à faire mon sensible ? Que m‘arrive t-il ?! » Le sombre s’arrêtât soudainement, il se retournât dans l’espoir de tuer l’elfette et fut découragé. Il fronçât les sourcils, il avait oublié ce qui l’empêchait de faire ça et c’était un peu gênant pour lui. Il se retourna et reprit son chemin, une passeuse était en ville heureusement pour lui qui cherchait à aller ailleurs. Il s’arrêtât devant elle et prononçât un nom qu’il entendait souvent dans sa tête, une pensée qui se répétait sans cesse.
« -Giran. »
.....................Un sombre se tenais assis au pied d’un arbre, une arme de mage tenue dans sa main droite qui était posée sur son genou droit. La jambe gauche était à plat, le sombre était adossé à l’arbre. Ses yeux était fermées, dans sa tête, ses pensées était toutes sauf apaisantes pour un être plus faible que ce sombre.
« Je n’ai pas bien réussit à m’entrainer, je ne suis pas encore assez puissant pour porter la tunique que j’ai, elle est si belle pourtant… J’ai soif… Je croyais qu’à cette heure… si j’entendrai d’ici les enfants sortir de leur école… Qu’elle plait de devoir s’attaquer à ces choses. »
Un craquement fit ouvrir les yeux du sombre, ceux-ci étaient entièrement noir. Le sombre tournât lentement sa tête vers le craquement qu’il avait entendu, face à lui se tenait debout deux enfant : une petite humaine et un humain qui se tenaient par la main. L’intriguant être sombre se leva, il portait un long manteau de cuir noir avec, en dessous, des vêtements sombre, il esquissa un sourire malsain en voyant les deux enfants. La petite se resserra contre ce qui devait être son petit ami. L’elfe noir pointa les deux enfants avec son arme. En un son sourd et une lumière aveuglante, des enfants, il ne resta plus que des corps sans vie.
« Même pas suffisant… Trop faible… » Pensa l’être sombre avant de se rassoir contre l’arbre en faisant, grâce à sa magie, disparaitre les corps.
« - J’ai soif… » Finissait-il de penser à voix haute quelques instant après son méfait quand un craquement le fit sortir de ses songes sans pour autant ouvrir les yeux.
« - Excusez-moi ? Auriez-vous vu deux enfants ? Fit une voix d’homme.
- Non. Répondit le sombre, ouvrant légèrement un œil.
- Oh… D’accord… Vous… Vous semblez mal en points, je vous ais entendu dire que vous aviez soif, si vous voulez j’ai de l’eau ! » Tenta l’homme, intrigué par l’état du sombre.
L’elfe noir ne répondit rien. Il semblait calme et attendais quelque chose. Semblant découragé, l’homme vêtu comme un paysan continua sa route à la recherche des deux enfants, morts. Le sombre le regarda partir quand il sentit un regard sur lui, son regard sombre se posât sur un jeune elfette, une adolescente semblerait-il.
« Qu’elle diversité dans ce petit village… » Pensa t-il.
« - Vous êtes un elfe sombre ? Questionna la jeune elfette.
-Oui... Je le suis… Répondit le sombre d’apparence jeune.
-Oh ! Vous savez ! Je n’ai jamais vu d’elfe sombre ! Vous savez que vous avez beaucoup de charisme ? Enfin, c'est ce que le sgens disent...
-C’est gentil… » Reprit le sombre.
L’elfette le fixait avec un regard presque émerveillé, ses cheveux roses mi-long glissaient doucement sur ses épaules pour arriver devant celles-ci. Ses deux yeux vert émeraude fixait les yeux noir du sombre. L’elfe sombre s’embla se sentir mal à l’aise et pourtant, une bonne proie se tenait juste devant lui, quelque chose contre sa « soif ». Il fixait l’elfette avec un regard noir et se levât brusquement pour partir.
« Pourquoi je fais ça ? Qu’est ce qu’elle a cette elfe ? Je commence à faire mon sensible ? Que m‘arrive t-il ?! » Le sombre s’arrêtât soudainement, il se retournât dans l’espoir de tuer l’elfette et fut découragé. Il fronçât les sourcils, il avait oublié ce qui l’empêchait de faire ça et c’était un peu gênant pour lui. Il se retourna et reprit son chemin, une passeuse était en ville heureusement pour lui qui cherchait à aller ailleurs. Il s’arrêtât devant elle et prononçât un nom qu’il entendait souvent dans sa tête, une pensée qui se répétait sans cesse.
« -Giran. »
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Seikyo
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Chapitre 9 : Retour à la normale, le point faible
.....................C’était il y a plusieurs lunes, un sombre s’était intéressé à Buki. Il l’aimait, Buki bien sûr idolâtrait Mortes et le sombre s’en fut trouver celui du nom de Mortes. Le Démon se baladait dans Giran ce jour ci quand il fit la rencontre de ce sombre nommé Jelayde. En apprenant le nom de Mortes, sans raison apparente Mortes du le combattre. Le sombre agressait verbalement Mortes au début il parlait de Buki « Buki ? Ce nom… » Puis un peu de Seikyo « Je les connais, ces noms… ». Lorsque Mortes redevint lui-même, le combat était démarré. Les lames gagnèrent sur la magie du démon qui venait de retrouver ses esprits. Après avoir gagné, le sombre semblait perturbé et s’en était allé. Pour reprendre ses esprits Mortes avait fais de même.
.....................Quelques jours plus tard Mortes fut convié à une discutions au Poney Fringuant. Il y avait Seikyo, Buki et Alenia. Trois démons et une sombre. Alenia expliqua la « malédiction » qu’elle avait laissée tombé sur les démons, les trois démons qu’elle connaisse avec des sentiments. Alenia avait laisser penser à un démon qu’elle connaissait des démons possédant des sentiments qu’il se ferait une joie de tuer. Mortes avait presque insulté Alenia après le récit de la sombre puis s’en était allé. A ce moment il pensait plus à sa peau qu’a celle des autres. Quand il se retrouva dans une taverne, soit disant malfamée, il pensa à Seikyo et Buki, s’inquiétant sur leurs cas. Puis ses oreilles s’étaient –malheureusement- laissées écouter les diverses conversations pendant qu’il buvait sa cinquième choppe d’hydromel :
« -Hey ! Tu l’avait vu la belle sombre en ville ?
-Laquelle ?
-Celle avec le visage inexpressif.
-Ah ouais elle a l’air pas mal si on oublie son visage !
-Dit plutôt qu’elle est charmante, t’avais vu ces lèvres ?
-Ah ouais et ta entendu parler aussi de la petite sombre ?! »
Mortes commençait à être de plus en plus intéresser par la conversation. Un regard inexpressif, ça ressemblait à Eikan et une petite sombre, Buki est petite..
« -Oh ouais ! Elle a l’air pas mal aussi ! Mais moi j’me verrais bien coincer la grande avec sa jolie robe Avadon dans une ruelle ! »
Mortes regard vers l’un des humains qui venait de dire la phrase, il avait le regard noir, agressif. Comme pour dire ne touche pas a cette sombre, il fixait l’humain. Humain saoul qui remarqua vite le regard du Démon. Il se leva et vint voir Mortes, l’humain empestait l’alcool, Mortes lui, était un peu ivre mais vraiment peu.
« -Qu’est ce que ta a me regarder comme ça toi ?! »
Mortes se leva pour être à la hauteur de l’humain.
« -Je regarde qui je veux comme je veux. Répondit-il froidement
-Ouais bah pas moi ! Hic ! A moins que tu t’intéresse à la même belle donzelle que moi ! Si tu veux on pourrait l’avoir pour nous deux ! Hic ! »
Mortes eu à cet instant quelque chose, une sorte de sentiment assez amer, il semblait vexer. Sans comprendre son geste il agrippât l’humain à la gorge et c’est là qu’il reçut un coup de poing. Et une bataille commença. Au bout d’un moment, Mortes tua deux ivrognes et assomma le reste. Et sans réfléchir, il prononça ces mots : « Tu ne les feras jamais souffrir. ». Le Démon ne s’était pas rendu compte que cet humain il venait de le tuer et il sortit de la taverne.
.....................Quelques minutes après, dans une rue de Giran, il entendit des pleures. Il approcha lentement de l’endroit d’où provenais le son, un peu amoché. Et lorsque son regard fut dans la très petite ruelle, il découvrit Eikan en train de pleurer. N’était pas sûr il prononça le nom d’Eikan :
« -Eikan ? »
La sombre levas les yeux, ceux-ci se posèrent sur Mortes.
« -Ca va ? Reprit-il
-Oui oui. » Répondit Eikan, séchant discrètement ses larmes.
Lorsqu’elle se releva, Mortes se mit à sourire légèrement, un peu heureux de la voir pleurer. Non pas par sadisme mais car elle éprouvait toujours des sentiments.
« -Que s’est-il passé ? Demanda Eikan, elle avait sûrement remarqué son état.
-Oh rien. Mais je te pose la même question, j’entends pleurer depuis un moment… » Répondit Mortes.
Les deux sombres s’en allèrent ainsi vers une auberge réputée calme où ils pourraient discuter. Eikan expliqua son malheur a Mortes qui l’écoutait patiemment, elle lui expliqua qu’elle pleurait a cause de ses dernières conversation et ses vieux souvenirs a propos de son maîtres. Il lui parla ensuite, lui dis qu’elle devrait essayer de montrer un peu plus les sentiments qu’elle cache au monde, même si c’est des larmes. Elle devait se défaire du souvenir de son « maître ». La sombre semblait peu sûr. Elle avait le regard plongé dans le bois de la table, l’air pensif. Au bout d’un moment elle releva la tête, regarda Mortes d’un air presque langoureux. Mortes regarda Eikan d’un air interrogateur, comprenant qu’elle avait eu l’idée de vouloir être avec lui, il se leva rapidement de table et parti rapidement de table, en glissant un simple « Aluve’ ». C’était gênant pour lui cette situation mais il était rassuré, Eikan n’avait rien eu de réellement grave, il espérait que ce soit pareil pour Buki et Seikyo.
.....................C’était il y a plusieurs lunes, un sombre s’était intéressé à Buki. Il l’aimait, Buki bien sûr idolâtrait Mortes et le sombre s’en fut trouver celui du nom de Mortes. Le Démon se baladait dans Giran ce jour ci quand il fit la rencontre de ce sombre nommé Jelayde. En apprenant le nom de Mortes, sans raison apparente Mortes du le combattre. Le sombre agressait verbalement Mortes au début il parlait de Buki « Buki ? Ce nom… » Puis un peu de Seikyo « Je les connais, ces noms… ». Lorsque Mortes redevint lui-même, le combat était démarré. Les lames gagnèrent sur la magie du démon qui venait de retrouver ses esprits. Après avoir gagné, le sombre semblait perturbé et s’en était allé. Pour reprendre ses esprits Mortes avait fais de même.
.....................Quelques jours plus tard Mortes fut convié à une discutions au Poney Fringuant. Il y avait Seikyo, Buki et Alenia. Trois démons et une sombre. Alenia expliqua la « malédiction » qu’elle avait laissée tombé sur les démons, les trois démons qu’elle connaisse avec des sentiments. Alenia avait laisser penser à un démon qu’elle connaissait des démons possédant des sentiments qu’il se ferait une joie de tuer. Mortes avait presque insulté Alenia après le récit de la sombre puis s’en était allé. A ce moment il pensait plus à sa peau qu’a celle des autres. Quand il se retrouva dans une taverne, soit disant malfamée, il pensa à Seikyo et Buki, s’inquiétant sur leurs cas. Puis ses oreilles s’étaient –malheureusement- laissées écouter les diverses conversations pendant qu’il buvait sa cinquième choppe d’hydromel :
« -Hey ! Tu l’avait vu la belle sombre en ville ?
-Laquelle ?
-Celle avec le visage inexpressif.
-Ah ouais elle a l’air pas mal si on oublie son visage !
-Dit plutôt qu’elle est charmante, t’avais vu ces lèvres ?
-Ah ouais et ta entendu parler aussi de la petite sombre ?! »
Mortes commençait à être de plus en plus intéresser par la conversation. Un regard inexpressif, ça ressemblait à Eikan et une petite sombre, Buki est petite..
« -Oh ouais ! Elle a l’air pas mal aussi ! Mais moi j’me verrais bien coincer la grande avec sa jolie robe Avadon dans une ruelle ! »
Mortes regard vers l’un des humains qui venait de dire la phrase, il avait le regard noir, agressif. Comme pour dire ne touche pas a cette sombre, il fixait l’humain. Humain saoul qui remarqua vite le regard du Démon. Il se leva et vint voir Mortes, l’humain empestait l’alcool, Mortes lui, était un peu ivre mais vraiment peu.
« -Qu’est ce que ta a me regarder comme ça toi ?! »
Mortes se leva pour être à la hauteur de l’humain.
« -Je regarde qui je veux comme je veux. Répondit-il froidement
-Ouais bah pas moi ! Hic ! A moins que tu t’intéresse à la même belle donzelle que moi ! Si tu veux on pourrait l’avoir pour nous deux ! Hic ! »
Mortes eu à cet instant quelque chose, une sorte de sentiment assez amer, il semblait vexer. Sans comprendre son geste il agrippât l’humain à la gorge et c’est là qu’il reçut un coup de poing. Et une bataille commença. Au bout d’un moment, Mortes tua deux ivrognes et assomma le reste. Et sans réfléchir, il prononça ces mots : « Tu ne les feras jamais souffrir. ». Le Démon ne s’était pas rendu compte que cet humain il venait de le tuer et il sortit de la taverne.
.....................Quelques minutes après, dans une rue de Giran, il entendit des pleures. Il approcha lentement de l’endroit d’où provenais le son, un peu amoché. Et lorsque son regard fut dans la très petite ruelle, il découvrit Eikan en train de pleurer. N’était pas sûr il prononça le nom d’Eikan :
« -Eikan ? »
La sombre levas les yeux, ceux-ci se posèrent sur Mortes.
« -Ca va ? Reprit-il
-Oui oui. » Répondit Eikan, séchant discrètement ses larmes.
Lorsqu’elle se releva, Mortes se mit à sourire légèrement, un peu heureux de la voir pleurer. Non pas par sadisme mais car elle éprouvait toujours des sentiments.
« -Que s’est-il passé ? Demanda Eikan, elle avait sûrement remarqué son état.
-Oh rien. Mais je te pose la même question, j’entends pleurer depuis un moment… » Répondit Mortes.
Les deux sombres s’en allèrent ainsi vers une auberge réputée calme où ils pourraient discuter. Eikan expliqua son malheur a Mortes qui l’écoutait patiemment, elle lui expliqua qu’elle pleurait a cause de ses dernières conversation et ses vieux souvenirs a propos de son maîtres. Il lui parla ensuite, lui dis qu’elle devrait essayer de montrer un peu plus les sentiments qu’elle cache au monde, même si c’est des larmes. Elle devait se défaire du souvenir de son « maître ». La sombre semblait peu sûr. Elle avait le regard plongé dans le bois de la table, l’air pensif. Au bout d’un moment elle releva la tête, regarda Mortes d’un air presque langoureux. Mortes regarda Eikan d’un air interrogateur, comprenant qu’elle avait eu l’idée de vouloir être avec lui, il se leva rapidement de table et parti rapidement de table, en glissant un simple « Aluve’ ». C’était gênant pour lui cette situation mais il était rassuré, Eikan n’avait rien eu de réellement grave, il espérait que ce soit pareil pour Buki et Seikyo.
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Seikyo
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Chapitre 10 : Souvenirs retrouvables…
.....................Cela aurait pu être un jour comme les autres, assis ici, sur les marches de Giran si « cette » main ne s’était pas posée sur ma tête. Comme n’importe quelle personne, j’ai tourné la tête pour voir qui osait me toucher et je vis le visage de Buki, triste. Pourquoi était-elle triste ? Je ne sais pas pourquoi, mais, comme si elle était aussi fragile que du cristal, j’avais délicatement poussé la main de Buki et m’étais levé. « Que ferais-tu… Si tu pouvais retrouver tout tes souvenirs ? ». Je m’immobilisai, les yeux rivés vers Buki. Si je pouvais ? N’est-ce pas évident ? Je lui répondis, sûr de moi : « Je ferais en sorte de les retrouver ! ». Buki garda son air un peu triste, mais pourquoi ? Elle s’éloigna de moi, me demandant de la suivre. Elle se mit face à la Gardienne des Portes et lui murmura quelque chose suivit d’un « Pour deux ». Et je me retrouvais embarqué dans un vortex en direction de je ne sais où. J’atterri soudain en plein milieu d’un désert, il n’y avait personne autour de moi, même pas Buki. Où est-elle ? Où ?! Je la cherchais du regard quand soudain, une voix masculine et très grave se fit entendre : « Démon. Né comme la pire des vermines… » L’environnement autour de moi se modifia, je me retrouvai dans une sorte de chambre, il y avait des gens dedans. A en juger par leur apparence : des Démons, mais pas ceux que j’avais pu croiser en Elmoraden. Il y avait cette femme, elle avait des petites oreilles pointues, comme ces kamaels et la peau rouge foncée, il y avait des hommes autour d’elle avec la même apparence. La femme ne souriait pas et pourtant elle tenait ce qui semblait être son nourrisson entre ses bras. Elle avait de longs cheveux noir et lisses qui glissaient doucement sur ces épaules. Je m’approchais près de la femme pour voir le nourrisson, intrigué. Je vis un enfant avec une apparence semblable aux autres personnes présentes. La voix repris : « …Né avec des yeux bleus ». Les yeux du bébé fixèrent les miens, on aurait dit deux bijoux d’un bleu profond. Ma vision sembla se brouiller, où était-ce mon environnement ? J’entendis à nouveau la voix : « Pour cacher la tare que possédait ce démon, ses parents lui firent porter un masque pour cacher ses yeux. L’enfant, étant dans l’incapacité de supporter de rudes épreuves physiques, dû s’entraîne à la télékinésie. La seule chose qu’il savait faire ». Mon environnement se changea, je vis un jeune adulte, non, quelqu’un qui à l’âge physique de mon corps… Oui, exactement ça… Le jeune adulte fronça les sourcils et j’entendis quelque chose se briser, lorsque je regardais d’où venait le son je vis une lame d’épée coupée en deux. « Impossible » murmurais-je. La voix repris cette histoire qui me semblait de plus en plus absurde : « Il devint le meilleur utilisateur de ce pouvoir pourtant si banal… Et fut même convié par le Seigneur de la région pour faire parti de ses meilleurs soldats ». L’environnement se brouilla pour faire place à une scène qui m’était étrangement familière : Le jeune adulte saluait doucement un homme l’allure imposante qui possédait deux grandes cornes rouges qui s’enroulaient vers ses oreilles. Pourquoi m’étais-ce familier ? Moi ? Etait-ce moi ? Je ne sais pas pourquoi mais j’eu l’impression d’être pris de panique et sans réfléchir je m’étais mis à crié : « Buki ?! Buki ?? Buki ?!? ». La voix masculine m’interrogea : « Tu ne veux pas continuer ?
- Je…
- Tu te souviens ? » Me questionna-t-il.
Ma tête commençait à me faire mal. Je l’as saisit de mes deux mains, je souffrais. Pourquoi ? Pourquoi est-ce si familier ? Pourquoi ne veux-je pas vivre la suite ? La voix grave prononça d’une façon calme : « Soit un démon… Soit normal… Les yeux rouges auraient dû venir avec ta vraie capacité ». Je m’arrêtai de me tenir la tête, la douleur était pourtant là. Ma vision commença à se brouiller, c’était moi, c’est sûr, ce n’était pas l’environnement là. Je me sentais attiré vers le sol… Puis plus rien.
..................... « Que faisons-nous ici mère ? Nous n’avons pas le droit d’entretenir des relations avec d’autres races et surtout des démons ». Une voix féminine, jeune ? « Arrête de faire du bruit. Je suis désolée de t’avoir amenée ici mais si ça le concerne… C’est important. » Une autre voix, une femme adulte, mais ces voix sont « cristallines »… Où suis-je ? « Excusez-moi, je ne pensais pas qu’il réagirait ainsi, je voulais le sauver… » Sauver qui ? Cette voix m’est un peu familière. Elle teinte comme celle de mère… J’entrouvre mes yeux doucement, qui parle ? « Il se réveille. Nous ne voulons pas qu’il nous voit. prononce la voix jeune.
- Bon dans ce cas j’espère te revoir plus tard, et arrête d’être aussi formelle s’il te plait. répond l’adulte.
- Ses yeux… Ils… Ils sont bleus. » observe la voix qui teinte comme celle de mère.
Mère ? Qui est-ce ? Ma vue trouble devient plus nette. Je vois une elfe avec de longs cheveux roses et des yeux bleus ciel à ma gauche et une elfe sombre avec de jolis yeux rouge et des cheveux long, lisses et noirs comme ceux de mère à ma droite. Pourquoi est-ce que je fais référence à ma mère ? Parce que je l’ais connu ? Non ? Je reconnais soudain Seikyo et Buki, toutes deux à mon chevet. Mon chevet ? Je me relève soudainement. Pourquoi est-ce que je me sens si vide ? J’observe Buki, elle est bouchée bée. « Quoi ? Lui dis-je.
- Même mes illusions ne les reproduisaient pas aussi bien. Es-tu vraiment un démon ?
- Pourquoi cette question ? Je le suis depuis longtemps !
- Si beau… prononce la voix de Seikyo qui s’était mise à côté de Buki et observait mes yeux.
- Mais quoi ? » grondais-je.
Buki mit un miroir face à moi. Je vis mon reflet et mes yeux… Bleus profond. Comment était-ce possible ? Qu’est-ce que je fais avec de tels yeux ? Quel est cette abomination face à moi ? Est-ce vraiment moi ?! J’agrippe le miroir, m’observe dedans. Pourquoi ? Où sont mes yeux ? Ceux avec lesquels j’ai toujours vécu. Non, attends… Je les aie là, ceux avec lesquels j’ai toujours vécu… Qu’elle abomination…Comment ais-je pu vivre ainsi ? « On te laisse » dit Buki. Je relevais rapidement la tête et m’apprêtais et les arrêtées, pourquoi ? Les deux elfes quittèrent la pièce. A leur sortie je reconnu la chambre d’une auberge. Qu’est-ce qu’il s’était passé ? Un mot se trouve à ma droite, sur une petite table de chevet, je le saisi et lis : « Tu ne voulais pas revivre ce qui t’avais rendu tes yeux rouges, donc tu n’en aurais peut-être pas de souvenir avant un moment. Tu te souviendras de tout au fur et à mesure je crois ». Au fur et à mesure ? Qu’elle plaie, ces yeux… Trop purs… Je veux sortir… Je ne veux pas sortir… Qu’est-ce que je veux ?
[ image externe ]
.....................Cela aurait pu être un jour comme les autres, assis ici, sur les marches de Giran si « cette » main ne s’était pas posée sur ma tête. Comme n’importe quelle personne, j’ai tourné la tête pour voir qui osait me toucher et je vis le visage de Buki, triste. Pourquoi était-elle triste ? Je ne sais pas pourquoi, mais, comme si elle était aussi fragile que du cristal, j’avais délicatement poussé la main de Buki et m’étais levé. « Que ferais-tu… Si tu pouvais retrouver tout tes souvenirs ? ». Je m’immobilisai, les yeux rivés vers Buki. Si je pouvais ? N’est-ce pas évident ? Je lui répondis, sûr de moi : « Je ferais en sorte de les retrouver ! ». Buki garda son air un peu triste, mais pourquoi ? Elle s’éloigna de moi, me demandant de la suivre. Elle se mit face à la Gardienne des Portes et lui murmura quelque chose suivit d’un « Pour deux ». Et je me retrouvais embarqué dans un vortex en direction de je ne sais où. J’atterri soudain en plein milieu d’un désert, il n’y avait personne autour de moi, même pas Buki. Où est-elle ? Où ?! Je la cherchais du regard quand soudain, une voix masculine et très grave se fit entendre : « Démon. Né comme la pire des vermines… » L’environnement autour de moi se modifia, je me retrouvai dans une sorte de chambre, il y avait des gens dedans. A en juger par leur apparence : des Démons, mais pas ceux que j’avais pu croiser en Elmoraden. Il y avait cette femme, elle avait des petites oreilles pointues, comme ces kamaels et la peau rouge foncée, il y avait des hommes autour d’elle avec la même apparence. La femme ne souriait pas et pourtant elle tenait ce qui semblait être son nourrisson entre ses bras. Elle avait de longs cheveux noir et lisses qui glissaient doucement sur ces épaules. Je m’approchais près de la femme pour voir le nourrisson, intrigué. Je vis un enfant avec une apparence semblable aux autres personnes présentes. La voix repris : « …Né avec des yeux bleus ». Les yeux du bébé fixèrent les miens, on aurait dit deux bijoux d’un bleu profond. Ma vision sembla se brouiller, où était-ce mon environnement ? J’entendis à nouveau la voix : « Pour cacher la tare que possédait ce démon, ses parents lui firent porter un masque pour cacher ses yeux. L’enfant, étant dans l’incapacité de supporter de rudes épreuves physiques, dû s’entraîne à la télékinésie. La seule chose qu’il savait faire ». Mon environnement se changea, je vis un jeune adulte, non, quelqu’un qui à l’âge physique de mon corps… Oui, exactement ça… Le jeune adulte fronça les sourcils et j’entendis quelque chose se briser, lorsque je regardais d’où venait le son je vis une lame d’épée coupée en deux. « Impossible » murmurais-je. La voix repris cette histoire qui me semblait de plus en plus absurde : « Il devint le meilleur utilisateur de ce pouvoir pourtant si banal… Et fut même convié par le Seigneur de la région pour faire parti de ses meilleurs soldats ». L’environnement se brouilla pour faire place à une scène qui m’était étrangement familière : Le jeune adulte saluait doucement un homme l’allure imposante qui possédait deux grandes cornes rouges qui s’enroulaient vers ses oreilles. Pourquoi m’étais-ce familier ? Moi ? Etait-ce moi ? Je ne sais pas pourquoi mais j’eu l’impression d’être pris de panique et sans réfléchir je m’étais mis à crié : « Buki ?! Buki ?? Buki ?!? ». La voix masculine m’interrogea : « Tu ne veux pas continuer ?
- Je…
- Tu te souviens ? » Me questionna-t-il.
Ma tête commençait à me faire mal. Je l’as saisit de mes deux mains, je souffrais. Pourquoi ? Pourquoi est-ce si familier ? Pourquoi ne veux-je pas vivre la suite ? La voix grave prononça d’une façon calme : « Soit un démon… Soit normal… Les yeux rouges auraient dû venir avec ta vraie capacité ». Je m’arrêtai de me tenir la tête, la douleur était pourtant là. Ma vision commença à se brouiller, c’était moi, c’est sûr, ce n’était pas l’environnement là. Je me sentais attiré vers le sol… Puis plus rien.
..................... « Que faisons-nous ici mère ? Nous n’avons pas le droit d’entretenir des relations avec d’autres races et surtout des démons ». Une voix féminine, jeune ? « Arrête de faire du bruit. Je suis désolée de t’avoir amenée ici mais si ça le concerne… C’est important. » Une autre voix, une femme adulte, mais ces voix sont « cristallines »… Où suis-je ? « Excusez-moi, je ne pensais pas qu’il réagirait ainsi, je voulais le sauver… » Sauver qui ? Cette voix m’est un peu familière. Elle teinte comme celle de mère… J’entrouvre mes yeux doucement, qui parle ? « Il se réveille. Nous ne voulons pas qu’il nous voit. prononce la voix jeune.
- Bon dans ce cas j’espère te revoir plus tard, et arrête d’être aussi formelle s’il te plait. répond l’adulte.
- Ses yeux… Ils… Ils sont bleus. » observe la voix qui teinte comme celle de mère.
Mère ? Qui est-ce ? Ma vue trouble devient plus nette. Je vois une elfe avec de longs cheveux roses et des yeux bleus ciel à ma gauche et une elfe sombre avec de jolis yeux rouge et des cheveux long, lisses et noirs comme ceux de mère à ma droite. Pourquoi est-ce que je fais référence à ma mère ? Parce que je l’ais connu ? Non ? Je reconnais soudain Seikyo et Buki, toutes deux à mon chevet. Mon chevet ? Je me relève soudainement. Pourquoi est-ce que je me sens si vide ? J’observe Buki, elle est bouchée bée. « Quoi ? Lui dis-je.
- Même mes illusions ne les reproduisaient pas aussi bien. Es-tu vraiment un démon ?
- Pourquoi cette question ? Je le suis depuis longtemps !
- Si beau… prononce la voix de Seikyo qui s’était mise à côté de Buki et observait mes yeux.
- Mais quoi ? » grondais-je.
Buki mit un miroir face à moi. Je vis mon reflet et mes yeux… Bleus profond. Comment était-ce possible ? Qu’est-ce que je fais avec de tels yeux ? Quel est cette abomination face à moi ? Est-ce vraiment moi ?! J’agrippe le miroir, m’observe dedans. Pourquoi ? Où sont mes yeux ? Ceux avec lesquels j’ai toujours vécu. Non, attends… Je les aie là, ceux avec lesquels j’ai toujours vécu… Qu’elle abomination…Comment ais-je pu vivre ainsi ? « On te laisse » dit Buki. Je relevais rapidement la tête et m’apprêtais et les arrêtées, pourquoi ? Les deux elfes quittèrent la pièce. A leur sortie je reconnu la chambre d’une auberge. Qu’est-ce qu’il s’était passé ? Un mot se trouve à ma droite, sur une petite table de chevet, je le saisi et lis : « Tu ne voulais pas revivre ce qui t’avais rendu tes yeux rouges, donc tu n’en aurais peut-être pas de souvenir avant un moment. Tu te souviendras de tout au fur et à mesure je crois ». Au fur et à mesure ? Qu’elle plaie, ces yeux… Trop purs… Je veux sortir… Je ne veux pas sortir… Qu’est-ce que je veux ?
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Seikyo
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Chapitre 11 : Si… Vide ?
« Je veux la paix, alors dégage. » ais-je dis à une enfant humaine. Il était très tard dans Giran, tout le monde, ou presque, dormait bien au chaud dans leur lit ou dans les lits des auberges. Quelques sans-toits se baladaient en ville en plus de quelques autres êtres nocturnes. « Tu es bien prétentieux pour une vermine. » me dit une voix qui teinte comme celle de mère. Je me retourne, énervé au plus au point que l’on puisse me rappeler ce fâcheux détail. « Un humain ne semblait pas trouver cela comme une tare ! » ais-je répondu avant de me retrouver face à une sorte d’elfe. Elle était fine, élancée et possédait de belles formes. Ses cheveux blonds étaient tellement clairs qu’ils paraissaient blancs sous la lumière de la lune. Ses iris étaient bleu presque transparent. Elle me toisait. Les traits de son visage étaient fins, on aurait dit un ange. Cela m’énerva encore plus mais je ne sentais pas de violence en moi, pas comme avant. « Et… ? » me répondit-elle « Mon avis est plus important que celui d’un faible humain. » ajouta-t-elle. Elle m’horripilait mais je ne me sentais pas le courage de la frapper. Courage ? Pourquoi n’ais-je pas le courage de la frapper ? Avant j’en aurais été capable. Même si elle ressemble à une elfe ce n’en est pas une. « Et bien alors ? Tu ne me frappe pas ? Donc c’est vrai, tu es une vermine. Qu’elle honte pour tes confrères. » dit-elle. Là, c’en était trop pour moi. Prit d’une fureur que seul peu de personnes avaient été capable de me faire connaître, je sautais sur l’elfe et la plaquait au sol, l’étranglant de toute mes forces. Mes yeux devaient être exorbités, je pense. Je me concentrai pour lui faire connaitre une mort douloureuse et souffrante en faisant une pression au niveau de son crâne mais alors que je commençais à atteindre son cerveau, l’image de l’elfe se brouillait. L’elfe ne pouvait respirer ni même réfléchir, elle succombait lentement sous mes doigts et apparu alors l’image de Buki face à moi. Elle avait le regard implorant comme si elle sentait la mort proche. Je fis un bond et lâchais tout. L’elfe reprit une grande inspiration, des larmes lui venait dans les yeux, sa main droite se posa sur sa tête tandis que la gauche allait vers sa gorge. « Comme tu as connu d’autres… Sentiments… Et que tu as connu la fierté… Tu peux t’énervé au point ou ta tare cesse d’être. » me dit-elle, reprenant lentement son souffle. « Tu as eu… Les yeux rouges… Mais, il y a forcement quelque chose de mieux que ce que tu as vécu pour te faire revenir tes yeux… » continua-t-elle. Je tentais de me rappeler ce qui m’étais arrivé mais je fus pris soudain d’une peur atroce, horrible, je tremblais. Qui suis-je ? Je ne me connaissais pas ces émotions. Ce n’est pas moi ! Je me levais, reculais, j’avais peur… de moi. Le sol se déroba sous mon pied, non, c’était les marches. Je me senti emporté vers l’arrière et entendis Buki hurlé mon nom « Mortes !! » avait-elle dit. Dans sa voix j’avais senti qu’elle allait perdre la chose la plus précieuse à ses yeux. Moi ? Précieux ? J’heurtais le sol et je sombrais.
« Mortes ? Mortes ? » c’est la voix de Buki. Mais pourquoi ressemble-t-elle tellement à celle de mère ? Je me sens vide. La lumière apparait lorsque j’ouvre les yeux, face à moi il y a Buki. Elle parait inquiète. Je reconnais l’endroit, nous sommes à nouveau dans cette chambre d’auberge. Je regarde à nouveau Buki, elle à un regard inquiet, le regard d’une personne qui a faillit perdre un être cher. Mais quelque chose cloche. Ses yeux… La couleur de ses iris se tord, et passe du rouge au bleu, se tord à nouveau, passant du bleu au vert et ainsi de suite, passant par toute les couleurs de l’arc-en-ciel pour revenir ensuite au rouge sang. Je tends ma main droite vers son visage et lui tien. Pourquoi cela lui fait ça ? Elle à un problème avec son pouvoir… « Tu va bien ? J’ai eu peur, tu es tombé. J’ai eu peur que tu perdes la mémoire. Tu me reconnais au moins ? Mortes ?
-Tes yeux…
-Ah ça ? Ce n’est rien, Mortes. « Il » a dit que ça partirait. Regarde mes cheveux, c’est drôle aussi ! »
Elle me montra ses cheveux et je vis quelques mèches passées du noir au blond, du blond au châtain, du châtain au roux et ainsi de suite mais très lentement à tel point que cela se voyait à peine.
« -Comment t’es tu fais cela ? lui ais-je demandé.
-Et bien… Quand tu es tombé… Tu as fait une petite onde de choque… J’étais tout près de toi quand cela s’est passé et j’ai été jetée plus loin. Je crois que ça ma déréglée… Ah ! Déjà que je n’étais pas très bien à cause de mon évolution de pouvoir… »
Petite onde de choque ? Mais oui ! C’est ça ! On m’avait frappé à la tête et j’ai fais cette onde de choque… Mais qu’est-ce ? « Je crois que l’on ne doit pas te donner de grand coup à la tête. Plus le coup est fort plus tu es dangereux, que ce soit pour toi ou les autres. » me précise Buki. Je me sens lentement redevenir moi-même, du moins je crois. Je tente à nouveau de me rappeler ce que je venais de me rappeler mais la peur de me prend. Pourquoi ? « Tes yeux sont redevenu bleu, Mortes… » C’est ça alors ? C’est une belle tare. « Pourquoi est-ce dangereux pour moi ? » lui ais-je demandé. Après tout, si ça fait revenir mes yeux, ce n’est pas si mal. « J’ai vu ton corps être traversé par cette onde… » répondit-elle. Je vois. Cette « onde » à rendu Buki ainsi mais cela ne semble pas si mal pour moi, si je redeviens moi. La folie me prend, si seulement je pouvais… « Tuer ? » me demande une voix cristalline. Je lève les yeux vers une elfe, Seikyo. Comment à telle su ? « Je l’ais senti, tu émets une aura vraiment inquiétante quand tu penses à ça, Mortes… » Elle frotte ses bras, comme si elle avait eu froid. « Ca viendra. » me dit-elle avec un sourire réconfortant. Je me calme et souri. Mais pourquoi je souris ?! Je ne suis pas un cœur tendre ! Je suis un monstre ! Un monstre assoiffé de sang. Oui, c’est ça ! « Soit toi-même Mortes » me dis Buki, m’ébouriffant les cheveux avec sa main gauche. Je n’ais pas eu le temps de comprendre ce qu’elle vient de me faire. Elle s’éloigne vers Seikyo, la main droite pendant le long de son corps. « Que s’est-il passé ? murmurais-je.
-Elle avait la main droite dirigée vers toi, tu as broyé ses os. Et dire que c’est une archère. Elle à le corps d’une démone, ça reviendra assez vite, mais tu as fait un vrai carnage sur elle, me dit une voix qui résonne dans ma tête. »
Une simple chute à causé ça ? Mais qu’est-ce que je suis ? J’ai fais ça, à Buki ? Elle ne m’a même pas touché et j’ai osé faire ça sachant qu’elle accourait vers moi ? « C’est une arme dangereuse. Je vous laisse ce monstre sans ses souvenirs, Madame ! Votre création est la pire que je connaisse ! Que voulez-vous en faire ?!
-Rien… Répond une voix féminine à la voix grave et masculine.
-Rien ? Rien en faire ? Mais vous avez vu ce monstre ?
-Je voulais juste voir comment il pourrait vivre ici.
-Faites le vivre ailleurs alors !
-Bien. Il recommencera sa vie dans l’autre monde. Mais vous me l’avez cassé… »
Je reconnais la voix du Seigneur et pense reconnaitre celle de Shilen. Cassé ? Je suis cassé ? J’étais… cassé. Comment ais-je pu mémoriser ses paroles dans l’état dans lequel j’étais ? Oui, quand on m’a « cassé » j’étais… Amorphe. Une arme parfaite… Plus rien ne me retenais à la vie, on aurait pu me tuer je n’aurais pas senti le besoin de survivre sauf si on me l’avait demandé. J’entends Seikyo et Buki qui parlent ensemble, je les observe. Buki tien délicatement son bras droit. Comment puis-je vivre ici ? Si je vivais entre moi et moi ? Entre la tare et l’arme ? Un sourire en coin se dessine sur mon visage. Buki et Seikyo quittent la chambre. Alors je choisi seul : j’attaque ceux que je veux et laisse ma « tare » agir avec les autres… Plus personne ne peux me dicter ma conduite. Je suis moi. Je ferais comme Seikyo mais le contraire. Oui ! Moi d’abords et ma tare après !
« Je veux la paix, alors dégage. » ais-je dis à une enfant humaine. Il était très tard dans Giran, tout le monde, ou presque, dormait bien au chaud dans leur lit ou dans les lits des auberges. Quelques sans-toits se baladaient en ville en plus de quelques autres êtres nocturnes. « Tu es bien prétentieux pour une vermine. » me dit une voix qui teinte comme celle de mère. Je me retourne, énervé au plus au point que l’on puisse me rappeler ce fâcheux détail. « Un humain ne semblait pas trouver cela comme une tare ! » ais-je répondu avant de me retrouver face à une sorte d’elfe. Elle était fine, élancée et possédait de belles formes. Ses cheveux blonds étaient tellement clairs qu’ils paraissaient blancs sous la lumière de la lune. Ses iris étaient bleu presque transparent. Elle me toisait. Les traits de son visage étaient fins, on aurait dit un ange. Cela m’énerva encore plus mais je ne sentais pas de violence en moi, pas comme avant. « Et… ? » me répondit-elle « Mon avis est plus important que celui d’un faible humain. » ajouta-t-elle. Elle m’horripilait mais je ne me sentais pas le courage de la frapper. Courage ? Pourquoi n’ais-je pas le courage de la frapper ? Avant j’en aurais été capable. Même si elle ressemble à une elfe ce n’en est pas une. « Et bien alors ? Tu ne me frappe pas ? Donc c’est vrai, tu es une vermine. Qu’elle honte pour tes confrères. » dit-elle. Là, c’en était trop pour moi. Prit d’une fureur que seul peu de personnes avaient été capable de me faire connaître, je sautais sur l’elfe et la plaquait au sol, l’étranglant de toute mes forces. Mes yeux devaient être exorbités, je pense. Je me concentrai pour lui faire connaitre une mort douloureuse et souffrante en faisant une pression au niveau de son crâne mais alors que je commençais à atteindre son cerveau, l’image de l’elfe se brouillait. L’elfe ne pouvait respirer ni même réfléchir, elle succombait lentement sous mes doigts et apparu alors l’image de Buki face à moi. Elle avait le regard implorant comme si elle sentait la mort proche. Je fis un bond et lâchais tout. L’elfe reprit une grande inspiration, des larmes lui venait dans les yeux, sa main droite se posa sur sa tête tandis que la gauche allait vers sa gorge. « Comme tu as connu d’autres… Sentiments… Et que tu as connu la fierté… Tu peux t’énervé au point ou ta tare cesse d’être. » me dit-elle, reprenant lentement son souffle. « Tu as eu… Les yeux rouges… Mais, il y a forcement quelque chose de mieux que ce que tu as vécu pour te faire revenir tes yeux… » continua-t-elle. Je tentais de me rappeler ce qui m’étais arrivé mais je fus pris soudain d’une peur atroce, horrible, je tremblais. Qui suis-je ? Je ne me connaissais pas ces émotions. Ce n’est pas moi ! Je me levais, reculais, j’avais peur… de moi. Le sol se déroba sous mon pied, non, c’était les marches. Je me senti emporté vers l’arrière et entendis Buki hurlé mon nom « Mortes !! » avait-elle dit. Dans sa voix j’avais senti qu’elle allait perdre la chose la plus précieuse à ses yeux. Moi ? Précieux ? J’heurtais le sol et je sombrais.
« Mortes ? Mortes ? » c’est la voix de Buki. Mais pourquoi ressemble-t-elle tellement à celle de mère ? Je me sens vide. La lumière apparait lorsque j’ouvre les yeux, face à moi il y a Buki. Elle parait inquiète. Je reconnais l’endroit, nous sommes à nouveau dans cette chambre d’auberge. Je regarde à nouveau Buki, elle à un regard inquiet, le regard d’une personne qui a faillit perdre un être cher. Mais quelque chose cloche. Ses yeux… La couleur de ses iris se tord, et passe du rouge au bleu, se tord à nouveau, passant du bleu au vert et ainsi de suite, passant par toute les couleurs de l’arc-en-ciel pour revenir ensuite au rouge sang. Je tends ma main droite vers son visage et lui tien. Pourquoi cela lui fait ça ? Elle à un problème avec son pouvoir… « Tu va bien ? J’ai eu peur, tu es tombé. J’ai eu peur que tu perdes la mémoire. Tu me reconnais au moins ? Mortes ?
-Tes yeux…
-Ah ça ? Ce n’est rien, Mortes. « Il » a dit que ça partirait. Regarde mes cheveux, c’est drôle aussi ! »
Elle me montra ses cheveux et je vis quelques mèches passées du noir au blond, du blond au châtain, du châtain au roux et ainsi de suite mais très lentement à tel point que cela se voyait à peine.
« -Comment t’es tu fais cela ? lui ais-je demandé.
-Et bien… Quand tu es tombé… Tu as fait une petite onde de choque… J’étais tout près de toi quand cela s’est passé et j’ai été jetée plus loin. Je crois que ça ma déréglée… Ah ! Déjà que je n’étais pas très bien à cause de mon évolution de pouvoir… »
Petite onde de choque ? Mais oui ! C’est ça ! On m’avait frappé à la tête et j’ai fais cette onde de choque… Mais qu’est-ce ? « Je crois que l’on ne doit pas te donner de grand coup à la tête. Plus le coup est fort plus tu es dangereux, que ce soit pour toi ou les autres. » me précise Buki. Je me sens lentement redevenir moi-même, du moins je crois. Je tente à nouveau de me rappeler ce que je venais de me rappeler mais la peur de me prend. Pourquoi ? « Tes yeux sont redevenu bleu, Mortes… » C’est ça alors ? C’est une belle tare. « Pourquoi est-ce dangereux pour moi ? » lui ais-je demandé. Après tout, si ça fait revenir mes yeux, ce n’est pas si mal. « J’ai vu ton corps être traversé par cette onde… » répondit-elle. Je vois. Cette « onde » à rendu Buki ainsi mais cela ne semble pas si mal pour moi, si je redeviens moi. La folie me prend, si seulement je pouvais… « Tuer ? » me demande une voix cristalline. Je lève les yeux vers une elfe, Seikyo. Comment à telle su ? « Je l’ais senti, tu émets une aura vraiment inquiétante quand tu penses à ça, Mortes… » Elle frotte ses bras, comme si elle avait eu froid. « Ca viendra. » me dit-elle avec un sourire réconfortant. Je me calme et souri. Mais pourquoi je souris ?! Je ne suis pas un cœur tendre ! Je suis un monstre ! Un monstre assoiffé de sang. Oui, c’est ça ! « Soit toi-même Mortes » me dis Buki, m’ébouriffant les cheveux avec sa main gauche. Je n’ais pas eu le temps de comprendre ce qu’elle vient de me faire. Elle s’éloigne vers Seikyo, la main droite pendant le long de son corps. « Que s’est-il passé ? murmurais-je.
-Elle avait la main droite dirigée vers toi, tu as broyé ses os. Et dire que c’est une archère. Elle à le corps d’une démone, ça reviendra assez vite, mais tu as fait un vrai carnage sur elle, me dit une voix qui résonne dans ma tête. »
Une simple chute à causé ça ? Mais qu’est-ce que je suis ? J’ai fais ça, à Buki ? Elle ne m’a même pas touché et j’ai osé faire ça sachant qu’elle accourait vers moi ? « C’est une arme dangereuse. Je vous laisse ce monstre sans ses souvenirs, Madame ! Votre création est la pire que je connaisse ! Que voulez-vous en faire ?!
-Rien… Répond une voix féminine à la voix grave et masculine.
-Rien ? Rien en faire ? Mais vous avez vu ce monstre ?
-Je voulais juste voir comment il pourrait vivre ici.
-Faites le vivre ailleurs alors !
-Bien. Il recommencera sa vie dans l’autre monde. Mais vous me l’avez cassé… »
Je reconnais la voix du Seigneur et pense reconnaitre celle de Shilen. Cassé ? Je suis cassé ? J’étais… cassé. Comment ais-je pu mémoriser ses paroles dans l’état dans lequel j’étais ? Oui, quand on m’a « cassé » j’étais… Amorphe. Une arme parfaite… Plus rien ne me retenais à la vie, on aurait pu me tuer je n’aurais pas senti le besoin de survivre sauf si on me l’avait demandé. J’entends Seikyo et Buki qui parlent ensemble, je les observe. Buki tien délicatement son bras droit. Comment puis-je vivre ici ? Si je vivais entre moi et moi ? Entre la tare et l’arme ? Un sourire en coin se dessine sur mon visage. Buki et Seikyo quittent la chambre. Alors je choisi seul : j’attaque ceux que je veux et laisse ma « tare » agir avec les autres… Plus personne ne peux me dicter ma conduite. Je suis moi. Je ferais comme Seikyo mais le contraire. Oui ! Moi d’abords et ma tare après !
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Lotradas
- Tyrannosaurus
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- Inscription : dim. 5 avril 2009 à 15h42
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