Prenom : Gurdin
Age : La petite centaine d'années
Sexe : Masculin
Race : Nain
Classe : Bounty Hunter
Croyances : Maphr
Langues parlées : Nain, Commun
Descriptions (physique/morale) : Grognon, bougon, ronchon et peu communicatif
Autres (particularités) : Voir description morale
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Nom : Poindanel
Prenom : Periam
Age : La petite centaine d'années
Sexe : Féminin
Race : Naine
Classe : Bounty Hunter
Croyances : Maphr
Langues parlées : Nain, Commun
Descriptions (physique/morale) : C'est un petit bout de jeune femme ne dépassant les hautes herbes, elle est souriante et pleine de vie.
La joie lui fait sourire à tout va et il semble que ses yeux pétilles de bonheur.
Elle attache des cheveux en une seule couette qui est placé sur un coté, lui donnant un air de gamine qu'elle ne renie pas.
Elle est toujours en mouvement, à courir ou sautiller sur place, bien qu'elle soit chargé comme une mule : un bouclier presque aussi grand qu'elle, une masse et rajouter à cela deux besaces qu'elle portes en bandoulière de chaque coté, sac remplit sans nul doute à en déborder.
Autres (particularités) : Rien à signaler
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Gurdin et Periam sont tous deux des petits frères et sœurs de Kyrian. De natures contraires, Gurdin est quelqu’un de renfermé, souvent bougon, et peu communicatif, alors que Periam est une curiosité à elle seule, toujours à l’affût de la moindre découverte, et expansive comme il était rare de le voir. Ces deux-là étaient vraiment les opposés l’un de l’autre, sauf sur un point, ils tenaient tous deux à leur frère Kyrian. Ils se rappelaient tous deux le soir où ce dernier avait quitté la maison familiale.
Pour Gurdin, la discussion qui avait eu lieu cette nuit-là avec leur père avait été un moment dont il n’avait pas loupé la moindre miette. Il fallait toujours faire ceci, être comme cela… D’un naturel contrariant, et même souvent contrarié, il se refusait systématiquement à se plier à n’importe quelle volonté. Ainsi, lorsqu’il su qu’il devrait apprendre un jour l’art de la forge, il passait son temps à observer comment on récupérait les ressources nécessaires à la fabrication de toute chose. La conception en elle-même ne l’intéressait pas, puisque celle-ci lui était imposée d’office.
Periam quant à elle, ne peut dormir de toute la nuit. Elle se posait moult questions à savoir comment son frère allait faire une fois qu’il serait seul, comment ferait-il pour se nourrir, où irait-il dormir, une véritable seconde mère. Elle ne pouvait pas s’empêcher de s’inquiéter pour lui. Depuis son plus jeune âge elle avait toujours été ainsi, à suivre son grand frère discrètement lorsqu’il partait en chasse, à le regarder de loin lorsqu’il était à la forge pour son entraînement, où qu’il aille elle n’était jamais très loin.
Alors que Gurdin et Periam grandissaient de manières très différentes, ils se rejoignaient sans le vouloir dans l’art délicat de la chasse aux ingrédients, et aux trésors en général. Sans le savoir, tous deux évoluaient dans des coins différents mais agissaient en pleine nature comme s’ils avaient été de véritables jumeaux. L’un ronchonnait sans cesse, l’autre sifflotait parfois très indiscrètement, mais au fond d’eux ils étaient identiques. Les recherches quelles qu’elles soient les passionnaient profondément, et allaient toujours au bout des choses quoi qu’il advienne.
Le départ de Kyrian fut une déchirure dans la maison des Poindanel. Les jours qui suivirent furent aussi silencieux que cette nuit-là avait été bruyante. Personne n’osait dire le moindre mot, ni même faire quoi que ce soit qui aurait pu relancer la colère de leur père qui ne s’était pas complètement éteinte. Tout le monde avait conscience que la moindre étincelle pouvait raviver le feu, et personne n’avait envie d’être la prochaine cible. En soit, Kyrian avait servi d’exemple aux autres quant à ce qu’il est permis de faire et surtout de ne pas faire.
Mais cette situation oppressante ne pouvait plus continuer. C’est alors que Periam prit les devants pour aller parler à sa mère alors que son père était occupé à la forge. Elle tenta de garder le plus grand calme pour lui exposer sa tristesse et le manque cruel qu’elle ressentait en elle depuis que Kyrian n’était plus là, et qu’elle devait trouver un moyen pour combler ce vide. Ce moyen, s’était de partir à sa recherche, le trouver, et tâcher de ne plus le quitter. Pour ne pas être seule, elle pourrait partir avec son frère Gurdin. Celui-ci n’appréciait pas l’objectif de taper sur une enclume toute la journée sans oser le dire à son père sous peine de subir la scène qu’avait connu Kyrian.
Il fallu un temps de réflexion conséquent à la mère qui se retrouvait un peu en désarroi. Elle avait déjà perdu un fils, elle ne voulait pas en perdre un autre en plus d’une fille. Cela faisait beaucoup pour elle. En même temps il fallait voir les choses en face, ses enfants avaient grandi, ils étaient adultes depuis un bon moment et il fallait bien qu’un jour ou l’autre certains se décident à aller voir ailleurs comment se portait le monde, se forger leurs propres expériences, et pourquoi pas fonder leur propre famille. C’est avec le cœur un peu lourd qu’elle prit alors la décision de les laisser partir, en promettant d’expliquer à leur père tout ce qu’il aurait à savoir sur leur départ. Ainsi, ils seraient toujours les bienvenus à la maison si l’envie du monde extérieur les abandonnait un jour.
C’est ainsi que Gurdin et Periam prirent la route sur les traces de leur frère. Rapidement, les choses ne se firent pas aussi simples qu’ils auraient pu le penser. Tout d’abords la traversée de Shuttgart se dans les délais les plus brefs, cette cité semblait bien correspondre aux rumeurs qui s’en disaient, et il ne valait mieux pas y traîner très longtemps. Arrivés enfin dans le sud, ils commencèrent à chercher leur frère mais les terres étaient vastes et il fallu rapidement demander de l’aide locale. Alors que Gurdin restait toujours en arrière, discret et même parfois invisible, Periam n’hésita pas à entrer en contact avec la population afin de quérir toute personne désireuse d’aider dans leurs recherches.
Alors que Gurdin et Periam voyageait de ville en ville, il semblait que Kyrian en faisait tout autant de son côté tant il était difficile aux frères et sœurs d’arriver à se croiser. Finalement, ce fut à Giran où ils réussirent enfin cet exploit. Les ravages de la cité avaient manifestement touché le cœur de Kyrian qui y passait le plus clair de son temps. En ce qui concernait Gurdin et Periam, leur avenir se révélait sous leurs yeux comme une évidence : leur frère semblait si décidé dans ce qu’il allait faire qu’ils purent se rendre à l’évidence qu’ils feraient tout pour l’aider. Que ses rêves soient fous ou celui d’un génie cela n’avait pas la moindre espèce d’importance, l’essentielle est que la famille était à nouveau réunie, et qu’elle se serrerait les coudes comme jamais.
Pour Gurdin, la discussion qui avait eu lieu cette nuit-là avec leur père avait été un moment dont il n’avait pas loupé la moindre miette. Il fallait toujours faire ceci, être comme cela… D’un naturel contrariant, et même souvent contrarié, il se refusait systématiquement à se plier à n’importe quelle volonté. Ainsi, lorsqu’il su qu’il devrait apprendre un jour l’art de la forge, il passait son temps à observer comment on récupérait les ressources nécessaires à la fabrication de toute chose. La conception en elle-même ne l’intéressait pas, puisque celle-ci lui était imposée d’office.
Periam quant à elle, ne peut dormir de toute la nuit. Elle se posait moult questions à savoir comment son frère allait faire une fois qu’il serait seul, comment ferait-il pour se nourrir, où irait-il dormir, une véritable seconde mère. Elle ne pouvait pas s’empêcher de s’inquiéter pour lui. Depuis son plus jeune âge elle avait toujours été ainsi, à suivre son grand frère discrètement lorsqu’il partait en chasse, à le regarder de loin lorsqu’il était à la forge pour son entraînement, où qu’il aille elle n’était jamais très loin.
Alors que Gurdin et Periam grandissaient de manières très différentes, ils se rejoignaient sans le vouloir dans l’art délicat de la chasse aux ingrédients, et aux trésors en général. Sans le savoir, tous deux évoluaient dans des coins différents mais agissaient en pleine nature comme s’ils avaient été de véritables jumeaux. L’un ronchonnait sans cesse, l’autre sifflotait parfois très indiscrètement, mais au fond d’eux ils étaient identiques. Les recherches quelles qu’elles soient les passionnaient profondément, et allaient toujours au bout des choses quoi qu’il advienne.
Le départ de Kyrian fut une déchirure dans la maison des Poindanel. Les jours qui suivirent furent aussi silencieux que cette nuit-là avait été bruyante. Personne n’osait dire le moindre mot, ni même faire quoi que ce soit qui aurait pu relancer la colère de leur père qui ne s’était pas complètement éteinte. Tout le monde avait conscience que la moindre étincelle pouvait raviver le feu, et personne n’avait envie d’être la prochaine cible. En soit, Kyrian avait servi d’exemple aux autres quant à ce qu’il est permis de faire et surtout de ne pas faire.
Mais cette situation oppressante ne pouvait plus continuer. C’est alors que Periam prit les devants pour aller parler à sa mère alors que son père était occupé à la forge. Elle tenta de garder le plus grand calme pour lui exposer sa tristesse et le manque cruel qu’elle ressentait en elle depuis que Kyrian n’était plus là, et qu’elle devait trouver un moyen pour combler ce vide. Ce moyen, s’était de partir à sa recherche, le trouver, et tâcher de ne plus le quitter. Pour ne pas être seule, elle pourrait partir avec son frère Gurdin. Celui-ci n’appréciait pas l’objectif de taper sur une enclume toute la journée sans oser le dire à son père sous peine de subir la scène qu’avait connu Kyrian.
Il fallu un temps de réflexion conséquent à la mère qui se retrouvait un peu en désarroi. Elle avait déjà perdu un fils, elle ne voulait pas en perdre un autre en plus d’une fille. Cela faisait beaucoup pour elle. En même temps il fallait voir les choses en face, ses enfants avaient grandi, ils étaient adultes depuis un bon moment et il fallait bien qu’un jour ou l’autre certains se décident à aller voir ailleurs comment se portait le monde, se forger leurs propres expériences, et pourquoi pas fonder leur propre famille. C’est avec le cœur un peu lourd qu’elle prit alors la décision de les laisser partir, en promettant d’expliquer à leur père tout ce qu’il aurait à savoir sur leur départ. Ainsi, ils seraient toujours les bienvenus à la maison si l’envie du monde extérieur les abandonnait un jour.
C’est ainsi que Gurdin et Periam prirent la route sur les traces de leur frère. Rapidement, les choses ne se firent pas aussi simples qu’ils auraient pu le penser. Tout d’abords la traversée de Shuttgart se dans les délais les plus brefs, cette cité semblait bien correspondre aux rumeurs qui s’en disaient, et il ne valait mieux pas y traîner très longtemps. Arrivés enfin dans le sud, ils commencèrent à chercher leur frère mais les terres étaient vastes et il fallu rapidement demander de l’aide locale. Alors que Gurdin restait toujours en arrière, discret et même parfois invisible, Periam n’hésita pas à entrer en contact avec la population afin de quérir toute personne désireuse d’aider dans leurs recherches.
Alors que Gurdin et Periam voyageait de ville en ville, il semblait que Kyrian en faisait tout autant de son côté tant il était difficile aux frères et sœurs d’arriver à se croiser. Finalement, ce fut à Giran où ils réussirent enfin cet exploit. Les ravages de la cité avaient manifestement touché le cœur de Kyrian qui y passait le plus clair de son temps. En ce qui concernait Gurdin et Periam, leur avenir se révélait sous leurs yeux comme une évidence : leur frère semblait si décidé dans ce qu’il allait faire qu’ils purent se rendre à l’évidence qu’ils feraient tout pour l’aider. Que ses rêves soient fous ou celui d’un génie cela n’avait pas la moindre espèce d’importance, l’essentielle est que la famille était à nouveau réunie, et qu’elle se serrerait les coudes comme jamais.