Une enfance bien innocente
Le jour se lève a peine, et pourtant aucun rayon ne parvins dans la citée souterraine de Shel’oloth. La mère de Lüga viens le réveiller, tendrement, tout comme chaque jour qui fait sa vie. Elle l’aida a s’habiller, dans le calme et la sérénité, puis une fois fin prêts, ils partent ensemble, main dans la main en direction du temple de leurs divinité.
Ils déambulent joyeusement, sa mère toujours souriante envers lui lui fais la conversation, lui demande de réciter quelques préceptes et leçons. Même si l’enfant tout dissiper lui répond correctement et avec toute l’innocence dont il dispose, elle ne relâche pas son étreinte, et oui car son apprentissage n’est pas à prendre a la légère. Elle reste ferme et directe sur ce sujet, il se doit d'être un bon fils et de rendre honneur à la famille et a son peuple tout entiers.
«Dit maman, je suis obliger d’y aller ?»
«Nous en avons déjà parler mon petit Lüga, il le faut»
Ne râlant pas, l’enfant continue sa marche devenue silencieuse, enjoué d'être au coté de sa mère, et se foutant complètement de ou ils vont.
L’air frais de l'extérieur le fait greloté, et son accompagnatrice, malgré sa rigidité, ne manque jamais une occasion de faire preuve de son chaleureux instinct maternel. Elle lui boutonne son manteau et se remettent en marche. Les rayons naissant a l’horizon aveugle le jeune sombre; mais rien ne peux stoppé cette marche.
Arrivé au temple de Shilen, tous les regardent arriver, gardes, prêtres, fidèles; ils connaissent tous le caractères se cette mère et son fils. Qu’a chaque jours de classe, le petit Lüga est dissipé et tête en l’air. Un haut prêtre viens a leurs rencontre et après un bref échange, la mère lui donne son fils.
«Au revoir maman, a a ce soir»
«Oui mon bébé, sois sage et écoute bien le prêtre d’accord» *tout en se baissant a son niveau*
«Oui oui»
Puis elle s’en alla, avec grande espoir qu’aujourd’hui ne soit pas un jour comme les autres, qu’aujourd’hui quand elle ira chercher son fils, le prêtre ne lui ferra pas la moue. Signe simple et qui avec le temps remplacer une discussion récurante; celle que son fils n’enregistre que ce qu’il souhaites.
La famille Smilshkalne n’est pourtant pas une famille laxiste sur l’autorité et l’éducation de ses descendance. Bien au contraire, elle est vivement active a la vie communautaire et s’implique très souvent, à leur échelle, dans le dispensaire du temple. Il est de ce fait, très étrange de voir un de leur enfants dans une telle marginalité éducative. Cependant, et conformément au sang qui coule dans ses veines, ses attribut magique sont a la hauteur du nom de famille qu’il porte.
Lüga semble être différent.
La révélation de sa propre profondeur
Vingt ans plus tard.
Notre jeune sombre a bien grandi, il contrôle assez bien sa magie, et de part son utilisation reflète et honore le blason de sa famille avec conviction et ferveur. Ses parents en sont fière, il est le plus doué de leurs foyer. Cependant, même avec tout cela, notre Lüga a toujours du mal avec l’autorité. Non pas qu’il désobéis ou se montre désobligeant; bien au contraire. Mais il a tendance a oublier certaines choses a ne mémoriser que ce qu’il l'intéresse.
Il y a deux ans, le père de Lüga l’emmena au temple pour qu’il soit ausculté et étudié, pour clarifier se manque de discipline. Il en avait assez que son fils ne prenne part a aucun projet ni meme opinion. Et après examen physique, mental et magique, aucune déviance morphologique ou mental ne fut détecté. Ce qui enragea le père bien encore plus, et qui se jura d’endiguer le caractère irritant (pour lui) de son fils. Et de la leurs rapports ce détériora.
En mission pour le temple, Lüga est charger de livrer un simple paquet d’herbe a une mage sombre résident à la bibliothèque de Rune. Sans un commentaire il part, demandant direction et assistance au passeuse, payant son voyage. Et arrivant à Rune, laisse son esprit vagabonder parmi les vues et les rencontres. Marchant en direction de la citadelle. Pour une première sortie de Shel’oloth, il apprécie se voyage, et traine le pas. Passe son regard au delà du garde corps; scrutant le moindre centimètre carré de façade. Et le plus stupéfiant pour lui, c’est la bibliothèque bien sur... Incommensurable.
Il livra son paquet et reçut son récépissé. Mais il ne peux se permettre de partir sans ouvrir ne serait ce qu’un seul ouvrage. Et le voila partir sur une échelle, arpentant les rayonnages, escaladant les étagères. Dévorant des yeux chaque titres; tout cela se répète durant deux bonne heure, et a chaque fois, sa stupéfaction est la même.
Il s'avance prêt d’une table avec deux gros livre et un autre plus modeste. Un livre sur les arcanes de l’ombre, l’autre sur les arcane du vent et un dernier sur la psychologie...
Étrangement il ouvrit celui de la psychologie en premier, et scrutant le sommaire puis quelques sujet qui l’interpeller, cherchant en réalité a se définir lui même a se correspondre. Car en vérité, même si il ne l’ose pas l’avouer a haute voix a qui mieux mieux. Il se sent différent des siens, et souhaite réellement comprendre. Car si après le diagnostique que son père lui a fait passer; si se n’est ni physique ni mental, c’est psychologique.
Mais il ne trouve rien dans les pages concernant les elfes sombres. Il faut dire que étant donné le trie sélectif des progéniture, rare sont les particularités. Cela dit il se penche sur les chapitres humains; par curiosité, ne sait on jamais. Et bingo !
Certaines rares personnes sont tout a fait saint d’esprit et de corps, elle ne sont sujets a aucunes déviances ou encore maladies mental. Leur psychisme est en réalité un état second. Une anomalie de la perception extrêmement rare. Certains grand psychologue humains rapproche cette convalescence a s’eu soufrant de la maladie mental que l’on appel l'autisme. Mais en fait, il n’est rien. Je vous le rappel cette maladie n’a rien a voir, il ne s’apparente seulement d’un état s’y rapprochant partiellement, ce même état est qualifié et nommé «ataraxie».
Pour faire simple, la personne a toute sa raison. Il est sujet a une grande tranquillité de l’esprit acquise ou perpétré par un très grand stoïcisme mais aussi de scepticisme le tout dans un équilibre parfait. Pour faire simple, son esprit analyse toute choses et tout actes de la même manière, donnant un degrés d’importance égal a chacun, plaçant tout ce qui l’entoure sur un même pied d’égalité.
C’est certes un état mental très étrange mais ces personnes sont des êtres comme vous et moi et dotant plus remarquable et attachante.
Voila qui définit enfin ce qu’il été. Il ferme le livre, conscient d'être face a sa vérité; mais il s’en fout... Et part ...
Le souffle de l'éveil
Lüga a 99 ans, il pratique la magie régulièrement et sert dans le dispensaire du temple de Shilen avec sa soeur ainé, une prêtresse de Shilen stricte et froide. Tous les maitres académiciens ne peuvent se leurrer sur le fait que ce jeune homme fait partie des 5 meilleur praticien de magie de sa classe, en 3eme position; cela dit, les cours théorique et religieux ne sont pas sont fort, même si il enregistre les informations communiquer, parfois il garde en mémoire des choses complètement obsolète ou sans importance et du coup ne brille pas vraiment de ce coté.
Il possède quelques amis, mais aussi quelques rivaux ou ennemis, dont il se fout complètement.
C’est une journée tout a fait banal, il a fini ses cours, s'est rendu au temple avec sa sœur participer a la cérémonie journalière, a participé aux prières et aux chants. Et c’est en sortant du temple, en escaladant les hautes marches, qu’a chaque fois il se sentait le mieux.
Il se dirige vers les abords de l’océan, seul, marchant avec sa cape, et il ne peux s'empêcher de se demander ce qu’il se trouve derrière ses montagnes, derrière cette étendu bleu, dessous ses pieds, il se le demande, mais il s’en fiche.
La assis au bord de l’eau, sentant les embruns frais et les cries des rare mouettes passant par son territoire, la, il se sent bien et entier.
«Mère Shilen, te satisfais tu ? Pourquoi ta famille est elle si injuste envers toi ? Pourquoi les haies tu ?»
Mais aucune réponse.
«Oh grand Kain, saurais tu répondre a ses questions ? Pourquoi maltraite tu ta fille qui t’a ouvert son coeur?»
Mais aucune réponse
«Oh Einashad, méchante mère, et toi peux tu me répondre ?»
Mais aucune réponse
«Et toi Eva, fille d’un père traitre et d’une mère colérique, toi qui a volé la magie de l’eau a ta soeur? Saurais tu me répondre?»
Mais aucune réponse
«Et toi impassible Marph ?»
Rien, le pauvre.
C’est quand il se releva qu’un corbeau, noir de cobalt viens s’apposer sur une pierre non loin. Son croassement effrayant et fascinant le jeune Lüga. S’en approchant, doucement, calmement, le dévisagent. Le corbeau restant lui aussi immobile l’observe avec ses yeux profond.
«Et toi petit corbeau, toi qui es libre de voyager ou bon te semble, toi qui voit le monde d’en haut, as tu mes réponses ?» *tout en s'accroupissant devant l’oiseau»
Le corbeau ne dit croua et après quelques seconde s’envole puis tournois autour du sombre. Lüga tendant le bras pour qu’il se pose, ne sait on jamais, dans sa grande naïveté, attend, regardant le corbeau. Et le corbeau se posa.
C’est alors qu’une énorme bourrasque de vent déferla sur les deux être. La cape de Lüga virevoltant au grès des souffles, le corbeau impassible, et la force en fut des plus grande, véritable rafale cinglante, effleurant le moindre centimètre du corps de notre jeune homme. Et la, oui la, une sensation en lui naquit, quelques chose que jamais auparavant il n’avait pus ressentir. Il se sent. Il se sent lui même. Plein et vivant.
Le corbeau s’envola, et le souffle se stoppa, Lüga, les yeux fermer, dégagé sans s’en rendre compte des émanation de magie venteuse autour de lui, et dans sa trans de béatitude il murmura :
«Sahya»
Le départ
Des années on passé, et seul sa mère connait sa conviction religieuse, ce qui parut le plus étrange c’est que enfin son fils accorde de l’importance a quelques chose. Néanmoins elle tache toujours a ce qu'il respecte et suive la voix de Shilen, et qu’il ne peux adoré une autre divinité.
Mais dans le secret, ses prières allait à LUI.
Il fini ses études cette même année et alors que sa sœur lui propose un emplois permanent au temple et que sa mère l’encourage activement pour accepter, il refuse.
Les embrasse toutes, ne saluant pas son père, puis part en leurs adressant un mot dont rare occasion ont été dans lesquels il l’employait...
«je vous aime».
Le regardant partir, sa mère eu un pincement au coeur, mais elle savait que son fils lui reviendrait prochainement.
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