Epsaïth Deine’l
L’herbe frémit sous le charme des fleurs épanouies. Bientôt, l’image du passé ne serait plus dans l’esprit du monde.
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Nom : Deine’l
Prénom : Epsaïth
Âge : 19 ans d’âge humain
Race : Elfique
Sexe : Féminin
Origine : Heine
Ville de naissance : Heine
Alignement : Chaotique neutre
Croyance : Eva et Einhasaad
Profession : Auparavant couturière mais est aujourd’hui une guerrière mercenaire
Classe: Temple Knigth
Langues parlées : Elfique, humain
Description physique :
Cette jeune elfe d'environ 19 ans (d'âge humain), porte pratiquement toujours une lourde armure qui cache un peu ses formes féminines. Néanmoins, ses hanches sont marquées et son visage vous interpelleront peut-être. Souvent scrutateur et discret, son regard est parfois remplit de reproches mais sans réelle mauvaise intention. Ses cheveux bleus glacés encadre son visage avec une certaine légèreté désordonnée.
Lorsqu'elle parlera, elle prendra une voix assurée, vive, et pour les connaisseurs, un léger accent elfique pourra être audible.
Si votre odorat est bon, vous pourrez sans nul doute humer un parfum particulier. Agréable et doux il s'agit en réalité simplement que de son odeur corporelle.
Équipement:
Un long fourreau au côté gauche, un bouclier au dos, elle porte une besace en cuir de fenrir du côté droite ainsi qu'une gourde. Quelques bracelets en os sans inscription ni ornement au poignet droit, et une pierre (agate mousse) est suspendue à un lacet de cuir à son cou.
L’herbe frémit sous le charme des fleurs épanouies. Bientôt, l’image du passé ne serait plus dans l’esprit du monde.
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Nom : Deine’l
Prénom : Epsaïth
Âge : 19 ans d’âge humain
Race : Elfique
Sexe : Féminin
Origine : Heine
Ville de naissance : Heine
Alignement : Chaotique neutre
Croyance : Eva et Einhasaad
Profession : Auparavant couturière mais est aujourd’hui une guerrière mercenaire
Classe: Temple Knigth
Langues parlées : Elfique, humain
Description physique :
Cette jeune elfe d'environ 19 ans (d'âge humain), porte pratiquement toujours une lourde armure qui cache un peu ses formes féminines. Néanmoins, ses hanches sont marquées et son visage vous interpelleront peut-être. Souvent scrutateur et discret, son regard est parfois remplit de reproches mais sans réelle mauvaise intention. Ses cheveux bleus glacés encadre son visage avec une certaine légèreté désordonnée.
Lorsqu'elle parlera, elle prendra une voix assurée, vive, et pour les connaisseurs, un léger accent elfique pourra être audible.
Si votre odorat est bon, vous pourrez sans nul doute humer un parfum particulier. Agréable et doux il s'agit en réalité simplement que de son odeur corporelle.
Équipement:
Un long fourreau au côté gauche, un bouclier au dos, elle porte une besace en cuir de fenrir du côté droite ainsi qu'une gourde. Quelques bracelets en os sans inscription ni ornement au poignet droit, et une pierre (agate mousse) est suspendue à un lacet de cuir à son cou.
Histoire:
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Chapitre I
Le sol humide chantait avec la pluie qui versait toutes ses larmes. Bientôt l’orage arriverait pour en finir avec toutes ces absurdités.
Sous l’avant-toit d’une demeure, une jeune elfe de seize ans raccommodait des vêtements, le visage morne. Une main se posa soudainement sur son épaule :
«Epsaïth, il serait peut-être temps d’aller te coucher, tu ne crois pas ?»
L’elfe hocha de la tête en guise de réponse en reposant son ouvrage avant de venir embrasser sa mère. Une fois cette dernière repartie, la jeune fille se leva et sortit au dehors. Aussitôt, ses cheveux se collèrent à son visage tant les gouttes d’eau tombaient avec brutalité. Elle releva le menton, face à l’obscurité et pleura avec le ciel.
Chapitre II
Les montagnes se plaignaient des nuages qui les saupoudraient de neige. Bientôt le printemps arriverait pour en finir avec cet hiver interminable.
Plusieurs silhouettes se détachaient de l’épais manteau blanc. Bientôt, leurs pas les amèneraient aux portes de la grande Heine.
Au même instant, Epsaïth se contentait de maintenir le feu en vie, ravivant les braises entre les bûches humides. Son visage et son corps avaient maigris, mais cela, elle le niait. Elle semblait se dissimuler avec la neige tant son teint était blême et blafard. Quant à son regard, il était vague, comme si elle parvenait à voir au-delà de ce qu’elle observait. Ses pensées franchissaient certainement le cap de la conscience.
Puis, l’on cria près des portes. L’elfe tourna la tête, regardant au travers de la fenêtre. Les gardes semblaient excités. Elle se releva, crispant sa main sur son mince bout de bois, puis se dirigea au dehors.
« Ils sont de retour ! Ils sont revenus ! » hurla un des hommes d’un air vif, un large sourire étirant ses lèvres.
L’elfe accourait déjà. Les larges portes s’ouvrèrent laissant passer une vingtaine d’homme en armure, les armes sur leur flanc ou à leur dos. Elle s’arrêta pour bien les distinguer les uns des autres, semblant chercher quelqu’un, son expression se mêlant de joie et d’anxiété. Soudain, son visage s’éclaira et sauta au coup d’un jeune humain aux cheveux noirs. Il portait un arc et un carquois sur son épaule droite. Il ne souriait pas beaucoup, le visage tendu, nerveux et fatigué. Elle l’embrassa tout de même, enlaçant ses bras autour de son cou, la mine rayonnante. Elle le glorifia en le vantant de son courage pour vaincre les troupes de Zaken, lui exprima toutes ses inquiétudes lors de sa longue absence, lui promit que plus tard il ne se quitterait plus aussi longtemps, lui demandait de pouvoir partir avec lui la prochaine fois, lui demandait de tout lui raconter…
Il l’a regardait s’extasier devant lui, demeurant silencieux, marchant en direction de la maison. Puis ôtant ses fardeaux, il vint s’asseoir près du feu, ne la regardant qu’à peine. Elle remarqua alors que quelque chose avait changé. Elle se tut, lui donna de quoi se rassasier et le laissa en paix.
Il avait mûrit. C’était un homme. Et elle ne l’intéressait plus.
Chapitre III
Le vent murmurait à l’aube de se réveiller. Bientôt, le soleil étincellerait à nouveau sur les plaines d’Innadril.
Une main jetait au travers de la pièce un tricot en pleine croissance. Cela ne rendait plus assez et elle en avait plus qu’assez de cette monotonie laineuse. Elle se releva et descendit aux cuisines d’un air empressé. Sa mère sursauta à son arrivée, ne l’ayant vu survenir. Son couteau se glissa dans la chair de son doigt, laissant couler le liquide rougeâtre le long de son poignet, une goutte perlant, puis tombant dans la marmite. Personne ne vu la goutte s’égarer, si ce n’est l’œil attentif de la couturière. Cette courte action émergea une résolution à l’esprit d’Epsaïth.
Le sang coule, et cela par l’ennemi.
Elle souriait.
Il faudra qu’elle s’active et cela lui plairait beaucoup.
Sans aucun doute.
Chapitre IV
Fine ombre sur le sentier, âne porteur et lointaine destination. Epsaïth désirait atteindre la grande cité. Les dernières années lui avaient permis de devenir une jeune guerrière pleine de promesse. Elle savait qu’Aden lui accorderait ce qu’elle désirait, mais avant tout, elle se promit de voyager uniquement à pieds. Bon apprentissage de la débrouillardise…
Le soleil brillait d’une telle vigueur que son front en était perlé de sueur. Il devait être midi car l’astre d’or la dominait de toute sa chaleur. Elle marchait en direction d’Oren, Giran déjà passée, elle arriverait bientôt à la prochaine étape. La rivière n’était point asséchée mais elle ne pouvait s’y altérer, son courant reconnu pour être trop rapide et mortel. Elle continuait donc son ascension sur une route de pierre en direction du nord. Les minutes étaient interminables et elle regrettait déjà l’air frais de sa chambre. Le sol verdoyant semblait bien s’en sortir malgré la cruelle chaleur. Le soleil l’éblouissait et l’elfe avait l’impression que l’herbe jaunissait au fur et à mesure qu’elle avançait, comme si sa présence nuisait à la santé du paysage. Elle n’avait déjà plus d’eau dans sa gourde.
« J’arriverais à Oren dans trois heures environ… Allez ce n’est plus grand-chose… ». A peine avait-elle prononcé ces derniers mots qu’elle versa contre le sol. Elle ne se rappelait plus si elle s’était encoublée, ou reçut un coup…Ou si elle s’était évanouie. Elle se souvient avoir ressentis une chute. Puis une absorption, comme si la terre l’avait engloutie de ses entrailles.
Les yeux fermés elle se rappelait de la plaine. Elle se souvenait alors du voyage, de la route, de la chaleur. Ses membres en étaient même consumés, elle ne les sentait plus. Elle avait bien trop chaud pour pouvoir ordonner à l’un de ses muscles de bouger. Soudain elle prit conscience d’une chose : elle n’était pas brûlante, elle était glacée. Ses yeux s’ouvrirent avec difficulté. Un voile blanc recouvrait sa vue. Bougeant un peu de la tête elle fit tomber la lavette posée sur son visage. Clignant plusieurs fois des cils, elle reconnut de la glace. De la glace ! Criant de stupeur, elle se relevait en sursaut, s’encoublant à la baignoire dans laquelle elle avait été. La baign… Une baignoire oui. Observant à travers le fenêtre, se tenant avec faiblesse au bord en bois, elle resta là un moment, sans bouger. Était-elle arrivée à Oren ?
La porte de la pièce s’ouvrit sur un humain d’une trentaine d’année. L’elfe se retourna en l’identifiant, ce ne fut que lorsqu’elle aperçut les yeux écarquillés et les joues rougies de l’humain qu’elle se rendit compte qu’elle était nue. Elle émit un rire fatigué tout en venant prendre un linge près de la baignoire de glace.
- J…Je m’excuse dame…Hmf…
L’humain tournait la tête sur le côté, alors que l’elfe sans gêne s’approchait de lui.
- Pourquoi cette glace ? dit-elle en désignant la baignoire.
- Vous aviez une forte fièvre et vous étiez en déshydratation… C’était la première chose à faire. Dame…Asseyez-vous…vous êtes encore faible.
Il tira une chaise vers elle en se rapprochant.
- Je vous remercie. Dîtes-moi, sommes-nous à Oren ?
- En effet oui. Vous veniez par ici ?
- Je me rends à Aden.
- Il vous faudra rester quelques jours ici. Vous n’êtes pas en état de reprendre la route de sitôt..
Plus tard, Elle apprit qu’un colporteur itinérant l’avait récupérée après s’être étonné de remarquer un faible pouls à son poignet ainsi qu’une forte fièvre. Sauvée, il l’avait déposée dans une petite auberge, la laissant à leurs soins. Epsaïth resta plusieurs semaines sous leur hospitalité. Une fois remise, elle se remit en marche, la gourde bien remplie d’eau fraîche…
Elle serait bientôt arrivée.
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Chapitre I
Le sol humide chantait avec la pluie qui versait toutes ses larmes. Bientôt l’orage arriverait pour en finir avec toutes ces absurdités.
Sous l’avant-toit d’une demeure, une jeune elfe de seize ans raccommodait des vêtements, le visage morne. Une main se posa soudainement sur son épaule :
«Epsaïth, il serait peut-être temps d’aller te coucher, tu ne crois pas ?»
L’elfe hocha de la tête en guise de réponse en reposant son ouvrage avant de venir embrasser sa mère. Une fois cette dernière repartie, la jeune fille se leva et sortit au dehors. Aussitôt, ses cheveux se collèrent à son visage tant les gouttes d’eau tombaient avec brutalité. Elle releva le menton, face à l’obscurité et pleura avec le ciel.
Chapitre II
Les montagnes se plaignaient des nuages qui les saupoudraient de neige. Bientôt le printemps arriverait pour en finir avec cet hiver interminable.
Plusieurs silhouettes se détachaient de l’épais manteau blanc. Bientôt, leurs pas les amèneraient aux portes de la grande Heine.
Au même instant, Epsaïth se contentait de maintenir le feu en vie, ravivant les braises entre les bûches humides. Son visage et son corps avaient maigris, mais cela, elle le niait. Elle semblait se dissimuler avec la neige tant son teint était blême et blafard. Quant à son regard, il était vague, comme si elle parvenait à voir au-delà de ce qu’elle observait. Ses pensées franchissaient certainement le cap de la conscience.
Puis, l’on cria près des portes. L’elfe tourna la tête, regardant au travers de la fenêtre. Les gardes semblaient excités. Elle se releva, crispant sa main sur son mince bout de bois, puis se dirigea au dehors.
« Ils sont de retour ! Ils sont revenus ! » hurla un des hommes d’un air vif, un large sourire étirant ses lèvres.
L’elfe accourait déjà. Les larges portes s’ouvrèrent laissant passer une vingtaine d’homme en armure, les armes sur leur flanc ou à leur dos. Elle s’arrêta pour bien les distinguer les uns des autres, semblant chercher quelqu’un, son expression se mêlant de joie et d’anxiété. Soudain, son visage s’éclaira et sauta au coup d’un jeune humain aux cheveux noirs. Il portait un arc et un carquois sur son épaule droite. Il ne souriait pas beaucoup, le visage tendu, nerveux et fatigué. Elle l’embrassa tout de même, enlaçant ses bras autour de son cou, la mine rayonnante. Elle le glorifia en le vantant de son courage pour vaincre les troupes de Zaken, lui exprima toutes ses inquiétudes lors de sa longue absence, lui promit que plus tard il ne se quitterait plus aussi longtemps, lui demandait de pouvoir partir avec lui la prochaine fois, lui demandait de tout lui raconter…
Il l’a regardait s’extasier devant lui, demeurant silencieux, marchant en direction de la maison. Puis ôtant ses fardeaux, il vint s’asseoir près du feu, ne la regardant qu’à peine. Elle remarqua alors que quelque chose avait changé. Elle se tut, lui donna de quoi se rassasier et le laissa en paix.
Il avait mûrit. C’était un homme. Et elle ne l’intéressait plus.
Chapitre III
Le vent murmurait à l’aube de se réveiller. Bientôt, le soleil étincellerait à nouveau sur les plaines d’Innadril.
Une main jetait au travers de la pièce un tricot en pleine croissance. Cela ne rendait plus assez et elle en avait plus qu’assez de cette monotonie laineuse. Elle se releva et descendit aux cuisines d’un air empressé. Sa mère sursauta à son arrivée, ne l’ayant vu survenir. Son couteau se glissa dans la chair de son doigt, laissant couler le liquide rougeâtre le long de son poignet, une goutte perlant, puis tombant dans la marmite. Personne ne vu la goutte s’égarer, si ce n’est l’œil attentif de la couturière. Cette courte action émergea une résolution à l’esprit d’Epsaïth.
Le sang coule, et cela par l’ennemi.
Elle souriait.
Il faudra qu’elle s’active et cela lui plairait beaucoup.
Sans aucun doute.
Chapitre IV
Fine ombre sur le sentier, âne porteur et lointaine destination. Epsaïth désirait atteindre la grande cité. Les dernières années lui avaient permis de devenir une jeune guerrière pleine de promesse. Elle savait qu’Aden lui accorderait ce qu’elle désirait, mais avant tout, elle se promit de voyager uniquement à pieds. Bon apprentissage de la débrouillardise…
Le soleil brillait d’une telle vigueur que son front en était perlé de sueur. Il devait être midi car l’astre d’or la dominait de toute sa chaleur. Elle marchait en direction d’Oren, Giran déjà passée, elle arriverait bientôt à la prochaine étape. La rivière n’était point asséchée mais elle ne pouvait s’y altérer, son courant reconnu pour être trop rapide et mortel. Elle continuait donc son ascension sur une route de pierre en direction du nord. Les minutes étaient interminables et elle regrettait déjà l’air frais de sa chambre. Le sol verdoyant semblait bien s’en sortir malgré la cruelle chaleur. Le soleil l’éblouissait et l’elfe avait l’impression que l’herbe jaunissait au fur et à mesure qu’elle avançait, comme si sa présence nuisait à la santé du paysage. Elle n’avait déjà plus d’eau dans sa gourde.
« J’arriverais à Oren dans trois heures environ… Allez ce n’est plus grand-chose… ». A peine avait-elle prononcé ces derniers mots qu’elle versa contre le sol. Elle ne se rappelait plus si elle s’était encoublée, ou reçut un coup…Ou si elle s’était évanouie. Elle se souvient avoir ressentis une chute. Puis une absorption, comme si la terre l’avait engloutie de ses entrailles.
Les yeux fermés elle se rappelait de la plaine. Elle se souvenait alors du voyage, de la route, de la chaleur. Ses membres en étaient même consumés, elle ne les sentait plus. Elle avait bien trop chaud pour pouvoir ordonner à l’un de ses muscles de bouger. Soudain elle prit conscience d’une chose : elle n’était pas brûlante, elle était glacée. Ses yeux s’ouvrirent avec difficulté. Un voile blanc recouvrait sa vue. Bougeant un peu de la tête elle fit tomber la lavette posée sur son visage. Clignant plusieurs fois des cils, elle reconnut de la glace. De la glace ! Criant de stupeur, elle se relevait en sursaut, s’encoublant à la baignoire dans laquelle elle avait été. La baign… Une baignoire oui. Observant à travers le fenêtre, se tenant avec faiblesse au bord en bois, elle resta là un moment, sans bouger. Était-elle arrivée à Oren ?
La porte de la pièce s’ouvrit sur un humain d’une trentaine d’année. L’elfe se retourna en l’identifiant, ce ne fut que lorsqu’elle aperçut les yeux écarquillés et les joues rougies de l’humain qu’elle se rendit compte qu’elle était nue. Elle émit un rire fatigué tout en venant prendre un linge près de la baignoire de glace.
- J…Je m’excuse dame…Hmf…
L’humain tournait la tête sur le côté, alors que l’elfe sans gêne s’approchait de lui.
- Pourquoi cette glace ? dit-elle en désignant la baignoire.
- Vous aviez une forte fièvre et vous étiez en déshydratation… C’était la première chose à faire. Dame…Asseyez-vous…vous êtes encore faible.
Il tira une chaise vers elle en se rapprochant.
- Je vous remercie. Dîtes-moi, sommes-nous à Oren ?
- En effet oui. Vous veniez par ici ?
- Je me rends à Aden.
- Il vous faudra rester quelques jours ici. Vous n’êtes pas en état de reprendre la route de sitôt..
Plus tard, Elle apprit qu’un colporteur itinérant l’avait récupérée après s’être étonné de remarquer un faible pouls à son poignet ainsi qu’une forte fièvre. Sauvée, il l’avait déposée dans une petite auberge, la laissant à leurs soins. Epsaïth resta plusieurs semaines sous leur hospitalité. Une fois remise, elle se remit en marche, la gourde bien remplie d’eau fraîche…
Elle serait bientôt arrivée.
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