Prénom : Aylia
Age : 120 ans (18 ans humains)
Sexe : féminin
Race : elfe (vampire)
Classe : Spell singer
Croyances : aucune (anciennement Eva)
Langues parlées : elfe, commun
Description physique : Yeux bleu brillants une légère teinte de rouge. 1m50 très athlétique sans être musclée. Un masque blanc lui cache le visage. Un joli visage pâle presque cadavérique quand elle enlève le masque. Elle se déplace avec la grâce d'une danseuse. Les cheveux blonds avec une touche foncée dans le fond.
L'aube d'une vie :
Mon enfance avant d'être ce que je suis, fût très heureuse. Avec ma famille, c'est-à-dire mon père, ma mère, mes deux frères ainés, ma plus jeune soeur et mon autre soeur plus vieille. Mes parents avaient monté une troupe de danseur, faisant de notre famille les artistes. Nous nous produisions devant la royauté et les régents des citées. Nous nous sommes produit à Giran dans la salle de son château, Gludio, Aden finalement Rune ...
Pour ma part, je chantais et je dansais. J'aimais la vie. Entendre les rires les chants des oiseaux. La nature inspirait mes chansons. Une rivière me faisait pleurer tandis qu'un arbre pouvait me faire rire aux éclats. Un rien m'émouvait.
Un jour nous avons été invités par le comte de Rune, Une belle lettre cachetée d'or et d'argent.
Spoiler:
Tout heureux de nous produire devant la baronnie de Rune, nous nous sommes dirigés avec nos costumes à cette citée. Observant le paysage sur la route de plus en plus sinistre, un frisson m'a parcouru l'échine. Finalement arrivé la bas un banquet frugal nous attendait. Avec peu d'appétit à l'aube de notre performance, j'étais très nerveuse.
Finalement nous avons rencontré le baron et sa femme. Nous avons dansé, chanté et cabriolé trois heures durant. Sous les yeux avide d'un homme et sa femme, pâle les yeux rouges et au regard pénétrant presque envoutant. À la fin du spectacle nous avons eu droit à de chaleureux applaudissement.
Comme le baron serrait la main de mon père et la baronne celle de ma mère. Avec un mouvement rapide il les a mordus dans le cou nous arrachant, mes frères, mes soeurs et moi-même un cri d'horreur. Laissant tombé les corps sans vie de mes parents, mes deux frères furent les seconds. Mes soeurs et moi-même crions et pleurions.
Le cou tordu le visage détendu comme s'ils aimaient le fais de sentir la vie aspirée, ils tombèrent à leurs tours. Ce fût le tour de mes deux autres soeurs. Sans un mot un regard avide sur ma personne en enfonçant leur croc dans leur cou délicat, elles moururent sans un cri, ni un pleur...
Les deux vampire me regardèrent en riant. Le baron dit :
-Chose promis, chose dû. Ta voix nous a très ému. Tu nous rejoindras, ta beauté et ta voix pour l'éternité.
L'éveil du mort :
La baronne s'approchât après un bref signe de son mari. Toujours en pleure j'avais à peine entendu leur voix. Soudain je me suis senti soulevé de terre. Une main agrippa un de mes bras l'autre main agrippant ma tête, me forçant a tendre mon cou. Une force inimaginable inhumaine me retenait. Quand elle pénétrât mon cou de ses canines, j'ai su a cette instant pourquoi aucun cri et un bonheur semblait envahir mes proches quand ils se fesaient mordre. Cette simple étreinte était quasi sexuel. Un frisson extatique parcourait tout mon corps. Je sentais la vie me quitter, mais je ne me débattais pas, j'aimais trop ce baiser mortel. Quand je suis tombé par terre, un voile noir devant mes yeux je connaissais enfin le repos éternel, pensais-je.
J'ai senti un gout cuivré sur mes lèvres. J'ai ouvert les yeux pour boire avidement ce qui sortait de ce poignet froid comme la glace. Elle m'a laissé boire jusqu'à plus soif. Tout à coup Une douleur atroce en moi. Quelque chose mourait en moi, un frisson, puis un soubresaut. Un affût de sensation nouvelle. Mes sens se développait, puis une autre douleur atroce au niveau des dents... Je perdais mes canines ! Elles furent remplacées par d'autres plus pointu.
La soif du mort, la terrible soif ...
Mon premier repas en tant que lécheuse fût un paysan de Rune. Quel douceur quel vin divin. Meilleur que le nectar de l'arbre mère. Mais ce que j'avais soif. Terriblement soif. Observant la mer au port de Rune. Je laissais toutes les effluvent m'envahir. Je sentais le sang dans les poissons dans l'eau. Le sang des marins, leurs coeurs battre. Mes cheveux au vent j'ai mis le masque blanc que mon nouveau père ma donnée. Désormais je n'avais qu'une chose en tête me nourrir.
Maintenant je hais la vie. La vie des autres pas la mienne. Je hais Eva qui a laissé mourir ma famille. Les autres sont pour moi que de la nourriture.
[ image externe ]
La jeune elfe assit sur le sol prêt de la sortit de Oren sanglotais seul dans son coin non loin du chemin d'une sentinelle de la cité.
Le garde approchait lentement observant l'elfe masqué que les sanglots fessait bouger d'avant arrière.
-Que ce passe-t-il mademoiselle ?
-Ma mère.. Ma mère est morte... Elle gît dans la forêt... Aidé moi.
Quelque peu méfiant le garde aida la jeune elfe à se relever.
-Venez me montrer où elle a trépassé, nous l'apporterons au temple d'Eva pour lui donner une sépulture digne de ce nom.
-Je suis tellement triste monsieur le garde ... Elle était si jolie. Un autre sanglot et la jeune elfe se dirigea avec le garde au prêt de la forêt.
Hors de la vue de la citée. Elle enlève son masque blanc.
-Nous arrivons bientôt messire.
-Bien ce n'est pas très loin. Nous ne peinerons pas trop.
Tout-a-coup la jeune fille se tourne à la vitesse de l'éclair et agrippe le garde par les épaules. Celui-ci surpris ne peut esquivé le mouvement trop rapide de la jeune vampire. Ses crocs s'allongeant, elle mordit la jugulaire. Le sang du garde la revigora au plus au point. Elle reprit la route vers Rune.