[BG] Alune Ne'kales

[*Veldrin*]

Chapitre 1 : Enfance volée

Depuis sa plus jeune enfance, Alune Ne'kales dite l’avertisseuse a été privé de l’amour paternel et maternel. Elle a été prise a l’âge de 5 ans par les prêtresse de Lloth car elle avait apparemment un potentiel suspecté en magie divine. L’enfant reçue l’apprentissage des prêtresses et l’éducation des matrones.
Endurcie par cette m méchanceté et cette haine qui rongeait son peuple, elle comprit comment se déroulait la vie de ses frères. Tout ce qui lui fut appris lui donna une volonté encore plus grande de renoncer à toute violence et à tout mépris.
Après cette longue enfance, Alune devint enfin indépendante. Elle adorait Lloth, déesse majeure des drows. Mais contrairement aux autres, Alune croyait en la bonté cachée de Lltoh. Alors au lieu de devenir prêtresse et gardienne de temple, elle choisit la voix de la liberté, rependant les bénédictions de sa déesse à qui voulait bien les recevoir. Lltoh semblait croire en Alune autant qu’Alune croyait en elle.
Les pouvoirs que Lloth lui accordaient servaient a tous, et par consequent aux elfes clairs et aux humains aussi...

Chapitre 2 : Amour potentiel?

[...]

[*Veldrin*]

Chapitre 3 : Celle qui apportera le bien

Un jour triste était passé, et la plaie ne se refermerait certainement pas de si tôt. Cependant, un autre sombre évènement lui arriva. Lloth décida de l’abandoner... Alune sentait ses pouvoirs se dissiper petit à petit, et sans pouvoir rien y faire. Elle pleura, se lamenta, et finit par comprendre que sans doute Lloth s’était lassée de sa gentillesse, de sa générosité et de son aimabilité.
Mais il se passa une chose à laquelle Alune ne s’attendait pas...

Alors qu’elle se promenait près de la rivière de Dion, Alune crut rêver : une apparition divine de la déesse Eilistraée se matérialisa devant elle. La déesse était nue, de longs cheveux blancs tombant en mèches sur sa poitrine et son bas ventre. Alune tomba inanimée au sol. La déesse se chargea de la réanimer er de la calmer afin qu’elle puisse l’écouter. Lorsqu’elle fut calmée, Eilistraée prononça ces mots : « Alune, ancienne prêtresse de Lloth... »
Alune la regardait, tout a fait émerveillée.
La sombtueuse déesse reprit : « Me voilà devant toi a présent. Je suis Eilistraée. Comme tu le sais déjà grâce au rude enseignement des matrones, je suis la fille qu’Araushnee ma mère eut avec Corellon Larethian. Tu connais mon histoire, inutile que je te la conte. »
Alune aquiessa sans croire ce qu’elle vivait.
« Mes apparitions sont trés rares, et je ne me matérialise jamais sans raison, » reprit-elle. « De fait, tu dois te demander ce que je fais devant toi en ce moment... non ? » dit-elle avec un petit sourire.
Alune la regardait dans ses grands yeux blancs. « Je... je... je ne sais pas quoi... vous dire... Mais en effet... je me demande... en quel honneur une déesse... vient-elle... me voir... »
Eilistraée lui rétorqua alors : « Je vais te l’expliquer, car il faut toujours en passer par là avec les mortels. Comme je l’ai apris de ma mère même, elle a cessée de t’octroyer ses pouvoirs, ceci à cause de ta bonté. Mère ne juge que par son peuple. Elle pense qu’aucun autre peuple ne doit être l’ami des drows. Cepedant, je pense tout le contraire. Tu sais que je prône la tolérance et l’amour entre les peuples, et que je combat depuis toujours pour l’intégration des drows à la surface. » Elle s’arrêta une seconde, semblant réfléchir, puis reprit, en regardant le visage ébahit d’Alune : « Après que ma mère m’eut parlé de toi, je t’observais perdre tes pouvoirs, mais t’efforçant toujours à bénir avec le peu de magie qu’il te restait... Je décidais de venir te voir. Je pense que tu es une prêtresse qui répondrait à mes pensées, à ma moralité, et finalement à mes objectifs, si humbles soient-ils... Sens plutôt ceci prêtresse Alune Ne’Kales... »
Eilistraée se leva, et fit une incantation compliquée à l’extrème dont Alune ne retint pas un geste. Une colone de magie pure s’abattit sur Alune. Celle ci se sentit comme renaître, une sensation des plus étranges, mais aussi des plus agréables.
Après cela, Alune fixa un arbre des yeux. Tout à coup, une boule de feu noire partit sur le large tronc, faisant voler l ‘écorce en éclat, et brulant le centre de celui-ci. Le haut pin finit par tomber.
Alune regarda la déesse et lui dit avec un gêne certain, comme celui que l’on peut avoir en s’adressant à une déesse : « Dame Eilistraée... Je serais si vous le désirez votre prêtresse. Votre mère ne coyait plus en moi, mais je croyais toujours en elle. A présent, je sais que ma destinée n’est pas de porter la très noble Lloth en mon coeur, car la déesse Eilistraée que vous êtes vient de me prouver le contraire. Je vous connais aussi bien que je la connaissait... » Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase.
Eilistraée esquissa un large sourire, et s’évapora sans dire nul autre mot. Alune quant à elle s’assit sur le pin qu’elle venait de faire tomber, et médita toute une journée, ainsi que la nuit qui suivit. Après chaque prière, son pouvoir renaissait, mais il était différent... Enfin elle sentait le bien et l’amour l’envahir vraiment...