Oren - Terres Sombres

[Lanatielle]

[ image externe ]

1~ Porte ouest bloquée et sécurisée
2~ Forge
3~ Magistrature - Logements
4~ Auberge

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Autorité d'Oren : Groupement sombre - Tanist
Autorité de la Tour d'Ivoire : Veilleurs de la Main Blanche
Fontaine au nord d'Oren : Rituel effectué
Magie : Stable (5/5)
Fontaine de la Tour d'Ivoire : Rituel effectué
Magie : Stable (5/5)
Fontaine au sud d'Oren :
Magie : en perdition (1/5)
Population : faible +- 30 personnes
Passeuse : En fonction

[Lanatielle]

Ancienne cité sombre, Oren semble vouloir conservé ses attraits pour ce peuple. Rapidement reprise en main par un groupement de sombre mené par Tanist, ancien régent de la cité, c'est en ruine totale qu'elle s'offre à nouveau à eux.

Même le temple, édifice habituellement protégé des affres du temps, n'aura pas supporté cette terrible exode. Des trois voies d'accès, seule celle du sud présente une sécurité suffisante pour permettre le passage à pied. Les ponts des deux autres voies sont branlants, menaçant de s'effondrer à la moindre surcharge.

Les murailles ne sont pas en très bon état non plus. Mais la hauteur de la cité suffit à la protéger de l'extérieur tant que les portes sont gardées. Les bâtisses intérieures sont aussi en piteux état, laissant présager une restauration de fond avant que l'on ne puisse à nouveau s'y installer.

Plus au nord se dresse toujours la Tour d'Ivoire. Elle n'est certes pas aussi resplendissante que dans le passé, mais elle est restée entretenue au fil des ans. Les curieux qui s'y aventureront rencontreront bien vite les Veilleurs de la Main Blanche, ordre survivant des mages de la Tour d'Ivoire n'ayant que pour unique but de protéger le sceau de la Mer des Spores.

A cet effet, ils revendiquent d'ailleurs la légitimité sur la tour et les terres menant à la Mer des Spores.
Ne cherchant aucunement à en interdire le passage ou instaurer un quelconque péage, ils resteront cependant fermes sur la sécurité des lieux et n'hésiteront pas à rappeler à toute mauvaise langue que si le sceau a tenu jusque là et que ces terres sont encore vivables, c'est grâce à leur sacrifice.