Les Serres Ardentes
La mise en place de L’Aile Pourpre, ainsi que son succès immédiat auprès de la population, fit rapidement naître l’idée chez certains de mettre en place un système similaire pour les requêtes sortant du cadre de la légalité. Cette nouvelle organisation, toujours présente de nos jours, est connue sous le nom de Serres Ardentes.
L’absence de comptoir unique où les requêtes sont affichées rend l’obtention et la réalisation des requêtes plus complexe que pour l’Aile. Les « comptoirs » des Serres Ardentes sont en réalité de simples commerces ou auberges, lieux de passages plus ou moins importants, la plupart localisés dans les quartiers les plus pauvres des villes. Les propriétaires de ces établissements, se voient contactés par les agents des Serres qui leurs proposent de servir de comptoir en échange d’une partie des récompenses des requêtes. La situation dans ces quartiers étant souvent plutôt misérable, rares sont ceux qui refusent ces propositions.
Un agent des Serres se voit donc responsable de plusieurs de ces comptoirs et est amené à rendre visite régulièrement afin de récupérer les requêtes réalisées, et les transmettre à leurs responsables. Ces agents agissent dans l’ombre et ne sont que rarement connus.
Afin de participer aux activités des Serres Ardentes, il faut dans un premier temps se procurer un symbole d’appartenance au groupe. C’est généralement chose compliquée, car cela demande à la personne en question de se renseigner auprès de différents comptoirs potentiels et d’évoquer le souhait de joindre les Serres. En cas de succès de la démarche, le propriétaire pourra fournir à la personne l’insigne en question. Cette dernière est une pièce de monnaie, très similaire à la monnaie courante, à la différence que l’une des faces est marquée par des serres de rapace sur un fond de flammes.
Afin de pouvoir accéder aux requêtes, il faut glisser cette pièce lors du règlement d’une consommation ou d’une commande. Si le propriétaire fait partie des Serres, il rendra la pièce ainsi que les requêtes qui lui ont été ramenées. Au cas contraire, on vous rendra simplement la pièce, vous indiquant que les monnaies étrangères n'ont pas cours ici. Ces requêtes n’étant que rarement centralisées, il est difficile d’accéder à une quantité importante de requêtes, car cela demandera à la personne intéressée de faire le tour de tous les commerces, le rendant relativement suspect.
Une fois la requête réalisée, il faudra se rendre impérativement dans le même établissement où elle a été acceptée. Afin de pouvoir gagner en notoriété, il est demandé d’indiquer un pseudonyme sur la requête, qui sera ensuite géré par les agents des Serres. La récompense sera remise directement par le propriétaire de l’établissement.
Ces requêtes étant illégales, elles demandent généralement des investissements plus conséquents que leurs homologues de l’Aile Pourpre, les récompenses étant quant à elles aussi plus lucratives.
Il existe un système de réputation similaire à celui de l’Aile, les noms de rapaces correspondants cette fois-ci à des noms de rapaces nocturnes, chaque grade apportant un bonus sur les récompenses. Le premier grade se nomme les Chevèches, équivalent aux Éperviers. Les Nyctales correspondent aux Élanions, les Effraies aux Busards, les Harfangs aux Faucons et les Grand-Ducs aux Aigles Royaux. La réputation d’une Plume (membres de l’Aile Pourpre) est reconnue chez les Serres Ardentes. Etre au rang de Busard, vous accordera donc indirectement le rang d’Effraie. A cette réputation, s’ajoute la réputation accumulée chez les Serres.
Ce système est reconnu à tel point qu’il fait partie intégrante du système de dépôt de requête. Si une personne veut émettre une requête aux Serres pour qu’elle soit diffusée hors de l’établissement de dépôt, il lui faut réaliser les choses suivantes.
Sur la requête déposée, il faudra tout d’abord indiquer son pseudonyme auprès des Serres. Il faudra ensuite apposer deux sceaux de cire. Le premier marqué du symbole des Serres, nécessitant donc l’obtention préalable dudit symbole. Le second marqué de l’insigne de grade de l’Aile, obtenu soit légalement, soit par d’autres moyens. Ce grade ainsi que le pseudonyme permettront de jauger l’importance de la demande. Lorsque cette demande est remise dans un comptoir, l’agent récupérera la requête et recontactera la personne en question pour la mise en place. Toute demande ne remplissant pas les trois conditions ne sera pas considérée.
Les Serres Ardentes sont reconnues pour réagir avec violence à toute tentative de nuire à leurs activités. Si quelqu’un venait à s’en prendre à un de ces membres et que cela venait à s’ébruiter, l’information remonterait au sein des Serres, et des requêtes seraient transmises dans tous les comptoirs des lieux en questions demandant d’éliminer la menace. Les autorités n’osent que rarement s’opposer aux Serres de peur des répercussions que cela pourrait engendrer. Quand bien même l’action entreprise contre l’organisation serait un succès, la « branche » impactée pourrait rapidement être reconstituée par les Serres Ardentes.
L’absence de comptoir unique où les requêtes sont affichées rend l’obtention et la réalisation des requêtes plus complexe que pour l’Aile. Les « comptoirs » des Serres Ardentes sont en réalité de simples commerces ou auberges, lieux de passages plus ou moins importants, la plupart localisés dans les quartiers les plus pauvres des villes. Les propriétaires de ces établissements, se voient contactés par les agents des Serres qui leurs proposent de servir de comptoir en échange d’une partie des récompenses des requêtes. La situation dans ces quartiers étant souvent plutôt misérable, rares sont ceux qui refusent ces propositions.
Un agent des Serres se voit donc responsable de plusieurs de ces comptoirs et est amené à rendre visite régulièrement afin de récupérer les requêtes réalisées, et les transmettre à leurs responsables. Ces agents agissent dans l’ombre et ne sont que rarement connus.
Afin de participer aux activités des Serres Ardentes, il faut dans un premier temps se procurer un symbole d’appartenance au groupe. C’est généralement chose compliquée, car cela demande à la personne en question de se renseigner auprès de différents comptoirs potentiels et d’évoquer le souhait de joindre les Serres. En cas de succès de la démarche, le propriétaire pourra fournir à la personne l’insigne en question. Cette dernière est une pièce de monnaie, très similaire à la monnaie courante, à la différence que l’une des faces est marquée par des serres de rapace sur un fond de flammes.
Afin de pouvoir accéder aux requêtes, il faut glisser cette pièce lors du règlement d’une consommation ou d’une commande. Si le propriétaire fait partie des Serres, il rendra la pièce ainsi que les requêtes qui lui ont été ramenées. Au cas contraire, on vous rendra simplement la pièce, vous indiquant que les monnaies étrangères n'ont pas cours ici. Ces requêtes n’étant que rarement centralisées, il est difficile d’accéder à une quantité importante de requêtes, car cela demandera à la personne intéressée de faire le tour de tous les commerces, le rendant relativement suspect.
Une fois la requête réalisée, il faudra se rendre impérativement dans le même établissement où elle a été acceptée. Afin de pouvoir gagner en notoriété, il est demandé d’indiquer un pseudonyme sur la requête, qui sera ensuite géré par les agents des Serres. La récompense sera remise directement par le propriétaire de l’établissement.
Ces requêtes étant illégales, elles demandent généralement des investissements plus conséquents que leurs homologues de l’Aile Pourpre, les récompenses étant quant à elles aussi plus lucratives.
Il existe un système de réputation similaire à celui de l’Aile, les noms de rapaces correspondants cette fois-ci à des noms de rapaces nocturnes, chaque grade apportant un bonus sur les récompenses. Le premier grade se nomme les Chevèches, équivalent aux Éperviers. Les Nyctales correspondent aux Élanions, les Effraies aux Busards, les Harfangs aux Faucons et les Grand-Ducs aux Aigles Royaux. La réputation d’une Plume (membres de l’Aile Pourpre) est reconnue chez les Serres Ardentes. Etre au rang de Busard, vous accordera donc indirectement le rang d’Effraie. A cette réputation, s’ajoute la réputation accumulée chez les Serres.
Ce système est reconnu à tel point qu’il fait partie intégrante du système de dépôt de requête. Si une personne veut émettre une requête aux Serres pour qu’elle soit diffusée hors de l’établissement de dépôt, il lui faut réaliser les choses suivantes.
Sur la requête déposée, il faudra tout d’abord indiquer son pseudonyme auprès des Serres. Il faudra ensuite apposer deux sceaux de cire. Le premier marqué du symbole des Serres, nécessitant donc l’obtention préalable dudit symbole. Le second marqué de l’insigne de grade de l’Aile, obtenu soit légalement, soit par d’autres moyens. Ce grade ainsi que le pseudonyme permettront de jauger l’importance de la demande. Lorsque cette demande est remise dans un comptoir, l’agent récupérera la requête et recontactera la personne en question pour la mise en place. Toute demande ne remplissant pas les trois conditions ne sera pas considérée.
Les Serres Ardentes sont reconnues pour réagir avec violence à toute tentative de nuire à leurs activités. Si quelqu’un venait à s’en prendre à un de ces membres et que cela venait à s’ébruiter, l’information remonterait au sein des Serres, et des requêtes seraient transmises dans tous les comptoirs des lieux en questions demandant d’éliminer la menace. Les autorités n’osent que rarement s’opposer aux Serres de peur des répercussions que cela pourrait engendrer. Quand bien même l’action entreprise contre l’organisation serait un succès, la « branche » impactée pourrait rapidement être reconstituée par les Serres Ardentes.
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