Les épées du Massacre et du Sang,
( Histoire et règles )
( Histoire et règles )
Zariche,
Akamanah.
L'épée Du Massacre — La Zariche.
La Zariche est une vieille arme, qui représenterait l'infériorité et la jalousie.
La légende veut que Zariche ait servi d'arme d'exécution au cours de tant de boucheries, durant la Grande Guerre des Dieux, qu'elle a fini par gagner une conscience propre, avide de massacres. D'autres disent que ce serait son créateur qui, lui-même, aurait insufflé une partie de son essence démoniaque à son arme favorite, afin qu'elle se gorge du sang et des âmes de ses victimes.
Aujourd'hui, tant de millénaires après la fin de la Grande Guerre, les raisons de l'apparition de l'Epée Maudite, ainsi que ses circonstances, restent mystérieuses. Mais des centaines de milliers de morts passés par son fil font de Zariche un Démon aux pouvoirs singuliers. Il suffit qu'un malheureux passe à sa portée, pour que ce dernier finisse tôt ou tard par succomber à la tentation de son appel. Tirer l'épée du sol revient à accepter le Pacte tendu, et Zariche prend alors possession du corps du nouveau Porteur de l'Epée. Par nostalgie ou fidélité, la Zariche transforme l'enveloppe physique du Porteur pour la rapprocher de l'image de son Maître Originel.
Sous cette nouvelle forme, chaque nouvelle victime faite par le Porteur augmente la puissance de Zariche. Ce n'est qu'une fois gorgée de sang et d'âmes, qu'elle retourne, sans prévenir, au Néant d'où elle est apparue.
La seule façon connue d'exorciser le Porteur et de renvoyer Zariche d'où elle vient avant terme, est d'arriver à lui faire lâcher l'Arme Maudite. Le contact physique rompu, le Pacte se brise et la Possession cesse immédiatement.
Bien que l'on dise "La Zariche", il est de tradition de considérer le Démon animant l'Epée du Massacre comme masculin.
Une fois qu'elle est apparue sur le continent, il est impossible de déplacer Zariche sans la saisir à pleine main, ce qui revient à accepter le Pacte. Tout autre moyen employé échouera, l'Epée refusant d'être tirée de son socle avec sa volonté propre jusqu'à se trouver un Porteur.
La légende veut que Zariche ait servi d'arme d'exécution au cours de tant de boucheries, durant la Grande Guerre des Dieux, qu'elle a fini par gagner une conscience propre, avide de massacres. D'autres disent que ce serait son créateur qui, lui-même, aurait insufflé une partie de son essence démoniaque à son arme favorite, afin qu'elle se gorge du sang et des âmes de ses victimes.
Aujourd'hui, tant de millénaires après la fin de la Grande Guerre, les raisons de l'apparition de l'Epée Maudite, ainsi que ses circonstances, restent mystérieuses. Mais des centaines de milliers de morts passés par son fil font de Zariche un Démon aux pouvoirs singuliers. Il suffit qu'un malheureux passe à sa portée, pour que ce dernier finisse tôt ou tard par succomber à la tentation de son appel. Tirer l'épée du sol revient à accepter le Pacte tendu, et Zariche prend alors possession du corps du nouveau Porteur de l'Epée. Par nostalgie ou fidélité, la Zariche transforme l'enveloppe physique du Porteur pour la rapprocher de l'image de son Maître Originel.
Sous cette nouvelle forme, chaque nouvelle victime faite par le Porteur augmente la puissance de Zariche. Ce n'est qu'une fois gorgée de sang et d'âmes, qu'elle retourne, sans prévenir, au Néant d'où elle est apparue.
La seule façon connue d'exorciser le Porteur et de renvoyer Zariche d'où elle vient avant terme, est d'arriver à lui faire lâcher l'Arme Maudite. Le contact physique rompu, le Pacte se brise et la Possession cesse immédiatement.
Bien que l'on dise "La Zariche", il est de tradition de considérer le Démon animant l'Epée du Massacre comme masculin.
Une fois qu'elle est apparue sur le continent, il est impossible de déplacer Zariche sans la saisir à pleine main, ce qui revient à accepter le Pacte. Tout autre moyen employé échouera, l'Epée refusant d'être tirée de son socle avec sa volonté propre jusqu'à se trouver un Porteur.
Les Epées de Sang — L'Akamanah.
La légende entourant l'Akamanah n’apparaît que plus tardivement dans les textes anciens, cela laisse supposer que les Epées du Sang ont une histoire plus récente. Bien que moins macabre, la légende de l'Akamanah ne lui confère cependant pas pour autant des origines moins glorieuses:
Ce serait le Dieu du Chaos en personne, Gran Kain, qui, séduit par les exploits funestes de la Zariche et de ses différents Porteurs au travers des âges, aurait forgé une lame aux propriétés similaires à partir de son propre sang. Il la nomma Aka.
Mais bien que surpuissante, l'Aka seule ne suffisait pas à émuler Zariche. On dit que Gran Kain aurait alors laissé son ouvrage à l'abandon. Certains prétendent que c'était dans la nature du Dieu du Néant d'avoir l'esprit changeant, et de se désintéresser promptement d'une chose pour se pencher sur une autre. D'autres affirment qu'il l'aurait fait à dessein. Aka fut ainsi longtemps oubliée avant que Shilen, la Déesse Déchue ne vienne à entrer en sa possession. Voyant la finalité de l'oeuvre inachevée, et la partie qui lui faisait défaut, elle sculpta à son tour une autre lame, dans son propre sang, la bénissant du nom de Manah.
Bien moins puissante que sa jumelle, Manah possédait l'essence qui manquait à Aka. Toutes deux réunies en un couple mortel d'épées duales, elles s'animèrent d'une conscience unique qui se fit connaitre sous le nom d'Akamanah, l'Epée de Sang.
Animée de l'esprit chaotique insufflé par Gran Kain au travers de l'Aka et des propriétés démoniaques héritées du sang de Shilen au travers de Manah, les nouvelles Armes Maudites apparaissent et disparaissent à volonté, avec le même caprice que Zariche.
Éternellement orgueilleuse de par ses origines, mais aussi profondément blessée de n'être que "la Seconde", Akamanah , à son tour, parcoure le monde à la recherche d'âmes corruptibles. Une fois son Porteur trouvé et investi, elle le transfigure, le façonnant de sa propre apparence, afin que seule son image se reflète dans les pupilles de ses futures victimes.
Tout comme Zariche, il faut rompre le contact physique entre les Armes Maudites et le Porteur pour faire prendre fin à la Possession. Et de même que sa rivale, la seule manière de déplacer Akamanah est d'accepter d'en devenir le Porteur, mais en faisant cela, l'individu s'expose à la Possession et toutes ses conséquences.
Ce serait le Dieu du Chaos en personne, Gran Kain, qui, séduit par les exploits funestes de la Zariche et de ses différents Porteurs au travers des âges, aurait forgé une lame aux propriétés similaires à partir de son propre sang. Il la nomma Aka.
Mais bien que surpuissante, l'Aka seule ne suffisait pas à émuler Zariche. On dit que Gran Kain aurait alors laissé son ouvrage à l'abandon. Certains prétendent que c'était dans la nature du Dieu du Néant d'avoir l'esprit changeant, et de se désintéresser promptement d'une chose pour se pencher sur une autre. D'autres affirment qu'il l'aurait fait à dessein. Aka fut ainsi longtemps oubliée avant que Shilen, la Déesse Déchue ne vienne à entrer en sa possession. Voyant la finalité de l'oeuvre inachevée, et la partie qui lui faisait défaut, elle sculpta à son tour une autre lame, dans son propre sang, la bénissant du nom de Manah.
Bien moins puissante que sa jumelle, Manah possédait l'essence qui manquait à Aka. Toutes deux réunies en un couple mortel d'épées duales, elles s'animèrent d'une conscience unique qui se fit connaitre sous le nom d'Akamanah, l'Epée de Sang.
Animée de l'esprit chaotique insufflé par Gran Kain au travers de l'Aka et des propriétés démoniaques héritées du sang de Shilen au travers de Manah, les nouvelles Armes Maudites apparaissent et disparaissent à volonté, avec le même caprice que Zariche.
Éternellement orgueilleuse de par ses origines, mais aussi profondément blessée de n'être que "la Seconde", Akamanah , à son tour, parcoure le monde à la recherche d'âmes corruptibles. Une fois son Porteur trouvé et investi, elle le transfigure, le façonnant de sa propre apparence, afin que seule son image se reflète dans les pupilles de ses futures victimes.
Tout comme Zariche, il faut rompre le contact physique entre les Armes Maudites et le Porteur pour faire prendre fin à la Possession. Et de même que sa rivale, la seule manière de déplacer Akamanah est d'accepter d'en devenir le Porteur, mais en faisant cela, l'individu s'expose à la Possession et toutes ses conséquences.
Ecrits initiaux : jinael.
Réecriture et mise en page : Shimy.
Réecriture et mise en page : Shimy.