[BG Humain] Graam

[Azdreugi]

Nom :
Prénom : Graam
Surnom : Berzerker
Titre :
Age : 22 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain


Métier : Soldat
Compétences : Martiale, arme à deux mains, Pugilat,
Survie : Cuisine

Alignement : Neutre bon
Guilde :
Faction :
Langues parlées : Commune

Description physique : Grand, roux, petite iroquoise. Un tatouage sur chaque épaule. Des yeux bruns et rieur, il semble qu'il prenne tout à la rigolade et une lueur naïve brille à l'intérieur. Une fine barbe couvre le bas de son visage. Tout en muscle, ce qui lui permet de manipuler facilement l'espadon. Généralement torse nu pour plus de liberté où quelques cicatrices apparaissent



Caractère : C'est quelqu'un de simple, aimant la baston et les situations qui se résolvent facilement. Bref c'est pas une lumière et il a pas inventé l'eau chaude. Il tendra toujours la main pour aider et n'hésitera pas à assommer quelqu'un si le besoin s'en fait sentir. Il rêve encore de devenir comme les héros dans les histoires qui ont bercé son enfance ce qui a tendance à le mettre dans des situations quelques fois délicates.



Autres :

Situation financière : Pas une tune !
Comportement social : Respect de la hiérarchie, sinon s'en tape.
Type d’éducation reçue : Paysanne et militaire par la suite
Popularité et/ou influence :
Pensée politique : Aucune

Croyances :

Einhasad : Croyant
Gran Kain : s'en fiche
Eva : respecte
Shilen : craint
Sahya : respecte
Pa’agrio : respecte
Maphr : respecte
Alternative :

Relations extérieures :

Elfes : bonne
Humains : bonne
Kamaels : bonne
Nains : bonne
Orcs : bonne
Sombres :bonne

[Azdreugi]

Il était une fois dans un pays lointain, un méchant dragon qui brulait tout sur son passage. De son courroux naissant des flammes qui faisaient fondre même le plus dur des métals. Nul ne réussit jamais à le vaincre. Terrifié face à la puissance du dragon, le roi du pays décida d'offrir une immense récompense à celui qui vaincrait la terrible bête. La main de sa fille. La belle princesse, on disait d'elle que sa beauté faisait pâlir les plus belles des roses et qu'elles se fermaient sur son passage, honteuse de leur laideur.
Nombre de soupirant se présentèrent, jurant de terrasser l'odieux dragon. Mais aucun ne revint. Un jour pourtant, un chevalier se présenta devant le roi et lui fit la promesse de vaincre le tyrannique dragon. Beaucoup se gaussèrent du chevalier car nul ne le connaissait.
Pourtant il revint en portant la tête du dragon qu'il déposa au pied du roi.
- Maman ! Maman ! Comment il a fait pour tuer le dragon ?
- C'est une autre histoire ça mon chérie.
- Racontes-la moi ! S'il te plaîîîîît !
- Non c'est le moment de dormir Graam, dors vite avant que les démons ne viennent.

18 ans plus tard.

Graam ouvrit les yeux et vit ses frères d'armes à côté de lui. L'entraînement de la Compagnie du Phénix Ardent. L'instructeur Khalaart passant dans les rang pour corriger les postures, sévère mais juste.

Plus tard.

Toujours l'entraînement, des monstres sont amenés pour entraîner les soldats à la vue du sang et des viscères. Beaucoup ont rendu leur repas. J'en fais parti. Je me souviens des rires et de la compassion des vétérans qui nous regardaient et nous soutenaient.
C'est l'été, ça fait six mois que je suis ici. J'ai chaud dans mon équipement, la sueur me coule dans les yeux, j'ai fait une erreur à cause de la sueur qui a rendu ma prise moins fiable. J'ai le bras cassé. Je me suis fait sermonner par l'instructeur et j'ai atterri à l'infirmerie. J'y ai vu le Commandant et le Capitaine qui passait entre les blessés. Je me suis senti bête.

6 mois plus tard
On est devant Oren, la ville grouille des monstres de l'Ire. J'ai peur et je suis excité à la fois. Je regarde autours de moi et je vois sous un jour nouveau mes camarades. Ceux qui fanfaronnaient à l'entraînement se font dessus, l'odeur est présente. Les vétérans tentent de nous rassurer, nous rappellent que nous ne sommes pas seul et qu'ensemble on s'en sortira, qu'on tuera les bêtes avant qu'elles ne nous tuent.
Je lève la tête et bien qu'il fasse très froid dans cette journée d'hiver, je transpire. Mon esprit est comme absent de mon corps.
Un homme fait nous fait un discours, je vérifie une dernière fois les sangles de mon bouclier et de mon casque. On y va.

J'ai froid... Je ne sens plus mes jambes pourtant elles sont bien là contrairement à mon bras gauche. Il est pas loin, je le vois... Je n'ai pas mal... J'ai froid... Je suis fatigué... Je crois que je vais fermer les yeux un instant... Pour me reposer... Maman... Je... suis... désolé...

Petit, est-ce que tu veux vivre ?