[BG] Angelis

Ici se trouvent les BGs des héros décédés, paix à leurs âmes.

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Angelis
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[BG] Angelis

Message par Angelis » sam. 9 juin 2007 à 22h13

L’histoire que je vais vous conter n’est peut être pas le meilleur exemple à suivre mais c’est le seul chemin que la jeune Angelis a pu suivre pour réussir sa vie. Fille unique, ses parents n’ont pas pour autant essayé de rendre ce chemin moins chaotique, plus agréable. Ils étaient très pauvres et n’avaient pas que des amis dans le monde d’Aden. Certaines de leurs méthodes, dont le seul but était la survie, leurs rapportèrent beaucoup plus d’ennuis que de récompenses. Au bout de deux ans, le danger se faisant de plus en plus présent dans leur vie, ils ont été dans l’obligation de quitter le monde d’Aden, laissant Angelis, seule et sans défense, dans un panier en osier au pied d’un jeune chêne. Ils se sont donc lancés dans ce long et dangereux périple sans avoir aucune idée de ce qui pouvait les attendre. Plus tard, Angelis ne se fit pas la moindre illusion sur ce qu il leur était arrivé et n’entreprit aucune quête pour les retrouver, tellement la haine envers eux était forte.


Au fil du temps, plus le chêne grandit, plus Angelis devint forte de corps et d’esprit. Durant sa jeunesse, elle rencontra de nombreuses personnes qui lui apprirent les différentes choses de la vie dans le monde d’Aden. Elle se souvient de chacun d’eux comme s’ils étaient des parents. Le premier d’entre eux, ou plutôt la première, était une elfe qui la recueillit alors qu’elle n’était encore qu’un nourrisson. Durant dix années, l’elfe lui apprit les différentes bases de la vie comme la lecture, l’écriture, ou encore le calcul. Parallèlement à ceci, Angelis développa facilement son expérience et son esprit pratique grâce à sa curiosité débordante. Celle-ci l’emmena aussi dans de nombreux et dangereux périples qui pour certains se sont mal terminés.


Alors que ces dix années enrichissantes arrivaient à leurs termes, l’elfe l’emmena chez un vieillard nain où elle allait continuer son apprentissage. Celui-ci lui enseigna d’une manière plus poussée les lettres et l’histoire. Durant ses deux ans, elle travailla plus de dix heures par jours avec seulement un jour de repos par semaine. Pendant cette journée, elle ne pouvait à peine satisfaire la totalité de ses loisirs. Elle se rendit rapidement compte que cette voie n’était pas faite pour elle. Mais c’est seulement au bout de deux ans de dur labeur qu’elle compris que la seule solution était la fuite. Un soir d’hiver, malgré le froid et la peur, elle décida de partir, se laissant porter par son destin.


Ce fut certainement la plus grosse erreur de sa vie. Durant cette période, vous l’avez sûrement vue errer autour des villes n’ayant que quelques lambeaux pour se réchauffer et survivant grâce aux quelques quêtes qu’elle avait autant de mal à trouver qu’à accomplir. Au cours de ses différents périples, elle rencontra de nombreux êtres qui lui enseignèrent quelques rudiments de défense, indispensables dans ce milieu hostile, ainsi que le maniement des armes.


Un après-midi d’automne, poussée par sa curiosité et son courage, elle entreprit d’aller à la découverte des contrées inconnues qui entourent le village où elle errait depuis six mois. Elle marcha très longtemps…, trop longtemps. Au bout de cinq heures, elle fit demi-tour mais ne retrouva jamais sa route. Alors que la nuit tombait, elle pus mettre en pratique ses longues années d’études en établissant un campement et en se nourrissant avec quelques fruits et baies trouvés aux alentours. Alors qu’elle finissait son repas, un groupe d’orcs, paraissant peu conviviaux, fit irruption. Ces partisans de la guerre des clans et de la discrimination raciale importunèrent la jeune Angelis, complètement apeurée. Ce fut pour elle une humiliation totale qui resta gravée en elle toute sa vie. Pendant ce triste moment, Angelis revit passer toute sa sombre existence devant elle. Cependant, elle n’avait aucun regret, sûrement à cause de son dur caractère adopté durant sa jeunesse. Elle ne pouvait plus qu’espérer que sa mort soit rapide et sans douleur. Elle n’avait plus aucun espoir mais c’était sans compter sur deux magiciennes alertées par les bruits des orcs ivrognes. Par la force surpuissante de leurs magies, elles n’eurent pas beaucoup de mal à en venir à bout. Assommée pendant le combat, Angelis se réveilla au petit matin.

Apeurée, elle demanda :
« Qui … ? qui êtes vous ? Que m’est-il arrivé ?
- ne t’inquiète pas, nous ne te voulons aucun mal, répondit l’une d’elles.

Angelis peu rassurée : Mais où suis-je, je ne me souviens de rien ?
- nous sommes à une quinzaine de kilomètres à l’ouest du village. Tu as été importunée par un groupe d’orcs peu recommandables. Nous sommes donc intervenues, puis tu as été frappée à la tête par l’un d’eux.

Angelis : *touche son front et sent sa blessure* : Ca y est, je me souviens, je …. Mon sac ! Où est mon sac ? Qu’avez-vous fait de mon sac ? REPONDEZ !
- Ce n’est pas nous. Ne soit pas si insolente, nous ne t’avons rien fait. C’est un des orcs, il a attrapé ton sac dans la bagarre et s’est enfui. Qu’y avait-il dedans ? Rien d’important j’espère ?
- Seulement …. Toute ma vie »

Cette dernière parole entraîna un long silence. Les deux magiciennes comprirent à quel niveau de désespoir était cette jeune humaine.

L’une d’elle dit :
« Tu sais, le monde d’Aden est très dangereux quand on ne le connaît pas. S’y aventurer seule, en pleine nuit, c’est de l’inconscience.
- Mais je ne savais pas moi, personne ne m’a appris !
- Et tes parents, où sont-ils ?
- Ils …Ils … Je ne sais pas, ils sont peut être … morts ! »

Un deuxième silence se répandit mais il fut rapidement interrompu par Angelys :
« Il m’ont abandonné alors que je n’étais encore qu’au berceau.
- je suppose que ta vie a été dure, comment as-tu survécu durant ta jeunesse ?
- C’est une longue histoire mais rien ne pourra me la faire oublier.
- Nous en sommes tout à fait conscientes. Si tu veux, tu peux venir quelques mois avec nous. Nous pourrons t’apprendre beaucoup de choses, comme te défendre et attaquer par exemple.
- C’est gentil ! mais je ne peux accepter. Vous m’avez déjà sauvé la vie et je ne veux pas vous apporter plus d’ennuis.
- Mais si ça ne nous dérange pas et nous n’avons pas peur des ennuis, réfléchis bien, c’est peut être une chance unique.

Finalement Angelis accepta et retourna au village avec les magiciennes

A la suite de cela, Angelis prit un nouveau départ. Elle fit un bout de chemin avec les deux magiciennes qui ont commencé et qui continuent à lui apprendre la défense ainsi que les nombreuses autres règles du monde d’Aden. Cependant elle ne prit pas la même voie qu’elles, préférant le maniement des armes à la magie.
Dernière modification par Angelis le ven. 31 août 2007 à 09h39, modifié 2 fois.
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Message par Angelis » ven. 31 août 2007 à 09h35

De nombreux mois plus tard...
Un soir d’hiver, un vent glacial soufflait sur la ville de Gludin. Angelis, emmitouflée dans une peau d’ours, se hâtait de rentrer dans son appartement qu’elle louait à un nain pour quelques broutilles. Alors qu’elle s’approchait de la porte, elle vit une ombre longer le mur de la taverne. Elle s’approcha lentement, tremblotant. C’est au bout de trois, quatre pas qu’elle aperçu la silhouette d’une jeune femme au milieu d’une sombre et etroite ruelle. La femme s’approcha légèrement. Elle était vêtue d’une longue robe blanche ainsi que d’un foulard noire cachant la moitié de sa figure. Quelque minute plus tard elle se dévoila complètement à la lumière d’une torche. Ainsi rassuré, une longue discussion commença. […]

C’est ainsi que Angelis, pour la première fois, rencontra une personne sur qui elle pouvait enfin compter. Aussi, elle accepta de devenir sa disciple, après qu’elle lui est promis fidélité jusqu'à la mort. Cependant, elle ne fit attention au chemin qu’elle lui montrait. En effet, peu a peu elle se rapprocha du mal sans vraiment s'en rendre compte. Quelques temps après, la magicienne lui présenta de nombreuses personnes avec qui elle fit plus amples connaissances. En conséquence, elle rejoignit sa première guilde, voué au mal, hélas la plus terrible de toute […].

Pendant ces temps la, le monde d’Aden se dégradait de plus en plus. En outre les terribles combats entre clans, les conditions météorologiques se dégradèrent rapidement. La fréquence et la puissance des orages, tempêtes, et autres tremblements de terre augmentèrent considérablement dans les derniers mois laissant derrières eux des dégâts grandissants. La vie devenait impossible sur ces terres. De nombreuses rumeurs courraient selon lesquelles des forces supérieurs, attristées par les comportements des êtres de ces terres, voulaient mettre fin au monde.


Un matin, à la suite d’un violent orage, Angelis fut réveillé par les cris des habitants de Gludin. Elle descendit rapidement sur la place et remarqua un affolement anormal. Beaucoup de cris, de personnes qui couraient et surtout l’absence du marché qui d’habitude amenait beaucoup de monde. Une organisation se dessina rapidement et tous partirent vers la ville de Giran. La bas on appris la perdition du monde d’Aden et le peu de chances de survis qui se présentait. Tout le monde s'interrogeait sur son devenir. Cependant, une faille spatio-temporel aurait été crée dans un lieu sacré de ces terres. Ou ?... personne ne le savait directement. Heureusement, rapidement trouvée, cette faille permis à de nombreuses personnes de se sauver et de retomber de nouvelles terres, certes identiques mais pourtant si méconnaissables.
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Message par Angelis » ven. 31 août 2007 à 09h40

Sur ces nouveaux territoires, Angelis se retrouva rapidement seule. Cependant elle reçu rapidement divers et nombreuses propositions dans le but de rejoindre certaines guildes. De longues discussions s’en suivirent avec les seigneurs et entre les seigneurs. Apeuré par cela, Angelis se rendit à la tour d’Ivoire et fit quelques recherches sur l’histoire de ces terres et notamment sur ses guildes. C’est ainsi qu’elle se rendit au village de Dion où elle rencontra directement le seigneur qui après quelques jours accepta de la prendre sous ses ailes.

Deux mois plus tard, après son long voyage sur les territoires du nord, elle regagna Dion, fatigué mais souriante. Le village était anormalement calme et aucune personne de la guilde n’était présente. Elle interrogea les villageois qui l’informèrent du départ plausible du Seigneur. Elle s’empressa d’aller au Château mais tomba sur les deux lourdes portes qui étaient fermés… Aucun garde n’était non plus présent. Ainsi, elle regagna Dion puis Giran, déçu. Elle entendit plus tard que le seigneur de Dion était revenu quelques temps pour essayer de vendre son château…

Durant les jours suivants, ennuyée par la solitude, elle se remémora les divers propositions qu’elle avait reçu lors de son arrivé sur ces terres et se rendit à Heine pour rencontrer son Seigneur. C’était un grand elf noir nommés Damocles. Il l’a recueillit chaleureusement et la présenta aux divers membres de la guilde des Arteias et de l’alliance Prenoahhys , Cependant, cette alliance, la réunissant avec vampires et orcs ne la réjouissait guère. Elle essaya de s’en rapprocher le moins possible, mais plus le temps passait plus cela devenait difficile. A la suite de la victoire de l’alliance lors du siège du château de Giran, elle fut outrée par l’arrogance et la méprise des Amtaks envers les autres peuples de ces terres. Elle fit donc ses adieux aux Arteias et retourna errer à droite à gauche sans vraiment avoir de but. Peu de temps passèrent lorsqu ‘elle fut repéré puis recueilli par le baron Echtelion et rejoignit les Dies Irae protégé par la déesse Luperca.
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Message par Angelis » ven. 31 août 2007 à 09h40

Durant les quelques mois passés sous les ordres du seigneur Echtelion, les missions et autres quêtes se succédèrent, sans pour autant se ressembler. Un jour comme les autres, Echtelion fit appeler Angelis pour mission dite : « de grande importance ». Elle se joignit donc a lui, ainsi qu’à Malygos. Tous trois enjambèrent leurs montures et s’engagèrent sur un étroit sentier.
La première halte se fit dans un petit village complètement dévasté. Sur le sol, nombreux corps, vidées de leur chair, gisaient. Angelis et ses compagnons continuèrent leur périple, bien décidés à trouver le coupable de cet affreux crime. Quelques lieues plus loin, ils arrivèrent à l’entrée d’une grotte. Echtelion ordonna à Angelis et Malygos de l’attendre ici, puis il entra…seul.
Une heure passa, et toujours aucun signe du Baron. Inquiets, elle rentra avec Malygos et aperçut, horrifiée, le corps de son chef, sans vie, allongé sur le sol. Désemparés, ils firent le nécessaire et scellèrent l’entrée de la grotte pour ne qu’aucune créature ne la profane. Ils inscrivent sur la pierre en guise de souvenir « Ci-gît Echtelion, Baron d’Eidoral, Evêque de Luperca, Seigneur du Dies Irae et époux aimant de Dame Zyrgal «
Finalement, ils rentrèrent tous deux, le regard sombre et l’esprit morne, puis se séparèrent. Tel était la fin de l’union sacré des Dies Irae et c’est ainsi qu’Angelis retrouva la solitude.

Les temps qui suivirent, elle essaya de faire le deuil de son Seigneur, mais n’avait pas la force d’oublier celui qui l’avait guidé durant de nombreux mois. Elle fit aussi quelques nouvelles rencontres, de bonnes, mais aussi de mauvaises. A la suite de quelques confrontations avec un guerrier Amtaks, elle fut obligée de se cacher pour éviter les foudres de ce même clan.
Quelques temps plus tard, elle fit la connaissance de Jak, un elf noir, venu à sa rencontre suite au conseilles de Malygos. Il lui présenta l’Ordre Du Sanctuaire Rouge, lui promis protection et ainsi lui proposa de rejoindre cet ordre, luttant contre toutes sortes de males et protégé par la déesse Einhasad. Après son accord, il l’emmena dans l’église de Giran puis à la rencontre des autres personnes de cette guilde. C’est ainsi qu’elle revit Malygos, et rencontra Milla. [...]
Dernière modification par Angelis le jeu. 6 mars 2008 à 16h17, modifié 1 fois.
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Message par Angelis » sam. 23 février 2008 à 01h49

[...]Quelques mois passèrent....



Depuis trois jours, tout semblait s’engendrer, s’accabler sur les épaules de l’humaine. Elle ne comprenait plus personne et plus personne ne la comprenait. Elle était la, accoudé sur le muret à coté de Sire Kalik, qu’elle venait de rencontrer mais a qui elle avait tout avoué, une faiblesse passagère cela arrive à tous le monde. Elle se morfondait, tournait et retournait ses pensées à la recherche d’une probable issus. Sa tête tournait, des vertiges apparaissaient, elle entendait ses amis parler mais elle n’avait le courage de leur répondre. Ses bêtises s’enchainèrent et vint le moment du sermon. La douce Lyss vint donc lui parler, lui éviter une énième bêtise, une ultime bétise. Malheureusement sa pureté n’était égale à sa force, elle ne fit que repousser l’échéance mais lui donna le courage de repartir, de rejoindre Sire Kalik et de lui tracer un chemin vers la lumière tout en oubliant le reste.

Le lendemain, elle revit Kalik, sa bonté et sa bravoure lui redonna du courage, elle le présenta à Tynian qui l’accepta au sein de l’ordre. Un petit moment de joie trop vite estompé. Elle voulue pendre des nouvelles de Myst lui annoncer cette bonne nouvelle mais en arrivant devant l’antichambre, elle n’eut le courage d’entrer. La porte était entrouverte mais elle préféra attendre la sortie de Tynian. Le visage blême et le regard vide, Tynian sortit de la chambre sans apercevoir Angelis. Elle entra.


Myst semblait assoupie, Angelis posa alors la main sur son front qui lui semblait bien trop rouge. Il était encore chaud, très chaud, trop chaud. Elle repartit chercher un tissu qu’elle trempa dans l’eau froide.
Elle revint quelques minutes plus tard, reposa sa main sur son front qui gela le fond de ses entrailles. Elle sortie de la chambre usant de ses dernières forces pour retenir ses larmes et regagna la sienne.
Nombreuses questions et regrets trottinaient dans son esprit, pourquoi elle ? Pourquoi si vite ? Pourquoi n’ai-je pas cherché à mieux la connaître. Elle s’assoupie sur ces dernières pensées pour se réveiller en fin d’après midi. En fin de soirée elle rencontra Mallice, probable futur fiancé de Lyss, au fond c’était tout le mal qu’elle leur souhaitait, qui voulait lui parler. Il ne fit malheureusement et malgré lui qu’envenimer le tout.
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Message par Angelis » lun. 10 mars 2008 à 22h35

Une lettre rédigée il y a quelques temps et affichée par le prêtre Maximilien sur le mur de Giran.
C’est surement de la folie mais celle-ci sera toujours mieux que la peur.
Je rédige cette lettre car je sais que je ne reviendrai pas.
J’aimerais en finir par moi-même mais il est certain que l’intelligence Amtak ne me laissera ce choix.
Ma triste vie m’a montrée qu’aucun idéal n’en valait un autre, qu’aucun extrême ne rattrape l’autre.
La peur ne vaut pas mieux que la haine mais ne dépassera jamais la trahison.

Cette triste vie m’a permise de rencontrer bon nombres de personnes que je n’ai jamais assez remerciées et auxquels je voudrais rendre un hommage éternel.


A Malicya, sans qui je n’aurais jamais été celle que je suis.


Au Seigneur Damocles, qui m’as permis de ne tomber dans l’Oublie


Au Baron Echtelion, pour m’avoir ouvert la voix d’une deuxième chance.


A Sire Tynian et tous les membres du sanctuaire Rouge pardonnez moi de vous avoir impliquez la dedans.,

à Malygos pour avoir toujours été pres de moi,
à Lyss pour sa douceur qui m’a tant apportée,
à Corby, Pardon.


A Dame Eowyn, une tache d’encre ajoutée semblait cachée ce qui était écrit.


A Khyil, Elolia, Feb et Mallice pardonnez-moi.









Au reste des Siannodels, puissiez vivre heureux à Innadril…


Et aux autres…



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Les cendres s'envolent, les esprits se perdent, mais la haine reste profonde.
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