Nom : Maenis
Race : Elfe
Age : 150 ans
Sexe : Femme
Alignement : Loyal Bon
Caractère : Chaleureuse, caractériel, tenace.
Histoire, origines :
Je suis Maenis, la rosée délicate du matin sur les pétales du lotus. Je fus nommée ainsi par les anciens lors de mon passage à l’âge adulte. Ma vie, je ne vous la conterai pas. Elle est bien banale. Une fille simple dans un corps simple, élevée par des parents simple. Mon père, ma mère me direz-vous ? De simples elfes comme les autres, attentionnés à mon égard comme tous parents.
La vie est si longue pour nous les elfes ; le temps passe dans le village. Mais que c’est monotone ! Je ne supporte plus cette vie. Je crie de tout mon être, mais rien. Il fallait trouver à faire pour rompre avec le quotidien.
Je suis donc allée voir le sage d’entre les sages, le plus respecté de tous. C’est avec lui que j’appris l’histoire et les arts de notre peuple. Il m’enseigna, m’éduqua. Tout est parole bienfaisante dans cet être si pur. Le temps passa. Mais mon ennui était d’autant plus grand. J’en parlai donc au sage d’entre les sages. Il me demanda de me rendre près de l’Arbre Mère de notre ancien village en ruine le soir même.
Je m’exécutai. Il était là bien avant moi. Je ne l’ai pas reconnu dans un premier temps, il portait une armure peu habituelle pour ceux de notre village. Il me conta alors sa vie. Ma surprise fut sans pareille, le sage parmi les sages était un guerrier aguerri. Il maniait l'arc avec une fluidité que je n’avais jamais pu observer. Ses flèches sifflaient dans le vent, faisant apparaître une mélodie qui m’était alors inconnue. Il était sentinelle des Lunes dans le temps.
Il me posa ensuite une question, simple : Veux-tu rompre la monotonie de ton existence ?!
Je répondis alors par un simple hochement de tête qui voulait en dire long.
Alors il me tendit un arc et me demanda d’enfiler une armure. Alors il commença à m’enseigner le maniement de cette arme redoutable.
Nous retrouvions trois fois par semaine pendant une année. Il finit par m’annoncer qu’il ne pouvait plus rien m’enseigner. Il était temps pour moi de commencer à combattre seul, et appliquer l’enseignement reçu à la lettre.
Les journées ont passé et elles ne se ressemblaient pas. Je sentais que je prenais de plus en plus d’assurance dans mes coups, Ils étaient devenus efficaces face a tout.
Les mois s’enterrèrent les uns après les autres, laissant le temps changer, la douceur du printemps venait de refleurir. Plus motivée que jamais, je voulais entendre le sifflement de mes flèches dans le vent.
[bgelfe] Maenis
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[bgelfe] Maenis
Dernière modification par akira35 le sam. 10 mai 2008 à 16h00, modifié 1 fois.
Re: Maenis
A l'orée des bois, la chasse venait de reprendre. La traque la poursuite des pistes. Tout ceci ne faisait qu’aiguiser mes sens. Le maniement de l'arc était presque perfection, la continuité des tire, l'agilité des bonds. Et aucun remord lorsque la flèche, lancinante de mélancolie allait frapper l'ennemie à cœur. Maenis devenait sans pitié aucune. Elle accomplissait son devoir. Protéger, servir.
Il était tant pour elle d'apprendre une autre méthode. L'assassinat. Une dague dans la main, elle en connaissait déjà les rudiments. Mais elle se devait d'en apprendre la complète maitrise.
Elle se rendit donc chez les maitres daguiste de Cefedelen, et leur fit par de son souhait. Bien qu'un peut surpris de la voir et d'avoir cette envergure, les maitres ne pouvais que se rendre à l'évidence. Le désire de Maenis était trop profond pour qu'on lui refuse cette demande.
Le temps de la précision, du camouflage et de la volupté du geste commençait à l'envahir. Cette entrainement lui permettra diversifier ces capacités à l'arc.
Pendant des semaines, elle répéta les mouvements, les gestes. Son aptitude au maniement fut remarquable.
L'apogée viendra de lui même.
Elle quitta les maitres pour perfectionner son art.
Il était tant pour elle d'apprendre une autre méthode. L'assassinat. Une dague dans la main, elle en connaissait déjà les rudiments. Mais elle se devait d'en apprendre la complète maitrise.
Elle se rendit donc chez les maitres daguiste de Cefedelen, et leur fit par de son souhait. Bien qu'un peut surpris de la voir et d'avoir cette envergure, les maitres ne pouvais que se rendre à l'évidence. Le désire de Maenis était trop profond pour qu'on lui refuse cette demande.
Le temps de la précision, du camouflage et de la volupté du geste commençait à l'envahir. Cette entrainement lui permettra diversifier ces capacités à l'arc.
Pendant des semaines, elle répéta les mouvements, les gestes. Son aptitude au maniement fut remarquable.
L'apogée viendra de lui même.
Elle quitta les maitres pour perfectionner son art.
Spoiler:
Re: [bgelfe] Maenis
Bien que la vie soit tranquille, il arrive des accidents.
Ainsi le face à face fut violent. Maenis fut désemparée, presque détruite. Les épées maudites de Kain avaient jeté leur dévolu sur son corps, le lacérant de coups de lames. Ainsi, elle fut tombée dans la torpeur et la noirceur du monde. L'arme la laissant pour morte, Maenis ne se souvient de rien.
Elle se réveilla bien plus tard. Dans le temple d'Aden. Elle sut à son réveil qu'elle fut soignée par les prêtres du temple, mais aussi, elle survécut grâce à la puissante magie d'une consœur. Bien que le soin fut bien orchestré par l'une des siennes, les prêtres peu habiles n'avaient pas fait correctement leur travail. Maenis était infectée. La maladie l’envahissait peu à peu, gangrénant ses mouvements. Au rythme où cela progressait, elle ne serat bientôt plus.
Les prêtres alors ordonnèrent à Maenis de retourner au village.
A son arrivée, le regard vide et décomposé, elle s'accouda sur les garde-corps. La consœur était présente, mais nul souvenir. Elle se présenta, elle se nommait Erlineth, une haute prêtresse d'Eva. Se trouvait également Eowyn, une inconnue une nouvelle fois aux yeux de Maenis, elle était médecin.
La cicatrice boursouflée, fut montrée a la prêtresse et au médecin. Le verdict fut sans appel. Maenis était sur la sellette. Les soins étaient obligatoires. Bien que Maenis n'en voulait pas, elle n’eut le choix que de se rendre à l'évidence. La vie avec souffrance, ou la mort. Maenis dut se résoudre à accepter la douleur.
Ainsi les précautions étaient prises par Erlineth. La prière était la seule solution pour apaiser la douleur que subissait Maenis. Elle entra en stase, les prières la menant vers Eva. le rêve fut idyllique. La conception était simple, mais merveilleuse et dans cette simplicité les créatures d'Eva était présente. Les avatars de l'eau. Ainsi Maenis échangea avec eux la douleur qu'elle avait ressentie.
Au réveil, Maenis était plus pâle qu'à son habitude. Mais l'opération était bien menée. Le soin était parfait, précis.
Maenis était sauve. Elle n’encourrait plus de danger.
Ainsi l'esprit de l'eau avait communié avec Maenis.
Les capacités que toute elfe possède se réveillait en elle. L'art des mages de l'eau lui appartenait.
Ainsi le face à face fut violent. Maenis fut désemparée, presque détruite. Les épées maudites de Kain avaient jeté leur dévolu sur son corps, le lacérant de coups de lames. Ainsi, elle fut tombée dans la torpeur et la noirceur du monde. L'arme la laissant pour morte, Maenis ne se souvient de rien.
Elle se réveilla bien plus tard. Dans le temple d'Aden. Elle sut à son réveil qu'elle fut soignée par les prêtres du temple, mais aussi, elle survécut grâce à la puissante magie d'une consœur. Bien que le soin fut bien orchestré par l'une des siennes, les prêtres peu habiles n'avaient pas fait correctement leur travail. Maenis était infectée. La maladie l’envahissait peu à peu, gangrénant ses mouvements. Au rythme où cela progressait, elle ne serat bientôt plus.
Les prêtres alors ordonnèrent à Maenis de retourner au village.
A son arrivée, le regard vide et décomposé, elle s'accouda sur les garde-corps. La consœur était présente, mais nul souvenir. Elle se présenta, elle se nommait Erlineth, une haute prêtresse d'Eva. Se trouvait également Eowyn, une inconnue une nouvelle fois aux yeux de Maenis, elle était médecin.
La cicatrice boursouflée, fut montrée a la prêtresse et au médecin. Le verdict fut sans appel. Maenis était sur la sellette. Les soins étaient obligatoires. Bien que Maenis n'en voulait pas, elle n’eut le choix que de se rendre à l'évidence. La vie avec souffrance, ou la mort. Maenis dut se résoudre à accepter la douleur.
Ainsi les précautions étaient prises par Erlineth. La prière était la seule solution pour apaiser la douleur que subissait Maenis. Elle entra en stase, les prières la menant vers Eva. le rêve fut idyllique. La conception était simple, mais merveilleuse et dans cette simplicité les créatures d'Eva était présente. Les avatars de l'eau. Ainsi Maenis échangea avec eux la douleur qu'elle avait ressentie.
Au réveil, Maenis était plus pâle qu'à son habitude. Mais l'opération était bien menée. Le soin était parfait, précis.
Maenis était sauve. Elle n’encourrait plus de danger.
Ainsi l'esprit de l'eau avait communié avec Maenis.
Les capacités que toute elfe possède se réveillait en elle. L'art des mages de l'eau lui appartenait.
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