Peremuda

Ici se trouvent les BGs des héros décédés, paix à leurs âmes.

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Peremuda
Elpy
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Peremuda

Message par Peremuda » lun. 9 juillet 2007 à 15h33

Le jeune Muda est un enfant trouvé dans une forêt par des chasseurs. Ne sachant quoi en faire, ces derniers l'ont imediatement ramené au village.
Une fois sur place une prêtresse qui soignait les gens fut alertée de la nouvelle , et decida de le prendre car ne pouvant avoir d'enfants, elle cru que c'était la reponse à ses prieres bien qu'elle sut qu'elle ne pourrait pas le garder vu sa condition.
Elle le rapporta au temple, et demanda à son Ordre ce qu'elle devait en faire car personne n'en voulait dans le village
-elle étais la seule gardienne du temple du village. Elle eut la surprise de recevoir une missive lui donnant l'ordre de le garder et de l'élever dans la plus pure traditions des voies d'Einhasad.
Elle en pleura de joie, elle pourrait donc avoir un fils.
Elle le nomma par la suite Muda car c'était le nom de son grand pére.Le jeune Muda grandi alors dans ce petit village oèu les seules préocupations des gens étaitaient le travail des champs .
Il ne connaissait donc rien à l'art subtile de la guerre ou autres manoeuvres militaires. Le jeune Muda etais assez naif et croyait toutes les histoires qu'on lui racontait.Grace aux enseignements de sa mere adoptive , il prit la voie ecclésiastique, et se decouvrit , un réelle talent pour la guérison.Sa mère en était très fière .
Arriva l'age de ses 17 ans, il étais temps pour lui de quitter le village pour parachever sa formation, et devenir enfin Ecclésiaste ,comme sa mère l'avait toujours voulu et selon les ordres qu'elle avait reçus.


Race:Humain
age: 17ans
description: jeune homme assez timide ,qui decouvre la réalité du monde qui l'entoure et ça lui fait peur .
Muda est un auteur de nouvelles à l'eau de rose a ses heures perdues et il pratique l'épiage en cachette en portant un masque pour avoir des idées plus croustillantes à ecrire (mais il s'est fait piqué ses meilleurs moments ! ),
il ne sait absolument pas lire une carte, et n'est pas tres à la mode.
Muda aime faire reflechir les gens sur leur âme pour pouvoir les sauver d'eux même
il rêve secrétement d'aventures en tout genre mais doit rester Neutre selon les voies qu'il a prise.
Il reve également de devenir quelqu'un de haut placé dans son ordre afin de combattre les hordes impies ( HERETIQUES au bucher !)
il fait parfois des réves premonitoires qui l'engoissent et qui le traumatisent.
il aime tout le monde, il est tres poli, mais DETESTE les HERETIQUES .
Alignement : la voie du Seigneur Mon fils !
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Athée pieds. Voilà ma religion !
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Peremuda
Elpy
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Nouvelle de Muda "les jours de notre vie"

Message par Peremuda » lun. 9 juillet 2007 à 15h35

Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Sago embrumait Giran. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vielle dame qu'il croisait. Il traversa la place, et bizarrement sourit à un orque qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou et entra.
-Habati, tu es là ? appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
-Donne ton épée, je vais te débarasser, dit-elle
-Tu es si Belle, répondit simplement Sago.
-Tu viens ? Fit gaiement Habati
Sago la suivi jusqu'à la pièce principale.
-Assieds-toi, fit Habati
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Puis il fixa Habati. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
-Habati...
Elle détourna la tête.
-Habati, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
-Euh.... bredouilla Sago.
Mais les mots ne venaient pas... Alors Habati passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arretaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions.
Une fois de plus, Sago prononça les trois mots magiques.
-Je t'aime
Mais cette foi-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
-Ca y est.... cela fait déjà un an... cela fait une année que la foudre m'a frappé, cela fait un an que nous nous sommes rencontrés. Et j'ai toujours su que c'était toi l'amour de ma vie. Et ce malgré mes aventures passées.
-Voyons... tu vas me faire rougir, murmurra Habati.
-Pourquoi ? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus jolie que je n'ai jamais connue ! La plus jolie de tout Giran ! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
-Mais et toi, tu es si sensible...
-Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce ours, ou transpercer par milles lances empoisonnées.
-Mais toi aussi, Sago, tu as beaucoup de qualités...
-Embrassons-nous encore... souffla Sago.
Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait "L'histoire du Maronier" du Troubadour. D'où cela venait-il ? Quelle importnace, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entrainèrent dans un tourbillon sans fin.
Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Giran était loin. Ils virent passer un oiseau, au dessous d'eux. Puis deux.
Maintenant ils étaient sur la mer. Il frisonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau ? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris.
On se serait cru dans un tableau d'Atsouri. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait.
Quelques gouttelettes de pluie virent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants, les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Habati, que le folie siasissait, se voyait jouer au milieu des éclairs...
Plus la musique jouait, plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissait, se brisant bientôt contre leur pieds dans une explosion d'éume crépitante, pousées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que le plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que cela faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leur mains... et tou s'arrêta soudain.
-Je voudrais t'épouser, dit Sago.
Habati tressaillit.
-Pardon ?
-Je t'aime. Je veux t'épouser. Veux-tu être ma femme, Habati ?



Habati les larmes au yeux en se retournant déclara :
- Mais tu sais bien que notre amour est impossible. Je suis déjà mariée à Thimoty, ne rend pas les choses encore plus difficiles qu'elles ne le sont.
La surprise prit le jeune Sago à la gorge , Comment !!!
en lui prennant les mains
- tu ne peux pas me faire ça , je sais que nous nous aimons ,
ton corps me le dit , tous ton être me le dit . Tu ne peux pas lutter contre un tel amour ,c'est irraisonné !
Sago s'agenouillant au pied de la jeune femme
-retournes toi et regardes moi ! Laisses parler ton coeur , n'écoutes pas toutes les bétises que Barru te raconte , elle qui a poignardé le coeur du pauvre Djan. Ce n'est pas les autres qui dirigent ta vie , c'est à toi de la contrôler , ton mariage avec Thimoty n'est pas celui que tu esperais et tu le sais
En se retournant, Habati pris la tete de Sago contre elle et lui dit:
-Sago si je doutais de ton amour crois-tu que je mettrais mon mariage en peril pour toi ? Mais trop de monde dépend de mon marriage avec Thimi... le peuple a besoin de nous en ce moment la guerre approche à grands pas et l'ennemi est fort redoutable. Je ne peux pas me laisser aller en cet instant, pas maintenant.
Sago voulu esquisser un mot mais Habati lui posa son doigt sur les lèvres avant de l'embrasser à nouveau.
Le temps se figea un instant pour nos deux amants avant que quelqu'un ne frappa à la porte...
Athée pieds. Voilà ma religion !

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Lotradas
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Re: Peremuda

Message par Lotradas » dim. 12 septembre 2010 à 13h47

Compte supprimé par conséquent de même pour le perso