Iwind

[IwindI]

Nom: Iwind Del Aelyval


Age: Inconnus

Sexe: Femme

Race: Sombre

Classe: Mage

Culte: Incertaine

Carrière envisagée: Survivre, et découvrir tout les secrets du passé

Caractère et moralité: Elle est une sombre posée, analysant toute situation en très peux de temps. Elle est agressive envers toute personne qu’elle trouve louche pour elle. Le reste lui importe peu.
Très peu attachée sur le sort des étrangers, elle viendra rarement en aide à des gens.
Elle parle d’une voix douce et chantante

Description physique: Iwind est svelte mais semble fragile.
Dans son regard brille l’envie de connaissance. Ses yeux en amande sont coloriés par ses iris d’un violet foncé et profond. Son visage est fin et sévère. Ses cheveux courts, attachés en chignon, ne tient qu’une faible partie de ses cheveux, le reste lui tombant devant le visage.


Histoire

Iwind est née dans la famille Del Aelyval.

Tout de suite rangée dans la caste des mages à cause de la couleur de mes yeux, j'appris tout de ma mère qui a été sélectionnée par la matriarche de la famille pour devenir mon maitre.
De durs labeurs mentales, pour aiguiser ma réflexion disait elle, de longues nuits de travail, pour augmenter ma concentration, et d’atroces souffrances, pour augmenter ma résistance. Voilà à quoi ressemblait ma jeunesse sous le joug de ma mère. Avec tous ces entrainements, j’arrivais très rapidement à contrôler ce pouvoir qui sortait de mes mains.

Ma mère décrétât un jour, que j’étais prête, prête à affronter la solitude.
Je fus enfermée, dans un monastère humain, avec toute mes sœurs qui elles aussi étaient prêtes.
Certaines étaient âgées, d’autres avaient mon âge, mais toutes étions là pour la même raison. Il nous fallait sortir de ce lieu, par nos propres moyens. Seule une sortie était envisageable, mais il fallait pour ça la détruire, et si on n'y arrivait pas, c’était la sortie qui nous détruisait. Les plus âgées étaient découragées âpres avoir vu leurs amies mourir.

J’ai attendu durant quelques années, me faisant une grande amie. Nous nous entrainions ensemble quand nous nous somme vraiment parlées. C’était dans les efforts, que nous avions décidé de coopérer. Nous nous somme ainsi retrouvées tout le temps, à s’entrainer, à s’encourager l’une l’autre quand nous voyions une de nos sœurs se faire tuer par le scellé, à échafauder des plans.
Un jour nous est venus une idée. Les plus anciennes connaissaient ce lieux, et en avaient fait le « règlement » sur les choses qu’elles ont pu apercevoir. Par exemple, le scellé ne laisse que quelques minutes pour tenter notre chance ; Nous empêchant d’invoquer nos sorts les plus puissants si nous sommes trop lentes. Il ne nous laisse qu’une chance, ne nous permettant pas de faire une combinaison de plusieurs sorts. D’autres règles étaient de vigueur, la liste était longue. Mais une seule n’avait pas été citée. Rien n’interdisait d’être a plusieurs, du moins, personne ne l’avait tenté.

C’est ainsi que durant deux longues années, nous nous somme entrainées toute les deux, pour que nos sorts commencent en même temps, soient lancé en même temps, et touchent leur cible d’un même impact. Nous nous sentions enfin prête. Et nous nous sommes dirigées vers le scellé.
D’un même signe, nous nous somme concentrées pour lancer notre sort le plus ravageur, dans une synchronisation parfaite, nos deux sorts ont touché la porte, qui a volé en éclat. Trop heureuses, nous nous somme dirigées vers la sortie, suivis de très près par nos sœurs qui louaient notre exploit. C’est là que l’horreur a commencé. Toutes celles qui nous suivaient, furent frappées par une magie puissante, toutes sont mortes sur le coup. Seules nous deux pouvions sortir, c’est ainsi que nous sommes sorties, en lançant un regard derrière nous, pour voir la porte se reconstruire et cacher les corps des sœurs mortes.

Notre retour dans la famille fut illuminé de "hourra!". Bien des choses s’étaient passées depuis notre entrée dans ce monastère. Ma mère, à mon plus grand étonnement est devenue douce et aimable avec moi, me traitant désormais à son égale. Notre matriarche étant morte, une nouvelle a pris sa place. Mais il y avait une mauvaise nouvelle. La famille complète de mon amie avait été tuée par une autre, comme cela se produit bien souvent.
Notre matriarche, dans sa bonté, proposa de l’accueillir en notre sein. C’est ainsi qu’elle est devenue une Del Aelyval.

A cette sortie de ce monastère, une nouvelle passion est née en moi. Résultat d’une question auquel personne ne savait répondre. Qui l’a construit ?

De cette passion, je suis partie dans les livres, absorbée par ces passages anciens, essayant de répondre à ce mystère. D’autres questions me venaient en tête à chaque page que je tournais, et j’essayais d’y répondre également.
Un jour, mon amie est venue avec un coffret, dedans s’y trouvait un livre qui ne semblait pas très ancien, mais dont l’écriture était très ancienne.
De l’ancien sombre, une langue oubliée de tous. Quel plaisir, ce livre n’était pas vieux, mais je me demande ce qu’il renferme pour qu’on veuille ainsi en cacher le contenu. Je promis à mon amie de le traduire, et de lui révéler tout ce qui est caché.

Je suis ainsi partie, visitant toute les bibliothèques possibles, afin de trouver un moyen de traduire ce livre.

[IwindI]

Cette quête du livre m'a passée par dessus la tête. J'ai découvert un nouvel objectif, bien plus agréable et visible que cette connaissance que j'accumule et que les gens veulent exploiter sans le moindre remerciement...
J'ai rencontrer un sombre. Je ne saurais dire ce qui m'a plus chez lui, peut être tout.. Dés le premier instant, je crois que j'ai été frappée par la foudre.
Nous nous sommes vus, et revus, me plaisant de plus en plus. Il voulait que je traduise ce livre.. Peut être est ce la seule chose pour laquelle il me voyait. j'ai eu peur que ce soit le cas.
Alors que je lui lisait mes traductions, il m'a embrassée. Je n'en revenait pas. j'ai cru que c'était sa façon de me remercier. Il n'en était rien, il m'aime m'a t'il dit.
Nous avions donc décider ensemble, de vouloir fonder une famille.

2 semaines ont passée, et me voici enceinte. Je l'ai appris grâce aux soins d'un sombre, qui en me sondant a déceler cette part de vie en moi. Je porte nos fruits. Cela me fait peur également. Je n'ai aucune connaissance sur le sujet. Trop absorbée par le passé, je n'ai pas penser a lire ce qui aurait pus m'arriver. Tout a été si rapide aussi. Je n'aurais jamais pensé avoir ça.
J'ai également rencontré une sombre, déjà mère. je luis demanderais conseils.

Voici quelques temps que je ne le vois plus.. ou si peux. J'aurais tellement voulut lui raconter.
Un homme encapuchonné m'a proposer un travail. Un travail étrange. Pourquoi pas. Ma vie de connaissance sans retour m'ennuie, il est temps que je connaisse autre chose.
Pour avoir ce travail, rentrer dans cette confrérie, je devrais passer quelques épreuves, afin de voir de quoi je suis capable.

Ma première épreuve est finie. Elle fut d'une facilité déconcertante. Ce n'était que la première également.. La deuxième devrait suivre dans peux de temps.
La deuxième épreuve fut horrible, tellement que je pré ferre ne même plus l'évoquer.
les deux dernières, furent de nouveau une facilité extrême.
Je me demande si je ne me suis pas précipitée. Soit je suis faite pour ça, soit je me suis alliée a une bande de rigolo. Mais je ne pense pas, j'ai pus jauger le niveau d'un des maitres, et le deuxième par son mutisme m'a impressionnée par sa présence. Et puis, il est la.

[IwindI]

Une nuit noire, Pourquoi eu t’il fallut qu’elle sorte dans cette ville froide et blanche. Pourtant les gardes y sont nombreux. Les gardes auraient du faire leur travail, mais ils étaient dans leur abris, devant un feu, complètement gelé. Mais pourquoi étaient t’elle sortie. Elle n’en savait rien. Le regard agar, le pas maladroit, elle avançait elle ne sait ou. Elle avançait, car on le lui ordonnait.
Elle avançait, et arrivait a la porte de la ville, toujours aucun garde. C’en était étrange, mais elle ne s’en souciait pas. On l’appelait et elle avançait. Puis, elle ne pus avancer plus, une silhouette lui barrait le chemin. La silhouette lui tendit la main, et a deux, ils avancèrent plus loin. Lui souriant, concentré sur son sort, elle ne sachant rien, sous l’influence de se sort.

3 mois passèrent, qu’on ne la revit pas. 3 mois enfermé dans une petite cellule, enchainée tel un animal. Des blessures multiples. On voulait qu’elle parle, elle ne savait même pas de quoi. Sa seule liberté était cette fenêtre. A travers laquelle elle voyait cette ville, voilée par les chutes de neige nombreuses. Quelques fois, elle entendait des grincement de machines, du fer rouillé frotté l'un contre l'autre.
Elle avait essayé, après avoir repris ses esprits, de s’échapper, elle devait être ailleurs. Son ventre devenait lourd. On lui faisait souffrir mille tortures. Et elle ne savait pas s’en acquitter. La silhouette revenait, et lui demandait de pleurer. C’était un humain, vieux et usé, mais avec l’œil fort. Il disait bloquer ses pouvoirs, elle était aussi faible qu’un insecte.

Une fois, elle se réveillât, elle était dehors, perdue par toutes ces tortures. Elle se dirigeât vers la ville qu’elle voyait, errant à travers tout, cette fois les gardes étaient la. Elle arriva sur la place. La, deux personnes l’ont remarquée, et se sont inquiétée, elle ne voyait pas, elle ne les remarquait pas, enfoncée dans ses pensée tourmentée. L’une des deux personnes la toucha. Par instinct, par reflexe, elle concentra sa force et lui lança un sort… Elle y était arrivée. Elle avait retrouvé cette partie qu’on lui avait volée. Elle éclata de rire, puis s’effondra.

A son réveil, elle était ailleurs. Ne voulant parler, elle essayait de se remettre. Elle était de nouveau seule. Elle ressortit, et dans un cri elle revit la silhouette qui lui retendit la main. Et de nouveau, sans aucune volonté elle le suivit.

Encore, elle se retrouvait dans cette cellule, perdant tout ses pouvoirs avec pour seule vue cette grande ville aux remparts immense. Et toujours cette pluie de neige qui ne terminait pas.
On ne voulait plus qu’elle parle, on voulait qu’elle essaye. Elle n’était plus torturée, mais le résultat n’en était pas des plus différant. On l'emmenait bien loin, la faisant monté les étages de cette tour, puis la redescendre, a longueur de journée pour l'emmener dans divers laboratoire. On voulait savoir pourquoi, mais pourquoi quoi ? Elle ne savait pas, et endura encore un mois.
A bout de force, elle sentait son ventre devenir encore plus lourd. Puis une femme, la première qu’elle voyait en ces murs arriva, et l’accompagna durant toute la nuit, la seule personne avec un tant sois peux de pitié et de compassion. Elle ne vit même pas son enfant, ne sachant s’il était fille ou garçon. Il disparut, cela faisait maintenant 1 semaine. Elle était seule dans se désespoir.

[Lotradas]

Compte supprimé par conséquent de meme pour le perso