Calla/Buki Sil'in

[Seikyo]

Surnom: Buki Sil'in (Noble Sanglant)
Noms: Elamshin, Calla, Buki et d'autres oubliés...
Sexe: Femme
Race: Elfe Noir
Age: 3 Vies elfiques sans magie pour ralonger les jours
Caractéristique: De taille plus petite que les autres elfes noir et deux yeux rouges -normalement-



Chapitre 1 : Le commencement.

Mes parents, je ne les aient jamais connus, je me le demande bien pourquoi. Il y a bien longtemps, plusieurs milliers d'années, je reçut une éducation stricte. J'étais différente des autres de cette ville souterraine, j'étais plus jeune, et contrairement au autres, j'avais un "oeil du diable" et une "main du démon". Oui, contrairement au autres chasseurs qui avaient soit une main du démon, soit un oeil du diable, j'avais les deux. Tous assez souvent me regardèrent avec un air interrogateur et accusateur, je me sentait faible, et pourtant je ne l'était pas au contraire, j'étais meilleure qu'eux. Les Chasseurs de Démons de cette ville voulaient tellement avoir ce que moi j'avais, cette capacité de détection des Démons surprenante. Mais je ne les comprenais pas et je ne comprend toujours pas pourquoi ceux là chassaient les démons, que ceux ci soient bon ou mauvais, ils les tuaient. A mes 20 ans, j'étais rentrée sans autorisation et discrètement a la bibliothèque, avec l'habileté d'un sombre. Je compris très vite pourquoi on m'y refusait l'accès. Selon un des livres, aucun, vraiment aucun, demi-démon ne pouvais avoir un oeil et une main de chasseur. Non loin de là, un journal était posé, je me souvient encore du titre, écrit en gros et en toutes les langues : "Le test sur le Démon a réussit ! Les Démon coopératifs peuvent devenir des Chasseurs !". Un test, je n'étais qu'un simple cobaye a leurs yeux, juste une chose ou l'on a le droit de dire si elle mérite de vivre ou mourir. Sans rien dire au autres, j'avais continué a suivre mes études, jusqu'au jour ou ma première mission me fut donnée. Qu'elle mauvaise idée de leurs part... Oui ! J'avoue que j'avais profité de cette mission pour m'enfuir ! Loin de cette île ! Loin de cette ville souterraine ! Loin des mensonges et des secrets !

Ils n'avaient pas mit longtemps à me retrouvée, c'est vrai, je m'était arrêtée sur une petite île. Une chose avait surpris les Chasseurs qui avait essayer de m'arrêtée en me combattant, j'utilisais mon bras beaucoup mieux qu'eux. Ce bras dit "main du diable" car seul la main détecte les démon, mais c'est le bras entier qui fonctionne avec les pouvoirs de "chasseur". Aucun ne l'avait compris, vu qu'ils avaient simplement besoin de planter une dague dans le corps d'un Démon pour le tuer. Ce combats fut long, je me rappelle comme si c'était hier, c'était éprouvant. Une fois débarrassée des Chasseurs, j'avais pu prendre un bateau qui m'avais emmenée sur une autre île. Je ne pu y rester que quelques mois, heureusement que le comportement que j'avais développer pour ne pas avoir d'amis servait bien. Pendant des milliers d'année, je naviguais en mer et m'arrêtait parfois sur des îles, c'était rare ces fois là. Puis un jour, reprenant le large, j'arrivais à un port. "Bienvenue sur les Terres d'Aden !", Aden, je ne savait pas ce que c'était et lorsque je descendît du bateau et vit tout ces commerçant et voyageurs je fut surprise. Je dû prendre une calèche pour aller jusqu'à la ville qui était non loin de ce port. Lorsque j'y arrivis, je vis une chose perturbante. Des gens rouge, des demi-démon et des gens noir et blanc, des démons ! Quel étais cet endroit, cet endroit ne pouvais pas existé pour moi, ou est ce que j'étais vraiment ? C'est depuis ce jour que je vis sur les Terres d'Aden, ce continent est tellement grand, qui pourrait me retrouvée ? Peut-être qu'ils me retrouveraient facilement, je porte toujours mon insigne de Chasseur de Démon mais parmi ses nombreux gens, qui remarquerait ce simple détail ? Et puis, il y a tellement de Démons et de Demi-Démons que je suis bien cachée. De plus, cela fait tellement longtemps que j'ai ma "main du démon" que je n'est plus de mouvements étranges. J'ai tout de même remarqué certains regard se porter sur mon insigne, comme si ils l'avaient déjà vu. Peut être y avait-il un autre chasseur de Démon sur ces terres.

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Chapitre 2 : Souvenirs

Je me souvient d'un cours que l'on avait sur les Démon. Notre proffesseur nous expliquait toujours très bien de sorte que même plusieurs années après, on s'en souvenait: "Il éxiste trois types de 'Démons'. Les premier, les plus dangereux et sanguinaire sont nommés les 'Pur Démon'. Les second, ceux qui prennent place dans le corps de quelqu'un et vive avec l'esprit d'une personne mortelle se nomme les 'Parasites' ou les 'Démons Intérieur'. Les troisièmes, donc les Chasseurs de Démons, sont nommé les 'Demi-Démon'.". Ah je m'en souvient par coeur, et il y avait aussi ce cour spécial pour ceux qui on l' "oeil du diable": "Chaque type de Démon possède une couleur bien a lui, les gens que vous verrez noir et blanc sont des Pur Démons, les gens que vous verrez rouge son des Demi-Démon, ceux qui sont jaune sont des 'Parasites'. Parfois, vous verrez des gens de couleur bleu, ce sont les chasseurs, tout comme vous. Attention, si vous n'écoutez pas la suite, vous ne saurez pas vraiment qui sont les autres. Les Vampires sont de couleur violette, les anges déchu ont une sorte d'aura sombre autour d'eux, et les anges sont de couleur blanche. Mais bon ! Les anges, plus personne n'en voit !". Tout était bien expliquer pour que l'on fasse notre travail comme il faut, mais aussi, pour que l'on oublie que a l'origine, chaque personne possède des sentiments comme les notres. Je me rapelle aussi ce qui arrivait quand certains jeunes chasseurs me voyait, ils disaient que j'étais un monstre, que je ne devais sûrement pas être autre chose qu'une chasseuse a l'origine et que je n'avais aucun passer et aucun parents. L'orpheline que l'on s'amusait a embêter, c'était moi. De plus, ce qu'il disaient, ce n'était pas faux, je n'avais pas de parents et pas de passé. Mais pourquoi ? De toute facon, peut-être que je ne devait pas me remémorrer ce que j'avai oublier. Ou plutôt, peut-être pour qu'ils puissent vivre sans avoir de graves problèmes avec moi, il ne fallait pas que je me souvienne. En tout cas, les seuls bon souvenir que j'ai, c'est lorsque j'était en cours et que l'on m'apprenais beaucoup de choses. Je me rapelle aussi que le seul moment ou l'on avait des contrôle, c'était pour les langues. Pour les démon, nous savions que si nous écoutions pas et que on se retrouve en face de l'un d'eux, c'est sûrement le démon qui aurait l'avantage.

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Chapitre 3 : Leçon numéro 8

Cette leçon, je m'en souviendrais longtemps, il nous la repétait tout les jours puis après nous la faisait répéter. Je m'en rapelle encore:"Leçon numéro huit : Un chasseur ne doit avoir aucun amis, il risquerai de devoir se séparer de cet amis où le verait surement mourire car le chasseur de démon vit très longtemps. Celui ci ne doit non plus avoir aucun amour, cela le ferait aller dans le mauvais chemin et oublier sa quête des Démons. Si un chasseur commence à avoir une quelconque relation avec quelqu'un n'étant pas comme eux, il serat obligé de dire "au revoir" à cette personne car aucun non-chasseur n'a le droit de venir ici et tout les chasseurs on l'obligation de revenir ici après le mission.". Je me rapelle aussi de ce que me disaient les "autres" à la fin de chaque cours, ils me disait que avec l'apparence que j'avais, je ne risquais pas de trouver ce "grand amour". A chaque fois je regardait les gravures de nous qu'il y avait accrocher au mur, et je me voyait: enfant, adolescente et puis d'apparence adulte. L'apparence presque final, je me demande a quoi peuvent bien ressembler les autres chasseurs, ceux qui sont plus vieux que moi. Ne pas avoir d'amis ? Il existait pourtant les lettres que l'on pouvait envoyer grace au oiseau doméstiqués. Ils étaient tous amis, c'est chasseurs de démons là, c'est vrai demi-démon. Je me demande encore pourquoi ils étaient si cruels avec moi. J'avai les deux "détécteurs" c'est vrai mais, je leur disait tout le temps: "J'aimerai bien vous les donner ces détécteurs ! Moi je veux être normal !". Normal ? Est ce que un démon était vraiment quelque chose de normal ? Déjà, parmis tout ces "vrai" chasseurs, je n'était pas normal. Un cobaye, je n'était que ça... Vrivat-elle longtemps ? Ses détécteurs vont ils se développer plus vite ou plus lentement que les autres ? Qui sait, en tout cas, moi, je m'en fichais. Et déjà, pourquoi je dévais tuer les miens ? Pourquoi tuer ceux qui sont de la même appartenance que moi ? Je repense a ses gravures de moi, peut être suis-je "belle" ? Je n'y croit pas vraiment, cet oeil et ce bras sont les pires choses que je puisse voir et pourtant, pourtant je désire croire que moi aussi, je peut-être belle... Quand les marques rouges aurons disparûent, peut-être je serais belle. Le temps nous le dirat...

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Chapitre 4 : Un seul...Amis ?

Un seul amis, oui, j'en avais au moins un mais il était rarement là. Sa santé était très fragile, il venait tout de même au cours "spéciaux" car lui aussi, avait un oeil du diable. Comme moi, il ressemblait a un elfe, il se fichait bien que je sois un démon ou autre chose. A ses yeux, j'étais son amie, je n'avai qu'un seul amis mais si gentil. A présent, cet humain, Aethor, me rapelle cet amis, malgré que je fus un cobaye, que je sois un Démon et ue Chasseuse de Démon. Il reste a mes côtés a me protégée, je ne pensais pas que certaines personnes pouvais être comme ça. Comment peuvent-ils être si gentil, si doux avec une chose tel que moi ? Au fur et a mesure que je me rend compte que je peut me faire des amis sur ces Terres, je me dis que je ne le mérite pas. C'était pareil à la "Citée", je me disais que je ne méritais pas d'avoir un amis aussi bien que cet elfe. Je devrai avoir honte de moi, je vien de me rendre compte que j'ai oublier son nom. Comment ais-je pu faire une chose pareil ? C'est vrai que j'ai beaucoups plus penser au autres chasseurs pendant ma fuite mais, lui, j'ai oublier son nom. Le nom du seul amis que j'avai avant de finir sur ces Terres. J'espere qu'il me le pardonnera car moi, j'aurai du mal a me le pardonner. Je me demande tout de même ce qu'il devient. Nos courses dans les rues de la Citée me manques, nos jeux aussi. Je me rapelle qu'il allait parfois a la bibliotheque empreinter des livres et me les apportaient pour que l'on révise enssemble. Il me manque cet amis.

Me voila enfin arrivée au port, je dois prendre le bateau qui mène du Port de Giran a une ile nommée l'île des murmures. Enfin a bord du bateau, je sentit une présence famillière. Mon regard se tourna rapidement vers un petit mur auquel était rattaché la porte de la cabine du capitaine sûrement. Un elfe était assis contre se mur de bois, sont oeil gauche caché par une mèche de cheveux. Ca ne pouvait être que impossible ! Ce n'était pas lui ! Sûrement ! Puis la douce voix de cet elfe arrivit a mes oreilles alors que le bateau venait de commencer son escale.
"-Salut... Calla."
Mes oreilles ne me trompaient pas, et ma vue non plus. Mes souvenirs non plus ne me trompaient pas ! C'était bien lui ! Vivant ! Mais que faisait-il sur ce bateau ?
"- Tu as perdu ta langue ? Alors tu as enfin découver les Terres d'Aden je remarque..."
Prenant tout mon courage, il me fallait répondre et je répondit en gardant mon sang froid.
"-Je n'est pas perdu ma langue, te voir a nouveau ma surprise... Que fais tu ici ?
-Bien... Rien de spécial voit tu ! Je suis... Assis ! Et...J'attend !
-Tu attend quoi ?"
Il ne répondit pas mais me montrât une chose à cet instant. C'était une "boussole de détection" a une aiguille, faite pour les premier chasseurs possédants un bras de démon.
"-Il s'avère que j'ai transphormer une elfe en Chasseuse de Démon pour évité que le Conseil fasse ce que j'ai fait et qu'il est des droits sur elle. Donc là ! Je l'attend, de toute facon, j'ai tout mon temps !"
Tout sont temps a t'il dit. Donc lui aussi faisais des choses contre les règles. Le bateau fut arrivé à l'ile des murmures, je commençat a déscendre puis sa vois, calme et reposante vint à nouveau à mes oreilles.
"-Tu aurais pu demander a une gardienne des portes de t'y envoyer, Calla..."
Oui, sûrement. Mais je n'était pas au courant. Je venais simpement visiter cette île. Voila que mes seul plus beau souvenir, étaient porches de moi, le seul amis que j'avais eu. C'est toujours le seul amis que j'ai, parmi les Chasseurs

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Chapitre 5 : Leçon "spécial"

Cette leçon, on y a eu droit lorsque nous étions dans les envions de 50 ans, cette leçon me revient souvent en tête. Ces cours en fait, servait a nous mettre des chaines au pied et au mains sans que l'on s'en rende compte. Cette leçon, on y a eu droit que un seul jour mais se seul jour a suffit pour que les paroles de notre proffesseur reste a jamais gravé dans nos mémoires. Notre cours commençait normalement et notre proffesseur s'était mit a nous posé des questions bien étranges où l'ont ne devait répondre que pas oui ou non. "Savez vous comment une chasseur perd ses pouvoirs ?" notre réponse fut iméditate, un non sec. Nous avions répondu non a toutes ses questions qui étaient celle ci: "Saviez vous que avant d'être un Demi-Démon vous étiez un Démon mais que vos souvenir de démon vousont été retirés ?", "Savez vous que si vous perdez vos pouvoirs, vous souvenirs vous reviennent et ceux ci ne peuvent pas être très joyeux ?", "Saviez vous que si vous êtes toujours entourer de démons vos pouvoirs resterons tant qu'ils ne serons pas mort ?". Puis il finissât par une dernière question: "Saviez vous que ce qui peut vous redonner vos souvenirs de démon et vous rendre demi-démon comme avant est un sentiment ?". Aucun de nous avait répondu, on était comme abasourdit par cette nouvelle, un sentiment pouvait nous mettre dans le rôle du chassé ? Si on prenait en compte la présence des démons, se sentiments ne pouvais nous mettre dans le rôle de la "proie", mais quel était t'il ? Notre professeur repris calmement ensuite, malgré que nous n'ayons pas répondu: "Le sentiment que l'on nomme sentiment d'amour, cette chose qui nous rend 'normaux' et qui fais que nous ne sommes plus différents des autres. Lorsque vous perdez vos pouvoirs, si vous avez un oeil du diable, celui ci se transphorme et vous permet de voir le contraire du mal: les gens faibles, les personnes normales, et... vous pourrez aussi voir leurs nom... Mais ceci vous met dans une position de chassé et votre vie est considérablement raccourcis à ce moment, sauf si vous reprennez vos pouvoirs.". Ce cours nous expliquait exactement comment mettre un chasseur dans le rôle du chassé. Et nous expliquait que l'on serait encore plus repérable que les autres Démons. Ce cours était vraiment spécial, mais pourquoi nous avait t'il parler de se cours ? Ce jour là, on venait d'apprendre qu'un chasseur avait "mystérieusement" disparût. Je me demande si tout cela voulait signifier que l'on ne pouvait être normal ? Que cela était "interdis" ? J'espère que ce n'était qu'un cours pour nous dissuadés, de toute façon, je fais encore partie de ses "chasseurs" même en ressentant ce sentiment. Ou bien, peut être que le fait de penser encore à la chasse au démon et aux cours me fait restée ainsi ? Qui sait, mais je ne croit pas qu'ils essairaient de me tuer, mais plutot de me retransformée en chasseur et de m'obligée à rentré.

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Chapitre 6 : Besoin d'aide

Il y a quelques jours, j'était complètement désemparée. Il me fallait une aide, quelqu'un qui m'explique comment rentrer dans "la société". Quelqu'un qui soit comme moi, un chasseur. C'est a cet instant qu'une idée me vint en tête, si j'alais parler a mon tout premier ami ? J'avai attendu un bon moment avant de voir les voiles du navire sur lequel il était, je m'y était précipité et comme prévu, il était là. Lorsqu'il me vit il ne pu retenir cette phrase avec un ton amusé: "Oh ! Te revoila ?", cela m'avai un peu fait sourire. Je m'était assise près de lui et nous avions discutés, il m'expliqua que si vraiment je voulais me sentir bien sur les Terres d'Aden, il faudrais que je sois "normal". Il m'éxpliqua aussi que je pouvais sans risque oublier toutes ces règles et leçons que l'on avait, que maintenant, c'était vieux. Il avait raison, c'était vieux, plus que nous sûrement, aucun raison de les suivres. Puis il avait dit une phrase qui reste encore gravé dans ma mémoire: "Tout ça, ces règles, ils nous les expliquaient souvent pour pas nous perdre, pour nous dissuader d'être normal, meme si la 'leçon spécial' n'est pas fausse...". On avait longuement discuter, il m'avai, comme à son habitude, remonter le moral. Heureusement que c'était un chasseur, de cette façon, il savai encore mieux me comprendre et me dire quoi faire. Pendant tout le long du voyage il m'avais expliquer les coutûmes de ces Terres, tout ce qu'il me fallais savoir. Lorsque le bateau était arriver a nouveau au port de Giran, j'avai pu partir le coeur leger, lui disant "au revoir". Je devais être moi même et pas la chasseuse que le "Conseil" à toujours voulu.

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Chapitre 7 : Botanique

Les livres de bothanique, j'adorai ça. Mon amis m'en rapportais souvent de la bibliothèque. Oui, j'amais le splantes, elles me faisaient penser au Chasseurs de Démon, c'était presque pareil. Et a présent, les fleurs me ressembleraient presque. Lorsqu'une fleur reste dans la pénombre, elle commence a mourir, elle n'ets plus alimenté de cette douce lumière. Pour moi, c'était un peu comme ça, je restait dans cette ville soutérraiene et je n'avais jamais parler au gens. Lorsque l'on remet une fleur à la lumière du soleil, cette lumière ne doit pas être trop vive, son la plante meure pour de bon. C'est pareil de mon coter, il me faut laisszer le temps de me réhabitué a la douce lumière du soleil et le temps que je comprenne le sens du mot "dialogue". Si l'on me pousse à bout, je commence a faner, puis, j'use de mes pouvoirs de démon pour survivre. Même si en faisant cela, je saigne et peut perdre tout mon sang jusqu'a evanouissement.

Je me tenait donc la, les mains sur cette rambarde. Je faisait fasse a cet océan et réfléchissait de la manière la plus calm qu'il soit. Et pour réfléchir ainsi, je devait user de mes pouvoris de démon. Le sang commençait donc a couler de mon gant de droite. Je ne sentait pas la douleur, je reflechissait. Comment faire pour rentrer dans ce monde ou tout va trop vite ? Il fallait sûrement aller aussi vite que ce monde. Une fleur ne résisterais pas logntemps dans un tel monde. Les gens qui sont sur ces Terres désirent tellement vite certaines choses. Est ce que je croit est juste ou non ? Je ne crois pas. Comme il était écrit dans les lvres, il fallait arroser souvent la fleur et lui laisser son temps. Moi, personne ne m'aidait et me laissait mon temps. Seul mon vieil amis m'aidait parfois, il a toujours su comprendre les gens. Que ce soit une personne de n'importe qu'elle race, il les comprenait. Si seulement certains sur ces Terres pouvaient me comprendre. Tel une plante, il me faut me laisser du temps. Mais, le temps, je n'en ais jamais beaucoup lorsque j'utilise mes pouvoirs. C'est ainsi que, vidée de presque tout mon sang, je m'éfondrait au sol. Ayant reflechit longuement à beaucoup de choses. Je me retrouvait inconsciente, dans cette grande flaque de sang. Dans quelques heures je me réveillerai, c'est sûr. Mais je ne serais pas du tout en forme.

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Chapitre 8 : Buki Sil'in

Je ne l'est encore jamais racontée cette histoire. Je ne sais pas pourquoi, peut être parce que je me disait que c'était faux ? Faux ou bien je ne voulais pas du tout y croire ? Je crois que, je ne voulais pas y croire. Oui, je ne voulait pas être cette personne. Buki Sil'in, j'avais trouvé son journal intime dans la grande bibliothèque, un cahier à la couverture noire. Il y avait un papier dedans, dessus, mon nom était écrit et cela me perturbait. "Journal de Calla", il y avait écrit ça dessus et je n'avais pu m'empêcher de le lire, et de le prendre avec moi, ce cahier.

[quote="Le journal de "Buki Sil'in""] Et oui ! Me voici enfin réincarnée, aspect physique je dirait... Sombre d'environ vingt ans. Hmm, grandir dans un corps c'est pas trop merveilleux mais bon ! Je suis pas mal jolie ! Je pourrais même dire : Je suis bien faite ! Enfin, ce doit être a cause de mon esprit la forme de mon corps et de mon beau minois ! Et oui ! Il y a quelques années, milliers d'année plutôt, j'étais "Elamshin" qui signifie "Destinée" ! Mais, mes parents m'avait appelée comme ça en pensant que leur destin serait beau ! Il s'avère que j'avais déjà mes pouvoirs de Démon à cette époque et... J'adorai tuer !!! Ma famille était une famille de noble, leur pauvre réputation a été entachée par moi, comme c'est dommage. Mais bon, je m'en fiche complètement, la seule chose qui me réjouit, c'est le sang sur mes mains, ce magnifique liquide rouge. Ce rouge représentant la noblesse ! Mais bon ! Ils sont mort depuis longtemps maintenant, pourquoi j'y penserai ? A présent, ooohhh oui ! Qu'est ce que j'aime tuer... Alors il y a les orques, les elfes, les elfes noir, les humains et les nains ! Tout quoi ! Tant que leur sang est rouge, je les tuent ! Mais passons, je viens de découvrir une nouvelle chose qui fais que maintenant, je me fiche un peu de tuer ! J'ai rencontrer un magnifique jeune homme, ce qu'il émet est semblable a ce qu'émettent les démons ! Nous sommes presque pareil mais il ne tue plus personne, a chaque fois qu'il est près de moi, je ne peut retenir mon coeur. Il m'a dit que je pourrait redevenir une personne normal et que ce serais mieux pour moi, alors je l'est fais ! Je garde toujours mes pouvoirs mais je ne pense plus a tuer ou ce genres de chose qui fais que je gâchais mon temps. Alors cette personne a un nom particulier ! Il s'appelle Mortes ! A ce que j'ai pu comprendre, il faisait partit des elfes bruns mais m'en a jamais dit plus. Il est beau, calme et compréhensif, une chose que je n'avais jamais réellement vue. Mais malheureusement il change souvent de ville mais je le suit tout le temps ! Il paraissait toujours occupé par quelque chose mais mon heure est venue, je savais malheureusement que, comme je ne lui avait pas dit mon amour, il trouverai certainement une femme a son "goût". Je n'avais fait qu'être une gêne, c'est ce que je sent. A présent, ma route de cette époque s'achève, je promet tout de même de me réincarnée le plus tôt possible ! Même si pour cela je doit oublier qui j'étais, ce journal ne servira pas a rien... Si bien sûr, je le retrouve.[/quote]

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Chapitre 9 : Enfin "moi"

Le texte semble écrit dans une langue différente que le commun, si l'on y fait plus attention, on remarque que c'est du dialecte démonique. Auparavant, Buki Sil'in parlait peu le commun et ne faisait d'effort que pour parler sombre, ayant retrouver ses souvenirs, Calla mélange son savoir du passé et du présent. Ce texte écrit de la main de cette elfe est donc écrit en dialecte démonique.

Je retrouvé mes souvenirs... Oui, mais, en es ayant retrouvés j'ai aussi oublier comment parler et pour moi, Calla est une personne différente de moi. Oui, elle est timide et fais des effort pour comprendre et se faire comprendre, ce n'est pas du tout moi. J'aurai préféré que cette "Calla" n'essaie pas de me faire revenir, je suis une elfe a présent et c'est horrible, je ne sais pas comment cette race faisait pour survivre et je pense, moi, savoir pourquoi j'ai eu un tel corps... Les elfes sont semblables aux elfe noir et, inconsciemment, j'ai pris le corps d'une elfe... J'ai eu peur, vraiment peur, lorsque j'ai appris ce à quoi je ressemblait. Et Mortes, il était là, il a fait en sorte que ce soit moi qui viennent, pourquoi n'avait t-il pas réfléchit ? Il aurait du laisser Calla prendre mes souvenir, pas faire en sorte que moi je reviennes, dans cette taverne et.. Dans ce corps de chasseuse de Démon... Tant pis, je suis avec lui, c'est ce qui compte, c'est ce que je voulais... Oui, je voulait être avec lui, à l'origine, c'était pour être avec lui que je me suis réincarnée trop tôt, oui un peu trop tôt en faite. Réincarnée si tôt pour attendre des milliers d'années avant de revoir Mortes, de toute façon, il m'avais sourit, ce n'était que léger mais il m'avais sourit ! C'était il inquiété ? Oh, ça je l'espère du fond du coeur, qu'il s'intéresse a moi, même si ce n'est qu'un peu d'inquiétude. Un tel sourire, même léger, me réchauffe le coeur. A présent, je me doit de savoir a nouveau parler le langage commun, le langage de tous. Quand je pense que j'ai rencontré un sombre qui ne parlait même pas sa propre langue... Où va le monde ? A sa perte ? Ces magnifiques langues anciennes se perdent, c'est tellement malheureux. Et moi, ma belle apparence, je l'est perdu aussi. Pourquoi ces corps ne dur jamais longtemps ?! Ce n'est vraiment pas drôle ! C'est facile de dire "le corps ne tien pas a tes capacités", mais qu'elles capacités ? Oui je l'avoue, je ne connais toujours pas mes "capacités", je ne me connais toujours pas en tant que Démon. Je ne me connais que en tant que tueuse et esprit réincarnation. Mais pour le moment, ce qui m'occupe le plus mon esprit c'est, mon apparence ! Je viens de me rappeler : Mortes, semblait avoir des remords lorsqu'il a parler de Alenia. Avait-il mentit ? Que lui avait t-il fait ? Ah, je ne préfère pas le penser, ça me donner des frissons dans le dos en pensant à ce qu'il était avant d'être avec Alenia. Bon, il me faut moi aussi chercher de l'aide pour mon apparence. Être ainsi et parler le dialecte démonique et le langage sombre est très étrange pour les autres.

[Seikyo]

Chapitre 10 : Voyage et Decouvertes

Comme pour le dernier écrit de l'ancienne sombre du premier nom d'Elamshin, le texte est écrit dans une langue différente, le démonique, plus précisement, le dialecte démonique. Mais cette fois ci, le texte resemblait à un journal.
«__________Premier jour,
Comme tout les jours, j'essaie d'apprendre le commun mais il y a tellement de langages différents que je vais finir par toutes les parler. Aujourd'hui je reçut la visite de Seikyo, l'elfette qui semble intéressé plus que moi Mortes. C'était un Demi-Démon, transformée en chasseuse. Mortes semblait souvent s'inquiéter pour cette elfette, souvent à la surveiller et à tuer du regard les probables elfes qui tourneraient autour d'elle. Elle était venue pour me demander où était Mortes, elle s'inquiétait donc pour lui ? Étrange... C'est ainsi que je put apprendre que Mortes avait eu son âme qui avait vécu avec la sienne assez longtemps pour qu'elle sache détecter son âme. Seikyo décidât de prévenir des amies et c'est donc ainsi que je fit la rencontre d'Eikan, une jeune sombre très calme puis Alenia, une sombre aux envies maniaques pour noter. Les deux décidèrent de nous accompagner, la première, Eikan, pour voyager, la deuxième, Alenia, pour nous servir de guide.

__________Deuxième jour,
Le départ se fit tôt le matin, il y avait assez de nourriture prévue pour une semaine et un peu plus, beaucoup de gourdes d'eau et quelques vêtements en plus. Le voyage commençait dans une direction précise, il commençait et je pouvais admirer tant de choses par ma propre personnalité, faire mes propres souvenirs. Ce ne fut qu'un voyage simple cependant et là, nous allons nous endormir avec Seikyo et Eikan qui restaient près du gouvernail.

__________Troisième jour,
Nous étions arrivés à une île remplie de sombres ! Tous connaissaient Seikyo et il y avait une petit elfette très mignonne qui était là. Seikyo l'avait prit dans ses bras et les deux avaient parlé, c'est après tout ça que j'appris que la petite elfette était la fille de Seikyo et que cette île était celle dans laquelle la jeune elfe avait grandit. Ils étaient tous gentil et calme, mais étrangement, Seikyo avait soigneusement évité un endroit depuis lequel je sentait une présence maléfique...

__________Cinquième jour,
On a vu plein d'îles, le détecteur « à Mortes » de Seikyo semblait pourtant toujours ne pas détecter le Démon. Je commençait à m'inquiéter mais c'était pire pour Seikyo qui, elle, était déjà inquiète. Le voyage continuait et, je ne sais pas pourquoi, je m'inquiétait énormément.

__________Sixième jour,
Je sais, j'ai approché la mort de près. On se dirigeait vers l'île aux chasseurs, si ils n'avaient pas fais demi-tour, si ils ne comprenaient pas l'elfe noir, j'aurai sauté à l'eau. Je suis sur qu'il m'ont détectée, j'ai peu, très peur. J'espère que ça ira... J'espère qu'ils ne vont pas envoyer tout les chasseur me chasser... Même si je suis encore une chasseuse moi même, mais j'ai atteint le stade final, j'en connaît aucun à ce stade. Ils ont dû sûrement être tués.

__________Septième jour,
Nous arrivions près des côtes du continent de Garcia, Seikyo se tenait droite au bord du bateau, ses oreilles gigotant sans cesses, comme si elle avait détecté la présence de Mortes, je l'avait regardée un instant puis au loin, sur un plage, une silhouette se tenait droite. Quand Seikyo l'eut remarquée, elle sauta à l'eau et je vis, pour la première fois, quelqu'un nager aussi vite qu'un poisson. Quelque chose lui donnait des ailes, c'est sûr ! Une fois la silhouette de l'elfe, complètement trempée, arrivait sur la plage, nous avions plissé les yeux pour mieux voir. La silhouette sombre semblât regarder Seikyo puis il se mit à courir et prit l'elfe dans ses bras. Celle ci posât ensuite timidement ses bras derrière le sombre. C'était Mortes et, en moi, je sentait une légère jalousie monter, mais, une légère et pas une grosse. Pas une grosse car, quelqu'un d'autre obnubilait mon esprit d'elfe, un elfe obnubilait mon esprit. Lorsque nous repartions vers les Terres d'Aden, Alenia nous avait dit qu'elle voulait visiter ce continent, nous l'avions donc laissée.»

[Seikyo]

Chapitre 11 : Retour et Punitions

Le texte écrit sur cette page de ce cahier à la couverture noir était cette fois ci écrit en langage commun, il pouvais donc être lisible de tous. La main qui a écrit cette page est toujours la même, cela ce voix aux joli caractères elfiques utilisés. Comme le dernier écrit, celui ci ressemble à un journal.
«__________Première nuit, voyage: une journée a bord d'un bateau rapide,
Voilà, "il" à disparut. Je me suis grondée, avec un ami, un vrai. Je me retrouve donc seule, Mortes a certainement pas fais son voyage pour trouver une solution pour moi, c'est sûr. J'ai demander a Alenia tout de même d'essayer de veiller sur Sheitan, je lui avait donner une description précise de celui ci. J'utilise le passé... Pourquoi ? Car je suis enfermée dans une cellule avec des chaînes aux pieds et une marque qui me fais atrocement mal au bras droit. Oui, c'est pour ça. En langage commun, en caractères elfiques, ils m'ont mit au fer le mot "Monstre" et juste en dessous j'ai "traître". Je suis la deuxième à avoir ça, un autre avait eu pareil j'ai entendu dire... Savez vous qui est l'autre ? C'est l'ami de Calla, mon ami aussi... Ils attendent que je sois "guérie", je crois. A peine avais-je posé le pied sur l'île qu'ils avaient déjà mon châtiment de prêt. Quand est-ce que j'ai croisé Alenia au faite ? Oui, le jour même de ma dispute avec Sheitan... Ma décision suite à cette discussion fut renforcée: Je devais y retourner. Il m'avait dit quoi au juste ? Que quelqu'un avait de sentiment pour moi, et il m'a laisser supposé que c'était lui. Foutaises... Seikyo m'avais expliqué, quand on était avec sa fille, que les gens, comme les sombres, ils viennent et vous disent je t'aime puis partent. Elle m'avait dit: "l'amour ça dur un temps, c'est tout". Eikan avait sans cesse acquiescé. Elles s'y connaissent plus que moi, le doute que j'avais sur sa s'était envolé suite a leurs paroles. Cet humain aussi, j'ai oublié son nom, ça me reviendra peut-être, il avait dit que l'amour était une chose futile... Eikan et Seikyo pensaient la même chose, je crois. J'entends des pas, je dois cacher mon journal sinon ils vont essayer de me le prendre. Ils savent déjà que je suis Buki, ils me traître salement, c'est comme ça que j'ai compris. Les professeurs me regardent différemment quand ils me traîne au bout des chaînes. Bien, je dois fermer mon journal et le cacher.

__________Deuxième nuit,
Je veux rentrer, je vous en prie. Ils me traîne de ci de là pour que j'aille manger ou aller au toilette toujours sous leur surveillance. Leur apparence est celle des elfes noir, je vai finir par les haïr... Leurs sourires sont sadiques et pervers, je veux rentrer... Le Conseil à dis que demain je devrais repartir sur les terres d'Aden et que je devait m'occuper de tout les Démons que je voyait... Il m'a dit ensuite, très clairement: "Mortes aussi !". Je... J'ai peur.. Je ne veux pas ! Je veux rentrer ! Je veux partir ! Retourner dans le passé ! M'entendre bien avec tout le monde ! Je veux être normal et finir mes jours sagement sur les Terres d'Aden avec mes amis ! Oui mes amis ! Oui j'en ais ! Oui ! C'est vrai j'en ai, des vrai amis, des bons ! Ils penses simplement, ils ne voient que par l'apparence et le comportement, ils sont sûrement plus intelligent que moi à ne voir que par le passé. Je veux rentrer ! Ils m'ont changé mon gant... Si je n'attaque pas un Démon qui est a proximité, ça me ferrât souffrir... Je veux rentrer ! Je vous en prie ! Les gardes, ils viennes voir, je cache mon journal un instant... C'est bon ! Partis. Est ce qu'ils vont bien ? Tous ? Mes amis ? Mortes ? Faites qu'il ne leur soient rien arrivé. Je vous en prie. Je vais bientôt rentrer... Combien de jour ce sont écoulés déjà ? Je n'est pas encore revu la lumière du soleil... Si les gardes où le conseil venait à lire ces lignes, ils me garderai... C'est sûr. Je dois changer de comportement, juste le temps de sortir... Le temps de rentrer... Ils on dit que je devrais envoyer un rapport toutes les semaines. Je vais devoir me faire imaginative, raconter n'importe quoi...

__________Retour vers Aden,
J'ai eu la peur de ma vie, même au niveau apparence je semblait ne pas avooir peur, j'avais très peur. Ceux memmennaient m'avait dit qu'ils me mettrait quelque chose pour mieux me reconnaitre. En faite, ce quelque chose je l'avais déjà: mes chaînes. Ils les avaients posées sur une pièrre et avec une hache, les avaient coupées puis ils m'avait ensuite enlever la menotte de gauche, juste celle de gauche. Voilà, maintenant j'ai une menotte au poignet droit avec un bout de chaîne qui pend. Ils m'ont repété aussi plein de fois pendant le voyage: "Pas d'amis.". Pas d'amis, mais j'en ai déjà, donc comment je peut faire pour ne pas en avoir ? Ils me haïssent, tous. Tous ceux là avec qui j'ai grandit, ils me haïssent depuis ma naissance... Les Terres d'Aden, quand j'étais sur le bateau je les aient vu se rapprocher. Me voilà maintenant au port... Je vai devoir arreter d'écrire pour aller à la ville qui ets non loin de là, je crois que cette ville c'est... Giran... Pour ça que le voyage a été un peu long...»

[Seikyo]

Chapitre 12 : Lecon par Buki Sil'in sur les Chasseurs

__________Le texte suivant est écrit par l'ancienne sombre Buki Sil'in. Mais, si l'on ne connais pas le démonique ou le sombre, il est impossible de comprendre ce qu'il est écrit. En effet, la dispositions des mots est déjà très perturbante mais en plus, chaque mots est dans une langue étrangère, passant de l'elfe noir au démonique, du démonique au commun, du commun à l'elfe noir et ainsi de suite. Mais rien n'est précis et donc très dur à comprendre. Mais le texte sous une forme plus lisible donnerai:
«Leçon écrite par Buki Sil'in,
Comment retirer les pouvoirs d'un Chasseurs de Démons possédant un gant et non une boussole ?
En y réfléchissant, ne dit-on pas que si on se blesse avec une de nos dagues spéciales, nos capacités de détection ou d'attaque pourraient être altérés ? Le gant que l'on possède pour la main du Démon, il fait partit de nous, en sachant que les dagues peuvent nous "détraquer", qu'en est t'il pour le gant ? Ce gant qui avec de simples dagues ne peut être découpé ou arraché. Après cette réflexion, j'eus l'idée d'essayer: Découper le gant avec une des trois dagues. Le gant à résister un moment puis, il à lâcher, comme un simple gant. En faite, ce n'est qu'un simple gant... Il fallait juste la dague adapté pour le découper. Et donc, maintenant, sans ça, je me sent moins une chasseuse mais il reste le problème de l'oeil. Ceci est une chose invisible une fois cachée, voilà donc... Pour ceux qui n'ont pas d'oeil du diable, vous pouvez vous libérer. Même si votre sang reste le même, vous, vous changez.
Voilà comment Buki Sil'in à trouvé pour se débarrasser d'une gêne... A présent... Il ne reste que la menotte et la chaîne. Ceci risque d'être facile.
Pour l'oeil, de mon côté je préfère éviter d'être borgne.»
La suite reprend en langage commun mais est complètement différente du texte du dessus.
« A présent, il ne me reste plus qu'a me faire pardonner. M'excuser... J'ai été bête, sur un coup de tête je suis partie en sachant que j'allais être punie... Je leur est parlé des Terres d'Aden, j'ai fais tout ce que je ne voulait pas faire. A présent j'ai bel et bien compris, je ne ferait plus d'erreur: je vivrai ! Je vivrai comme une simple elfe ! Comme Calla l'aurait fais ! Mon passé... Alors... Je ne suis qu'une elfe du nom... Alors j'ai un petit livre que j'ai été chercher dans une bibliothèque au village des elfes... Melane... Mel signifiant Amour. Voila, le nom est trouvé... J'aurai donc 450 ans (c'est jeune pour une elfe ça !) et alors, j'ai un passé tout à fais normal, mes parent mon appris l'art de l'arc, j'ai grandit dans un petit village dans les terres d'Elmore... Est ce que c'est bien ça, voyons la carte... Oui... Et bien voilà, je suis prête donc, je devrais jeter ce journal à présent mais, je ne ferai rien de tel. Une naine m'a dit que l'on pouvait changer de couleurs de cheveux, je peut aussi changer de coiffure et tant pis pour l'oeil ! Aller une histoire... J'eus une mauvaise rencontre avec un démon, j'avais réussit à me protéger mais l'attaque avait quand même eut mon oeil droit. Voilà ! Mon intelligence à été mise a rude épreuve là... Et alors chaque soit discrètement je ferais mon stupide rapport... De la pure invention, qu'est ce que je peut leur mettre comme bêtise ? "J'ai rencontré un Démon pendant ma chasse, je lui est dit juste que c'était sa fin et je l'est tué.". Hum non, trop court, bien pas grave... Je trouverai bien quelque chose de plus long à écrire... Comme dire le nombre de démons, leur passe temps et autres, les informations -fausses- que j'aurai pu leur soutirer en jouant la comédie et voila ! Tout est bon... La vie peut recommencer... Une vie comme je ne me l'était jamais imaginé certes, mais une vie comme je voudrais, à cette époque.»

[Seikyo]

Chapitre 13 : Chasseur n'est plus.

Le texte a été écrit dans le dialecte Démonique, Buki ne cherchait donc pas à ce que ça puisse vraiment être lut par n'importe qui.
«Je suis redevenue "moi" mais je garde quand même un oeil du diable. Comment je le sais ? J'ai réussit à enlever ma menotte en la passant par ma main. Sauf que je me suis blessée, au début j'ai cru que ça guerirais, mais non... C'est revenu, le corps dit que c'est la fin, il ne tien plus semblerai t-il. Mais je veux continuer à vivre ! Jusqu'à la fin ! Jusqu'à ce que je puisse avoir trouver ce que je cherchait avec Mortes auparavant: de l'attention et de l'affection... Je tiendrais le coup ! Aussi longtemps que je puisse, avec mon caractère... D'elfe. Le caractère qui appartient à mon apparence et pas a celle d'une stupide sombre, petite et vantarde... Je dois retrouver Sheitan, j'ai l'impression qu'il n'est plus à Giran mais, je sais peut-être ou le trouver: la maison de clan. Il a dit qu'il habitait la bas, alors j'irais la bas, je dois m'excuser. Je dois revivre avant de mourir, ou même, avant de me faire tuer car je suis sûrement redevenue un Démon. Mon corps meurt, il n'aurait pas du, un chasseur meurt sans avoir le corps qui meurt avant lui. Ça, c'est parce que son âme est soudée au corps, moi pas, donc le corps meurt lentement avant moi, ou même, ne serait-il pas déjà mort depuis le temps ? Je ne préfère pas y penser, je resterai dans ce corps ! Jusqu'à la fin ! Oui ! Jusqu'à la fin ! Et si le corps ne tien pas assez longtemps, je forcerai l'entrée dans un autre corps ! Oui ! Un corps dont l'âme qui est a l'intérieur ne veux pas rester... Une elfe qui ne s'aime pas par exemple. Je désire rester, jusqu'à la fin, comme Mortes, vivre pour toujours... Mais, pas seule, je ne veux pas être seule... Ça me fais penser, il est seule lui, et pourtant il est encore la a se raccrocher à la vie ! Quelle idiotie les gens qui veulent mourir ! Donnez votre vie a ceux qui la veule ! Égoïstes, tous ! Vous n'avez aucun but et vous errez sur ses Terres. De l'errance, du gâchis, de l'incontience...»
Ainsi ce fini rapidement le texte que l'ancienne sombre Buki Sil'in avait écrit, il s'avère que la main droite de celle ci ne se reconstitue pas, elle ne se soigne pas et semble presque s'infecter. Buki essaie cependant de bien soigner ces blessures à la main et bande comme elle le peut cette main qui indique une fin assez proche.

[Seikyo]

Chapitre 14 : Disparition momentanée puis Retour

__________Disparut... Buki, Calla, Melane, Elamshin... Quatre nom disparu, une entité seule avec ces quatre noms, aucune page n'ayant été trouvé, une seule personne su répondre. Un elfe a l'apparence jeune mais au comportement très sage et calme avait expliqué certaines choses suite à une découverte récente et un "problème" avec les Démon.
« Si elle l'a découvert, elle sera toujours condamnée. Calla est un Démon, pas un Demi, si elle s'est servie d'une dague pour demi démon pour annihiler ses pouvoirs, ça n'aura pas marché, c'est sûr. Les Démon gardent toujours leurs pouvoirs, sauf quand ils meurent... Calla n'est plus le prédateur si elle l'a fais, elle est la proie, la seule chose qu'elle aurait pu faire partir c'est son appartenance aux chasseurs, simplement. Je me demande bien ce qu'elle fais, quand je l'est connu, au tout début, elle était seule, gentille, douce et un peu timide. Comme j'étais seul je m'étais dis qu'être son ami ne serait pas une mauvaise chose, et je n'avais pas tord. Je ne sais pas ce qui l'a fais partir, du tout, je me le demande... Enfin, pourquoi je me le demande, j'étais partit aussi, parce que je n'aime pas aider à commettre un meurtre en disant qui est quoi, et puis aussi, j'allais perdre la vu, ça me faisait peur mais, la pénombre peut me rendre aveugle. Alors je me tait, je ne dis plus rien. Calla, elle, a eu sûrement plus de courage de fuir aussi loin, d'aller aussi loin. Je me demande ce qu'il s'est passé, sur ces Terres, pour qu'elle aille à l'extrême. Pour qu'elle aille jusqu'à chercher à ne plus être un Démon. Elle réussira peut-être a tout cacher, j'en suis sûr... Buki Sil'in est une reine de l'illusion, c'est ainsi qu'elle arrivait à tuer. Elle peut créer des illusion grâce à son violon, ce cher violon que les chasseurs auraient aimé démanteler pour connaître le pouvoir qu'il possédait. Les illusions créées par le violon ne peuvent être des choses faussent, que des choses existantes. Mais, normalement elle peut faire des illusions sans, des fausses, mais il semblerait qu'elle est... Oublié. Ça peut arriver, chez un novice, oublier son passé lors d'un "changement"... J'aurais bien aimé que Calla soit encore là, même si je ne connais pas Buki, je préfère Calla... Je viens de penser ! Buki change de corps, mais, ne serait-ce pas une sorte de "Parasite" très puissant ? Un Démon parasite ? Car, si Buki part, Calla reviendra peut-être ?! Ce serait bien, pour tous, je crois... Ou peut être pas pour tous, qui sais. Buki à rencontré des gens, et elle a réussit à être influencée... Donc elle peut aussi avoir des sentiments ? Autre que le plaisir du sang ? Ce qui signifierait que Calla est Buki. Dans ce cas, Buki à le comportement de Calla ? Peut-être oui, avec un mélange de vanité d'elfe noir. C'est sûrement intéressant, peut-être ais-je envie de la rencontrer, mais je ne peut quitter l'endroit où je suis. J'espère qu'elle va vite revenir, cette Buki Sil'in. Je me demande aussi à quoi ressemblera t-elle... Le futur nous le dira.»
Plus tard, il fut mentionné la présence d'une elfe aux yeux vert sur les mers, les îles et les plages. Buki Sil'in semblait voyager, mais avec deux yeux vert... Et sûrement des bandages partout, du fait que la moindre blessure ne se soigne plus.

Après une page remplit de deux dates seulement, indiquant sûrement le temps de "voyage", le Journal de Buki reprend en langage Démonique.«Un Démon reste un Démon, même si il ne peut plus utiliser ses pouvoirs, il reste Démon, si il essaie de se débarasser de ses pouvoirs, il reste toujours démon. Je reste donc Démon... Je continue donc de mourir, j'ai pu apprendre l'elfique, mais, c'est tout. Penses tu, mon cher journal , que je trouverai quelque chose de précieux à mes yeux, me permettant de rester ? Ou même, penses tu que Balian est encore en vie ? Si tu penses le contraire, cher journal, je ne t'écouterai plus, je crois... Même si tu ne parle pas...
Alors, voila, je suis revenue à Aden, je viens d'écrire sur la page qui est a côté de celle ci la date de mon retour à la suite de la date de debut de mon voyage. AU faite, ce n'était pas vraiment un voyage, j'étais partie sur une île m'entraîner avec mes anciens pouvoirs, ceux que j'utilisais autrefois, je crois... Enfin, je savais au fond de moi que j'avais ses pouvoirs, l'illusion, la fausse illusion. Celle qui montre le mensonge. Pour tout le monde, je suis une jeune elfe aux yeux vert avec des mèches brunes parmi mes cheveux blond. Je vais aller un peu prier dans l'eglise destiné à Einhasad... Elle m'a bien protégée cette Déesse, a chaque fois que je rentrait dans l'église de Giran, pour être protégée, ne pas être attaquée, je l'étais. Est ce que je vais revivre... Après ma prochaine mort ? Oui, je le ferais, après un petit temps, mais je dois savoir combien de temps. Quand je suis sous forme d'esprit, le temps passe si vite. Vite mais pas assez, car le temps d'attendre pour reprendre un corps est tellement long, que j'oublie ce que ça fais de manger un bon plat, une bonne boisson... Le goût de l'eau, de la bière... De tout... Je veux vivre quelque chose d'excitant, avant de devoir quitter ce corps, ce corps que j'ai miraculeusement réussi a réparer. J'ai allonger mes jours... Grâce à la magie elfique. Il ne me reste plus qu'a vivre ma vie de Melane, la jeune elfe archère qui a une une vie banale, la plus banale qu'il soit. Timide et gentille... C'est ce que je suis de toute façon, en sachant que je suis une elfe, je prend ce comportement... Je n'est plus qu'a vivre... Vivre les quelques jours qu'il me reste.»

[Seikyo]

Chapitre 15 : Buki Sil’in, la renaissance ?

__________Le texte écrit ci-dessous est dans la langue des humains, lisible par tous, il explique une idée de Buki Sil’in à propos de sa fin proche dans le corps elfique.
« La fin du chapitre premier dans les Terres d’Aden ? Le deuxième sera dans un autre corps… Je ne pourrais pas me resservir de ce corps, c’est idiot et suicidaire. Je vais reprend un corps d’elfe noir… Redevenir Buki Sil’in, tout recommencer ! Mais, tout recommencer… Un peu dur, non ? Je laisserai tout mon équipement dans l’entrepôt du village des elfes noirs, je chargerai quelqu’un de le mettre la bas, moi, pendant ce temps, je trouverais un endroit propice à la mort. Quelles idées absurdes j’ai, n’est ce pas ? Mais redevenir Buki, ça me plairait… Redevenir moi sans être vraiment moi, moi sans les mêmes pensées… Mon ancienne apparence… En faite… En faite, non… J’attendrai le temps qu’il faut pour me souvenir, pour ne pas oublier et peut-être, grâce à ça, je pourrais à nouveau me souvenir de ma première vie : le plus important… Comment va Mortes au faite ? J’ai peur pour lui mais, il sait se débrouiller… Il n’aura aucun problème, il est courageux et résistant. Moi, en ce moment, je suis faible et recouverte de bleus… Bientôt, normalement, si je régule bien tout, si j’adapte mon temps de repos au temps qui s’écoule dans le monde des vivants, peu de Lunes se serons écoulées jusqu’à ce que je retrouve un corps. J’y arriverais, c’est sûr. »

L’elfette refermât le cahier sombre en caressant la couverture noir mat de ses mains bandées et teintées légèrement bleues. Elle soulevât son sac remplit de son équipement, son étui de violon dans le dos, et se dirigeât vers une sombre qui attendais là. Son nom est Alenia, c’est une sombre qu’elle avait rencontré lors d’un voyage à la recherche du « Démon de la Mort ». Elle lui remit le cahier sombre, un livre très fin à la couverture vert pâle tachetée de rouge, son étui de violon et son sac d’équipement. Comme demandé, la sombre se dirigeât vers la passeuse avec l’étui à violon, les livres et le sac d’équipement pour passer le vortex jusqu’à la ville souterraine des sombres pour y déposer le tout. Et pendant ce temps, l’elfette partit chercher un coin ou elle pourrait mourir en paix et trouva que l’arbre qu’elle avait vu qui se trouve au bord du lac qui entour Giran était un bon endroit. Et c’est là qu’elle s’assit contre l’arbre, qu’elle fermât les yeux et murmura ces derniers mots avant de quitter son corps elfique : « Même si je redeviens une sombre, je serais toujours moi… »

« Fin du Chapitre Premier »

[Seikyo]

Chapitre 16 : Le Chapitre Deuxième, la sombre, l'histoire.

__________Pendant son "repos", Buki avait entendu une voix féminine, à la fois douce, calme, celle d’une mère. Auparavant, elle n’entendait qu’un son rapide, aussi rapide que le monde qui défilaient sous ses yeux mais à présent elle entendait :

« Savais-tu que toi et tes amis Démons, jamais vous ne pourrez échapper à votre héritage ? Même si vos pouvoirs ne fonctionnent pas, votre caractère et vos petites « métamorphoses » restent. Vous, vous êtes des enfants de Shilen, que vous soyer de l’apparence d’un nain, un humain, un orc, d’un elfe noir ou même d’un elfe, vous restez un descendant de Shilen car votre sang est celui d’un Démon. On raconte que Grain Khain avait séduit Shilen et que celle-ci tombât enceinte, sous la colère d’Einhasad, Shilen perdue son titre de Déesse de l’Eau qui fut remit à Eva. Une fois chassée du continent, plus tard, Shilen mit au monde des enfants portant le désespoir et la colère de leur mère. Les plus fort d’entres eux furent appelés…Dragons et les autres… Démons.
- Qui êtes vous ? Buki avait hurlée, mais ceci ne l’empêchât pas de ne pas entendre sa propre voix.
- A présent, les Démons continuent d’exister, oubliant leur passé ou en créant un autre. S’ils savaient… S’ils savaient qu’ils n’ont jamais eu qu’une seule et vrai naissance, une seule et vrai mère… Shilen. S’ils savaient qu’ils sont tous aussi vieux les uns des autres, ils ne sont jamais mort, ils n’ont jamais eu besoin de tuer pour vivre. Les anciens plus puissants qui ont pu résisté ne sont plus que des débris se faisant battre par leurs propres pouvoirs. Et d’ailleurs… Tous ces petits êtres maudits pensent qu’eux aussi ont droit de pouvoir vivre, sourire, aimer, protéger et chérir les êtres normaux, vivant, non-maudit. Quand cela viendra t-il ? Demain ? Après Demain ? Dans un an ? Ou deux ? La voix semblait jouer, elle devenait agaçante.
- De quoi parlez-vous ?! Repris Buki, toujours muette.
- Quand…Quand tout les démons finiront comme ce pauvre imbécile ? Regardez le… Il souffre, il ne comprend plus rien, mais il résiste. » Elle semblait s’enerver.

Buki regardât devant-elle, le monde qui avançait à allure normal et elle vit : Mortes. Il attendait patiemment au pied d’un arbre, ses yeux noirs et sans iris semblaient ne regarder que le vide vers un bâtiment.

« - Tout ça à cause d’une elfe. Reprit la voix. Cette stupide elfe ! Il ne tue plus les elfes ! »

Dans le monde des vivants, Buki vit un groupe d’elfe passer devant Mortes qui ne sourcillât pas mais une fois que des humains arrivèrent, ils moururent aussitô, tués par le Démon.

« - Il pense qu’il a besoin de tuer pour vivre, son esprit démoniaque à garder ça en tête. Il suffit de parler et agir comme leur mère en se cachant sous un voile pour croire tout ce que ont leurs raconte. Continuât la voix.
- Arrête !! Hurlât à nouveau Buki en voulant parler a Mortes, toujours sans aucuns sons sortant de sa bouche ouverte.
- Je me demande, qui lui avait offert son violon à l’autre ? Je crois que c’était un de ses frères. Un « grand » frère. Oui, un Dragon qui allait perdre la mémoire. Il avait dit quoi au juste ? Of, je ne sais plus. Au faite, qu’est-elle devenue ? »

L’image du monde réel s’arrêtat sur un corps d’elfe. La jeune elfe était assise contre un arbre, les yeux fermés et ses cheveux blonds qui glissaient sur son visage endormit. Une seule chose troublat cette scène presque magnifique : Elle ne respirait pas, ses mains et avant-bras bandés était posés sur l’herbe. Les bandages avaient prit une couleur rouge-noir. Une odeur arrivait presque à parvenir le monde des Morts : l’odeur de la mort elle-même. Celle du moisit, de la pourriture. Si l’on regardât de plus près, quelques mouches volaient autour de l’elfe, ou plutôt, du cadavre. Buki poussât un cri muet de frayeur.

« - Ah non ! Elle est morte ! Elle est ici !? PARLE ! » Hurlât la voix qui devenait presque stridente.

Buki se tut, elle essayât de poser ses mains sur sa bouche. Ses mains, se n’était plus rien, elle en avait plus, oui, car elle est morte. Puis soudain un son se fit entendre, un son inquiétant, puis l’image retournat sur une elfette aux cheveux roses et aux yeux bleus ciels. Et la voix reprit comme au début
:
« Savais-tu que toi et tes amis Démons, jamais vous ne pourrez échapper à votre héritage ? Même si vos pouvoirs ne fonctionnent pas, votre caractère et vos petites « métamorphoses » restent. Vous, vous êtes des enfants de Shilen, que vous soyer de l’apparence d’un nain, un humain, un orc, d’un elfe noir ou même d’un elfe, vous restez un descendant de Shilen car votre sang est celui d’un Démon. On raconte que Grain Khain avait séduit Shilen et que celle-ci tombât enceinte, sous la colère d’Einhasad, Shilen perdue son titre de Déesse de l’Eau qui fut remit à Eva. Une fois chassée du continent, plus tard, Shilen mit au monde des enfants portant le désespoir et la colère de leur mère. Les plus fort d’entres eux furent appelés…Dragons et les autres… Démons. » Puis une phrase se rajoutât tandis qu’à l’image, l’elfette souriait de façon forcée à un humain qui la questionnait sur on-ne-sais-quoi. « Les Demi-Démon ne sont que les Démons trop vieux où qui n’ont pas participés à la guerre. Les vieux ayant tout, vraiment tout, oublié. Même l’usage de leurs pouvoirs. Ils continuent tous d’exister avec de fausses histoires : « Moi je suis une elfe née il y a 20 ans en années humaines, c’est jeune hein ? C’est ma mère qui m’a élevée tout seule, c’ets une elfe sombre aux cheveux un peu courts. » Foutaises. Ta mère, « jeune » idiote, se nomme Shilen, et ton père tu n’en as jamais entendu parler comme tel, tu n’a fais que le combattre. »

Buki restât silencieuse, lorsque la voix se tue, elle put reprendre son « observation » et trouvât un corps de jeune elfe sombre à l’âge adulte. Elle n’était pas entraînée, son corps pouvant recevoir les modifications dû a son esprit et l’âme que contenait ce corps n’avait plus rien : Aucun sentiment, aucune pensée, rien. C’était parfais, elle pourrait se débarrassé de l’esprit sans aucun problème, sans vivre avec. Bientôt, Buki renaîtra de ses cendres et soudain, l’image revint sur l’elfe aux cheveux roses.

« -Seikyo… » Murmura Buki.

Puis la voix reprit sa petite histoire, comme un son qui tourne en boucle mais ne se change qu’après la 6ème ou 7ème phrase. Buki avait encore du temps pour réfléchir aux dires de cette voix, de cette entitée. Elle pourrait aussi sauver Mortes.

« -Pourquoi « ça » s’intéresse à elle ? » Se demandât Buki.


__________La jeune sombre au regard vide se leva enfin de son banc, c’était l’heure de manger et son ventre criait famine. Elle commençât à marcher puis, sans aucun raison, son corps basculât en arrière, comme si elle avait eu un choc. Puis le silence, les passants du village des Elfes Noirs regardaient le corps inertes, des murmures de ci de là, des messes basses de droites à gauches. « Regarde elle est tombée, tu crois qu’elle est enfin morte ? », « Peut-être, elle est la depuis trop longtemps, c’est impossible que le corps ais pu résister. », « Son esprit est peut-être enfin mort ? ». La sombre ouvrit les yeux, elle se relevât difficilement sous les regards inquiets des gens. Elle s’étirât de tous ses membres comme jamais elle ne l’avait fait auparavant et prononça quelques paroles.
« -Natha sel khel ... (=Un nouveau corps…) »
Les passants étaient terrifiés à présent, la sombre qui ne parlait plus, qui ne vivait plus, celle qui était morte mentalement venait de parler et bouger comme avant. Elle regardât autour d’elle, ses iris bleu nuit se teintaient de rouge lentement, ce n’était plus la sombre qu’ils connaissaient. Elle commençât à marcher vers l’entrepôt et en ressortit avec un arc, des flèches et une tenue d’archer et sortie de la ville s’entraîner. Elle ne revint en ville que le lendemain et ne s’arrêtât pas aux boutiques. Elle ne s’arrêta que devant la passeuse pour prononcer le nom d’une ville avec un ton de voix assez pressé : « Giran ».
La sombre passât presque une journée entière dans la ville et fit la rencontre d’une humaine dans l’Eglise de Giran puis fit la rencontre d’un guerrier du nom d’Artas. Et c’est là qu’elle reprit son journal dans le sac qu’elle avait récupéré à l’entrepôt.

__________Quelques jours plus tard, on pouvait à présent lire ceci sur le cahier, ou plutôt, le journal intime de Buki SIl'in.
« Voilà, je suis à nouveau une elfe noir. Mes yeux sont comme avant : rouge, un peu comme les rubis, mes lèvres se teintent lentement de rouge, bientôt je serais vraiment moi. »
Puis le petit dessin d’un dinosaure de l’île primitive suit la phrase. Suivit après de la suite du journal.
[ image externe ]

« J’ai été sur l’île primitive aujourd’hui, j’étais avec le guerrier Artas qui m’a protégée des monstres qui se trouvaient sur l’île, j’ai aussi réussit à faire un dessin d’un des monstres qui s’y trouvaient. Je n’ai fais qu’un brouillon avant le dessin ci-dessus mais j’ai l’impression de ne pas être très douée…
Puis après tout ça on est rentré de l’île à Rune, moi et Artas, et nous nous sommes essayés à la pêche. Artas est tombé un moment à l’eau puis nous avons pêché toute la journée. C’était amusant et apaisant je trouve. Je n’avais jamais fais une activité comme celle-ci avant mais je n’ai pas pu manger mes poissons… Je n’ai pas faim, et cela depuis deux jours maintenant. Je suis inquiète, en plus, comme me l’a dit Artas, mes mains sont froides… J’ai les mains froides mais je ne le sens même pas… Je suis inquiète, j’ai l’impression d’avoir fais quelque chose de travers…
Plus tard Artas m’avais retrouvée à Giran et nous avions discuté… J’ai aussi essayé de refaire un dessin de lui en rentrant dans l’auberge qui m’héberge à présent. »

[ image externe ]

[Seikyo]

Chapitre 17 : La recherche des « siens » , des rencontres particulière.

__________Journal de Buki Sil’in.

__________« Il n’y a pas longtemps, une elfe noir avait accosté un humain en lui disant « Démon », ce jour ci j’avais paniqué, je m’étais dit : « Heureusement que ce n’est pas tombé sur moi ». J’aurais paniqué sinon, l’humain avait réussit à ce débarrasser de la sombre mais, sans savoir pourquoi, je fus vite intéressée par lui. Je ne sais pas pourquoi mais, j’apprécie connaitre des « semblables ». Des démons, des gens comme moi, je me sens moins seule comme ça. Sauf que, en suivant l’humain, il s’en était rendu compte. J’avais réussit à « lui échapper » mais quelques jours plus tard c’est lui qui vint à moi. On avait discuté et je n’avais pas su tenir sa langue, il sait que je suis Démon et moi je crois savoir qu’il est humain. Mais tout ça m’inquiète. Pourquoi je suis un Démon alors que je vis avec mon cœur et mon esprit et non dominée par mes envies démoniaques ?! Pour je n’ai pas le droit d’être normale ? Tant de questions… La plus importante maintenant c’est : Quand le jour où mes pouvoirs prendront le dessus arrivera ? Quand est –ce que, comme Mortes, j’oublierai tout ce que j’apprécie pour ne penser qu’a mes envies de démon ? J’ai peur… Et aussi est-ce la réalité ou un mensonge ? Ce qui m’est arrivé ?

__________J’ai rencontré un sombre, son visage est aussi doux que celui que pouvais avoir Mortes quand je l’ai connu. Il lui ressemble un peu sauf que lui c’est un guerrier et ses cheveux son pâles. Il m’a connue avec les cheveux blancs… Est-ce que, si je reprends ma couleur normale, il me reconnaitra, lui ? Je suis intriguée, il m’aime mais moi, je ne suis pas sûr. Dit-il vrai ? Ne vas-t-il pas m’abandonnée comme l’amour de Seikyo ? Elle m’avait raconté que son amour lui faisait penser qu’il décrocherait la lune pour elle puis, il disparut à jamais. Je ne veux pas être comme Seikyo : Malheureuse. Moi, j’ai la vie éternelle qui m’attend, si je venais à avoir un tel chagrin, il durerait jusqu’à la fin des temps où jusqu’à ce que mes pouvoirs me dirigent. J’espère qu’il dit vrai mais, il est un peu trop… Rapide à mon goût. J’ai peur, je crois, peur du mensonge. J’en fais des mensonges, plein, mais je ne mens pas sur le cœur quand c’est important pour moi. Regardez moi, je vie comme une sombre normal, j’ai un cœur, quelle tâche je fais. Oui, je suis une tâche parmi mes semblables. La tâche au cœur de gentille sombre… Ce sombre, il a dit qu’il me protègera… Je crois qu’il devra me protéger de moi-même malheureusement… Si ce n’étais pas un mensonge ce que je commence à vivre, cette chose que j’attendais depuis trois vies maintenant, je suis sûr que je paniquerai. Mais, il semblerait que ce n’est pas un mensonge alors dans ce cas, j’ai peur… Il mourra et moi, je vivrai. Eternellement… En faite, dans les deux sens il m’abandonnera, que ce soit vivant, où mort, il m’abandonnera forcement mais je dois saisir cette chance. L’unique… J’espère que ce n’est pas cette voix qui joue avec moi… Je vais essayer de vivre.

__________Au faite, cher journal, c’est bon, après plus de trois semaines sans manger, sans avoir faim, j’ai enfin envie de manger et je mange. Voilà un bon point mais, mon corps est-il toujours aussi froid qu’avant ? Je commence à avoir des doutes en faite… Je crois que, ce corps n’est pas normal.»

[Seikyo]

Chapitre 18 : Une « semblable », Seikyo, des remords.

Journal de Buki Sil’in, écrit en elfe sombre pour le premier paragraphe et en commun pour le deuxième.

__________« J’étais, comme à mon habitude, assise sur la marche la plus haute des escaliers de Giran. Dans mes pensées, je pensais à Balian. Allait-il bien ? Je ne sais pas pourquoi mais depuis que je suis avec Jelayde je ne pense qu’a lui. Lui, lui et…Encore lui. Pourquoi ? Qu’est ce que j’en sais… J’ai juste toujours eu une plus grande confiance dans les gens qui sont un peu comme moi : soit démon, soit avec la possibilité de se réincarner, comme lui. Mais alors que mes pensées était dans la question du « Pourquoi je pense à lui ?», une sombre vient m’aborder. Son premier mot fut « Sœurette ». Sur le coup, je n’avais pas compris, et même si j’y avais pensé un instant j’essayais de penser que ce n’est pas ça. Mais si, c’était ça. Démon, comme moi. Elle m’avait montré qu’elle pouvait changer d’apparence, mais il semblerait que ce n’était pas des illusions. Alors, elle qui semblait avoir peut-être plus de souvenirs et de connaissance que moi sur les démons, je lui avais demandé : « Qu’elle est l’origine des Démons selon vous ? » et sa seule réponse fût : « Désolé petite, je ne peux pas te répondre. ». Vraiment ! Ca énerve ce genre de choses…

__________Il y a quelques jours, j’ai osé dire à Jelayde que ce serait mieux que l’on soit ami. Je suis sotte, lui, il est partit sans un mot, sans un regard. Abandonnée… Oui, c’est le bon terme, c’est l’impression que ça ma donnée, il n’a même pas essayé de me convaincre. Il est partit… J’ai fais une bétise. Est-ce que je vais pouvoir la réparer ?... Là, je suis à l’auberge, je viens de finir mon repas, et j’en suis à ma deuxième bouteille de vin… Bientôt je vais réussir à me saouler. Un autre débile vient de rentrer dans la taverne, ils font tous pareils… Et voilà que je rentre en faisant un grand bruit ! Vraiment ! »

Au moment de l’écriture, Auberge du Poney Fringuant.
« -Buki ?
-Seikyo ?
-Oui c’est moi… Une elfette aux cheveux roses vint prendre place à la table
- Excuse-moi !
-Quoi ? Dit-elle.
-Je… Tu… On ne sera jamais normal…
- Que racontes-tu ?!
-Tu es toujours Démon.
-N-Non non ! J’ai été Demi-Démon… Je ne le suis plus… » L’elfette commençait a paniqué, enfin, c’était l’impression qu’elle donnait.
- Parasites et Demi-Démon sont en faite des Démons… Ce qui les rend différent est leur pouvoir ou capacité, ou leur passé…
-J’ai un passé qui ne mérite même pas que je puisse porter ce nom de Démon. Répondit sèchement l’elfe.
-Pas le passé dont tu a le souvenir ! Celui que tu as oublié ! Tout comme moi ! Le VRAI !
-Le vrai… ?
-Oui… L’origine… Je fais quelques recherchent là-dessus en ce moment… »

L’elfette posât son regard sur la table.

Journal de Buki Sil’in, suite, en elfe noir.

__________« C’est Seikyo… Elle croit qu'elle est normal, je viens de lui expliqué, elle ne l’a jamais été. Elle semble être entrain de se faire dominer par ses pouvoirs… Bientôt je vais avoir fini cette bouteille de vin... Cher journal… Je sens que la raison… »

[Seikyo]

Chapitre 19 : Retrouvé

Le texte suivant est écrit en démonique, Buki avait perdu son journal intime pendant un moment et s’était très inquiétée.

« Quelqu’un à lut dedans, c’est obligé ! L’Aubergiste a dit qu’il avait trouvé mon journal sous une table, je ne le crois pas. J’ai cherché sous toutes les tables ! Quelqu’un m’a prit mon journal et l’a lut ! Je ferais plus attention la prochaine fois… Et si c’était Seikyo ? Les elfes c’est curieux oui… Trop curieux ! Elle a du se dire qu’il y avait des choses qui la concernait dedans, des choses sur les démons peut-être… Si tu veux Seikyo je te parlerai de ce qu’on a appris à Calla sur les Démon. Et je te parlerai aussi de ce que j’en sais, la science des chasseurs n’est pas la meilleur, de toute façon ils ne pensent qu’a tuer. »

Chapitre 20 : Solitude…

Buki n’avait pas écrit depuis longtemps dans son journal et le texte suivant est écrit en démonique.

« Cela fais combien de temps ? Des Lunes ? Des semaines ? Longtemps… Cela fait longtemps que je n’ai pas écrit dans mon journal… J’ai passé un temps infinie dans cette auberge, l’aubergiste a même fini par ne plus me faire payer ma chambre et moi en échange je l’aide à ranger et nettoyé le soir la taverne. Mes vêtements ont prit l’odeur de l’alcool et de la fumée, j’ai repris un peu mon comportement d’avant… Je suis seule. Il y a pas longtemps je suis sortie en ville, à Giran, prendre l’air. Et j’ai revu Jelayde, on a parlé, j’étais comme avant, pas sympathique. De toute façon, il n’a que ce qu’il mérite je crois. Les démons, mes semblables, je n’ai plus de nouvelles deux. Je n’en vois plus… Voir, mais voir, je ne vois plus qui est quoi, je n’aime pas ça… Je veux voir mes semblables, et même, rester avec eux. Je suis seule… Je n’aime pas la présence des gens normaux. Pourtant ils occupent… Ils m’occupent. Il y a quelques jours j’ai joué aux dés avec un humain, si on perd, on avait un gage. Ses gages étaient peu appréciables mais ça occupe. Le dernier gage que j’ai du faire fut celui de faire une bise a un inconnu, j’ai donc fais une bise à un sombre. Il n’avait pas réagis, il ne m’avait même pas regardé. Ce n’est pas grave, peut-être avait-il régis quand j’avais tourné le dos, qu’est ce que j’en sais. Je m’ennuie… L’aubergiste m’a appris a faire des cigares pour moi-même mais je n’en fume pas, je suis noble tout de même. Je me suis déjà assez rabaissée comme ça. Bien, aujourd’hui, je vais à nouveau sortir. Demain aussi, peut-être. Je suis assez occupée quand même et puis je dois m’entrainer… J’ai tellement de choses à faire. Mais déjà, une chose, me faire ce que l’on appel « des amis ».»

[Seikyo]

Chapitre 21 : « Raconte-nous », un sombre étrange.

Journal de Buki Sil’in, écris en démonique, un jour d’été…

« Je vais tenter de réécrire ce que j’avais entendu avant de rentrer dans le corps dans lequel je suis… Elle disait donc, mot pour mot : « Savais-tu que toi et tes amis Démons, jamais vous ne pourrez échapper à votre héritage ? Même si vos pouvoirs ne fonctionnent pas, votre caractère et vos petites « métamorphoses » restent. Vous, vous êtes des enfants de Shilen, que vous soyer de l’apparence d’un nain, un humain, un orc, d’un elfe noir ou même d’un elfe, vous restez un descendant de Shilen car votre sang est celui d’un Démon. On raconte que Grain Khain avait séduit Shilen et que celle-ci tomba enceinte. Sous la colère d’Einhasad, Shilen perdue son titre de Déesse de l’Eau qui fut remit à Eva. Une fois chassée du continent, plus tard, Shilen mit au monde des enfants portant le désespoir et la colère de leur mère. Les plus fort d’entres eux furent appelés…Dragons et les autres… Démons. A présent, les Démons continuent d’exister, oubliant leur passé ou en créant un autre. S’ils savaient… S’ils savaient qu’ils n’ont jamais eu qu’une seule et vrai naissance, une seule et vrai mère… Shilen. S’ils savaient qu’ils sont tous aussi vieux les uns des autres, ils ne sont jamais mort, ils n’ont jamais eu besoin de tuer pour vivre. Les anciens plus puissants qui ont pu résisté ne sont plus que des débris se faisant battre par leurs propres pouvoirs. Et d’ailleurs… Tous ces petits êtres maudits pensent qu’eux aussi ont droit de pouvoir vivre, sourire, aimer, protéger et chérir les êtres normaux, vivant, non-maudit. Quand cela viendra t-il ? Demain ? Après Demain ? Dans un an ? Ou deux ? » Elle s’est ensuite demandé quand les démons finiront comme Mortes qui se bat contre lui-même. Je dois tout raconter à Seikyo d’abord… Car cette voix la connaît… Je n’ai jamais parlé de ça à Seikyo… J’aurais dû le faire. Cette voix ne semblait pas apprécier Seikyo… Oui… Elle a dit que Seikyo était une ancienne chez les Démons… Une qui a tout oublié… Même son nom… Je me demande… Quand elle mourra… Retournera-t-elle dans un corps ? Ou bien elle disparaitra ? Je vais tout leur raconter… Je dois inviter Mortes et Seikyo donc… Pour leur dire ce que j’ai appris… Je crois que cette voix… C’était celle de la personne qui a fait sombrer Mortes dans sa folie… »

Plus tard, Buki avait envoyé des missives à Mortes et Seikyo pour les convier à l’Auberge où elle travail. Dans la lettre, le jour et l’heure précise étaient indiqués… Et lorsqu’ils vinrent, elle leur expliqua tout en détail. La voix, le récit, une partie de l’identité de Seikyo… L’elfette aux cheveux roses semblait être prise par la folie, elle dû être emmener par Mortes qui, lui, avait le regard sombre. Une elfe prise par la folie et un Démon trompé par le déstin… Voilà ce que Buki vit ce soir là… Après son récit…

Journal de Buki Sil’in écris en sombre, un jour d’automne…

« J’ai rencontré un drôle de sombre hier soir… Après avoir parlé avec une humaine dont je ne connais pas le nom qui m’a demander de l’aide pour pénétrer à un endroit risqué et parler avec un autre humain je l’ai vu… Avec mes illusions j’avais changé la couleur les bottes rouges du sombre en blanc. Il disparu dans l’église et en ressorti tout en blanc. J’ai cru pendant un instant que je délirais mais après avoir parlé avec lui j’ai appris qu’il avait changé d’armure pour essayer sa nouvelle armure… Il m’a dit qu’il n’aimait pas les parias (en parlant des sombres qui sympathisaient avec les humains) et lorsque je lui ais dit mon but, celui d’être auprès des miens, les Démons, il m’a dit que j’étais alors une parias. Il m’a fait comprendre qu’il serait prêt à me tuer juste pour cela…Il m’avait aussi demandé si ma gentillesse était vrai… Je ne sais pas de trop… C’est un moyen que j’ai découvert pour avoir des gens auprès de moi… Mais ça ne dure jamais très longtemps…Est-ce que je cherche vraiment à être aussi gentille ? Je ne crois pas… » Court passage en démonique. « A vrai dire… La vie que je menais avant me manque… Moi jouant du violon pour faire apparaitre la Zariche, et le soir créer des illusions atroces pour récolter de l’argent… Avec Mortes à mes côtés… Oui, à mes côtés, même s’il était loin de moi il me regardait quand même… Il était à mes côtés... » Reprise en sombre. « Bon… Je reverrais peut-être ce sombre ce soir… Ou bien je rencontrerai un semblable… Il m’a dit que j’avais du charme… Ce charme n’a pas attiré Mortes… C’est bien dommage… »

[Seikyo]

Chapitre 22 : La folie ? La vérité…

Journal de Buki Sil’in écris en démonique, un soir d’hiver…

« Est-ce la folie ? Ou me suis-je trop retenue ? Pourquoi est-ce un plaisir de voir ce sang… ? Ce sang… Partout… Sur les murs, le sol, si réel… Si rouge… »

La sombre écrivait dans son journal, penchée sur son bureau dans la chambre qui était sienne au Poney Fringuant. Face à elle il y avait la ville, devant ses yeux baissés, son journal et autour d’elle une chambre remplie de sang. Un sourire indéfinissable décorait son visage, elle était effrayante, ses yeux rouges brillaient plus que la flamme qui éclairait son écrit. Un léger rire macabre s’échappa de sa bouche. Elle écrit.

« C’est plaisant… On croirait que quelque chose de vivant à imploser dans ma chambre. Tout est si réel… Si rouge… C’est comme si mes pouvoirs explosaient… Ou comme si…»

Le sourire de la sombre s’efface, ses yeux rouge brillant toujours. Elle continue d’écrire :

« Comme si mon passé ressurgissait d’un coup. Comme si toutes mes illusions apparaissaient soudainement dans ce lieu… »

Un bruit sourd se fait entendre, comme si quelqu’un tombait dans la chambre. La sombre sursauta un instant et, intriguée, se retourna. Un cadavre venait d’apparaitre, au beau milieu de sa chambre. Mais pas n’importe quel cadavre, celui de Mortes. Buki resta immobile, le regard paniqué, elle était tétanisée. Une voix se fit entendre, celle d’un homme, elle résonna dans l’esprit de la sombre : « Et si tes pouvoirs s’amélioraient ? Pour créer encore mieux que des illusions, si tu pouvais faire tout ce que tu veux de cet homme ? ». Le corps qui n’était qu’une illusion se leva, il ouvrit les yeux : deux yeux bleus, comme le bleu constituant les fins traits des yeux rouges de Mortes. La voix continua : « Tu ne le reconnait pas ? Oh oui… Tu ne la jamais connu. Voici l’un des soldats démoniaques de l’histoire, une poussière parmi tant d’autres, un élément avalé par le passé. Il ne participa même pas à la guerre des Dieux mais simplement à une guerre entre chef démoniaques. Il était considéré comme de la vermine, il était trop « humain ». Je crois qu’il se nommait… Mortes. ». « Te fous pas de moi ce n’est pas Mortes ! » hurla Buki, pointant le sombre de son index droit. L’illusion salua lentement et très bas Buki et se mit à parler d’une voix calme : « La bataille fut… Un échec, je crois ». Un voile noire vint entourer l’illusion du sombre, comme le voile de l’oubli. Le sombre se remit droit et regarda dans les yeux de Buki. Des traits rouges étaient apparus pour colorer ses magnifiques yeux bleus pour ne laisser que peu de place à la couleur bleu. La couleur de l’humanité avec celle des démons, un mélange presque parfait si celui-ci n’avait pas atteint le cœur du sombre.

« Raconte-moi son histoire… » Buki se retourna vers son bureau et pris sa plume pour écrire, la voix commença le récit pendant que Buki écrivait en même temps.

« Une histoire courte, sans intérêt. Né comme tout démon normal, Mortes fut le seul à possédé des yeux bleu semblables à deux bijoux purs. Le défaut avait donc été caché par un masque. Durant des années, Mortes fut entrainé comme un soldat, son seul pouvoir démoniaque étant la télékinésie, il avait été décidé que l’on ne l’entrainerait que à ça. Il fut entraîné tellement longtemps qu’à la fin il fut capable de briser des lames. Le Seigneur de la région décida de le prendre dans ses rang, il serait envoyé sur les plus grandes batailles, ce serait son meilleur soldat. Mais la surprise du Seigneur fut grande lorsqu’il vit les yeux bleus du démon. Il décida que jamais le démon n’enlèverait le masque qu’il portait. Le Seigneur douta de Mortes à la suite de cette découverte. Ce démon serait-il capable de remporter la guerre ? Ce n’était pas sûr, vraiment pas. Mais le Seigneur décida quand même d’envoyer Mortes lors d’une des plus grandes guerres de la région. Le démon eu dû mal à oser tuer ses attaquant qui venaient à lui pour le tuer. Mais l’un d’eux avait réussit à le blesser gravement. Comme si Mortes avait aussi été touché à la tête, quelques traits rouges étaient apparut dans ses yeux bleu, comme si son sang venait colorer ses iris. Et on ne sait comment, à cet instant, une onde de choque parcouru le champ de bataille, Mortes fut le seul à rester debout. Son masque se craquela et tomba, ses yeux étaient devenus ceux que tu connais à présent. »

« Mais comment a-t-il atteint ce monde s’il n’a pas été invoqué ou s’il n’y est pas né… ? » questionna Buki, ayant écrit sa question et attendant la réponse.

« Lorsque Mortes rentra de la guerre seul et vint dire au Seigneur ce que cette illusion t’a dit, le Seigneur fut paniqué. Mortes passa du rang de « vermine » à celui « d’arme dangereuse ». La mémoire du démon fut effacée et le Seigneur demanda à Shilen de l’envoyer dans l’autre monde en lui expliquant en détail pourquoi. C’est ainsi que Mortes arriva en ce monde. Certaines personnes profitèrent de lui pour lui encrer certains ordres en tête lorsque le secret de celui-ci fut découvert. Le seul moyen de faire disparaître ces ordres est de lui rendre la mémoire. Mais qui nous dis que la personne qui le fera ne se fera pas tuer par le démon… »

La voix disparut, Buki leva la tête de son journal et regarda autour d’elle. Peut-elle vivre sans son violon ? Il faut croire. Est-ce que ses pouvoirs avaient répondus à son désir le plus profond ? Si elle devait mourir pour sauver Mortes, elle le ferait. Mortes… Est en fait un démon normal ? Voire même, un simple sombre ?

[Seikyo]

Chapitre 23 : Recherche d’un territoire, aide pour un être précieux.

__________Avant même de demander à Mortes son avis, Buki avait décidé d’aller cherche dans les Terres d’ElmorAden un lieu vaste, sans dangers et désertique. Un lieu parfait pour une guerre. Elle trouva ce lieu près du monastère du Silence, dans la vallée des Saints. En ce lieu elle se trouva un abri duquel elle pourrait voir Mortes dans l’espace vaste qu’elle avait trouvé et se mit à réfléchir : « Ne serait-il pas mieux de lui montrer cette bataille ? », « Dois-je plutôt lui faire entendre son histoire ? », « Vais-je vraiment lui faire subir tout ça ? », « Comment tout lui faire se remémorer d’un coup sans faire vraiment référence à cette guerre ? », « Comment était-il avant… ? ». Une voix résonna dans sa tête tandis qu’autour d’elle, une marre de sang apparaissait, Buki avait l’impression que sa tête allait exploser : « C’était une vermine. Trop gentil. Ne serait-il pas mieux de faire revenir le démon sévère qu’il était devenu après la guerre ?
- Je voudrais qu’il reste lui-même.
- Tout dépendra de lui.
- Il était trop gentil avant ? Et ensuite trop sévère ? Mais il va disparaître là !
-Serait-il mieux qu’il disparaisse à cause de ton égoïsme où qu’il vive même s’il n’est plus le même après ?
- Ce serait mieux qu’il vive…
- J’ai une idée pour toi, Maîtresse.
- « Maîtresse… ? »
- Si tu essayais ton amélioration de pouvoir pour lui montrer toute sa vie ?
- Oui… C’est la meilleure solution. Mais je le mettrais dans cet endroit vaste, au cas où…
- Comme tu veux. »
La voix disparut, le mal de tête qui faisait grimacer Buki aussi. La marre de sang s’effaça doucement dans le sol puis plus rien. Plus un son, la sombre observa le lieu qu’elle avait choisi, attendit on-ne-sais-quoi puis se leva pour rentrer à Rune en lisant un parchemin, une fois la bas elle retournait à Giran par le biais de la passeuse.

__________C’est quelques jours plus tard que Buki demanda à Mortes s’il désirait retrouver la mémoire. Il avait répondu, sûr de lui, qu’il le voulait. Alors Buki l’avait emmené à « cet » endroit. Elle s’était arrangée avec la passeuse pour qu’elle soit apportée le plus près possible de son lieu d’observation tandis que le sombre aux iris rouges aux fins traits bleus irait dans le lieu désertique qu’elle observera. Arrivé sur place, Mortes seul et elle sur son perchoir, elle s’assit, demanda à son pouvoir d’aider Mortes à se souvenir et sorti son journal.
« L’expérience commence :
Douze heures vingt-et-une
Mortes est dans le lieu désertique que j’avais trouvé. L’illusion commence. Je vois, avec lui, une partie de sa vie. La voix lui parle, je l’entends mais je laisse faire.

Douze heures vingt cinq
Mortes vient de voir les grand passages de sa vie, il semble surpris. Je pense qu’il est perturbé par sa propre histoire qu’il ne reconnait pas.

Douze heures trente
Mortes montre quelques signes, il semble se souvenir. Il en est à la scène du Démon et du Seigneur.

Douze heures trente et une
Mortes panique, il m’inquiète, il semble pris de folie et se tien la tête. Je sais que la voix de mes illusions lui parle mais je n’entends pas ce qu’il se passe. Je n’arrive plus à contrôler mon illusion ! Mortes semble prit de vertige, même si je suis loin je vois qu’il panique, une peur panique que je ne lui connaissais pas. Il tombe ! Je dois aller le secourir ! »
Mortes fut transporter, difficilement, à l’Auberge du Poney Fringuant et Buki lui offrit son lit pour qu’il se repose. Elle chercha Seikyo en ville et lui expliqua la situation avant de l’emmener le voir avec une autre elfe. Lorsque la jeune elfe qui accompagnait Seikyo vit Mortes elle parut médusée et dit « Que faisons-nous ici mère ? Nous n’avons pas le droit d’entretenir des relations avec d’autres races et surtout des démons.
-Arrête de faire du bruit. Je suis désolée de t’avoir amenée ici mais si ça le concerne… C’est important. Répondit Seikyo.
-Excusez-moi, je ne pensais pas qu’il réagirait ainsi, je voulais le sauver… Dit Buki. »
Mortes commençait à ouvrir les yeux, lentement et la fille de Seikyo le remarqua. « Il se réveille. Nous ne voulons pas qu’il nous voit. » dit-elle, s’en allant rapidement après ces mots.
Journal de Buki Sil'in
« Je n’avais jamais vu de tel yeux avant. Si purs, si beau, d’un bleu profond que je n’avais vu que dans de rares bijoux précieux. Il paraissait être une tout autre personne. Il paru ne pas nous reconnaître, Seikyo et moi, au début. Il se lève rapidement de son lit mais pas brusquement, pas comme avant. Ses gestes semblent délicats même s’ils sont rapides et emplis de beaucoup de force brute. Ses yeux à la lumière du jour changeaient un peur de couleur. C’était deux bijoux de couleur bleu profond que le soleil éclair et faisait s’éclaircir. Si beau… Il m’avait demandé pourquoi j’étais aussi émerveillée. Lorsque je lui tendis un miroir, il l’agrippa mais ne me l’arracha pas des mains. Chose qu’il aurait normalement fait. Seikyo était venu près de moi. Elle m’avait fait remarquer que Mortes était perturbé. Je peux le comprendre, il était si fier de ses yeux et voilà qu’il perd le rouge qui les rendait si beaux. En fin de compte, ce n’était pas des iris rouge avec de fins traits bleus mais des yeux bleus avec des traits rouges. Il était si fier de ses yeux que j’avais voulu essayer quelque chose pour les lui rendre. »

__________Buki Sil'in fit plusieurs test pour tenter d’avoir presque l’apparence d’un ange tout en gardant ses oreilles elfiques. Elle connaissait assez bien Mortes pour être capable de l’énerver. Un soir, très tard, c’est ce qu’elle fit. Elle l’énerva à tel point que ses iris devinrent un instant rouge. Il tenta de l’étrangler, de la tuer même. La douleur était atroce pour Buki, elle se voyait déjà mourir, tuée par celui qu’elle aime car elle avait activé la folie de cet être cher. Son illusion disparut, du moins c’est ce qui lui semblait car Mortes avait fait un bond en arrière, stoppant le début de son assassina. La démone ne réfléchit pas lorsqu’elle lui expliqua ce qu’elle avait compris et elle fit référence à l’évènement qui causa les traits rouges sur les yeux de Mortes. Le démon, voulant se rappeler de cet évènement, fut pris de panique, il semblait fou, rongé par la peur. Il reculait dangereusement vers les marches. Buki se leva et commença à courir vers lui pour l’arrêter mais Mortes chutait déjà. Buki hurla le nom de la personne la plus précieuse à ces yeux, celle qui était resté avec elle malgré les quelques différences qui les séparaient. Lorsque la tête du démon heurta le sol, Buki était tout près de lui, la main droite tendu vers le corps de son être précieux. Le bras tout proche du corps. Buki n’eut pas le temps de réagir qu’une onde de choque traversa le corps de Mortes, le faisant avoir quelques spasmes, avant de la traverser et de la propulser sur les marches. Un cri horrible sorti de la bouche de Buki, assez horrible pour alerter tout la population endormie. Elle souffrait, son bras droit tout entier ne répondait plus et la faisait souffrir. Elle se senti partir un instant à cause de la douleur. « J’ai perdu mon bras… ?
-Ne t’en fais pas, cela se réparera. Dit une voix masculine dans son esprit. »
Elle croit la voix mais cela fait si mal. Elle appui sur son bras, et hurle de douleur son bras et souffrant attrocement. La démon ne sentit aucune présence d'ossement dans son bras. Elle laisse son bras pendre, elle doit demander de l’aide. Elle en demanda aux gardes de Giran qui emmenèrent Mortes dans la chambre de Buki. Mortes se retrouvait à nouveau couché et Buki se retrouvait à nouveau à son chevet. Pendant des heures, Buki attendais le réveil de Mortes, sachant qu’il se réveillerait. L’onde de choque avait complètement déréglé son pouvoir, ses yeux et quelques mèches de ses cheveux changeaient sans cesse de couleur. Le démon commença à montrer des signes de vie au moment ou le soleil apparait à l’horizon. Buki se mit à l’appeler, inquiète. Ils discutèrent, Mortes sembla inquiet à cause de la couleur des yeux de Buki mais la démone n’avait rien dit à propos des iris bleu aux fins trait rouges de Mortes. Seikyo arriva plus tard, alertée par les rumeurs circulant dans les rues de Giran. L’elfe rassura un peu Mortes lorsqu’elle apparu face à celui-ci. Buki vint à sa rencontre et commença à discuter avec elle après que Mortes eu retrouvé ses yeux bleus. « J’ai réussi à lui faire revenir ses yeux bleus avec des traits rouges un instant…
-Mais à quel prix ? Dit l’elfe, observant le bras sans vie de Buki.
-Oui, et il ne faut pas recommencer l’expérience, il pourrait en mourir.
-S’il devait mourir à cause de toi… Menaça l’elfe.
-Je sais. Mais tu sais qu’il est aussi précieux pour moi qu’il l’est pour toi… Même s’il est parfois un peu trop têtu.
-Je chercherais quelque chose pour ton bras. Je connais une sombre qui pourrait te faire quelque chose te permettant de réparer ton bras et de t’en servir pendant ce temps.
-D’accord… Allons dehors pour le laisser se reposer, Seikyo.
-Tu es sûr ? Il commence a…
-Certaine, aller ! »
Elles sortirent de la chambre pour discuter et laisser Mortes tranquille. Que d’aventure en si peu de temps !

[Lotradas]

Compte supprimé par conséquent de même pour le perso