InSael Alfirin

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InSael Alfirin

Message par DocV » mar. 30 juin 2009 à 14h30

Nom du clan : InSael Alfirin (= Gardien de l'eau)
Chef de clan : Ealindir
Second : Melyn
Prétresse du clan : Erlineth
Garde rapproché du chef elfe : Sendo et Tem.
Alignement : Loyal à tendance fanatique
Races acceptés : Uniquement des elfes servant la cause unique des elfes de lumière.
Total de membres : 10 (Ealindir, Melyn,Sendo, Erlineth, Tem, Enelia, Milow, Demiian, Lysia, Sirdan)
Méthode de recrutement : Le recrutement se fait en fonction de l'affinité de chacun, si un elfe est repéré, il en sera référé au chef qui consultera le dossier fait par ces membres sur ce futur.
Les Insael Alfirin ne recrutent pas de personnage déjà clanté.

Règles RP :

-Chaque Elfe devra croire et respecter notre déesse Eva
-Chaque Elfe devra respecter les décisions d'Ealindir même si certaines d'entre elle ne sont pas approuvées par le haut conseil
-Chaque Elfe devra respecter ses frères et sœurs elfes, même ceux étrangers à la guilde
-Chaque Elfe devra se montrer solidaire avec les membres du clan dans le besoin
-Chaque Elfe devra informer Ealindir, ou Melyn le second des moindres évènements liés de près ou de loin à notre race
-Chaque Elfe a le devoir de participer selon leurs moyens aux dépenses du clan afin d'aider les nouvelles recrues

Règles HRP :

-respecter les joueurs car ceci n'est qu'un JEU pas d'insultes, pas de propos racistes etc en chan clan
-respecter les règles de Vae soli
-Devoir et obligation de flood en chan clan ^^

Histoire du clan :

Il était un peuple, semblable à une flamme élégante, que le vent faisait se mouvoir à sa guise. Qui étaient-ils ? Des êtres gracieux, habiles et fiers, des êtres dotés de pouvoir et de l’appui de la plus grande des forces qui existe : la Nature.
Ils n’étaient autres que Les Elfes de Lumière, adorateur de leur déesse Eva. Ces êtres légendaires et si charismatiques venaient d’un petit coin de paradis, le Village Elfique. Un endroit pour le moins surprenant, tellement il y renferme de magie et de vie. Non loin des autres villages, il sut rester secret et se préserver des millénaires durant.

A cette époque, c’est le roi Asterios qui régnait, aimé et adulé de ses semblables. Il apporta nombre de changements au sein de la communauté, n’en oubliant pas de s’occuper de leur bien commun à tous, L’arbre Mère, celui qui leur confère cette si convoité longévité. Le peuple elfique était prospère, vivant des ressources de leur terre. Mais un beau jour, Astérios eut vent de rumeurs selon lesquelles des êtres maléfiques tenteraient de convertir les Elfes pures. A son regret, tout cela s’avérait être fondé sur des faits concrets. Certains elfes commençaient à répandre un message de paroles impures, le doute se mit à envahir peu à peu le plus grand nombre d’entre eux…
Le roi ne savait plus comment empêcher ses elfes au cœur pur de se tourner vers le Mal. Les discours, les milices et autres stratagèmes ne firent que réduire de peu l’impact que ces mystérieuses Ombres avaient sur les Elfes. Asterios savait que ce jour devait arriver, mais ne s’y était jamais véritablement préparé pour y faire face et y mettre un terme.
Le désespoir du souverain fut si grand qu’il décida sans prévenir de disparaitre dans sa demeure. Dès l’instant où les Elfes s’en aperçurent, c’est comme si le temps s’était arrêté ; plus de bruits, ni même d’activités, pas même le faible bruissement de la feuille du plus petit arbuste, se posant délicatement au sol.

La vie abandonnait le village. Personne ne comprenait ce qui se passait !

Selon une ancienne légende elfique, chaque roi avaient reçu d’Eva une infime partie divine. Inconsciemment cela pouvait agir sur le moral du village entier, les émotions du souverain y étant lié. C’est ainsi que les elfes découvrirent la vérité et furent saisis d’une effroyable sensation de peur. Ils attendirent le retour du roi patiemment. Celui-ci réapparut seulement au bout du quatrième jour et de la quatrième nuit.

Chaque elfe, d’un même mouvement, se leva en l’attente d’une parole du roi.
Du haut de son balcon, Asterios proclama d’une voix vive et distincte :
« Chers Elfes, ne voyez vous pas la décadence nous envahir ? Malgré mes interventions le mal n’a point reculé. Ma retraite de ces derniers jours fut pour songer à un moyen radical de lutter et d’exterminer cette menace au sein de notre peuple. C’est ainsi que je vous promets de ramener l’ordre et la sérénité, qu’Eva m’en soi témoin ! »

A ces paroles, le roi disparut de nouveau dans sa tour. Le peule stupéfait, mais néanmoins heureux de retrouver leur roi, fut soulagé et redoubla de confiance. La vie repris son cours petit à petit.
La nuit qui suivit sa promesse, Asterios convoqua quatre Elfes chez lui, dans le plus grand des secrets.
Un milicien se présenta cette nuit là, avec à ses côtés, Eliendel, Fathiniel, Alabrini et Eveltukel. Le roi avait une confiance aveugle en ces Elfes, valeureux guerrier qui à maintes reprises avaient fait leur preuves. C’est ainsi que le roi prit la parole et interrogea les Elfes : « Savez-vous pourquoi vous êtes ici mes Frères ? » Unanimement un « NON » se fit entendre en guise de réponse. Le roi repris : « Ma confiance est telle que je n’hésiterai pas à mettre ma vie entre vos mains ! C’est pourquoi, je veux vous confier la périlleuse mission que j’ai mise au point pendant mon absence. Les dégâts que le Mal nous inflige doivent cesser, les elfes doivent revenir à une entente Pure ! ». Les quatre elfes écoutaient attentivement ce qui se disait. « Vous devrez dans un silence et un secret absolu prendre vos armes et vous attaquer au fondement de ce qui nous menace. Rétablissez l’ordre de n’importe quelle façon. Traquez, extorquez l’information, et si cela est nécessaire, tuez, l’ennemi. Repoussez et dissuadez-les de revenir dans notre contrée. Nos elfes sont fragiles, le temps est compté, dès la prochaine Lune, partez ! Une dernière chose, je vous demande de prendre avec vous au moins un voir deux autres elfes en qui vous avez toute confiance, autant que moi en vous. »
Les quatre Héro d’une même voix, acquiescèrent et s’exclamèrent « Sus à l’ennemis !!!! »
Le roi d’ajouter : « Je proclame solennellement la création de la confrérie protectrice des Insaels Alfirins ! »
Les elfes partirent en saluant comme il se devait leur roi. Ils passèrent le reste de la nuit à discuter de leur mission, des possibles stratagèmes à adopter, l’excitation des guerriers se faisait sentir. La nuit laissait place maintenant au puissant Soleil. C’était le signe que la toute jeune confrérie devait se mettre à recruter. C’est ainsi que cinq elfes furent amenés à rejoindre le Clan Alfirin. La journée se terminait, et chacun d’entre eux dirent au revoir à leur famille, en cachant tant bien que mal leurs émotions. La nuit tombée, la confrérie prit la route en direction de nouveaux horizons.

Pendant plus de deux années, les Insaels Alfirins parcoururent des terres, qui à présent n’avaient plus de secret pour eux. Ils combattirent les Forces Noires dans l’ombre, faisant plier les plus résistants. La paix était revenue au village. L’ordre étant de nouveau présent, Asterios négligea peu à peu le Clan. Les Insaels continuèrent leur mission, mais finalement les membres quittèrent chacun leur tour la Confrérie, la paix revenue, pourquoi ne pas retourner à sa vie d’avant, se disaient-ils. C’est alors, qu’il ne resta plus que nos quatre Héro de départ. Ils se réunirent, et d’un commun accord décidèrent de mettre fin à leur coopération. Eliendel, avait deux enfants Ealindir et Enelia, qui avaient grandit en son absence, et pour rien au monde il ne voulait manquer leur éducation, il était tant de profiter de sa progéniture. Les Insaels Alfirins n’existaient plus que dans les souvenirs des guerriers, et faisaient maintenant partis du passé.

Loin de mettre à l’oubli tout ce qui s’était produit durant ces dernières années, Eliendel, pris à cœur d’enseigner à son ainé Ealindir le maniement des armes. Il lui racontait maintes histoires vécus, lui enseignant tout ce qu’il devait savoir pour devenir un jour un grand guerrier, comme il l’avait été lui-même. Il lui parla bien évidement des Insaels Alfirins, ce qui éveillait en Ealindir un émerveillement spectaculaire. Enelia, la petite dernière, toute aussi curieuse, passait son temps à écouter son père et à observer son frère. Sa mère s’en aperçut, et décida de lui apprendre les rudiments de la magie et surtout lui apprit à se servir d’un arc.

Un matin très tôt, Enelia vit son Frère Ealindir, partir, arme à la main, il allait se confronter au dangereux donjon, cela était une étape nécessaire pour devenir meilleur. Une semaine passa, Enelia guettait le retour d’Ealindir tout les jours de son absence. Et c’est ainsi qu’elle le vit revenir, fatigué de son périple. Enelia décida de prendre le même chemin que son frère, et partit quelques temps plus tard affronter les créatures du donjon. Son père fut surprit de revoir sa fille en un seul morceau et fière de lui rapporter l’objet de sa quête.

Ealindir, l’année suivante, déclara à sa famille qu’il partait à l’assaut de nouveaux territoires et d’expériences et exprima son profond désir de recréer la fierté elfique d’hantant, la Confrérie Alfirins. L’accord donné, il se prépara et partit. Sa sœur, dans un élan hardi, le rejoignit en chemin. « C’est trop dangereux Enelia ! » s’exclama Ealindir d’un ton protecteur. Enelia rétorqua : « Mon frère, je sais me battre et mon désir le plus cher et de t’accompagner et de te protéger quoiqu’il advienne ! »
Alors la fratrie se mit en marche, et dans un élan de patriotisme Ealindir s’exclama vivement : « Les Insaels Alfirins sont de retour !! » Quelques cris de guerre plus tard et d’un enthousiasme débordant, ils commencèrent à mettre au point des ruses, des objectifs et nombre de choses que leur imagination produisait, un peu comme leur père l’avait fait jadis avec ses confrères.

Bien sur, ils étaient loin de savoir ce que l’avenir leur réservait, quelles créatures au combien dangereuses les attendaient, quel mauvais tour il leur faudrait déjouer, et qui rencontreraient-ils ?

Bientôt leurs aventures les mèneraient vers de nouvelles têtes et qui sait, peut être, le Clan des Insaels Alfirins s’agrandirait et redeviendrait la puissante force des Elfes qui fit jadis régner Ordre et Prospérité au sein du peuple Elfique. Ealindir et Enelia le désirait de tout leur être, leur courage et leur détermination allait exaucer ce profond souhait…

Les Alfirins : Pour la prospérité des Elfes.

Dans les premiers jours qui suivirent son départ avec Enelia, Ealindir fut rejoins en chemin par une de ses vieilles connaissances : Melyn ; qu'il avait rencontré au cours de sa formation. Melyn eut vent de son départ et décida de lui venir en aide dans son œuvre.
La première mission que s'était fixé Ealindir était de rencontrer et éventuellement de recruter des elfes pour grossir ses rangs bien maigres jusque là. L'occasion se présenta et le petit groupe fit la rencontre de deux elfes, Sendo et Tem compagnons d'armes. Ces derniers partageaient les points de vue d'Ealindir et paraissaient même de fervents serviteurs d'Eva et du peuple elfe. De fil en aiguille, et à mesure qu'ils parcouraient ce monde d'autres elfes perdus se joignirent à leur groupe.
Bien que des défenseurs d'Eva et des elfes, ils répondirent à l'appel d'un notable d'Oren. Un humain qui visiblement demandait de l'aide afin d'éradiquer la présence d'un démon sur ses terres. Ils firent alors la rencontre d'Erlineth, une elfe solitaire ayant quitté les terres elfiques à la recherche de réponses et de connaissances pour venir en aide à l'arbre mère. Cette dernière rejoignit le groupe. Cet appel fit également venir d'autres personnes notamment des orcs et des sombres. Ces derniers s'en prirent lâchement au groupe avec une force impressionnante et mirent les fidèles d'Eva hors d'état d'accomplir leur mission. Du moins pendant un temps, car bien que blessés dans leur chair et leur orgueil ces derniers redoublèrent d'efforts afin de posséder la force nécessaire de se confronter de nouveau à ces adversaires de taille et ainsi faire prévaloir leurs droits et principes sur ces terres. Cette opposition farouche leur montra que les orcs et les sombres n'avaient pas changé et que l'histoire perdurait : les orcs toujours avides de conquêtes et de sang détestaient les elfes et les sombres partageaient cette haine ancestrale. La mission Alfirin avait donc un sens : il fallait à tout prix repousser ces âmes noires qui pourraient un jour s'en prendre à ce qu'ils avaient de plus cher.
Ealindir retourna donc au village elfique et y convoqua ses compagnons ainsi que tous les elfes qui le souhaitaient faisant parvenir des missives à toutes les villes du continent. Mis à part ses compagnons d'armes qui répondirent à l'appel, très peu d'elfes se joignirent à eux. Lors de cette réunion Ealindir exposa ses buts, l'histoire des Alfirins et ses objectifs. Ses amis lui jurèrent allégeance un par un puis d'une seule et commune voie, lançant au travers du village une clameur jusque là étrangère; les Alfirins étaient de retour. Cependant le temps avait fait sombrer cette guilde elfique dans l’oubli. Et bien que le roi elfique n'appuyait pas ce retour, il la laissa devenir une caste marginale du peuple elfe. Les Alfirins existaient bel et bien, mais n'avaient pas la notoriété que leur avait conférée jadis le roi. Ils agissaient donc sous la direction d'Ealindir afin de poursuivre ce que son père avait commencé. Une noble cause oubliée et visiblement ne prêtant plus d'intérêt aux yeux de beaucoup; mais les nobles causes ne valent elles pas qu'on combatte pour elles ?
Leurs actions furent néanmoins inefficaces pendant un temps, ne pouvant rivaliser avec les forces en présence par manque de moyens, ils ne purent rien faire lorsqu’Oren fut prise par un groupe de Kainistes. Ces derniers prirent le contrôle des territoires avoisinants dont les territoires ancestraux elfiques. Cette nouvelle révoltât les Alfirins, remplissant leurs cœurs d'une haine incommensurable envers cette cité. Oren devait être libérée et ses occupants anéantis pour le bien du peuple elfe. Ces Kainistes s'en prirent également à d'autres cités et lors d'une altercation, firent prisonniers des elfes. Les Alfirins devaient réagir face à cette action et accompagnèrent l'armée de Garius devant le château d'Oren afin de récupérer les prisonniers et de confronter les occupants d'Oren. Victoire fut faite et les elfes furent libérés.


Les objectifs du clan :

- Combattre le culte de Shilien, déesse maudite.

- Protéger les elfes car bien qu'ils ne soient pas tous de la même opinion que les Alfirins, ils valent plus que n'importe quelle autre race exception faite des elfes s'étant voués à des cultes noirs ce qui pour autant semble impossible... Dans ce cas ces elfes doivent être pourchassés.

- Répandre le culte d'Eva : sa parole est la pureté même et ne peut être mise en doute.

- Les Alfirins agissent sans aucune juridiction et ne répondent à personne du fait que le roi des elfes ne reconnait pas leur présence, seul la parole d'Ealindir prévaux. Pour cette raison ils agissent généralement sans révéler leur véritable but et bien souvent dans l'ombre. L'histoire leur a enseigné à ne plus faire confiance aux autres peuples et à ne faire confiance qu'aux leurs.

Signe distinctif et comportement :

- les Alfirins possèdent un signe distinctif : un pendentif en forme de licorne, qu'ils portent généralement avec une tenue se rapprochant d'habits de moines.

[ image externe ]

- Bien que les Alfirins aient des attitudes divergentes sur certains points, la plupart d'entre eux sont pacifistes en ville, ne provoquant l'ennemi que s’ils jugent que la situation l'exige.

Hiérarchie :

- Les Alfirins ne possèdent pas de hiérarchie fixe. Seul Ealindir a tout pouvoir et a confié le poste de Second a Melyn. Ils se nomment de manière à se reconnaître entre eux ou reçoivent leur titre d'Eva elle même au cours de rêves ou d'épreuves.
Dernière modification par DocV le mer. 22 septembre 2010 à 18h53, modifié 1 fois.
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Re: InSael Alfirin

Message par Hawke » mer. 13 janvier 2010 à 21h10

La fondation de l'académie Elfique.

Depuis quelques temps les Alfirins avaient grand mal à entretenir des relations cordiales avec les leurs. Victimes du jugement des autres, il leur fallait réagir afin de montrer leur volonté de défendre les intérêts elfiques. Lors d'une réunion où il se concertèrent dans le but de trouver une solution à ce problème et de planifier leurs prochaines actions sur les terres.
Tem émit l'idée de former les elfes au sein d'une structure ou ces derniers pourraient à la fois développer leur compétences et affirmer leur foi en Eva. L'idée fit rapidement l'unanimité chez les gardiens de l'eau; l'académie elfique était née.
Il fallait néanmoins trouver un lieu où les elfes pourraient se retrouver. Un bâtiment appartenant au temple d'Eva leur fut alors cédé par Dame Ellenia, Grande prêtresse d'Eva, qui voyant ce que cela pourrait apporter au village décida de les soutenir dans leur action...




L'académie Alfirin :


[ image externe ]

Sous l'impulsion des gardiens de l'eau, le village est fier d'annoncer la création d'une académie elfique destinée à former l'élite du peuple elfique. Né de la volonté du Templier et serviteur zélé d'Eva Tem, cette académie à pour but de regrouper les elfes dans un lieu de paix ou ils pourront développer leurs compétences dans les divers domaines qui seront abordés au cour de leur apprentissage.
Grâce à l'aide de ses compagnons d'armes qui seront professeurs chacun dans leur spécialité, deux grandes branches distinctes seront enseignés chacune comportant sa propre spécialité bien que toutes soient liés.


- La voie des armes : Professeurs principaux : Tem, Sendo, Ealindir, Erlineth.


- Spécialité défense : Le professeur Tem y enseignera les subtilités des armures lourdes, l'art du maniement du bouclier.

- Spécialité attaque : Les professeurs Sendo et Erlineth y enseigneront l'art de l'archerie et celui du combat à l'épée ou l'arme d'hast.

- Spécialité agilité et discrétion : Le professeur Ealindir enseignera l'art et les subtilités d'un combattant agile et vif.


- La voie de la magie : Melyn, Ellenath, Erlineth.


- Spécialité attaque : Le professeur Melyn enseignera les techniques de combat Elfe et le dressage des licornes.

- Spécialité chant : Le professeur Ellenath enseignera les bénédictions d'Eva par le chant.

- Spécialité médecine : Le professeur Erlineth enseignera comment prodiguer les premiers soins et les bases anatomiques.
Chaque étudiant se verra également enseigner une base commune. Cette base à pour but de traiter des origines des Elfes et d'effectuer le devoir de mémoire qui incombe à chaque Elfe.


- Histoire Elfe et histoire du monde : La professeur Erlineth enseignera les anciennes écritures elfiques, l'histoire du peuple elfe et l'histoire du monde. Possibilité pour les étudiants de partir à la découverte des terres lors d'excursions organisés.

- Les arts Elfiques :Apprentissage d'un instrument de musique elfique et de divers chants elfiques. lectures de poésies diverses et variés.

- La religion et la foi en Eva : Rendue par Dame Ellenia, Grande prêtresse du village elfe au cour de cérémonies à la gloire d'Eva.


A cette académie vient se rajouter l'ouverture d'une grande bibliothèque Elfe ayant pour but de centraliser au maximum les informations de se monde et celles que peut contenir le village. Sous la direction des professeurs Melyn et Erlineth, la bibliothèque compte bien obtenir une copie de tout les livres qui ont put être écrits, ou du moins une partie de part le monde.

U
ne branche pour le moins plus spécifique réservée à la garde et aux soldats à également été créée ayant pour but de mieux former les soldats elfes du village à leurs diverses tâches sur le territoire Elfique. Dans le soucis permanent de protéger le village, cette branche de l'académie sera placé son la direction de Dame Ellenia avec le soutien des Alfirins.


[HRP]
L'intérêt de cette académie :

Regrouper des elfes, leur enseigner une culture commune en plus de leur spécialité et ainsi permettre un véritable développement RP du ou des personnages dans le temps (principe de formation).

Multiples possibilités d'event liés aux académiciens et à leur art autour d'une histoire relatée durant la période de formation.

Le clantage dans l'académie Alfirin n'est pas obligatoire mais est néanmoins fortement recommandé (rerolls acceptés).

Nous n'acceptons que des elfes. Après en avoir discuter il ne semblait pas pertinent d'ouvrir l'académie aux humains ou nains. Cela dit le RP peut amener certains non-elfe à pouvoir y entrer (la porte n'est jamais close.)

L'académie en étant à ces débuts, la bibliothèque ne comporte pas de livres particulièrement importants.

[/HRP]

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Re: InSael Alfirin

Message par DocV » mer. 22 septembre 2010 à 19h01

[HRP]Mise à jour importante pour notre guilde, des règles hors role play.

Le Multiclantage est autorisé.

[/HRP]
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Re: InSael Alfirin

Message par DocV » mar. 19 octobre 2010 à 15h15

Le Manoir d'Argent.



La poussière chauffée par le soleil à son zénith donne de l'éclat au pavé et amène à penser chaque nouvel arrivant qu'il trouvera ici la clé de sa quête.
Ainsi était la Belle Giran avant qu'on ne la saigne et ne la renverse comme une simple boîte de pions.
Giran appelait au rêve, à l'ailleurs, à l'avenir.

Certains, parfois, y trouvaient leurs fins.
Car, lorsque les esprits larges trouvent leur bonheur dans la découverte, d'autres obtus espèrent purger cet Enfer de différences.
Qu'en est-il alors, lorsque deux philosophies étroites se croisent?

Cette question reçut une réponse alors que les Insaels Alfirins rencontrèrent un certain Baron: le Baron Alberyn.

Le Noble personnage se fit, par la plaisante journée, insultant envers les Elfes fiers.
Ceux-ci, touchés dans leur orgueil, voulurent blesser le Baron, or ils n'utilisèrent point la parole et c'est d'une flèche qu'ils firent taire le Chien.

Les malheureux Elfes furent alors la cible du courroux du Roi Garius qui en même temps que de châtier les fautifs, décida qu'il serait bon que toute la Communauté Alfirin pâtisse de cet acte de vengeance, aussi, Sa Majesté bannit les Elfes de Cefedellen.

Désormais vagabonds, les Insaels Alfirins se tournèrent vers leur Chef Ealindir quant à une solution.
Le grand Coureur de Vent avait acquis au fil des années dextérité et sagesse, et savait alors parfaitement allier les deux.

Il lui vint que la Cité d'Heine était Elfique, cependant, elle était aux mains des Siannodels.
Althena possédait à l'époque une petite parcelle de terrains accordée aux Elfes durant la Genèse du Continent. Cependant cette terre était bien éloignée du centre des engouements de la vie, de plus, cela signifiait vivre sur des terres exclusivement Humaines.

Mais une nuit, qu'il chevauchait bien las de sa journée, il traversa la Silencieuse Aden.
Les faisceaux lunaires illuminaient les rues et allaient se perdre dans l'obscurité de fenêtres obstruées par des planches.
C'est alors qu'Ealindir tout à son étonnement retrouva une certaine vigueur.

Aden, centre de ce continent, immense ville appelant à la diversité des peuples.
La ville d'ailleurs avait dans son architecture quelque chose de Noble, quelque chose d'Elfique.

Le Manoir d'Argent
appartiendrait aux Insaels Alfirins, cette nuit là, le Chef Alfirin en eût la conviction.

Et en effet, le Manoir d'Argent, dès le lendemain, fut acquis et de nombreux aller-retour se firent entre Aden et Cefedellen.
Enfin, tard dans la soirée, un portier prit son poste.

Dès lors, les Insaels Alfirins s'établirent au Manoir, en attendant de plus grand, en attendant de soigner la balafre que Garius leur avait infligée aussi injustement.

(Merci à Swann !)

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Re: InSael Alfirin

Message par DocV » mar. 19 octobre 2010 à 15h19

« Avant de s'agrandir au dehors, il faut s'affermir au dedans. » *


Cette phrase fut méditée longtemps par Ealindir, Chef des Alfirins car alors que Melyn, son second, était condamné à une mort imminente; certains doutes assaillirent ses frères et sœurs.

Est-ce que leur foi était suffisante?
Éva était-elle déçue au point de les priver d'un être cher?
Était-ce simplement une épreuve de la Déesse Enchanteresse?

Les évènements s'étaient enchaînés si vite... Il semblait que mille épées s'étaient abattues en même temps sur son cou.
D'abord, il y avait eu les Démons, puis l'enlèvement d'Astérios, son assassinat, le bannissement de sa guilde de leur terre Natale et maintenant, ce cher Melyn serait exécuté par ce tyran de Garius.

Tyran, oui. La vérité se trouvait là.
Les Elfes n'étaient pas libres. Ils n'étaient pas libres depuis leur défaite face aux Humains bien des siècles auparavant.
Ses semblables s'étaient soumis et avec composé avec ce statut jusqu'à ce qu'il devint commun.

Ainsi, il leur faudrait partir à la conquête de leur liberté.

Cette nuit-là, le Manoir d'Argent resta éclairé jusqu'à ce que l'Astre solaire perce au travers des volets; et il apparut aux Alfirins qu'il apportait la promesse d'un lendemain sanguin.

Forts de leur nouvelle détermination, les Insaels tinrent tête à Garius et appelèrent leur entourage à leur apporter une quelconque aide afin de libérer Melyn des bras de la Mort.

Ealindir se promit qu'une fois que son ami et Second serait libérer, il emmènerait les siens en pèlerinage une dernière fois. Une dernière fois avant d'offrir la liberté à tout son peuple.

Et en effet, la libération de Melyn ne fut qu'un aperçu de ce qu'il s'était tramé dans le Manoir d'Argent.

La liberté était un combat, dans lequel s'étaient lancés les Insaels Alfirins bien des lunes auparavant, et ce combat allait peut-être donner un tournant décisif à l'Histoire Elfique.

Sous la régence de Garius, le peuple Elfe a subi bien des malheurs et des pertes aussi nombreuses que lourdes de conséquences pour Cefedellen.
Cela ne pouvait plus durer; cela ne devait plus durer.

Le soir révélateur, Ealindir avait étalé une carte d'ElmoreAden sur la table commune et attiré le regard de ses frères et sœurs sur l'Histoire de la Géographie du Continent.

La cité d'Oren à l'image du peuple Elfe avait été défigurée par le temps.
Alors à l'instar du peuple Elfe elle se relèvera plus forte et sera le symbole de la liberté Elfique.

Des architectes Elfes et leurs meilleurs artisans travaillèrent bientôt dans le secret à la nouvelle architecture de la ville sous l'impulsion des Gardiens de l'eau.
Les premiers matériaux affluèrent dans un lieu gardé secret par les Alfirins afin d'entamer le plus rapidement possible les rénovations.

La volonté de liberté Elfe mua avec le temps, devenant une haine profonde pour la
Royauté Humaine.
Oren symbolise pour cette Royauté son pouvoir et son droit, aussi arbitraires qu'autoritaires, à reconstruire ce que bon lui semble.
Cet élan allait être brisé par les armes Alfirins. Le village elfe serait libre, serait libéré du joug Humain et si nécessaire les ennemis seraient détruits.

La passion des Alfirins était alors telle qu'ils pensèrent accomplir l'inimaginable: un pacte avec les Elfes Bruns.
Shel'Oloth ne présentant que peu d'intérêt pour les Elfes, ce territoire resterait coupé de toutes les régences et serait livré à lui-même.
Aussi, avoir leurs anciens frères à leurs côtés leurs éviteraient de les avoir dans le dos.

Ainsi commença la croisade des Elfes contre la royauté Humaine.

Le jour venu, Ealindir céda sa place à la Grande prêtresse Erlineth pour les bénédictions, qui se conclurent sombrement par:
« La victoire, ou la mort. »

Ce n'est au petit matin qu'Ealindir déposa sa dague souillée du sang ennemi à son côté alors qu'il prenait place sur le trône du Château d'Oren.
A sa droite son second essoufflé d'avoir incanté durant des heures, face à lui le reste des siens, blessés, mais libres.

Quelques heures après les cloches du Temple d'Oren retentirent, annonçant une nouvelle ère pour tous, l'Ère du Roi Ealindir.

Il n'y avait plus de doute, les Elfes étaient revenus.


*
Spoiler:
Citation de Victor Hugo
Spoiler:
Une partie du texte vient des écrits d'Erlineth.






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Ealindir ami de Sendo et Melyn (VAE V2)

Re: InSael Alfirin

Message par DocV » mar. 19 octobre 2010 à 16h45


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Enfants, nous avons tous passé des heures dans le sable à donner forme à des tas.
A notre manière, nous étions tous un peu Roi; Empereur pour les plus doués, et notre règne s'étendait sur bien des collines de poussière qui une fois abandonnées retombaient balayées par le vent, mais qu'importe, le lendemain avec l'Astre du Jour dans notre dos, nous rebâtissions nos royaumes, nous les améliorions même, afin qu'un jour rien ne retombe.

Enfants, nous avions beaucoup d'espoir, hélas c'est une denrée qui s'épuise avec l'âge. Pour certains.

Car parmi les Très Chers Enfants d'Eva l'un d'eux ne cessait d'espérer et de rêver bien que son âge et ses responsabilités ne devaient s'y prêter.
Peut-être était-ce cette candeur et cette désinvolture qui faisait de lui un Roi si Prometteur.

Sa première promesse, il l'avait offerte à son peuple. Et aujourd'hui, c'était chose faite. Les Elfes renaissaient et Oren était l'écrin de cette nouvelle étincelle de vie.
La ville, soufflée et désertée, s'était montrée bien malléable dans les mains structurantes d'Ealindir et aujourd'hui, elle resplendissait à nouveau et qui plus est pour un peuple.

De nouvelles instances avaient été érigées pour encadrer, pour distraire, pour accompagner. L'Ère Sylvaine garantissait paix et connaissance à l'avenir.

Cependant comme la vie est l'adaptation continue de relations internes à des relations externes, la prospérité naissante établie par les Insaels Alfirins ne tarda pas de se heurter au Nord.

Shuttgart la Démoniaque qui était depuis déjà longtemps en opposition avec la Guilde d'Ealindir fût rapidement rejoint dans son conflit par Goddard la Sombre.
Les choses s'envenimant dans le même temps tout autour, une Alliance de Sud ne tarda pas à être créée mêlant la Mingol Throng Azul de Thyla, à la Vindicte Ecarlate de Iann ainsi que les Insael Alfirin d'Ealindir.

Mais une toute autre menace sollicita l'attention et la force de cette Alliance, l'épidémie n'était pas Nordique, non, elle se révéla être voisine d'Oren, au grand damne des Insaels, car ce fût la Tour d'Ivoire qui donna bien des cauchemars aux différents Régents.

Cet affreux périple, qui n'en était à vrai dire qu'à son commencement poussa le Roi d'Oren à une évolution, ou bien même une ouverture qu'il espérait salutaire.
Ainsi, sous l'impulsion du nouveau Régent Ilsendir, un Paladin du Sud fût présenté à Ealindir.

L'Humain nommé Kalagarm affirmait avoir des troupes qu'il souhaitait mettre au service d'Oren afin de servir Einhasad et de représenter et protéger les Humains peuplant les territoires Alfirins.
Le projet ne manquait pas d'audace, d'ailleurs beaucoup parmi les Insaels furent hostiles à la demande, blessés dans leur orgueil peut-être, mais aussi conscients du passé douloureux où les Humains n'avaient pas manqué de retourner leurs chemises pour tirer l'affaire en leur faveur, offrant par la suite un funeste règne Humain à tout le continent.

« Il faut que tout change pour que rien ne change. »
Alors, une deuxième chance fut donnée à ce peuple qui lui aussi avait évolué et ainsi naquirent, les Chevaliers de la Lumière.
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Re: InSael Alfirin

Message par DocV » jeu. 3 février 2011 à 20h58

Ealindir prenait le temps de vivre ces derniers temps, passant plus de temps au village elfe, à discuter de l'avenir du peuple avec les sages du village. La question sur le retour de la souveraineté du territoire du village elfe était omniprésent dans les discussions.

Un soir de pleine lune, Melyn demanda à Ealindir sous la pression des membres de l'InSael Alfirin, de revenir sur le trône d'Oren, le peuple commençait à s'inquiéter des nombreuses absences de leur Roi. Il était temps pour Ealindir de retrouver ses fonctions. Les alliés d'Oren attendaient cela depuis fort longtemps, les temps étaient dures, et les ténèbres gagnaient du terrain dans les esprits...


(La suite prochainement...)
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Re: InSael Alfirin

Message par DocV » ven. 25 février 2011 à 22h53

Libération


Nul ne peut apprendre aux autres à se libérer s'il n'a pas commencé à se libérer lui-même.*
Extrait du Traité des Insaels Alfirins - Livre II.a.


La liberté était et est toujours, une valeur importante aux yeux des Insaels Alfirins.
Beaucoup auront un sourire moqueur en apprenant cela, mais cela de par leur figure seront trahis de leur enchaînement.
La liberté est vaste, on ne saurait bien sûr lui apposer des limites, la liberté est infinie ; aussi infinie que les points de vue qu'elle suscite.

Liberté, liberté, liberté.

Les Gardiens de l'Eau souhaitaient la libération des leurs, et c'est en cela qu'ils œuvraient avec acharnement.
Aussi, il avait fallu convaincre, conquérir, mais aussi vaincre.

Vaincre les horreurs qui se tramaient dans leurs terres, dans leur Tour, dans la Tour d'Ivoire.

Le prélude de l'Obscurité était apparu enfantin, et pourtant dévastateur ; la Témérité de Vaméa n'y avait pas survécu, éclaboussant l'ivoire de son échec.
Puis un nœud s'était formé, solide ; l'enfant avait tissé un lien avec le tumultueux Zaken, et tous eurent tôt fait de se heurter au machiavélisme de la jeunesse.
Enfin, quelque chose de grand germa de l'enfant. Quelque chose de divin même : Noct. Il enfumait les esprits, et tous désespéraient que la lumière perce à nouveau.
D'autant plus que celui-ci trouva dans les souterrains Sombres soutien et dévouement.

La période à venir s'annonçait terriblement brumeuse et beaucoup d'esprits craignaient de ne jamais sortir de ces affres.

Or, au milieu de ces accalmies, le Roi d'Oren ne pensait qu'aux siens, à ses promesses, à la liberté.
Et il était temps que la promesse soit honorée ; la rumeur n'avait pas besoin d'enflée plus encore, les forces étaient à préserver pour le combat prochain.
Alors, Ealindir poussa la porte du Conseil et un long entretien eut lieu.


« Sages, moi Ealindir, Roi d'Oren et des Insaels Alfirins, vous avais promis liberté et honneur. Je m'en remets à vous alors que je considère ma tâche accomplie.
Notre Feu Roi, Astérios, avait réuni pour purger nos terres les meilleurs guerriers qu'il soit parmi nous ; Cefedellen est aujourd'hui pure, cependant vous n'ignorez pas les menaces externes qui se profilent encore.
Sages, Cefedellen est maintenant vôtre ; acceptez que nous retournions dans l'ombre.
Les Insaels Alfirins sont nés Gardiens et ils mourront ainsi.
»


Un débat suivit l'annonce et la requête d'Ealindir.
Les Sages se réjouissaient que Cefedellen ne soient plus tout à fait associée aux actes des Insaels Alfirins, néanmoins ils ne pouvaient pas fermer les yeux sur le dragon affamé de Shilen.
Des prières furent adressées à Eva. Et celle-ci répondit à ses enfants, parlant aux Sages dans leurs songes de sa voix douce et claire comme l'Eau éternelle.

Les Sages rendirent leur réponse et la libération fut accomplie.

Plus tard, peut-être les jeunes Elfes entendront parler de l'Époque des Insaels Alfirins, et certains verront dans un archer solitaire ou une prêtresse ermite, qui traversent Oren avec un œil mélancolique, cette flamme élégante qui anime encore la licorne et qui dans un temps reculé de l'âge de leurs parents avait signifié ces trois sauts de la langue contre le palais, les lèvres et les dents : Li.Ber.Té.


MàJ de clôture des Insaels Alfirins.
(Le clan sera delete par moi même le Jeudi 10 Mars)
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