La rumeur...
A peine les premières lueurs de l'aube apparaissent, qu'un grand changement se fait entendre, dans les tavernes, et sur les places publiques des grandes villes. Les marins auraient été forcés de reculer, face a une attaque éclair menée par un groupuscule inconnu.
Les paysans ont pu entendre une grande explosion, en pleine nuit, et voir des nombreux gardes, marins, fuir à toutes jambes la bonne ville de Gludio. Il semblerait, que le Marin en chef, chargé de cette ville, soit mort au combat, durant l'attaque.
Suite à quoi, le groupe mystérieux, vêtus comme des mendiants et des vendeurs de breloques, auraient pris la parole, anonçant la libération de Gludio, les marins en fuite désormais, la ville libérée de toute oppression.
Le groupe est resté discret, car aux premières lueurs du matin, après l'annonce, ils avaient tous disparu, comme ils étaient venus, furtifs, anonymes et efficaces.
Les rescapés marins du massacre, revenus alors a Dion et a Gludin, font leurs rapports à leurs supérieurs, racontant les quelques bribes de l'attaque en cours. Les défenses des deux villes sont maintenant renforcées, il semble que quelque chose, ou quelqu'un, se soulève contre eux, de manière innatendue et meutrière, tuant toutes résistance, sur son passage.
Gludio est désormais réaprovisionnée en vivres, avec l'aide généreuse du peuple nains, aucun nom n'aura été retenu, la discrétion et de rigueur.
A peine les premières lueurs de l'aube apparaissent, qu'un grand changement se fait entendre, dans les tavernes, et sur les places publiques des grandes villes. Les marins auraient été forcés de reculer, face a une attaque éclair menée par un groupuscule inconnu.
Les paysans ont pu entendre une grande explosion, en pleine nuit, et voir des nombreux gardes, marins, fuir à toutes jambes la bonne ville de Gludio. Il semblerait, que le Marin en chef, chargé de cette ville, soit mort au combat, durant l'attaque.
Suite à quoi, le groupe mystérieux, vêtus comme des mendiants et des vendeurs de breloques, auraient pris la parole, anonçant la libération de Gludio, les marins en fuite désormais, la ville libérée de toute oppression.
Le groupe est resté discret, car aux premières lueurs du matin, après l'annonce, ils avaient tous disparu, comme ils étaient venus, furtifs, anonymes et efficaces.
Les rescapés marins du massacre, revenus alors a Dion et a Gludin, font leurs rapports à leurs supérieurs, racontant les quelques bribes de l'attaque en cours. Les défenses des deux villes sont maintenant renforcées, il semble que quelque chose, ou quelqu'un, se soulève contre eux, de manière innatendue et meutrière, tuant toutes résistance, sur son passage.
Gludio est désormais réaprovisionnée en vivres, avec l'aide généreuse du peuple nains, aucun nom n'aura été retenu, la discrétion et de rigueur.
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